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Personnes, familles, organisations
Collectivité

Ecublens - Service de l'urbanisme et des constructions

  • CH - Ecublens - Service de l'urbanisme et des constructions
  • Collectivité
  • 2005-nos jours

La gestion des affaires liées à l'aménagement du territoire et à la police des constructions a longtemps été l'apanage du Greffe Municipal.
Vers 1960-1961: création d'une commission d'urbanisme, chargée de suivre les questions liées aux constructions et à l'aménagement du territoire.
Jusqu'au début des années 2000, la Municipalité travaillait avec des bureaux extérieurs tandis que l'Administration générale assurait le secrétariat.
En 2005, lors du changement de secrétaire municipal (départ à la retraite de M. Jacques Bertoliatti, reprise du poste par son adjoint M. Philippe Poget), la police des constructions est reprise par M. Gilliéron, engagé au Service des Bâtiments).
En 2008, un collaborateur est engagé pour s'occuper de l'aménagement du territoire (M. Bonzon, remplacé peu après par M. Besson).
En 2012, le Service de l'urbanisme et des constructions est officiellement créé. Il comprend un chef de service (M. Gilliéron), un collaborateur spécialisé (M. Besson) et une secrétaire.

Ecublens - Service des Bâtiments

  • CH - Ecublens - Service des bâtiments
  • Collectivité
  • 1990-nos jours

Ce service a été créé en (date à vérifier). Chefs de service: M. Meuter (Ronald), de (?) à 2010. M. Canedo (Ramiro), de 2010 à 2012. M. Bieri (Claude-Alain) dès 2012.
Nomination de M. Menoud (Yolan) à la tête du service en 2017.

Ecublens - Service des Travaux

  • CH - Ecublens - Service des travaux
  • Collectivité

Depuis xxxx, le chef de service est M. Morano (Marcos). Avant lui, le service était dirigé par M. Rossier (Charly) qui succède à Wenger (Paul) le 1er mars 1990 à l'occasion de la fusion du service des travaux et du service des parcs et promenades.

Edipresse

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Collectivité

Eglise libre

  • CH - Vevey
  • Collectivité

Ensemble musical Holzacker Clarens-Montreux

  • CH - Montreux--126
  • Collectivité
  • 1970-2019

Créé en 1970 par 9 musiciens de la Fanfare L’Avenir de Clarens à l’occasion du 60e anniversaire de cette société, l’Ensemble musical Holzhacker, qui prend son nom du titre de son premier morceau, devient rapidement un groupe autonome à l’activité débordante.

En 40 ans, ses musiciens ont eu le privilège de participer à de nombreux concerts, bals, rendez-vous folkloriques et Fêtes fédérales de musiques campagnardes ainsi que des voyage à l'étranger.

Son répertoire s’inspire en particulier de la musique d’Egerland, de Suisse orientale et de Tchéquie. Le premier CD 15 titres est sorti en septembre 2000, alors qu’un deuxième, puis un troisième, ont vu le jour en Tchéquie en 2006 puis en 2012.

L'ensemble a été dissout en 2019.

Familles bourgeoises de Brent

  • CH - Montreux--46
  • Collectivité
  • 1486 - nos jours

L’histoire orale fait remonter le nom de Brent au temps des celtes, « bran » ayant alors la signification de chef. On peut en déduire, qu’au haut Moyen Âge, le village de Brent abritait le chef de la communauté du Châtelard. Cette hypothèse est corroborée par la présence, à Brent, d’un châtelard, sorte de rempart fortifié qui offrait refuge à la population en cas de menace.
Au Haut Moyen Âge, les villages des hauts du territoire du Châtelard tenaient les premiers rôles. L’aval du territoire n’était pas du tout colonisé, Brent Chailly et dans une moindre mesure, Chernex, étaient parmi les villages les plus en vue.
Avec la pacification de la région, l’épicentre de la communauté va lentement « descendre », à partir du XVème siècle, et Brent sera progressivement marginalisé. En premier lieu, avec l’édification, par Jean de Gingins, du château du Châtelard, à Tavel qui remplacera la cachette ancestrale de Brent et offrira refuge en cas d’attaque. Mais également, en deuxième lieu, avec le règlement dont la communauté du Châtelard se dote en 1496 : celui-ci codifie le fonctionnement de la communauté et l’élection du chef, qui ne sera plus dorénavant toujours originaire de Brent.
Brent fera bientôt à nouveau office d’épicentre de la communauté, du moins du point de vue commercial. En effet, en 1486, le duc de Savoie octroie au village un droit de foire. Cet acte est un véritable privilège, tant il est rare. On peut s’essayer à plusieurs explications sur les raisons de l’octroi de ce privilège : compensations pour les changements récents à la réparation d’une injustice suite à une affaire de peaux de moutons, en passant par la simple demande des gens de Brent.
Même si le rassemblement n’a pas lieu de manière très régulière avant le XVIIème siècle, la foire va redonner une notoriété régionale à Brent.
Autre particularité du village de Brent, la présence sur son territoire d’une chapelle, deuxième lieu de culte dans la paroisse de Montreux. Les raisons de l’édification de ce bâtiment ainsi que l’établissement d’un deuxième culte dans la paroisse ne sont pas connues à ce jour.
En 1887, l’assemblée des propriétaires du four de Brent arrête un règlement : le règlement l’association du four de Brent. Dans un premier temps, il s’agissait de créer une société, mais sur conseil du préfet, les bourgeois de Brent ont opté pour l’association et l’inscription au registre du commerce. A partir de 1888, le four de Brent est géré par une association à la tête de laquelle se trouve un régisseur-caissier. Brent se distingue donc des autres villages de la paroisse de Montreux où les administrations de villages (fractions) sont gérées par une assemblée à la tête de laquelle se trouve un gouverneur et qui prélèvent des impôts. Le règlement stipule à son article 13 qu’en cas de dissolution de l’association, ses biens doivent aller au village de Brent. Mais il semblerait qu’il ne faut pas comprendre par là qu’il existe une administration de village en sus de l’association des propriétaires du four. Quant à ses revenus, détaillés à l’article 11, ils proviennent exclusivement de la location du four et des intérêts de capitaux placés.
Toujours dans ce règlement de 1888 il est fait mention des familles bourgeoises de Brent qui sont les suivantes : Borcard, Burdet, Chevalley, Cuenet, Dufour, Masson, Besson, Mury, Cochard, Dériard et Ducret.

Festival de la Rose d'Or

  • CH - Montreux--103
  • Collectivité
  • 1961-

En 1961 est créé sous la houlette de la Ville de Montreux, de la Société suisse de radiodiffusion (SSR) et de l’Union européenne de radiodiffusion (UER) le festival de télévision la Rose d’Or. Emmené par trois hommes Marcel Bezençon, directeur général de la SSR de 1950 à 1972, président de la Commission des programmes de télévision de l’UER et cofondateur du réseau Eurovision en 1954 ; Edouard Haas, directeur de la télévision suisse à partir de 1955 et Raymond Jaussi, directeur de l’office du tourisme de Montreux, le festival de télévision aura lieu à Montreux chaque année entre 1961 et 1991, puis à un rythme moins soutenu.
Dès 2004, la manifestation est délocalisée à Lucerne, puis Berlin et enfin à Londres.

(Source: GRAY Roxane: Montreux et sa Rose d’Or : dans les coulisses d’un festival de télévision)

Fondation Addiction, action communautaire, travail social (AACTS)

  • CH - Montreux--62
  • Collectivité

La Fondation AACTS (Addiction, Action Communautaire, Travail Social) a été créée le 21 mai 2012 et fait suite à la dissolution de l’Association ACT (Action Communautaire et Toxicomanie). L'association ACT avait repris plus tôt les activités de Le Clodo.

Fondation du Festival de Jazz de Montreux

  • CH - Montreux--72
  • Collectivité
  • 1967-

Le Montreux Jazz Festival a été créé en 1967 sous l'égide de l'Office du Tourisme de Montreux (OTM) par Claude Nobs, René Langel et Géo Voumard, dans l'idée de de diversifier l'offre touristique de Montreux. Cette première édition dure trois jours et attire 1500 spectateurs. Durant ces trois jours, douze orchestres européens se succèdent sur scène et une star américaine clôture la manifestation. La durée de la manifestation grandit au fil des années pour se fixer finalement à deux semaines de concerts en été.
Jusqu'en 1971 les concerts ont lieu dans l'ancien Casino de Montreux. Le 4 décembre 1971 le bâtiment est détruit par un incendie lors du concert de Frank Zappa organisé par Claude Nobs dans le cadre de ses activités auprès de l'Office du Tourisme. Dès l'année suivante, le festival prend ses quartiers dans le nouveau Casino et ce jusqu'en 1993. Il déménage alors et se déplace au Centre des Congrès rénové, dans les deux nouvelles salles: l'Auditorium Stravinski et le Miles Davis Hall (Le Floc'h, p.107).
Les années 1990 amènent d'autres nouveautés: dès 1991, les concerts sont enregistrés en HD; de 1991 à 1993 Quincy Jones devient coproducteur du Montreux Jazz Festival (Le Floc'h, p. 104); la Fondation du Festival de Jazz de Montreux est créée le 19 janvier 1996, ce qui met un terme à la participation de l'Office du Tourisme de Montreux dans l'organisation du Montreux Jazz Festival.
Au décès de Claude Nobs, en 2013, Mathieu Jaton, alors secrétaire général, devient directeur du Montreux Jazz Festival.
En 2016, la Fondation du Festival de Jazz de Montreux interagit avec les 3 raisons sociales suivantes:
a) la Montreux Jazz Artists Foundation (anciennement Fondation 2 (2007-2015), créée en 2007. Cette fondation d'utilité publique a pour mission d'encourager la formation et la relève.
b) la Claude Nobs Foundation, créée en 2014. Cette fondation a pour mission de préserver et valoriser les enregistrements audiovisuels du Montreux Jazz Festival.
c) la S.A. Montreux Jazz International. Cette société s'occupe des Montreux Jazz Cafés et de leur exploitation.

Fondation du Septembre musical Montreux-Vevey

  • CH - Montreux--30
  • Collectivité
  • 1946 -

Le Septembre musical est fondé en 1946 par M. Manuel Roth qui souhaite organiser une manifestation musicale sur la Riviera suite au séjour de quelques musiciens célèbres dans la région (Igor Stravinski, Maurice Ravel). M. Manuel Roth sera directeur du festival jusqu'en 1967. Il sera succédé par M. René Klopfenstein (de 1968 à 1983), M. Yves Petit de Voize (de 1984 à 1995), M. Christian Chorier (de 1996 à 2001), M. Karl Anton Rickenbacher (de 2002 à 2004), M. Tobias Richter qui depuis 2005 occupe le poste de directeur du festival.
Le festival se passe pendant trois semaines au mois de septembre et a lieu dans différentes salles de Montreux et Vevey.

Fondation Hotelarchiv Schweiz

  • CH - Montreux--107
  • Collectivité
  • 2008 - présent

Fondation à but non lucratif créée en mars 2008 par Hôtellerie Suisse et des donateurs privés à l'occasion des 125 ans de la Société suisse des hôteliers. Inscrite au registre du commerce du Canton de Berne en tant que fondation à but non lucratif.
La fondation est dotée d'un bureau opérationnel de 2008 à 2019. Direction Evelyne Lüthi-Graf, adjointe Graziella Borrelli.
Dès 2019, reprise des fonds d'archives physiques et digitaux par deux institutions en parallèle: Les Archives de Montreux pour les fonds montreusiens et quelques fonds romands, le Schweizerisches Wirtschaftsarchiv pour la majorité des 60 fonds gérés par la fondation.

Fondation Théodore Strawinsky

  • CH - Montreux--67
  • Collectivité
  • 1991 -

La Fondation Théodore Strawinsky est une fondation à but non lucratif, créée le 22 novembre 1991 à Genève. Elle est inscrite au registre du commerce de Genève. En 2019, 8 personnes siègent au Conseil de Fondation.
Théodore Strawinsky désirait que l'on crée à Genève une fondation qui fasse vivre son œuvre et décerne annuellement un prix à un étudiant en fin d'études de l'école des Beaux-Arts de Genève, pour faciliter ses débuts. Denise Strawinsky répond à ce vœu en créant la Fondation Théodore Strawinsky et remet le prix Théodore Strawinsky dès le 25 juin 1992.

Présidence:
Denise Strawinsky (1991-2004)
Luc-Régis Gilbert (2004-présent)

Fondations Petitmaître - maisons d'accueil

  • CH - Fondation Petitmaître
  • Collectivité
  • 1957 - à nos jours

Erigée en fondation en 1957, la maison des orphelins de la Fondation Petitmaître accueille ses premiers pensionnaires en 1961. D'abord nommée maison des orphelins, puis, dès 1975 foyer Petitmaître, elle devient Fondation Petitmaître - maisons d'accueil en 2007.

Fonds intercommunal de soutien aux institutions culturelles de la région lausannoise

  • CH - Fonds intercommunal de soutien aux institutions de la région lausannoise
  • Collectivité
  • 1988-nos jours

1988: Dans le cadre de la reconnaissance du caractère régional des prestations fournies par certaines institutions culturelles lausannoises, les communes signataires de la convention de 1988 décident de contribuer à leur financement et d'en régler les modalités par une convention, créant ainsi le "Fonds intercommunal de soutien aux institutions culturelles de la région lausannoise".

Gressy - Commune

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Collectivité
  • sans date - 30 juin 2011

1er juillet 2011: fusion de la commune de Gressy avec celle d'Yverdon-les-Bains

Gymnastique des hommes

  • CH - Gymnastique des hommes
  • Collectivité
  • 1906 - 2017 (?)

Société fondée en 1906. Dès les débuts, elle compte deux sections: gymnastique des hommes et choeur. En 2005, la section gymnastique cesse ses activités, suivie en 2012 de la section choeur, dont les membres se réunissent par la suite encore sous forme d'amicale.

Halte-garderie La Bergerette

  • CH - Montreux--112
  • Collectivité
  • 1982-2012

La halte-garderie "La Bergerette" est un établissement qui accueille les jeunes enfants à Glion depuis 1982. Fondé par Madame Paule Borloz comme présidente, le jardin d'enfants a été reprit en 2012 par la Commune de Montreux et continue exercer sa fonction d'origine.

Imprimerie des Remparts SA

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Collectivité
  • 1934-1985 ?

L'Imprimerie des Remparts SA est fondée en 1934 par Pierre Rigo (1907-1991), jeune typographe employé de l'Imprimerie Cornaz, qui renomme l'Imprimerie des Arts graphiques de F. Chuard, alors en faillite. La société édite l'Yverdon-revue de 1935 à 1973, année de la reprise du titre par la Société anonyme du Journal d'Yverdon. Le titre sera encore imprimé sur les presses de l'Imprimerie des Remparts jusqu'en 1985.

Journal de Pully

  • CH - Pully
  • Collectivité
  • 1930 - 1992

Il fut remplacé par le journal "Le Régional" en 1995.

Jouxtens-Mézery - Commune

  • CH - Jouxtens-Mézery - Administration communale
  • Collectivité
  • 1798-nos jours

Les autorités communales sont constituées de la Municipalité, composée du syndic et de 4 Municipaux. Le Conseil communal a remplacé le Conseil général dès le 1er janvier 1990.
L'administration communale de Jouxtens-Mézery est constituée d'un/e secrétaire municipal/e et, depuis xxxx, de secrétaires qui se répartissent l'ensemble des tâches de l'administration.
Liste des secrétaires municipaux:
1950-1956: Rapin (Ch.)
1956-1958: Bally (L.)
1959-1983: Debély (Jean-Louis)
1984-sept. 1985: Pauchon (Willy)
sept. 1985- mars 2007: Zoëll (Christine)
2007- mai 2017: Monod (Christian)
juillet 2017 - ... : Bergmann (Mme).

Kramer Société anonyme (SA)

  • CH - Montreux--21
  • Collectivité
  • 1907 -

L'entreprise a eu plusieurs noms, entre autres:
Maison Kramer
Kramer frères
Kramer frères Société anonyme (SA)
Kramer Société anonyme (SA)
Kramer-Krieg Société anonyme (SA), dès 1996, date de la fusion avec l'entreprise Krieg établie à Lausanne depuis 1867.

L’histoire de Kramer débute en 1907 à Montreux, avec la fondation d’une papeterie-bazar, complétée en 1943 par un magasin à Vevey. La société développe ensuite ses services aux professionnels, en acquérant une manufacture de papier et une société de distribution à Lausanne.

Yves Kramer était le président de la société jusqu'en 2017, date de la reprise par la société Amiguet-Martin Duplirex.

La Lyre yverdonnoise

  • CH - Lyre yverdonnoise
  • Collectivité
  • 1894 - 2007

La Lyre yverdonnoise s’identifie comme un chœur d’homme. Elle se constitue en 1894. Elle possède une devise (« Amitié et travail ») ; son drapeau, inauguré en 1896, figure Johann Heinrich Pestalozzi et la formule emblématique de la ville d’Yverdon-les-Bains : « Superna quaerite ».
Comptant 22 membres à sa fondation, la Lyre accueille un nombre croissant de chanteurs et en réunit une centaine à son 25e anniversaire en 1919. Des difficultés dans le recrutement marquent pourtant la fin de son existence, lorsque, entre 1999 et 2000, le nombre de chanteurs est jugé insuffisant pour assumer les activités du chœur. Pour pallier ce problème, une collaboration est mise en place avec le chœur d’hommes « La Vigneronne de Montagny-près-Yverdon » . Cette collaboration donne naissance quelques années plus tard à un nouveau chœur d’hommes nommé « Chor’hom » (2005).
La Lyre yverdonnoise poursuit une activité soutenue tout au long de son existence. Elle parvient à maintenir un certain nombre d’activités annuelles (concert annuel, culte du souvenir à la Toussaint, veillée de Noël, courses pour les membres) tout en s’investissant dans des projets ponctuels de grande envergure. La Lyre s’implique particulièrement dans les concours de l’Association cantonale des chanteurs vaudois et de la Société fédérale des chanteurs ainsi que dans le Giron choral de la plaine de l’Orbe dont elle organise certaines éditions.

La Mouche

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Collectivité
  • 1899 - sans date

La Récréation

  • CH - La Récréation
  • Collectivité
  • 1853 - 2017

En 1853, Orbe, berceau de la société cantonale des chanteurs vaudois, organise la première Fête cantonale regroupant 26 sociétés, uniquement masculines. Des chanteurs yverdonnois y participent et fondent la même année un chœur d’hommes, « La Récréation », qui adopte ses statuts en 1854.
La société atteint son effectif record en 1921 à l’occasion du Concours cantonal de Lausanne : 106 chanteurs.
Dès 1877, les dames intègrent progressivement La Récréation. Elles collaborent à plusieurs concerts au début du 20e siècle. En 1930, une sous-section « dames » est fondée. Dès lors, La Récréation se présente dans les trois formations : hommes, dames ou mixte selon les circonstances jusqu’en 1967, année d’adoption de sa formation mixte. Plusieurs succès sont à à attribuer au Choeur mixte :Flûte de roseau, Jeu du Feuillu, Trois âges de l'homme, Cadran solaire, Nuit des Quatre Temps, La Rue des 13 Métiers.
En 1930, le choeur rejoint le Giron de la Menthue.
Depuis sa création, il organise de multiples manifestations d’envergure dont plusieurs Fêtes cantonales des chanteurs vaudois, des jubilés (50ème, 100ème, 125ème, 150ème et 160ème) ainsi qu’Opéra Pestalozzi pour n’en citer que quelques-unes. Elle reçoit également de nombreux prix lors de concours cantonaux, nationaux et parfois même internationaux (en France notamment). Sa renommée dépasse dès lors les frontières suisses.
La société fête son centenaire en 1954 et inaugure à cette occasion son cinquième drapeau.
A la fin du 20e siècle, le recrutement de nouveaux chanteurs devient difficile. Le nombre des membres ne cessant de diminuer, la société est dissoute à l’automne 2018, alors qu’elle ne compte plus que 19 membres.

La Région SA

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Collectivité
  • 2006 - à nos jours

La société d'édition La Région SA édite le journal La Région dès le 8 mars 2006. Le prépresse est assuré par l'Imprimerie Sprint à Yverdon-les-Bains et l'impression par ediprim à Bienne (La Région du 30 mars 2006) . Dès 2008, La Région SA édite le bihebdomadaire (lundi et mercredi) et La Région Nord vaudois Hebdo SA (participation de la Région SA, Société NE de presse et Edipresse) édite le tous-ménages du vendredi La Région Nord vaudois Hebdo.

Le Bourdon

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Collectivité
  • 1883 - à nos jours

Journal édité par la Société l'Agrément (19e siècle), le comité des Brandons (1970-1971), le comité de rédaction du Bourdon (1978-1984), L'Essaim du Bourdon (1985-à nos jours)
Imprimé par l'Imprimerie Lambert d'Yverdon (1883-), l'Imprimerie Fivaz Yverdon (1900-), puis l'Imprimerie du Journal d'Yverdon (1967-?)

Le Mont-sur-Lausanne - Commune

  • CH - Le Mont-sur-Lausanne - Administration communale
  • Collectivité

Commune du district de Lausanne, au nord de l'agglomération lausannoise, à la lisière des bois du Jorat, se composant du Petit-Mont, du Grand-Mont et des Planches. Première mention en 1237 (Monte super Lausannam). 514 habitants en 1764, 658 en 1798, 1000 en 1850, 1099 en 1900, 1383 en 1950, 2692 en 1970, 5182 en 2000. Au Moyen Age, Le Mont-sur-Lausanne, divisé en plusieurs petits fiefs, dépendait de l'évêque de Lausanne. Il fit partie du bailliage bernois de Lausanne de 1536 à 1798, puis du district de Lausanne. Au XVIIIe s., la commune était administrée par un grand gouverneur, un maréchal et trois petits gouverneurs (un par hameau). Au militaire, ses habitants marchaient sous la bannière de la Cité. La chapelle de Saint-Jean l'Evangéliste, filiale de la paroisse Saint-Paul à Lausanne, était située près du cimetière actuel. Après la Réforme, Le Mont-sur-Lausanne. devint paroisse (foraine en 1545, avec pasteur résident en 1811). Le temple actuel, en Coppoz, date de 1797, la cure de 1835. Dès 1906, le village fut relié à Lausanne par le tramway. La grande salle du Petit-Mont fut inaugurée en 1955, le nouveau centre administratif et scolaire en 1991. Depuis 1960, la commune qui vivait principalement d'agriculture, devint une commune résidentielle et industrielle à la suite de la création des quartiers de villas du Petit-Mont, des Planches et de la Perrause et des zones industrielles du Rionzi, de Budron et de la Clochatte. (François Béboux, "Mont-sur-Lausanne, Le", in Dictionnaire historique de la Suisse, version du 02/12/2008, URL: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F2409.php)

Literarischer Verein Montreux

  • CH - Montreux--10
  • Collectivité
  • 1972-2012

Successeur d'un premier Literarischer Verein Montreux fondé par F. Bolliger en 1924, le Literarischer Verein Montreux est fondé en 1972 par des germanophones. Le club a compté jusqu'à environ 170 membres. Les réunions avaient lieu une fois par mois. En 2007, le Literarischer Verein Montreux devient Kulturfreunde Riviera-Chablais. En 2013, suite au décès de son président, l'association est dissoute.

Lutry - Bourse communale

  • CH - Lutry
  • Collectivité
  • 1375 - à nos jours

Parmi les communes vaudoises, Lutry est l'une de celles qui possède les plus vieux registres de comptes. Avant elle, on trouve à Villeneuve des comptes déjà en 1283, et à Vevey en 1356, puis Lausanne en 1377, Yverdon en 1379, Nyon en 1386, etc.

Lutry - Commune

  • CH - Lutry
  • Collectivité
  • 1214 - nos jours

Männerchor Harmonie Yverdon

  • CH - Männerchor Harmonie Yverdon
  • Collectivité
  • 1878 - 2017

Le Männerchor a été fondé le 27 juin 1878 au café du « Tilleul » par un groupe d’amis, pour la plupart des ouvriers d'origine suisse allemande et allemande. Le 9 décembre 1877 certains d'entre eux issus du corps de sapeurs pompiers d'Yverdon avaient décidé de fonder une chorale.
A ses débuts, 11 membres composent la chorale. La société organise sa première soirée en 1879. Au fil des ans, le Männerchor rassemblera jusqu’à 35 membres. En 1880, le premier drapeau de la société est inauguré. Un 2e suivra en 1914. Il suit la société dans toutes les manifestations. La société remporte de nombreux prix aux concours et fêtes de chant. Elle est admise en 1946 dans le Giron de l’Arnon. En 1979, le Männerchor, qui est constitué de 29 membres, célèbre son centenaire et organise la 18ème Fête romande des chorales de langue allemande.

Le nombre de membres ne cessant de diminuer au fil des ans, le Männerchor décide en 1992 de collaborer avec le chœur d’hommes de Couvet. Chaque choeur garde toutefois son autonomie. Les répétitions se déroulent dès lors à Sainte-Croix.

Dès 2014, le Männerchor, arrivant tout juste à 12 chanteurs âgés de 50 à 86 ans, réfléchit à l’avenir incertain de la chorale. En effet, la société rencontre des difficultés à recruter de nouveaux membres depuis quelques années déjà. Elle donne donc son dernier concert annuel à Orges en 2015. La dissolution du Männerchor a lieu en 2017 (AG du 13 décembre 2017). Les membres restants souhaitent garder leur rencontre mensuelle afin de maintenir le contact et la camaraderie.

Modèle - Commune

  • Collectivité
  • 1010 (1ère mention) à nos jours

Montreux - Cercle

  • CH - Montreuxx--57
  • Collectivité
  • 1000 - 1961

La Commune de Montreux est née d’une fusion, en 1962, entre les communes des Planches et du Châtelard. L’appellation « Montreux » était néanmoins déjà une réalité avant cette date. C’était, dans un premier temps, le nom de la paroisse qui regroupait dès le XIème siècle les habitants de Veytaux, des Planches et du Châtelard. Mais c’était également, dès le milieu du XIXème siècle, l’appellation utilisée par la région pour promouvoir l’essor touristique et économique. En fait, jusqu’à 1962, « Montreux » repose sur un organe commun aux trois communes qui composent la paroisse : le Cercle.

Montreux - commune

  • CH - Montreux--44
  • Collectivité
  • 1962 - nos jours

La commune de Montreux est née en 1962 de la fusion des communes du Châtelard et des Planches

Montreux - Service des affaires culturelles

  • CH - Montreux--80
  • Collectivité
  • 1993-2003

Le service des affaires culturelles a été créé le 1er janvier 1993 et a donné naissance en janvier 2004 à la Direction Économie, Culture et Tourisme.

Montreux - Village de Chailly

  • CH - Montreux--05
  • Collectivité
  • inconnu - à ce jour

Comme pour les autres villages de la commune de Montreux, il n’est pas possible de dater de manière précise la naissance de l’administration du village de Chailly. Néanmoins, on trouve une mention de la Métralie de Chaillex dans le règlement édicté par le seigneur du Châtelard en 1496 qui établit le fonctionnement d’un Conseil de 30 membres pour régir l’administration et la communauté du Châtelard . Comme certains autres villages, la Métralie en question est alors une fraction administrative du Châtelard qui sert de base à la représentation dans le Conseil des 30. En marge de ces activités politiques, les villages assemblés sous la présidence de gouverneurs s’occupent alors de la gestion de leurs biens (four et fontaines) et prennent des décisions qui concernent les intérêts de toute la communauté. Vu sa taille, la Communauté du Châtelard s’appuie sur les administrations villageoises et leur délègue certaines des attributions qui devraient lui revenir.

Le fait que, par délégation, les villages de Montreux assument des services publics (en particulier la distribution de l’eau) fait qu’ils seront reconnus comme fractions de Commune par la loi vaudoise du 2 juin 1815. Le statut de fraction sera abrogé à Chailly en 1939 par la dissolution de l’administration du village et la constitution de la société de développement de Chailly « dont chaque habitant serait invité à faire partie, Suisse ou étranger » . Cette citation marque clairement le changement entre la fraction de commune et la société de développement. En effet, l’administration du village de Chailly se pose fréquemment la question depuis le début du XXe : le fait que la fraction de commune rassemble les seuls propriétaires immobiliers de Chailly n’est pas conforme aux lois et constitutions. D’une part, une telle assemblée exclut les habitants qui ne sont pas propriétaires et instaure ainsi un cens, d’autre part, des étrangers propriétaires peuvent assister à ces assemblées et participer aux décisions alors même qu’ils n’ont pas le droit de vote auprès des autorités communales, cantonales et fédérales.

Cela étant, les registres attestent d’une activité continue de l’assemblée des propriétaires depuis 1650 jusqu’en 1939. 1650 est également la date du document le plus ancien conservé dans les archives du village (outre les comptes). Il s’agit de l’Extrait de la recognoissance du Village de Chailly es mains du Commissaire Dumaine (Place du four) . Durant ces nombreuses années, l’administration du village de Chailly a assumé des services publics qui ont trait à la sécurité (gardes-champêtres, guets puis pompiers) et à la gestion des eaux (entretien des fontaines, tuyaux de distribution, recherche de nouvelles sources ). Au tournant du XXè siècle, on voit apparaître parmi les attributions du village la question de l’éclairage public, mais aussi celle du rattachement téléphonique ou encore de la voirie (enlèvement des balayures).

Enfin, « privilège » des fractions de communes, Chailly peut prélever un impôt si cela s’avère nécessaire dans la gestion de ses services publics. Il faut alors en faire la demande auprès du Conseil d’Etat : cette démarche est attestée par une série d’arrêtés d’impositions délivrés par les autorités vaudoises . Il est intéressant de noter que, pour prélever ces taxes, l’assemblée procède, deux fois par année à un recensement de la population et du bétail. Absents dans les autres administrations villageoises à Montreux, ces chiffres permettent d’établir des statistiques démographiques.

Enfin, les archives de deux sociétés locales complètent le fonds. Il s’agit de la société d’assurance sur le bétail de Chailly , créée en 1869 et qui réunit les propriétaires de bétail des villages de Brent, Baugy, Tavel, Clarens, les deux Planchamp et Chailly ainsi que la société de laiterie (successivement Nouvelle laiterie de Chailly puis association immobilière de Chailly).

Montreux - Village de Chernex

  • CH - Montreux--06
  • Collectivité
  • inconnu - à ce jour

Le plus vieux document du fonds, daté de 1496, est une reconnaissance de titre classée sous E1, mais dont le contenu est encore à identifier. Pour le reste, les documents attestant de l’activité de la métralie de Chernex débutent aux environs de 1650.

Il est étonnant de constater le nombre de documents attestant de transactions entre particuliers, documents qu’il est également surprenant de rencontrer dans un fonds de village dépourvu d’instance juridique. L’explication la plus probable à l’existence de ces documents (OA et OB) serait qu’une des fonctions de la Cour du Château du Châtelard ait été exercée par un ressortissant de Chernex, voire par une famille de Chernex, qui, au fil des générations, est partie avec des doubles des actes. Mais cette assertion reste à vérifier.

Pour ce qui est des procès-verbaux des assemblées, les registres contenus dans le fonds débutent en 1720 et continuent jusqu’en 1941, avec une béance inexpliquée de 100 ans entre 1814 et 1915 : les registres ont disparu. En revanche, la date de 1941 a une explication puisque c’est à cette période que l’Etat de Vaud a pris acte de la décision de Chernex de ne plus prélever d’impôts. Ceci met un terme à l’existence de la fraction de commune de Chernex et a pour conséquence la fin des archives : les registres de procès-verbaux, les copies de lettres et les documents financiers s’interrompent au tournant de l’année 1942. Dès lors, l’administration du village fonctionne de manière différente et les pièces ne seront plus versées au même fonds d’archives.

La métralie de Chernex est reconnue par le règlement de la Communauté du Châtelard de 1792 comme étant une grande métralie. Toutefois, son assemblée siège parfois avec les ressortissants de Sonzier, comme cela semble être le cas particulièrement dans le registre A2. De même, Chernex et Sonzier se rassemblent pour ce qui concerne les questions d’école puisque les deux villages font partie de la même régence. D’ailleurs, les litiges avec les régents successifs prennent une place importante dans l’ensemble du fonds (voir section P). Et si les écoles sont un des domaines de compétences des fractions de communes, on rappellera ici que, par ailleurs, les villages géraient également la distribution des eaux et des fontaines et qu’ils avaient à leur charge les fonctions de sécurité, telle la prévention des incendies ou la nomination des gardes champêtres. À ce sujet également, les archives du village relatent un cas de litige avec la commune du Châtelard, lorsqu’en 1753, il s’oppose à la procédure habituelle de nomination des guets et s’expose à la colère du Châtelard devant ce « ridicule refus » (NA3).

Montreux - Village de Glion

  • CH - Montreux--07
  • Collectivité
  • inconnu - à ce jour

Comme dans nombre d’autres villages de la paroisse de Montreux, l’origine de l’organisation villageoise de Glion est incertaine. Le premier document présent dans le fonds remonte à 1693. Cette pièce, qui est la première attestant d’une organisation autonome à Glion est un règlement pour la fontaine que possèdent en commun les « possesseurs de terres et bâtiment rière le district de Glion » .

L’organisation d’un village autour d’une fontaine ou d’un four est fréquente dans la Paroisse de Montreux. Mais alors qu’au Châtelard, les villages ou « métralies » servent de base à l’organisation de toute la communauté, aux Planches, il n’y avait pas de représentation des villages dans les organes communs. Ainsi, les gens de Glion accèdent aux charges communales, mais le village n’envoie pas de délégués dans les organes communaux. A Glion, les habitants s’assemblent pour discuter de leur approvisionnement en eau. Et cette question va animer le village pendant plus de trois siècles : l’eau est apparemment trop rare sur le Scex et les besoins du village vont aller croissant avec l’arrivée de l’hôtellerie et des touristes.

Le fait que les villages de Montreux assument des services publics (et en particulier la distribution de l’eau) fait qu’ils seront assimilés à des fractions de Commune par la loi vaudoise du 2 juin 1815. Ce nouveau statut les autorise à prélever des impôts. A Glion, ce sera le cas à partir de 1874. Corollaire de ce nouveau statut, les comptes du village doivent dès lors être visés par la municipalité des Planches et par le préfet.

Si l’apport en eau du village s’améliore grâce à l’intervention généreuse d’Henri Nestlé en 1878, la question continue à agiter le village au XXème siècle. Et alors que, en 1927, la commune des Planches reprend à son compte l’éclairage et la gestion de l’eau et fait disparaître plusieurs de ses villages, la fraction de commune de Glion persiste, grâce à la distribution de l’eau.

Mais l’eau sera malheureusement également la cause de la dissolution de l’administration du village. En effet, en 1945, Glion vit un épisode de fièvre typhoïde qui fait 16 morts et rend malade plus de 100 personnes. La gestion « milicienne » des eaux par le village est clairement mise en cause par le collège d’expert chargé de faire la lumière sur cet épisode tragique. Epuisé par les dédommagements et les actions en justices qui suivent cet événement, le village vend son réseau d’eau à la Société des Eaux Vevey-Montreux en 1952, et la fraction sera finalement dissolue par le Conseil d’Etat en 1955. L’administration du village se réunit encore à quelques reprises pour liquider ses dernières affaires et met un terme définitif à ses activités le 16 novembre 1957.

Montreux - Village de la Rouvenaz

  • CH - Montreux--31
  • Collectivité
  • 1872 - 1930

Fraction de commune de la Commune du Châtelard, créée en 1872 par Décret du Grand Conseil. Dissolution en 1930, à cause de l'imposition de plus en plus importante des propriétaires (ces derniers formant l'assemblée générale du village) et le coût de plus en plus onéreux de l'éclairage public et du ramassage des balayures (principes charges de la fraction de Commune). Proposition de dissolution dès 1918; en 1919, les village de la Commune des Planches avaient remis le service des balayures à l'administration communale. A cette date, les villages du Châtelard pensent en faire autant. Toutefois, la Municipalité du Châtelard répond que tant que les villages continueront à prélever des impôts, elle ne reprendra pas cette charge.
Finalement, la situation se détend et en 1929, l'administration communale et villageoise accepte la dissolution.

Montreux - Village de Territet-Collonge

  • CH - Montreux--32
  • Collectivité

Les villages de Territet et Collonge ont voté leur fusion en 1914.
La dissolution de l'administration du village a été approuvée par l'assemblée générale des propriétaires le 15 juin 1927

Montreux - Village de Vernex

  • CH - Montreux--35
  • Collectivité
  • Probablement 15ème siècle - ce jour

Il est probable que les premiers à s'installer dans la région qui allait devenir Vernex arrivèrent au XVe siècle. Sûrement attirés par un cadre idyllique et l'accès facile à l'eau. Des familles s'y installèrent, peu à peu, avant 1536 (l'arrivée des Bernois), si bien qu'ils furent assez pour former un village qui devint l'une des cinq grands villages constituants la Baronnie du Châtelard. Les premières bâtisses se dessinent dans le paysage, rassemblant paysans et vignerons. Avant l'essor de l'hôtellerie, Vernex ressemblait donc aux autres bourgades du Chablais, dont l'activité principale était commune : le vignoble.
La religion prépondérante était le Protestantisme.
Vernex tenait sa renommée ainsi que son droit d'exister en tant que fraction de commune, de ses eaux Alcalines. À cette époque, l'eau avait une place importante dans les préoccupations des villages. À la lecture des procès-verbaux (datant de 1746), on voit que les habitants avaient une attention toute particulière pour leurs deux fontaines. Car même si l’eau n’est pas rare (nous sommes au bord du lac), celle de Vernex est précieuse.
Le siècle des Lumière va engendrer un essor tant au niveau des travaux de routes que de la circulation. Cette circulation va se propager dans le hameau, Vernex se voyant directement touché par ces évènements. En effet, c'est le début des constructions de bâtisses sur le bord de la Grande Rue.
Dans le dictionnaire géographique de la suisse, il est mentionné qu'en 1910 Vernex était le quartier de l'agglomération de Montreux, comptant 1871 habitants et 149 foyers.
(Source « Autrefois Montreux s’appelait Vernex », pp. 6-9)

Montreux - Village des Planches

  • CH - Montreux--04
  • Collectivité
  • inconnu - ce jour

L’administration du village des Planches, métralie sous l’Ancien Régime puis fraction de la Commune des Planches et enfin fraction de la Commune de Montreux, s’est semble-t-il constituée autour du four banal, bien administré en commun par les habitants du village. En effet, les documents les plus anciens du fonds émanent du Conseil des propriétaires du Four (procès-verbaux A1 à A4) ou concernent directement le four (E2 à E10, à l’exception de E3). Le fait qu’aient été conservés avant tout les documents ayant rapport au four confirme l’importance accordée au four, non seulement pour son côté indispensable dans la vie des habitants, mais certainement également parce que l’installation commune a « légitimé » la naissance de l’administration du village.

Outre la gestion de ce four, l’administration du village des Planches a eu la charge de la gestion de son eau, et ce, depuis le XVIIè siècle. En effet, une décision baillivale datée de 1616 atteste de la propriété en commun des administrations des Planches et de Chênes et Sâles sur les eaux provenant de la source du Maralley, en-dessus de l’Eglise paroissiale . Ce document confirme une pratique déjà existante, donc antérieure à la date de 1616. Par la suite, la gestion, la distribution, la vente ainsi que les travaux d’amélioration du captage des eaux occupent en grande partie les autorités villageoises, comme en attestent les 33 entrées HA de l’inventaire (3 cartons recoupant 270 ans d’exploitation de la source). Cette gestion occasionnera d’ailleurs quelques heurts avec les propriétaires adjacents des terrains où sourd l’eau ou avec certains abonnés au réseau d’eau . De même, la construction de l’autoroute du Simplon et du tunnel de Glion donnera lieu à des études techniques afin de se prémunir de toute baisse éventuelle du débit de la source du Maralley.

Enfin, si le village des Planches a conservé son statut de fraction de commune, il est intéressant de constater qu’il le doit avant tout à son autorité en matière de gestion des eaux. En effet, alors que les fractions de communes sont autorisées à prélever des impôts pour subvenir à leurs besoins, le village des Planches n’a plus sollicité d’arrêté d’imposition auprès du Conseil d’Etat depuis 1926, date à laquelle la plupart des fractions de la Commune des Planches disparurent suite à la reprise en main par cette dernière des services publics que les villages assumaient jusque là. Seuls Glion et Les Planches restèrent alors des fractions de commune .

A noter encore les documents classés sous U1, qui font référence dans les autres villages de la commune de Montreux. Le village des Planches a en effet demandé un avis de droit sur son statut de fraction de commune. Intéressants également, les documents Y1 qui concernent la convention qu’a passée le village des Planches avec la société électrique Vevey-Montreux concernant le tramway qui dessert le village.

Montreux - Villages de Chêne-Sâles-Crin

  • CH - Montreux--03
  • Collectivité
  • inconnu - ce jour

Il est impossible de dater de manière précise la naissance des villages de Chêne, Sâles et Crin. La première trace dans le fonds qui nous intéresse ici est une reconnaissance des prud’hommes de Sâles envers le seigneur du Châtelard qui délimite le territoire de Sâles en 1502.

Avant cette date , on trouve une mention de la Métralie douz Chanoz dans le règlement édicté par le seigneur du Châtelard en 1496 qui établit le fonctionnement d’un Conseil de 30 membres pour régir l’administration et la communauté du Châtelard . Comme certains autres villages, la Métralie en question est alors une fraction administrative du Châtelard qui sert de base à la représentation dans le Conseil des 30. En marge de ces activités politiques, les villages assemblés sous la présidence de gouverneurs s’occupent alors de la gestion de leurs biens (four et fontaines) et prennent des décisions qui concernent les intérêts de toute la communauté. Vu sa taille, la Communauté du Châtelard s’appuie sur les administrations villageoises et leur délègue certaines des attributions des communes précisées dans les lois bernoises de 1577 et 1616.

Le fait que, par délégation, les villages de Montreux assument des services publics (en particulier la distribution de l’eau) fait qu’ils seront reconnus comme fractions de Commune par la loi vaudoise du 2 juin 1815, statut que Sâles, Chêne et Crin ont conservé jusqu’à ce jour.

Les registres du fonds de Sâles, Chêne et Crin attestent de la tenue d’assemblées à partir du XVIIIè siècle. Si les registres sont tenus de manière séparées pour la métralie de Sâles (et Crin) et celle de Chêne (et Pallens), il n’est pas rare que les administrés de tous les villages siègent ensemble. À partir de 1807, on trouve des registres communs, mais ce n’est qu’en 1842 que l’assemblée décide qu’il n’y aura dorénavant plus qu’un seul gouverneur pour tous les villages.

Pour ce qui est des compétences propres aux administrations de Sâles, Chêne et Crin, celles-ci s’articulent avant tout autour de la sécurité (choix des gardes-champêtres) et de la gestion des eaux claires et sources. Ainsi une grande partie du fonds est liée à des questions relatives aux fontaines ou encore à la source du Maralley, qui est gérée en copropriété entre les villages de Chêne-Sâles-Crin et le village des Planches selon une décision baillivale de 1616. Dans la deuxième partie du XIXè siècle on voit d’ailleurs apparaître une commission des eaux composée de membres des villages de Sâles, Chêne et Crin ainsi que des Planches.
La gestion des eaux amène les administrés des villages à se prononcer sur l’entretien de leur(s) fontaine(s), des canalisations qui causent nombre de dommages aux bâtiments, routes ainsi qu’au pont, mais également sur la question de l’eau courante (1834 puis 1848), ou encore la gestion des abonnements à l’eau qui concerne autant des particuliers que des industriels. Ils font procéder à des analyses pour s’assurer de la salubrité et la qualité de leur source et se trouvent d’ailleurs mêlés à un conflit à ce sujet qui sera porté jusqu’au Conseil fédéral (affaire Ducret). La construction de la ligne de chemin de fer Montreux-Glion, et plus tard celle de l’autoroute du Simplon causeront d’autres soucis pour son exploitation. L’histoire de la source est encore marquée par d’autres problèmes, notamment un litige avec la société foncière de Bon-Port dans les années 1910-1920.

Parmi les autres attributions des villages, on voit apparaître la gestion de l’éclairage public en 1897, activité attestée jusqu’en 1926. Enfin, dans les années 1900, les constructions du chemin de fer et de la gare MOB à Montreux pousseront les villages de Chêne, Sâles et Crin à adresser leurs doléances concernant la fermeture d’un accès piétonnier à la gare au Conseil fédéral.

Enfin, « privilège » des fractions de communes, Chêne, Sâles et Crin peuvent prélever des impôts si cela s’avère nécessaire dans la gestion de leur service public. Ils doivent alors en faire la demande auprès du Conseil d’Etat : cette démarche est attestée par un arrêté d’imposition daté de 1928. On notera qu’alors, Sâles, Chêne et Crin sont les seuls villages de Montreux à figurer sur la liste…

Montreux International Business Club (MIB)

  • CH - Montreux--124
  • Collectivité
  • 1985-2022

Notre club a été créé par PROMOVE en 1985.
Réseau pour femmes et hommes d'affaires de la Riviera, créé par PROMOVE en 1985 et ayant pour activités des conférences, rencontres et soirées de gala.
Ont notamment présidé le club:
Michel Gessner
Michel Graber
Wim van Heist
Jochen Conrad
Dieter Wullschlager
Hector Smith
Gordon Douglas
Yael Bruigom

Montreux Natation

  • CH - Montreux--78
  • Collectivité
  • 1944 -

Le 1er février 1944, création du Montreux-Natation. Les activités du club sont principalement pratiquées dans le lac aux Bains de Clarens.
En 1949, le club organise le 1er Championnat Suisse de water-polo de 2ème ligue.
En 1953, 1ère Traversée de Montreux, une compétition populaire de natation dans le lac.
En 1959, le Montreux-Natation traverse une crise interne proche la dissolution.
En 1977, l’ouverture de la piscine de la Maladaire permet au Montreux-Natation de pratiquer ses activités durant l’entier de l’année en eau chauffée dans une piscine couverte.
En 1979, création de la section de natation synchronisée.
En 1979, tournoi des 5 nations de natation.
En 2003, 1ère Traversée de la baye de Montreux, course populaire entre le Perrier et le ponton de la place du marché.

Source (http://www.montreux-natation.ch/uploads/pdf/le-club/Historiques.pdf)

Musée de Pully

  • CH - Pully
  • Collectivité
  • 1946 - nos jours

Nouvel Orchestre de Montreux

  • CH - Montreux--25
  • Collectivité
  • 1987-2001

" Nouvel Orchestre de Montreux (1987-2001)
(Ensemble Orchestral de la Riviera)

Choisir de s'appeler le Nouvel Orchestre de Montreux (NOM), c'est accepter le lourd héritage du prestigieux Orchestre du Kursaal, disparu depuis 1914. Lorsqu'il fonde cet orchestre de chambre en 1987, le chef hongrois Andras Farkas ne redoute pourtant pas la comparaison avec Ernest Ansermet: en plus de combler un vide auprès du public de la Riviera vaudoise, son orchestre de chambre est surtout le bienvenu pour les jeunes musiciens professionnels romands. C'est à la suite d'une demande du festival d'Honfleur qu'Andras Farkas décide de réunir un orchestre formé de musiciens libres de tout contrat. Constatant alors la difficulté pour ceux-ci de trouver un orchestre et encouragé par le succès des concerts d'Honfleur, il choisit de continuer l'aventure. Le premier concert a lieu le mardi 24 février 1988 dans la salle du Pavillon de Montreux. Le Rondo hongrois de Kodaly, le Concerto en ré de Haydn et la Symphonie en do de Mozart sont interprétés avec, notamment, Philippe Schiltknecht au violon solo.

De 1987 à 1994, l'orchestre dirigé par Andras Farkas se produit à Montreux et en Suisse romande, interprétant autant de la musique baroque que contemporaine. Il donne des concerts d'abonnement depuis 1988, au Pavillon de Montreux. Pourtant, s'il bénéficie du soutien de la municipalité de Montreux, d'un conseil de fondation et du public montreusien, le NOM rencontre des difficultés financières. En outre, le départ d'Andras Farkas en 1994 laisse l'orchestre sans chef attitré. Ce sont alors Mathias Aeschbach, Tibor Varga et Hervé Klopfenstein qui se succèdent à la tête de l'orchestre.

Rebaptisé Ensemble Orchestral de la Riviera (EOR) en 1994, l'institution se renouvelle en quasi totalité, du Conseil de fondation aux musiciens de l'orchestre. L'ensemble, qui n'a toujours pas de chef titulaire, décide de ne jouer qu'avec des chefs invités. Désireux de toucher toute une région et non plus seulement la ville de Montreux, l'Ensemble Orchestral de la Riviera cherche également à investir l'auditorium Stravinski. Pourtant louable, la volonté de régionaliser l'institution va au contraire la desservir: plus vraiment implanté à Montreux, ni véritablement impliqué dans les autres communes, l'orchestre perd son identité et, conséquemment, son financement. Après plusieurs tentatives pour relancer l'institution, la fondation de l'Ensemble Orchestral de la Riviera se voit mise en liquidation en 2001.

SOURCES: sites et références mentionnés; "Nouvel Orchestre à Montreux", 24 Heures 1988/02/21; "Du Nouvel Orchestre à l'Ensemble orchestral: nouveau concept, nouveau conseil de fondation pour une phalange montreusienne visant la Riviera", 24 Heures, 1994/10/01; Tétaz, Myriam, "L'Ensemble orchestral de la Riviera se présente au public montreusien", 24 Heures, 1994/12/05; Isler, Joëlle, "Faute de sous, l'Ensemble orchestral de la Riviera risque bien de passer à la trappe", 24 Heures, 1996/01/31; Favez, Jacqueline, "Le public notera l'Ensemble orchestral de la Riviera", 24 Heures, 1997/04/10.
[BCUL/MU/nmo/2013/08/20] "

Tiré de : Bibliothèque cantonale et universitaire de Lausanne, Documentation vaudoise [en ligne], 20 août 2013, http://dbserv1-bcu.unil.ch/persovd/composvd.php?Code=N&Num=7184 (consulté le 22 janvier 2014)

Office du tourisme de Montreux (OTM)

  • CH - Montreux--11
  • Collectivité
  • 1946-1991

1921 Naissance de la Société de développement de Montreux (résultant de la fusion de diverses sociétés qui œuvraient jusque-là au développement de la station).
1946 La Société de développement devient l’Office du tourisme de Montreux
1991 L’office du tourisme de Montreux devient l’Office des Congrès et du Tourisme de Montreux (OCTM)
2000 Fusion avec l’ADIVE (association des intérêts de Vevey et environs) pour donner naissance à Montreux-Vevey Tourisme.

ORPC Lausanne-Nord

  • CH - ORPC Lausanne-nord
  • Collectivité
  • 1997-2012

Jusque-là communale, l'organisation de la protection civile se régionalise officiellement en 1997. Prilly est le siège de la première organisation régionale de protection civile du canton. Par une convention datant de 1997, l'Organisation Régionale de Protection civile Lausanne-nord regroupe les communes de Cheseaux-sur-Lausanne, Cugy, Epalinges, Jouxtens-Mézery, Le Mont-sur-Lausanne, Morrens, Prilly et Romanel-sur-Lausanne. Le préavis 1996-16 du 7 octobre 1996, soumis au Conseil communal de Prilly, précise:
"La Commune de Prilly sera certainement confirmée dans sa fonction de commune-siège de la région Lausanne-Nord. Son délégué présidera en principe le comité directeur. La comptabilité, séparée de celle de la commune, sera tenue par le boursier de Prilly.
Les charges de la Commune de Prilly diminueront de 44 fr. 68 par habitant en 1995 à 29 fr. au budget 1997. Il en résulte une économie de plus de 160'000 fr. par an. Les 4 places de travail du personnel PCi de la région Lausanne-Nord seront installées dans la salle de conférences n°2 du bâtiment de la police municipale "Au Tilleul". Les places de travail des deux agents chargés de la police du commerce et de l'informatique seront transférées dans une partie de la salle n°1, l'autre partie étant conservée pour les rapports et conférences du corps de police. Les locaux libérés au Château seront occupés par le bureau du syndic, qui reprendra le bureau actuel du chef PCi, ce qui permettra à la bourse communale, très à l'étroit, de bénéficier d'une surface supplémentaire. Le bureau de la protection civile est prévu pour le responsable de l'informatique.
Ces transferts engendrent des frais de 15'000 fr. provoqués par différents aménagements indispensables. Une somme de 15'000 fr. est demandée pour réaliser cette opération. (...)".

M. Candaux (Samuel), municipal prilléran, a présidé les travaux de fusion.
En centralisant l'administration, en abaissant les effectifs et en ne constituant qu'un seul état-major par région, des économies non négligeables deviennent possibles.
En 1997, le chef ORPC est M. Desarzens (Francis), tandis que le Comité directeur de Lausanne-Nord est M. Candaux (Samuel).

Tandis qu'une réorganisation régionale se mettait en place, la Commune de Prilly a, dès 2009, souhaité intégrer l'ORPC de l'Ouest lausannois et former, à partir de 2012 et à huit communes, la nouvelle région de PCi du district de l'Ouest-lausannois, basée à Chavannes-près-Renens.

Ouest Informations - Rédaction

  • CH - Ouest Informations
  • Collectivité
  • 1965-1980

Journal fondé par Georges Rognon (adm. et rédaction) en 1965 avec la complicité du rédacteur responsable P.H. Bonvin et de Ch. Carrel (publicité régionale).
La publicité et l'impression sont reprises par l'imprimerie J. Magnenat en décembre 1965.
Dès 1968, le rédacteur régional est M. Jacques Lardet. En 1971, l'administration et la rédaction se réorganisent: on trouve J. Lardet comme rédacteur responsable, tandis que G. Rognon est rédacteur régional.
Jusqu'en 1971, ce journal est dédié aux communes de Prilly, Jouxtens et Romanel. Il s'étend dès juin 1971 à Cheseaux.
La parution cesse en 1980.

Paroisse de Pully

  • CH - Pully
  • Collectivité
  • 1610 - nos jours

Planches, Les - Commune

  • CH - Montreux--80
  • Collectivité
  • 13ème siècle - 1961

En 1962, les communes du Châtelard et des Planches ont fusionné pour donner naissance à la commune de Montreux.

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