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Personnes, familles, organisations

Blanc (Jean-François)

  • CH - Montreux--90
  • Personne
  • 1947-

Diplômé des Universités de Genève et Grenoble en Etudes du Développement. Enseignant à l’Ecole cantonale d’art de Lausanne (ECAL) de 1991 à 2011; responsable de son Département audiovisuel (DAVI) de 1994 à 1998. Initiateur et responsable de l’Atelier Zérodeux, atelier des Hautes écoles d’arts appliqués de Lausanne, Zurich, Genève et Lucerne à Expo.02, 1998 - 2003. Réalisateur de films documentaires depuis 2011, en particulier : Rencontres au fil de l'eau, 52’, Ecole cantonale d’art du Valais et Sauvegarde du patrimoine
de Leytron (SPL), 2011-12 ; Y a le feu à Produit !, 33’, SPL, 2012.

Blonay - Commune

  • CH - Blonay
  • Collectivité
  • 1184 - nos jours

Comm. VD, distr. de Vevey dès 1798, comprenant B. (villages de Tercier et Cojonnex devenus quartiers de B.) et plusieurs hameaux (dont Les Chevalleyres), s'étageant de 500 m env. à 1400 m env. (Pléiades). Elle tire son nom de la famille de B. 861 Blodennaco, 1108 Bloniaco, XIIIe s. Blonay, Blonai, Blunai. 1244 hab. en 1764 (avec Saint-Légier), 800 en 1798, 832 en 1850, 1048 en 1900, 1351 en 1950, 4695 en 2000. Pierre à cupules, nécropole et vestiges préhistoriques. B. faisait partie de la seigneurie du même nom qui regroupait, à la fin du XIIe s., la terre de B., celles de Saint-Légier-La Chiésaz, de Corsier et de Vevey, mais qui sera divisée à plusieurs reprises (Saint-Légier-La Chiésaz échangé en 1363, racheté à la fin du XVIe s., puis passant par mariage aux Joffrey). En 1750, à la suite de difficultés financières, la seigneurie de B. fut vendue à Emanuel Franz Rudolf von Graffenried. Les seigneurs de B. eurent jusqu'en 1798 le droit de basse, moyenne et haute justice (le gibet est visible sur un plan de 1671), les droits de dîme, péage, chasse et pêche. Sous le régime bernois (1536-1798), B. fit partie du bailliage de Vevey. La communauté (affranchie de la taille en 1478 seulement) était administrée au XVIIIe s. par deux conseils (des Douze et des Vingt-Quatre). A la fin du XVIIIe s., B. était la commune la plus rurale du bailliage de Vevey. Le 76% de sa population dépendait du secteur primaire (viticulture, céréaliculture, élevage). A l'aube du XXe s., l'agriculture restait encore l'occupation principale de la population. Les Bains-de-l'Alliaz exploitèrent au XIXe s. une source sulfureuse. Le développement de B. fut favorisé par le chemin de fer Vevey-B.-Chamby, inauguré en 1902, et par la crémaillère B.-Les Pléiades, en fonction dès 1911. L'activité de B. suivit l'évolution économique du district, dépendante de l'essor du tourisme régional d'avant la Première Guerre mondiale. A la fin du XXe s., B. conserve un secteur agricole et viticole, mais la majorité de la population est active dans les secteurs secondaire et tertiaire, occupée surtout hors de la commune. Plan de zones de 1970 remanié en 1976. B. mise sur l'accueil de petites entreprises du tertiaire, le tourisme familial (ski et ski de fond aux Pléiades, remise en fonction de la ligne B.-Chamby en 1998, abandonnée durant les années 1960).
Elisabeth Salvi, "Blonay", in Dictionnaire historique de la Suisse, , URL: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F2612.php^, version du 18/06/2007 .

Bobst SA

  • CH - Bobst SA
  • Collectivité
  • 1890-nos jours

Boller (Carlo)

  • CH - Montreux--74
  • Personne
  • 1896-1952

Bornand (Roger)

  • CH - Montreux--92
  • Personne
  • 1942-

Caux-Palace

Durant la Belle Epoque la région montreusienne a connu un essor touristique fulgurant.
De très nombreux établissements hôteliers ont été modernisés, agrandis ou construits.
Caux, station d’altitude en dessus de Montreux avait alors déjà son Grand Hôtel. Ce dernier comptait parmi ses hôtes aussi célèbres que fortunés, Sissi l’Impératrice.
Cinq ans après l’ouverture de cet établissement, Ami Chessex, également propriétaire du Grand Hôtel de Territet, décida de construire sur les terrains qu’il possédait à Caux, un Palace !
Le Caux-Palace fût alors construit en 26 mois seulement. Il se voulait être le Palace de tous les records. Inauguré le 7 juillet 1902, le Caux-Palace avait plus d’un atout dans sa poche. Son emplacement géographique et sa promenade de plus de 400 mètres lui offraient une vue exceptionnelle, ses éléments architecturaux faits de tourelles le démarquaient notoirement, le luxe et le confort qu’il offrait à sa clientèle étaient sans égale !
Dès son ouverture l’établissement se révéla très rentable.
Toutefois, la Première Guerre Mondiale vint mettre un terme à cette époque fastueuse. L’ère du tourisme de luxe toucha à sa fin. Les hôtels se vidèrent et le Caux-Palace en fit partie. L’établissement fût même fermé durant cinq années. Par la suite, les dettes s’accumulèrent et les directeurs se succédèrent. En 1937, le Caux-Palace prit le nom de l’Hôtel Esplanade mais dû à nouveau fermer ses portes en tant qu’hôtel dès les premiers jours de la Seconde Guerre Mondiale. En 1944, durant la Seconde Guerre Mondiale, il fût rouvert par les autorités suisses pour y héberger des réfugiés juifs de Hongrie ainsi que des aviateurs anglais et américains évadés de camps de prisonniers du nord de l’Italie.
En 1946, Initiatives et Changement, connu à l’époque comme Réarmement Moral, acheta le bâtiment pour en faire son principal centre de rencontres en Europe. Dès l’été de cette même année, trois mille personnes séjournèrent à Caux. Des dortoirs furent installés et une partie des participants hébergés dans les autres hôtels désaffectés de Caux.
Entre 1946 et 1947, de nombreux travaux furent réalisés dans le Caux-Palace pour l’adapter à sa nouvelle vocation : transformation de la salle de bal en théâtre, nouveau hall d’accueil plus spacieux. Au printemps 1947, la Fondation de Caux, devant augmenter sa capacité d’accueil, acheta le Grand-Hôtel et l’hôtel Maria, puis en 1949 l’hôtel Alpina et divers chalets.
Au cours des 50 années suivantes, le Palace ne connût guère d’autres modifications.
C’est avec l’arrivée de SHMS (Swiss Hotel Management School) comme locataire dès 1995 que la Fondation de Caux put à nouveau rénover le bâtiment grâce au cofinancement de deux partenaires (L'école Swiss Hotel Management School (SHMS).
La rénovation la plus intéressante du point de vue du patrimoine fût la rénovation de la grande salle et de certaines pièces à valeur historiques en 2007 et 2008, avec l’aide de la Fondation Pro.
L’histoire du Caux-Palace peut être racontée et étudiée grâce aux très nombreuses sources originales et exceptionnelles de l’établissement et des différents propriétaires.

Caux-Palace

  • CH - Montreux--48
  • Collectivité
  • 1900-1940

Durant la Belle Epoque la région montreusienne a connu un essor touristique fulgurant.
De très nombreux établissements hôteliers ont été modernisés, agrandis ou construits.

Caux, station d’altitude en dessus de Montreux avait alors déjà son Grand Hôtel. Ce dernier comptait parmi ses hôtes aussi célèbres que fortunés, Sissi l’Impératrice.
Cinq ans après l’ouverture de cet établissement, Ami Chessex, également propriétaire du Grand Hôtel de Territet, décida de construire sur les terrains qu’il possédait à Caux, un Palace !
Le Caux-Palace fût alors construit en 26 mois seulement. Il se voulait être le Palace de tous les records. Inauguré le 7 juillet 1902, le Caux-Palace avait plus d’un atout dans sa poche. Son emplacement géographique et sa promenade de plus de 400 mètres lui offraient une vue exceptionnelle, ses éléments architecturaux faits de tourelles le démarquaient notoirement, le luxe et le confort qu’il offrait à sa clientèle étaient sans égale !
Dès son ouverture l’établissement se révéla très rentable.
Toutefois, la Première Guerre Mondiale vint mettre un terme à cette époque fastueuse. L’ère du tourisme de luxe toucha à sa fin. Les hôtels se vidèrent et le Caux-Palace en fit partie. L’établissement fût même fermé durant cinq années. Par la suite, les dettes s’accumulèrent et les directeurs se succédèrent. En 1937, le Caux-Palace prit le nom de l’Hôtel Esplanade mais dû à nouveau fermer ses portes en tant qu’hôtel dès les premiers jours de la Seconde Guerre Mondiale. En 1944, durant la Seconde Guerre Mondiale, il fût rouvert par les autorités suisses pour y héberger des réfugiés juifs de Hongrie ainsi que des aviateurs anglais et américains évadés de camps de prisonniers du nord de l’Italie.

En 1946, Initiatives et Changement, connu à l’époque comme Réarmement Moral, acheta le bâtiment pour en faire son principal centre de rencontres en Europe. Dès l’été de cette même année, trois mille personnes séjournèrent à Caux. Des dortoirs furent installés et une partie des participants hébergés dans les autres hôtels désaffectés de Caux.
Entre 1946 et 1947, de nombreux travaux furent réalisés dans le Caux-Palace pour l’adapter à sa nouvelle vocation : transformation de la salle de bal en théâtre, nouveau hall d’accueil plus spacieux. Au printemps 1947, la Fondation de Caux, devant augmenter sa capacité d’accueil, acheta le Grand-Hôtel et l’hôtel Maria, puis en 1949 l’hôtel Alpina et divers chalets.
Au cours des 50 années suivantes, le Palace ne connût guère d’autres modifications.
C’est avec l’arrivée de SHMS (Swiss Hotel Management School) comme locataire dès 1995 que la Fondation de Caux put à nouveau rénover le bâtiment grâce au cofinancement de deux partenaires (L'école Swiss Hotel Management School (SHMS).
La rénovation la plus intéressante du point de vue du patrimoine fût la rénovation de la grande salle et de certaines pièces à valeur historiques en 2007 et 2008, avec l’aide de la Fondation Pro.
L’histoire du Caux-Palace peut être racontée et étudiée grâce aux très nombreuses sources originales et exceptionnelles de l’établissement et des différents propriétaires.

Cevey (Jean-Jacques)

  • CH - Montreux--49
  • Personne
  • 1928 - 2014

Naissance 23.6.1928 au Château (commune Sainte-Croix), décès 11.5.2014 à Montreux, de Cheseaux-sur-Lausanne.
Licence en droit à Lausanne (1951).
Rédacteur en chef du Journal de Montreux (1955-1970) et de La Nouvelle Revue de Lausanne (1988-1994).
Municipal radical à Montreux-Planches (1958-1968), syndic de Montreux (1969-1988).
Député au Grand Conseil vaudois (1965-1975). Président du Parti radical vaudois (1972-1980). Conseiller national (1967-1991; président en 1987), C. fut président de son groupe, il s'intéressa aux questions économiques, aux affaires étrangères et à la recherche.
Président de l'Office national suisse du tourisme (1980-1994) et de l'Institut suisse de recherche expérimentale sur le cancer (1972-1993). Président de l'Organisation des Suisses de l'étranger (1992-1998; président d'honneur depuis 1999).
Docteur honoris causa de l'université d'Aix-Marseille.
Bourgeois d'honneur de la commune de Montreux

D'après "Dictionnaire historique suisse" www.dhs.ch (consulté en décembre 2014)

Cevey (Jean-Jacques)

Naissance 23.6.1928 au Château (commune Sainte-Croix), décès 11.5.2014 à Montreux, de Cheseaux-sur-Lausanne.
Licence en droit à Lausanne (1951).
Rédacteur en chef du Journal de Montreux (1955-1970) et de La Nouvelle Revue de Lausanne (1988-1994).
Municipal radical à Montreux-Planches (1958-1968), syndic de Montreux (1969-1988).
Député au Grand Conseil vaudois (1965-1975). Président du Parti radical vaudois (1972-1980). Conseiller national (1967-1991; président en 1987), C. fut président de son groupe, il s'intéressa aux questions économiques, aux affaires étrangères et à la recherche.
Président de l'Office national suisse du tourisme (1980-1994) et de l'Institut suisse de recherche expérimentale sur le cancer (1972-1993). Président de l'Organisation des Suisses de l'étranger (1992-1998; président d'honneur depuis 1999).
Docteur honoris causa de l'université d'Aix-Marseille.
Bourgeois d'honneur de la commune de Montreux
D'après "Dictionnaire historique suisse" www.dhs.ch (consulté en décembre 2014)

Chaney (André)

  • CH - Montreux--85
  • Personne
  • 1934-2015

Né à Clarens le 31 mai 1934, André Chaney entreprend un apprentissage de vendeur puis de facteur. Il exerce la profession de facteur à Clarens pendant près de 40 ans.
Actif dans de nombreuses sociétés locales, il consacre son énergie à l'étude de l'histoire de Clarens à partir de sa retraite, en 1995.

Chanson de Prilly

  • CH - Chanson de Prilly
  • Collectivité
  • 1967-2017

1967: Nouvelle appellation pour le choeur mixte: "La Chanson de Prilly", nouvel essor.
1970: Création d'un petit choeur d'enfants, les Moineaux de la Chanson / 1ère soirée annuelle.
1986: la Chanson fait partie du giron choral de la Venoge.
1987: 1ère participation au Giron de la Venoge.
1989: 25ème anniversaire de la Chanson de Prilly
1990: dissolution de la sous-section des Moineaux, faute d'effectif
2014: 50ème anniversaire de la Chanson de Prilly
2017: dissolution de la Chanson de Prilly, faute d'effectif
2018: don des archives de la Chanson aux Archives communales de Prilly.

Chanson veveysanne

  • CH - Vevey
  • Collectivité
  • 1919-2014

La Fête des Vignerons en 1889 donne envie à un petit groupe de femmes de mettre en valeur le costume vaudois et les chansons bien de chez nous. Le 13 mars 1919, une première section est fondée à Vevey sous le nom de la Société des Vaudoises « La Veveysanne ». Après sa dissolution le 4 avril 1921, une partie se rebaptise sous le nom de la « Vaudoise » qui change de nom en 1936 en « Société mixte » dirigée par Albert Urfer. «La Chanson Veveysanne » naît le 9 septembre 1946. Elle a pour but de remettre en valeur le folklore suisse par le port du costume vaudois, ses vieilles traditions, ses chansons, ses danses et sa collaboration aux œuvres sociales. Elle a aussi pour but de créer et d’entretenir le patriotisme du Canton et la fraternité entre les membres.
Très active, elle offre un concert pour la ville chaque année. En plus de cela, elle a participé à plusieurs grandes manifestations telles que la Fête des Vignerons en 1955 et l’Exposition Universelle de Bruxelles en 1958.
Plus tard elle est invitée au Marché folklorique de Vevey, aux Rencontres Chorales Internationales de Montreux en 1969 et 1975 et aux 32èmes Fêtes du Rhône en 1987. Pour marquer son cinquantième anniversaire, il s’organise des échanges culturels et amicaux avec le chœur mixte d’Eskifaïa de Fuenterrabia (Espagne), le chœur mixte San Salvatore de Susegana (Italie), le chœur des enseignantes de Tallinn (Estonie) et la Schola Elzear Genet de Carpentras (France).
Depuis 1989, la Chanson veveysanne est dirigée par Charly Torche, qui modifie le registre des chansons en mélangeant compositions populaires aux pièces de musiques classiques. En 2004, Andrea Longo reprend le flambeau et décide de mélanger les airs populaires à la Renaissance.
A cause de plusieurs démissions, le comité remet en question l’avenir de la Chanson, probablement obligée de se mettre en stand-by. Après de multiples discussions, la Chanson veveysanne est dissolue le 21 octobre 2014.

Châtelard School - Les Avants

  • CH - Montreux--65
  • Collectivité
  • 1929 - 1989

Ouverte en 1927 près du Château du Châtelard par Mlle Dorothy Braginton, la Châtelard School est une pensionnat pour jeunes-filles, majoritairement britanniques. Le premier bâtiment devenant rapidement trop petit, l'école déménage à Chamby, à l'Hôtel des Narcisses, puis, en 1937, au Grand Hôtel des Avants.
Pendant la guerre, l'école a été transférée au Pays de Galles, pour rouvrir dans les années 1950. En 1977, après la chute de la livre anglaise, l'établissement est racheté par M. Robert Eckert qui tient l'institution jusqu'en 1989.
En 1989, le bâtiment est vendu à un promoteur qui souhaite en faire des appartements. Ce projet ne verra jamais le jour, et, en 1992, le bâtiment est réaffecté à un nouvel internat: Le Châtelard Academy.

Châtelard, Le - Bureau des travaux

  • CH - Montreux--01
  • Collectivité
  • 1896-1961

Le contrôle et la réglementation du bâti par la commune du Châtelard prend ses racines au XVIIIème siècle, au moment où on voit apparaître des documents relatifs à l'établissement de routes et de lignes de chemin de fer. La construction de ces voies de communication va créer des frictions avec les intérêts des particuliers qui possèdent des biens-fonds ou des constructions et qui devront être détruits ou expropriés au bénéfice de la communauté.

La commune de Montreux-Châtelard est confrontée relativement tôt à ce problème: elle anticipe même sur les législations cantonales en édictant un règlement sur la police des constructions dès 1892. Dépassée par l'augmentation exponentielle de l'urbanisation, la municipalité du Châtelard nomme dans les années 1890 l'architecte Louis Villard (père) au poste de surveillant des travaux. Il sera remplacé dès 1896 par un directeur des travaux, poste auquel se succèdent les ingénieurs William Cosandey (1896-1903), Georges-Frédéric Blanchod (1903-1907), William Cosandey (1907-1918) et Hubert Chappuis dès 1918.

En 1961, à la disparition de la Commune de Montreux-Châtelard, le bureau des travaux compte 6 employés. Ils ont la charge de la police des constructions, des commissions d'urbanisme et de salubrité, des collecteurs d'eaux usées ainsi que de l'éclairage public, des plans de quartier et plans d'extension, de gérance des domaines et bâtiments communaux. Les travaux de voirie et la réfection des routes relèvent également du bureau des travaux.

En 1962, les bureaux des travaux des communes de Montreux-Châtelard et de Montreux-Planches sont réunis suite à la fusion des communes. Le bureau des travaux de la commune de Montreux gérera alors les mêmes dossiers que ses prédécesseurs avant de se séparer dans les années suivantes pour donner naissance aux services des travaux, service de voirie, service des domaines et bâtiments et service de l'urbanisme.

Châtelard, Le - Bureau des travaux

Le contrôle et la réglementation du bâti par la commune du Châtelard prend ses racines au XVIIIème siècle, au moment où on voit apparaître des documents relatifs à l'établissement de routes et de lignes de chemin de fer. La construction de ces voies de communication va créer des frictions avec les intérêts des particuliers qui possèdent des biens-fonds ou des constructions et qui devront être détruits ou expropriés au bénéfice de la communauté.
La commune de Montreux-Châtelard est confrontée relativement tôt à ce problème: elle anticipe même sur les législations cantonales en édictant un règlement sur la police des constructions dès 1892. Dépassée par l'augmentation exponentielle de l'urbanisation, la municipalité du Châtelard nomme dans les années 1890 l'architecte Louis Villard (père) au poste de surveillant des travaux. Il sera remplacé dès 1896 par un directeur des travaux, poste auquel se succèdent les ingénieurs William Cosandey (1896-1903), Georges-Frédéric Blanchod (1903-1907), William Cosandey (1907-1918) et Hubert Chappuis dès 1918.
En 1961, à la disparition de la Commune de Montreux-Châtelard, le bureau des travaux compte 6 employés. Ils ont la charge de la police des constructions, des commissions d'urbanisme et de salubrité, des collecteurs d'eaux usées ainsi que de l'éclairage public, des plans de quartier et plans d'extension, de gérance des domaines et bâtiments communaux. Les travaux de voirie et la réfection des routes relèvent également du bureau des travaux.
En 1962, les bureaux des travaux des communes de Montreux-Châtelard et de Montreux-Planches sont réunis suite à la fusion des communes. Le bureau des travaux de la commune de Montreux gérera alors les mêmes dossiers que ses prédécesseurs avant de se séparer dans les années suivantes pour donner naissance aux services des travaux, service de voirie, service des domaines et bâtiments et service de l'urbanisme.

Châtelard, Le - Commune

  • CH - Montreux--02
  • Collectivité
  • 13ème siècle - 1961

En 1962, les communes du Châtelard et des Planches ont fusionné pour donner naissance à la commune de Montreux.

Chevalley (famille)

  • CH - Montreux--122
  • Collectivité
  • XVème siècle -
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