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Prilly - Office de la population OPO

  • CH - Prilly - Office de la population
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  • 1961-actuel

En 1953, les fonctions de la police sont définies ainsi:
Fonctions principales: police des étrangers; contrôle des habitants; tenue du registre civique; surveillance de l'office communal des alcools; protection du travail; désinfections; services funèbres; patrouilles de surveillance; police de la circulation; fermeture des établissements publics; contrôle des bulletins d'hôtels.

En 1961, la Commune engage, à la Police, deux employés civils chargés du Contrôle des Habitants et du Bureau des étrangers. En 1963, M. Vaudroz (Robert) est promu chef du Bureau des étrangers et du Contrôle des Habitants, tandis qu'un 3ème employé civil est engagé. A partir de 1964, les activités du Contrôle des Habitants sont présentées indépendamment de celles du Service de Police dans le rapport de gestion; mais dès 1967, le Contrôle est à nouveau sous la rubrique "Police". Dès 1970, 4 personnes travaillent au Contrôle des Habitants.
En 1994, le Contrôle des Habitants passe au dicastère de l'Administration générale, mais reste administrativement au niveau de la Police.
En 2000, suite au départ de M. Sahli (Ernest), un nouveau chef d'office est engagé en la personne de M. Chiaradia (Jean-Marie).
En 2002, le Contrôle des Habitants et Bureau des étrangers est rebaptisé "Office de la Population (OPO)".

Service des forêts, de la faune et de la nature (SFFN)

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  • 1886-2012

A ses débuts en 1803 l’administration cantonale vaudoise ne comptait ni départements ni services. L’exécutif du canton, le Conseil d’Etat, s’appuyait alors sur un ensemble de commissions spécialisées, notamment la Commission des forêts. La police de la chasse et de la pêche était alors sous la responsabilité de la Gendarmerie. Parmi les personnalités de cette époque, nous pouvons citer Charles Lardy, inspecteur cantonal des forêts de 1812 à 1858.
En 1862, La Commission des forêts et l’inspecteur général des forêts sont rattachés au tout nouveau Département de l’Agriculture et du commerce. Adolphe De Saussure puis Adolphe Jordan assument successivement l’inspection générale des forêts.
En 1886, le Service cantonal des forêts, chasse et pêche est créé. Il s’agit du 2ème service du Département de l’Agriculture et du commerce. Le chef de service est nommé en la personne d’Adolphe Puenzieux, inspecteur général des forêts depuis 1884. Il assumera la direction du service ainsi que l’inspection générale des forêts jusqu’à son décès en 1903 et sera remplacé, dans les mêmes fonctions, par Ernest Muret.
Le Département de tutelle change de nom en 1905 et devient le Département de l’Agriculture, de l’industrie et du commerce.
De 1913 à 1950, l’effectif du service oscille entre 5 et 7 personnes. Le chef de service est alors accompagné d’un expert forestier et d’employés administratifs. Ernest Muret est remplacé par Frédéric Grivaz en 1935. Parmi les experts forestiers de cette époque, nous pouvons citer Gabriel Berthoud, Frank Aubert, Charles Gonet, Maurice Moreillon et Simon Combe.
En 1950, Charles Massy est nommé chef de service, il est secondé par Simon Combe, expert forestier, et Alfred Audemars, inspecteur aménagiste puis inspecteur forestier.
C’est en 1957 que le premier inspecteur cantonal de pêche et hydrobiologiste est nommé en la personne de Gilbert Matthey.
Entre 1959 et 1962, plusieurs ingénieurs forestiers viennent compléter l’effectif : André Anken (1959), Jean-Pierre Bezençon (1960) et René Badan (1962).
Jean-François Robert prend la direction du service et l’inspection cantonale des forêts en 1962. Une dizaine de personne sont employées à cette époque par le service.
En 1974, le service change de nom est devient le Service des forêts et de la faune. Une section « Bureau technique » est créée au côté d’une section « Administration » et d’une autre « Conservation de la faune ». Le « Bureau technique » est dirigé par René Badan et a pour vocation de seconder le chef de service dans sa fonction d’inspecteur cantonal des forêts.
Gilbert Matthey prend la tête de la section « conservation de la faune » et devient conservateur de la faune et hydrobiologiste.
Un Centre de formation professionnelle de forestier-bûcheron est créé au Mont-sur-Lausanne en 1980 et placé sous la direction de Michel Bays.
Le « Bureau technique » devient « Services techniques » en 1982. Daniel Zimmermann en prend la direction en 1983.
En 1984, la conservation de la faune devient le Centre de conservation de la faune et d’hydrobiologie appliquée.
Georges Herbez est nommé chef de service et inspecteur cantonal des forêts en 1989. L’effectif du service comporte alors une vingtaine d’employés.
Cornelis Neet devient conservateur de la faune en 1990. L’effectif du Centre de conservation de la faune et d’hydrobiologie appliquée sera complété en 1993 par Bernard Büttiker, inspecteur de la pêche et Claude Lang, hydrobiologiste.
En 1996 le service prend le nom de Service des forêts de la faune et de la nature (SFFN). Le service comporte dorénavant une section « Administration », une « Section technique et gestion forestière », une section « Conservation de la forêt », le centre de formation professionnelle et le Centre de conservation de la faune et de la nature ».
La « Section technique et gestion forestière » est alors dirigée par Daniel Zimmermann ; la « Conservation de la forêt » est assurée par Daniel Goertz (ingénieur forestier) et Anne-France Eichelberger (juriste) ; le centre de formation professionnelle est quant à lui placé sous la responsabilité de Roger Burri.
Le Centre de conservation de la faune et de la nature (CCFN) se divise en trois nouvelles sections : la Conservation de la faune, l’Inspection de la pêche et la Conservation de la nature. A la tête de ses trois sections se trouvent respectivement Cornelis Neet, responsable du centre et conservateur de la faune ; Bernard Büttiker, inspecteur de la pêche ; Philippe Gmür conservateur de la nature. L’effectif du centre passe à 12, spécialistes et employés administratifs compris.
La section "Protection de la nature" a été créée suite à la loi du 10 décembre 1969 sur la protection de la nature, des monuments et des sites et rattachée à l'Office de l'urbanisme puis au Service de l'aménagement du territoire dès 1974. Elle a été transférée au Service des eaux et de la protection de l'environnement le 1er juin 1988 avant de l’être à nouveau, en 1995, au CCFN sous le nom de « Conservation de la nature ».
En 1998, après une refonte complète des départements de l’administration cantonale vaudoise, le SFFN et à fortiori les sections forestières et le CCFN passent sous la tutelle du tout nouveau Département de la Sécurité et de l’Environnement (DSE). L’effectif du service comporte à cette époque une trentaine d’employés.
En 2002, Cornelis Neet prend la direction du SFFN. Il est remplacé à la tête du CCFN par Philippe Gmür, et à la conservation de la faune par Sébastien Sachot. L’effectif du CCFN évolue pendant ces années et atteint 18 en 2005. Jean-François Métraux, ingénieur de conservation, prend la direction de la « Conservation des forêts » et Daniel Zimmermann est nommé inspecteur cantonal des forêts.
En 2005 les sections forestières du service sont réorganisées comme suit : une section « Inspection cantonale des forêts » dirigée par Daniel Zimmermann ; une section « Gestion forestière » dirigée par Patrick Fouvy ; une section « Conservation des forêts » dirigée par Jean-François Métraux ; et le Centre de formation professionnelle dirigé par Roger Burri.
En 2012, le SFFN est intégré à la Direction générale de l’Environnement (DGE) et Cornelis Neet est nommé directeur général de l’environnement. La DGE se divise en trois directions qui se divisent elles-mêmes en plusieurs divisions.
L’ensemble des attributions du SFFN en matière de forêts sont désormais regroupées dans la division « Inspection cantonale des forêts » (DGE-FORET) de la Direction des ressources naturelles (DIRNA).
L’ensemble des attributions du CCFN sont désormais regroupées dans la division Biodiversité et Paysages (BIODIV) de la Direction des ressources naturelles (DIRNA). La division BIODIV est dirigée depuis 2013 par Catherine Strehler-Perrin.

Service des eaux, sols et assainissement (SESA)

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  • 1929-2012

Dès 1886, la gestion des eaux était répartie entre deux services du Département des Travaux publics. Le premier service « Administration et entretien » était chargé des concessions sur les grèves et des concessions à bien-plaire, tandis que le deuxième service « Etudes et constructions » s’occupait des lacs et cours d’eau (corrections fluviales) ainsi que des concessions pour l’utilisation des eaux fluviales.
Ces tâches ne représentaient à l’époque qu’une petite partie du travail de ces services qui avaient en outre la charge de la gestion du domaine public de manière générale, de la police des constructions, des moyens de transports, de la construction des ponts et chaussées, etc.. Au tournant du siècle ces deux services employaient une quinzaine de personnes.
1902 : Les concessions pour l’utilisation des eaux fluviales passent de la responsabilité du deuxième au premier service. Les questions liées à la gestion du domaine public « eau » sont ainsi regroupées au sein du service « Administration et entretien ». Les concessions pour l’exploitation des mines et des carrières sont également placées sous la responsabilité de ce service à ce moment là.
1929 : Par la décision du Conseil d’Etat du 21 mai, les deux services « Administration et entretien » et « Etudes et constructions » sont remaniés de fond en comble pour créer le Service des routes et le Service des eaux. Ce dernier a désormais à sa charge: les corrections fluviales ; la régulation des lacs ; les travaux d’assainissement et de dessèchement ; l’entretien des ouvrages d’endiguement ; les concessions pour l’utilisation des lacs et cours d’eau ; l’application de la loi sur le marchepied le long des lacs et les plans riverains ; la police et la gérance du domaine public en ce qui concerne les lacs et cours d’eau ; les concessions de grèves et les concessions à bien-plaire. Les carrières sont quant à elles sous la surveillance du Service des routes.
A sa création, l’effectif du Service des eaux comprend en tout et pour tout, le chef de service, Charles Pelet, un ingénieur, Henri Zorn, et un secrétaire technique, Alfred Chollet.
1938 : Un premier surveillant des cours d’eau est nommé en la personne de Serge Faesh (bassin de l’Orbe et nord du bassin de la Venoge)
1948 : L’organisation du service fait apparaître un bureau technique, un bureau administratif et les surveillants des cours d’eau, dont le nombre est passé à trois.
1950 : Charles Pelet est remplacé par Edouard Dutoit, ingénieur, au poste de chef de service.
1954 : Organisation de la surveillance des cours d’eau en quatre secteurs
1955 : Inscription de la lutte contre la pollution des eaux dans les attributions du service
1958 : Jean Noverraz est nommé chef de service
1966 : Déménagement du service de la rue Cité-Devant 11 à la place de la Riponne 10
1974 : Inscription des concessions de pompage aux nappes souterraines dans les attributions du service. L’effectif du service oscille alors entre 15 et 20
1976 : Le service est dorénavant chargé du contrôle de la construction et de l’exploitation des installations d’épuration des eaux usées et de traitement des déchets, ainsi que du contrôle de la construction et la révision des installations servant à l’entreposage, au transport, au transvasement de liquides pouvant altérer les eaux. Outre l’administration (du service et du domaine public eau), le bureau technique lacs et cours d’eau et les chefs de secteur, le service se dote d’un office de la protection des eaux comprenant une section épuration et incinération et une section contrôle des citernes. L’effectif du service bondit à 32 employés.
1977 : Une section laboratoire est créée au sein de l’Office de la protection des eaux. Le laboratoire est chargé du contrôle analytique des eaux des lacs, des rivières et des stations d’épuration
1978 : La section épuration et incinération devient la section assainissement.
1982 : Pierre Chausson est nommé chef de service
1983-85 : Le service comprend une administration, une section génie civile (ex bureau technique), une section entretien (chefs de secteurs) et l’Office de la protection des eaux, lui-même divisé en 5 sections (administration, épuration urbaine, épuration industrielle, contrôle des citernes, laboratoire). L’hydrogéologue cantonal (poste créé en 1978), Joseph Mautner, est transféré du Laboratoire cantonal au Service des eaux en 1983. Il est notamment chargé de la protection des nappes souterraines et des sources
1988: Le service est rebaptisé « Service des eaux et de la protection de l’environnement ». Une section protection de la nature est créée et un délégué cantonal à l’environnement est nommé.
1989-1991 : L’Office de la protection des eaux est dissous et ses sections sont ramenées au niveau du service. Ce dernier est réorganisé en divisions dans la foulée:
• Administration (administration du service et gestion administrative du domaine public eau) ;
• Eaux souterraines (hydrogéologie et contrôle des citernes) ;
• Economie Hydraulique (corrections fluviales, gestion technique du domaine public eau et entretien par secteur) ;
• Assainissement et gestion des déchets (assainissement urbain, assainissement industriel et gestion des déchets) ;
• Laboratoire ;
• Protection de la nature ;
• Délégué à l’environnement
1995 : La protection de la nature quitte le service
1996 : Le délégué à l’environnement quitte à son tour le service
1998 : Le service est rebaptisé Service des eaux, sols et assainissement (SESA) et est placé sous la tutelle du nouveau Département de la sécurité et de l’environnement (DSE). Le Département des travaux publics est quant à lui dissous. La surveillance et la protection des sols deviennent de la compétence du SESA à ce moment là, tout comme les autorisations d’exploiter et la surveillance des carrières
2000 : Une nouvelle division « Déchets, sols et installations » est créée
2002 : Jean-François Jaton est nommé chef de service
2004 : Les chefs de secteur se voient appuyés par le soutien de deux nouveaux adjoints
2006 : La division des carrières et gravières est dissoute et son activité est intégrée à la division nouvellement créée des « Sols, carrières et déchets »
2009-2010 : Premières réflexions en vue de la création d’une cellule « micropolluants », avec l’achat en 2010 d’un appareillage analytique complexe, permettant de mettre en évidence des substances en traces infinitésimales dans les eaux
À mi 2012, le SESA compte 122 collaborateurs, pour une activité de 111 ETP (équivalent temps plein), répartis comme suit: 54 au Valentin 10, 16 au laboratoire des Croisettes et 52 décentralisés dans les quatre secteurs d'entretien des cours d'eau.
Fin 2012, le SESA est intégré à la nouvelle "Direction générale de l'environnement" (DGE), au côté du Service de la forêt, de la faune et de la nature (SFFN) et du Service de l’environnement et de l’énergie (SEVEN), sous la direction de M. Cornelis Neet.

Montreux - Village de la Rouvenaz

  • CH - Montreux--31
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  • 1872 - 1930

Fraction de commune de la Commune du Châtelard, créée en 1872 par Décret du Grand Conseil. Dissolution en 1930, à cause de l'imposition de plus en plus importante des propriétaires (ces derniers formant l'assemblée générale du village) et le coût de plus en plus onéreux de l'éclairage public et du ramassage des balayures (principes charges de la fraction de Commune). Proposition de dissolution dès 1918; en 1919, les village de la Commune des Planches avaient remis le service des balayures à l'administration communale. A cette date, les villages du Châtelard pensent en faire autant. Toutefois, la Municipalité du Châtelard répond que tant que les villages continueront à prélever des impôts, elle ne reprendra pas cette charge.
Finalement, la situation se détend et en 1929, l'administration communale et villageoise accepte la dissolution.

Pully - Commune

  • CH - Pully
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  • 1328 - nos jours

Montreux - Cercle

  • CH - Montreuxx--57
  • Corporate body
  • 1000 - 1961

La Commune de Montreux est née d’une fusion, en 1962, entre les communes des Planches et du Châtelard. L’appellation « Montreux » était néanmoins déjà une réalité avant cette date. C’était, dans un premier temps, le nom de la paroisse qui regroupait dès le XIème siècle les habitants de Veytaux, des Planches et du Châtelard. Mais c’était également, dès le milieu du XIXème siècle, l’appellation utilisée par la région pour promouvoir l’essor touristique et économique. En fait, jusqu’à 1962, « Montreux » repose sur un organe commun aux trois communes qui composent la paroisse : le Cercle.

Ouest Informations - Rédaction

  • CH - Ouest Informations
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  • 1965-1980

Journal fondé par Georges Rognon (adm. et rédaction) en 1965 avec la complicité du rédacteur responsable P.H. Bonvin et de Ch. Carrel (publicité régionale).
La publicité et l'impression sont reprises par l'imprimerie J. Magnenat en décembre 1965.
Dès 1968, le rédacteur régional est M. Jacques Lardet. En 1971, l'administration et la rédaction se réorganisent: on trouve J. Lardet comme rédacteur responsable, tandis que G. Rognon est rédacteur régional.
Jusqu'en 1971, ce journal est dédié aux communes de Prilly, Jouxtens et Romanel. Il s'étend dès juin 1971 à Cheseaux.
La parution cesse en 1980.

Journal de Pully

  • CH - Pully
  • Corporate body
  • 1930 - 1992

Il fut remplacé par le journal "Le Régional" en 1995.

Association Festivités et Loisirs Les Avants

  • CH - Montreux--60
  • Corporate body
  • 2010-2011

L'Association Festivités et Loisirs Les Avants est créée à l'occasion du centième anniversaire du funiculaire Les Avants-Sonloup en 2010 et dissoute en 2011. Madame Patricia Jomini préside l'Association suivie de Madame Rachel Soydan jusqu'à sa dissolution. M. Charles C. Riolo en est le secrétaire.

Vevey - Commune

  • CH - Vevey
  • Corporate body
  • 1370 - nos jours

Bobst SA

  • CH - Bobst SA
  • Corporate body
  • 1890-nos jours

Service d'accueil pour écoliers Scoubidou

  • CH - Montreux--76
  • Corporate body
  • 1985-2015

Fondé en 1985 avec Madame Madeleine Nicolier comme présidente, Scoubidou fut une garderie qui a accueilli les jeunes écoliers à Montreux dans différents lieux avec ses débuts dans le quartier des Planches en 1987, puis son premier déménagement dans les locaux de l'église catholique en 1993 où Scoubidou vécut son premier incendie en 1995 (le second sera en 2007). Un nouveau déménagement a lieu en 2005 à l'Avenue des Alpes 90, qui est resté l'adresse du service d'accueil jusqu'à sa fin en 2015. Aujourd'hui Scoubidou à été intégré à l' Accueil Collectif de la petite Enfance de Montreux et Environs (FACEME).

Montreux Natation

  • CH - Montreux--78
  • Corporate body
  • 1944 -

Le 1er février 1944, création du Montreux-Natation. Les activités du club sont principalement pratiquées dans le lac aux Bains de Clarens.
En 1949, le club organise le 1er Championnat Suisse de water-polo de 2ème ligue.
En 1953, 1ère Traversée de Montreux, une compétition populaire de natation dans le lac.
En 1959, le Montreux-Natation traverse une crise interne proche la dissolution.
En 1977, l’ouverture de la piscine de la Maladaire permet au Montreux-Natation de pratiquer ses activités durant l’entier de l’année en eau chauffée dans une piscine couverte.
En 1979, création de la section de natation synchronisée.
En 1979, tournoi des 5 nations de natation.
En 2003, 1ère Traversée de la baye de Montreux, course populaire entre le Perrier et le ponton de la place du marché.

Source (http://www.montreux-natation.ch/uploads/pdf/le-club/Historiques.pdf)

Chanson veveysanne

  • CH - Vevey
  • Corporate body
  • 1919-2014

La Fête des Vignerons en 1889 donne envie à un petit groupe de femmes de mettre en valeur le costume vaudois et les chansons bien de chez nous. Le 13 mars 1919, une première section est fondée à Vevey sous le nom de la Société des Vaudoises « La Veveysanne ». Après sa dissolution le 4 avril 1921, une partie se rebaptise sous le nom de la « Vaudoise » qui change de nom en 1936 en « Société mixte » dirigée par Albert Urfer. «La Chanson Veveysanne » naît le 9 septembre 1946. Elle a pour but de remettre en valeur le folklore suisse par le port du costume vaudois, ses vieilles traditions, ses chansons, ses danses et sa collaboration aux œuvres sociales. Elle a aussi pour but de créer et d’entretenir le patriotisme du Canton et la fraternité entre les membres.
Très active, elle offre un concert pour la ville chaque année. En plus de cela, elle a participé à plusieurs grandes manifestations telles que la Fête des Vignerons en 1955 et l’Exposition Universelle de Bruxelles en 1958.
Plus tard elle est invitée au Marché folklorique de Vevey, aux Rencontres Chorales Internationales de Montreux en 1969 et 1975 et aux 32èmes Fêtes du Rhône en 1987. Pour marquer son cinquantième anniversaire, il s’organise des échanges culturels et amicaux avec le chœur mixte d’Eskifaïa de Fuenterrabia (Espagne), le chœur mixte San Salvatore de Susegana (Italie), le chœur des enseignantes de Tallinn (Estonie) et la Schola Elzear Genet de Carpentras (France).
Depuis 1989, la Chanson veveysanne est dirigée par Charly Torche, qui modifie le registre des chansons en mélangeant compositions populaires aux pièces de musiques classiques. En 2004, Andrea Longo reprend le flambeau et décide de mélanger les airs populaires à la Renaissance.
A cause de plusieurs démissions, le comité remet en question l’avenir de la Chanson, probablement obligée de se mettre en stand-by. Après de multiples discussions, la Chanson veveysanne est dissolue le 21 octobre 2014.

Gressy - Commune

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Corporate body
  • sans date - 30 juin 2011

1er juillet 2011: fusion de la commune de Gressy avec celle d'Yverdon-les-Bains

Yverdon-les-Bains - Affaires culturelles

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Corporate body
  • 1974 - à nos jours

1974: création d'un secrétariat aux Affaires culturelles, engagement d'une responsable au 1er septembre 1974.

Edipresse

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Corporate body

Chorale L'Avenir

  • CH - Chorale L'Avenir
  • Corporate body
  • 1891-2001

1891: Création de la société de chant le 5 janvier, sous le nom de "société de chant l'Avenir de Prilly".
1893: Inauguration du 1er drapeau, offert par les épouses des chanteurs.
1909: Jules Corbaz et son épouse fondent et animent un groupe d'acteurs qui, pendant une trentaine d'années, assure la partie littéraire et dramatique des soirées annuelles.
1911: la société devient propriétaire de la "Bibliothèque populaire de Prilly". Gérée par une commission formée de chanteurs. Met à disposition de la population environ 3000 volumes. Ouverture 1-2 jours par semaine. Cesse son activité lors de l'ouverture de la bibliothèque communale à Castelmont.

Abbaye de Prilly

  • CH - Abbaye de Prilly
  • Corporate body
  • 1875 - aujourd'hui

1810: Fêtes à intervalles plus ou moins réguliers, sans mention d'une société organisée avec des statuts.
1875: Date officielle de la naissance de l'Abbaye de Prilly.
1896-1900: Cette société prend forme juridiquement.
1904: 1er drapeau
1937: Proposition de fusion entre l'Abbaye des Travailleurs et celle de l'Union.
1949: Aboutissement d'une étude sur la proposition de fusion.
12.11.1949: une assemblée générale qui réunit 87 membres des deux sociétés adopte les nouveaux statuts de la nouvelle société.
1980: inauguration d'une nouvelle bannière.
1975: l'Abbaye fête son centenaire.
2000: Festivités pour le 125ème anniversaire.

Club accordéonistes Riviera Montreux

  • CH - Montreux--102
  • Corporate body
  • 1946 - 2015

Société fondée le 4 avril 1946 et dissoute le 11 octobre 2015 pour donner naissance à une nouvelle société Akordiono, fusion de quatre sociétés d'accordéon de la région.
Directrice: Helena Mayer

Association du Bâtiment de l'Etoile

  • CH - Association du Bâtiment de l'Etoile
  • Corporate body
  • 1901- à nos jours

L’Association du Bâtiment de l’Etoile naît de la volonté de trois entités yverdonnoises de se réunir sous un même toit. Initié en 1895, ce rapprochement entre l’Union Chrétienne des Jeunes Garçons (UCJG), l’Union Chrétienne des Jeunes Filles (UCJF) et la Croix-Bleue est acté le 11 octobre 1900 lors de la signature des statuts de la société de l’Etoile. Ces trois entités se regroupent tout d’abord sous le nom de Société Immobilière de l’Etoile pour ensuite devenir l’Association du bâtiment de l’Etoile en novembre 1970. Le comité de l’Etoile se compose de trois membres (président, secrétaire, caissier) qui doivent être issus des sociétés propriétaires.
Après une tentative d’achat avortée qui occupe les premières années d’existence de La Société Immobilière de l’Etoile, l’assemblée approuve en 1920 l’achat de l’immeuble de la rue du Four 21 qui sera détruit et où sera érigé le bâtiment actuel de l’Etoile. Celui-ci, construit sous la direction de l’architecte Oberhänsli, mettra moins de deux ans à sortir de terre et est inauguré le dimanche 18 juin 1922.
Les années qui suivirent vont progressivement voir le nombre de location des salles du bâtiment augmenter tout comme le nombre de membres des sociétés y résidant. C’est pourquoi, en 1932, dans un souci de garder ces locataires, l’Etoile entreprend la jonction entre deux salles via la destruction du mur les séparant et avec la construction d’une paroi mobile.
Durant les années de guerre, certaines salles du bâtiment sont réquisitionnées par l’armée impliquant un manque à gagner. De plus, les restrictions d’utilisation du gaz et la difficulté à trouver de quoi alimenter les thé-vente grève un peu les finances de l’Etoile.
Entre septembre 1950 et mai 1951, la section yverdonnoise de l’Union Chrétienne des Jeunes Filles est dissoute faute de membres suffisants, impliquant que les obligations inhérentes à ce copropriétaire historique et locataire ne sont plus remplies. Les conséquences seront toutefois minimes car la section locale de UCJF se reforme rapidement.
Dans les années 1970, de grands travaux de rajeunissement sont entrepris peu avant la célébration des 50 ans du bâtiment de l’Etoile (1972). Depuis cet anniversaire, l’Association a ponctuellement fait des travaux plus ou moins conséquents, dont une rénovation complète en 2005, afin d’entretenir et de rénover les salles misent à la location.

Association de la Broquine

  • CH - Association de la Broquine
  • Corporate body
  • 1975 - 2015

La bibliothèque enfantine La Broquine, située dès ses débuts dans le bâtiment de l’Ancienne Poste 4, est durant de nombreuses années gérée par une association fondée en 1975. Les différentes tâches liées au fonctionnement de la bibliothèque sont essentiellement assumées par des bénévoles, supervisés par le comité de l’association réparti en groupes de travail. Une première bibliothécaire à mi-temps est engagée en 1987. En 2015, l'association est dissolue et la Broquine est communalisée et intégrée à la Bibliothèque publique d’Yverdon, une action proposée par la commune, qui a été votée et approuvée en assemblée de l’association.

La Récréation

  • CH - La Récréation
  • Corporate body
  • 1853 - 2017

En 1853, Orbe, berceau de la société cantonale des chanteurs vaudois, organise la première Fête cantonale regroupant 26 sociétés, uniquement masculines. Des chanteurs yverdonnois y participent et fondent la même année un chœur d’hommes, « La Récréation », qui adopte ses statuts en 1854.
La société atteint son effectif record en 1921 à l’occasion du Concours cantonal de Lausanne : 106 chanteurs.
Dès 1877, les dames intègrent progressivement La Récréation. Elles collaborent à plusieurs concerts au début du 20e siècle. En 1930, une sous-section « dames » est fondée. Dès lors, La Récréation se présente dans les trois formations : hommes, dames ou mixte selon les circonstances jusqu’en 1967, année d’adoption de sa formation mixte. Plusieurs succès sont à à attribuer au Choeur mixte :Flûte de roseau, Jeu du Feuillu, Trois âges de l'homme, Cadran solaire, Nuit des Quatre Temps, La Rue des 13 Métiers.
En 1930, le choeur rejoint le Giron de la Menthue.
Depuis sa création, il organise de multiples manifestations d’envergure dont plusieurs Fêtes cantonales des chanteurs vaudois, des jubilés (50ème, 100ème, 125ème, 150ème et 160ème) ainsi qu’Opéra Pestalozzi pour n’en citer que quelques-unes. Elle reçoit également de nombreux prix lors de concours cantonaux, nationaux et parfois même internationaux (en France notamment). Sa renommée dépasse dès lors les frontières suisses.
La société fête son centenaire en 1954 et inaugure à cette occasion son cinquième drapeau.
A la fin du 20e siècle, le recrutement de nouveaux chanteurs devient difficile. Le nombre des membres ne cessant de diminuer, la société est dissoute à l’automne 2018, alors qu’elle ne compte plus que 19 membres.

Abbaye d'Yverdon

  • CH - Abbaye d'Yverdon
  • Corporate body
  • 1819 - à nos jours

Fondation Hotelarchiv Schweiz

  • CH - Montreux--107
  • Corporate body
  • 2008 - présent

Fondation à but non lucratif créée en mars 2008 par Hôtellerie Suisse et des donateurs privés à l'occasion des 125 ans de la Société suisse des hôteliers. Inscrite au registre du commerce du Canton de Berne en tant que fondation à but non lucratif.
La fondation est dotée d'un bureau opérationnel de 2008 à 2019. Direction Evelyne Lüthi-Graf, adjointe Graziella Borrelli.
Dès 2019, reprise des fonds d'archives physiques et digitaux par deux institutions en parallèle: Les Archives de Montreux pour les fonds montreusiens et quelques fonds romands, le Schweizerisches Wirtschaftsarchiv pour la majorité des 60 fonds gérés par la fondation.

Armando Lombardo et Fils Société Anonyme (SA)

  • CH - Montreux--108
  • Corporate body
  • env. 1970 - 2008

Entreprise fondée par Armando Lombardo, ouvrier italier, dans les années 1970. L'entreprise a compté jusqu'à une quarantaine de collaborateurs et s'est établie dès 1982 dans l'Hôtel Moderne, proche de la Gare de Montreux.

Zonta Club d'Yverdon-les-Bains

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Corporate body
  • Dès 1990

Histoire administrative
Le Zonta-Club d'Yverdon-les-Bains est un club service féminin rattaché au Zonta International. Les démarches en vue de la création du club yverdonnois débutent en février 1990 et l'assemblée générale constitutive a lieu le 13 septembre de la même année. En octobre 1991, le club reçoit la charte, événement qui marque sa fondation officielle et son intégration dans le Zonta International.
Le club yverdonnois appartient au district 30 (préciser les régions qui en font partie).
La Suisse est divisée entre deux AREA (Suisse alémanique et Liechtenstein, Suisse romande et italienne). Chaque AREA est dirigée par une gouverneur, fonction assumée par plusieurs membres yverdonnoises. Pierrette Roulet-Grin a dirigé l'AREA à la fin des années 90 (à préciser).
Des conférences de district ont lieu tous les deux ans, en alternance avec les conventions qui réunissent tous les clubs du Zonta International.
Les archives du Zonta International Union Suisse, du groupe Intercity, des districts et de nombreux clubs sont déposées aux Archives Gösteli (https://www.gosteli-foundation.ch/fr/archives/archives-dorganisations).

Sainte-Croix - Ville

  • Corporate body

Comm. VD, distr. du Jura-Nord vaudois, située au pied du Chasseron, divisée en deux vallons principaux, celui de S. et celui des Granges, composée de vingt-sept localités, les plus importantes étant le village de S. (1086 m), L' Auberson, La Chaux, La Vraconne, La Sagne et Le Château. 1177 Sancta Crux, 1317 Saint Crueyz, ancien nom all. Heilig Kreuz. 1834 hab. en 1764, 2833 en 1798, 3541 en 1850, 5914 en 1900, 6575 en 1950, 6925 en 1960, 6240 en 1970, 4543 en 1980, 4333 en 2000.
Source et autres informations : Chantal Lafontant: "Sainte-Croix (commune)", in: Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), version du 08.02.2011. Online: https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/002400/2011-02-08/, consulté le 08.09.2022.

Montreux International Business Club (MIB)

  • CH - Montreux--124
  • Corporate body
  • 1985-2022

Notre club a été créé par PROMOVE en 1985.
Réseau pour femmes et hommes d'affaires de la Riviera, créé par PROMOVE en 1985 et ayant pour activités des conférences, rencontres et soirées de gala.
Ont notamment présidé le club:
Michel Gessner
Michel Graber
Wim van Heist
Jochen Conrad
Dieter Wullschlager
Hector Smith
Gordon Douglas
Yael Bruigom

Ecublens - Service de la culture, de la jeunesse, des sports, de l'intégration et des églises

  • CH - Ecublens - Service culture
  • Corporate body
  • 2012 à nos jours

Le Service de la culture, de la jeunesse, des sports, de l'intégration et des églises est créé à Ecublens en 2012. Avant sa création coexistaient le Service des affaires culturelles, sportives et de loisirs et le Service des affaires sociales. Suite à une étude de fonctionnement réalisée par l'IDHEAP en 2010, la Municipalité a décidé de créer un nouveau service pour ce dicastère.

Prilly - Autorités communales

  • CH - Prilly - Autorités communales
  • Corporate body
  • 1799 - nos jours

Sous l’Ancien Régime, les autorités communales sont constituée d’un gouverneur (ou seigneur) et d’une Assemblée de Commune.
L’article « Prilly » du Dictionnaire historique de la Suisse nous apprend, à ce propos, qu’ « au Moyen Age, le chapitre de Lausanne et l'abbaye de Saint-Maurice possédaient des terres à Prilly, qui relevaient de l'évêque de Lausanne. Inféodée aux chevaliers de Prilly, la seigneurie passa à Jacques de Penthéréaz, aux Colombier, Russin, Prez, Gimel, Daux puis, après la conjuration d'Isbrand Daux, aux familles Crousaz et Rosset.
Sous le régime bernois, Prilly fait partie du baillage de Lausanne et est vendue en 1729 à la Ville de Lausanne, dont le Conseil exerce la haute, moyenne et basse justice. Au niveau communal, les autorités sont alors constituées d’une Assemblée de Commune et d’un gouverneur. Son pouvoir, ainsi que celui de l’Assemblée de Commune est restreint et se cantonne à la gestion des intérêts locaux (vente de bois, de vins, de produits agricoles, nomination du taupier, etc). Le premier gouverneur dont on trouve la trace dans les Archives communales se nomme François Girardet ; il est nommé gouverneur pour une année en 1752 par l’Assemblée de Commune.
L'assemblée de commune est l’ancêtre de l’actuel Conseil communal. Dans les Archives communales, nous trouvons trace de cette assemblée dès l’année 1752. Elle nomme alors en son seing un gouverneur pour une année. Le pouvoir de cette autorité est restreint et cantonné à la gestion des intérêts locaux (vente de bois, de vins, de produits agricoles, nomination du taupier, etc). Sous l’Ancien Régime, cette autorité communale dépend directement d’une seigneurie. Selon l'article « Prilly » du Dictionnaire historique de la Suisse, la seigneurie passe entre les mains de différents seigneurs « puis est vendue en 1729 à la Ville de Lausanne, dont le Conseil exerce la haute, moyenne et basse justice. Sous le régime bernois, Prilly fait partie du baillage de Lausanne (1536-1798). »
Sous la République helvétique (1798-1803), une Municipalité est créée et présidée par un Président de Municipalité. Les municipaux et le président sont élus par les citoyens de la Commune réunis en assemblée.
Suite à l’Acte de médiation en 1803, le Président de Municipalité devient le Syndic. Il préside alors le Conseil général.
Alain Gaudard, ancien secrétaire municipal et auteur d’un ouvrage sur Prilly « Prilly, de village en ville », s’inspirant de l'étude du professeur Zwahlen intitulée «Des pouvoirs respectifs de la Municipalité et du Conseil communal», explique que la création des conseils généraux et communaux dans les communes vaudoises remonte à 1814 et qu’ils sont alors présidés par le syndic.
« L’exécutif compte pendant longtemps 7 membres, sauf de 1835 à 1853 où la Municipalité n’en compte que 5, parmi lesquels on ne s’étonne pas de trouver en quasi permanence, comme s’ils siégeaient de droit, les gros paysans de la commune comme Pahud ou Gachet. En 1897, sur proposition de Frédéric Mayor, l’effectif de la Municipalité est ramené de 7 à 5 membres, et l’on crée les dicastères selon le système connu aujourd’hui; précédemment, des délégations de trois municipaux se partageaient les divers secteurs du ménage communal, ce qui diluait les responsabilités et donnait plus d’importance à la fonction de syndic. »
En 1874, la population de Prilly dépasse pour la première fois les mille habitants ce qui implique au niveau institutionnel le passage d’un Conseil général à un Conseil communal. Avant 1874, il n’y a pas d’élection pour le Conseil général puisque tous les citoyens peuvent en faire partie. Il en va autrement avec un Conseil communal : Alain Gaudard indique que le premier procès-verbal relatif à l’élection du Conseil communal est daté du 22 mars 1874, que le Conseil communal est alors formé de vingt-cinq membres et qu’il est présidé par Charles Gachet.
Le Conseil se réunit dans une salle du vieux collège jusqu’à une date indéterminée. Depuis 1984, le Conseil communal dispose d’une salle dans le bâtiment communal de Castelmont.
Le nombre d’élus au Conseil communal suit l’évolution démographique. Toujours d’après Alain Gaudard, il y a 25 sièges en 1874 ; 50 sièges en 1885 ; 55 sièges en 1893 ; 60 sièges en 1913 ; 65 sièges en 1933 ; 70 sièges en 1953 ; 80 sièges en 1957 et 90 sièges en 1961. En 1965, les conseillers communaux sont élus au nombre de 100. La population ayant baissé depuis, le nombre de conseillers communaux descend à 85 en 1993 et à 75 depuis 2006.
De 1982 à 1998, la droite (radicaux, libéraux, PDC) est majoritaire et détient environ 60% des sièges du Conseil communal. Les choses changent en 2002, lorsque la gauche (Parti socialiste, Verts et POP & Gauche en mouvement) décroche 47% des sièges. La gauche dépasse même la droite (radicaux, libéraux, PDC puis depuis peu UDC) en 2006 avec 51% des sièges avant de redevenir minoritaire en 2011 avec 48% des sièges.

Prilly - Service des Domaines et Bâtiments

  • CH - Prilly - Service des Domaines, bâtiments et énergie
  • Corporate body
  • 1976-nos jours

La Commune de Prilly, dès sa création en 1803, a eu notamment la responsabilité de gérer les terrains, bâtiments et autres possessions communales. Au XIXème et XXème siècle la Commune a mené de nombreuses opérations d’achats, de ventes et d’échanges de terrains au gré des besoins communaux, en infrastructures notamment. C’est ainsi que la Commune a accru ses possessions pour accueillir des écoles, des bâtiments administratifs et des immeubles à loyers modérés.
Les tâches liées à cette activité de gestion des possessions communales sont nombreuses : achats, ventes, entretien et gestion des terrains ; entretien et exploitation des forêts et vignes ; entretien, gestion et rénovation des bâtiments locatifs, administratifs, scolaires et des lieux de cultes ; entretien et gestion des installations sportives, terrains de jeux et piscines. Ces différentes tâches sont aujourd’hui sous la responsabilité du Service des Domaines & Bâtiments, mais il n’en a pas toujours été ainsi. Ce service n’existe concrètement que depuis les années 1970, avant cela ces tâches étaient partagées entre l’Administration générale, le municipal en charges des Domaines et les différents concierges des bâtiments communaux.
Les premiers concierges dont il est fait mention dans les rapports d’activité de la Commune sont ceux du Collège-Centre, le plus grand bâtiment communal de l’époque, construit en 1908. Il s’agit notamment de M. Müller (Louis), ancien agent de police, et M. Rochat.
Le nombre des concierges évolue en fonction des constructions communales. En 1959, il y a 3 concierges pour les bâtiments scolaires et lieux de cultes et 1 pour les locaux administratifs. En 1969, il y a 8 concierges pour les bâtiments scolaires, 2 pour les lieux de culte et 1 pour les locaux administratifs.
Au début de 1970, lors du changement de législature, un employé administratif chargé de la section des bâtiments et domaines est engagé. Il s’agit de M. Hautier (Maurice) qui assume également le secrétariat de la Protection Civile. La section des bâtiments et domaines est à ce moment regroupée avec la section des œuvres sociales dans le dicastère des Domaines et Oeuvres sociales. Mais seuls les deux concierges de la colonie de vacances de Plan-Sépey sont administrativement rattachés à cette nouvelle section ; les concierges de bâtiments scolaires sont sous la responsabilité du municipal des Ecoles et les concierges de locaux administratifs sont sous la responsabilité du Greffe.
En 1972, les deux concierges de Plan-Sépey sont rattachés aux Ecoles. Dans le même temps M. Hautier (Maurice) s’en va et est remplacé par M. Bettens (Claude) ; lui-même remplacé en 1974 par M. Pointet (Jean-François). Ce dernier occupe la double fonction de secrétaire municipal adjoint et responsable de la section des bâtiments et domaines.
La séparation d’avec les Œuvres sociales intervient en 1976, avec la création du Service des Domaines et Bâtiments, qui compte alors deux employés administratifs ; Mme Pernet (Christiane), secrétaire nouvellement engagée et M. Pointet (Jean-François), chef de service. Le nouveau service a également sous sa responsabilité deux employés de la nouvelle Piscine de la Fleur-de-Lys, ainsi que l’animateur du Centre de loisirs.
En 1977, le Centre de loisirs se dote d’un concierge, aussi rattaché au Service des Domaines et Bâtiments. Les concierges des autres bâtiments communaux, non rattachés au service, sont alors au nombre de 15.
En 1980, le concierge et l’animateur du Centre de loisirs passent sous la responsabilité du Service de la Sécurité sociale.
En 1981, vu la surcharge de l’administration, la Municipalité décide de séparer les fonctions de secrétaire municipal adjoint et de chef du Service des Domaines et Bâtiments. M. Pointet doit choisir et opte finalement pour la fonction de chef de service. Il est secondé par Mme Rime (Marianne), secrétaire, qui remplace Mme Pernet (Christine). A deux, ils constituent le personnel administratif du service. Dans le même temps, tous les concierges sont regroupés et placés sous l’autorité du Service des Domaines et Bâtiments. L’effectif complet des concierges des bâtiments communaux et des gardiens de piscine est alors de 28.
En 1981 toujours, le service perd la gestion de l’exploitation de la Piscine qui passe sous la responsabilité de l’Administration générale, mais garde les gardiens de piscine.
En 1987, le service compte 3 employés administratifs, 22 concierges et 4 gardiens de piscines.
Mme Rime (Marianne) quitte son poste en 1989 et est remplacée par Mme Fiadeiro (Anne Isabelle).
L’animateur de Plan Sépey passe en 1990 des Ecoles aux Domaines et Bâtiments.
En 1992, M. Gilliard (Jean-Luc) est nommé suppléant au chef de service.
En 2000, le service compte encore 3 employés administratifs, mais aussi 24 concierges, 2 gardiens de piscines et 1 animateur à Plan-Sépey.
M. Pointet (Jean-François)décède en 2007. Une fusion avec le Service des Travaux, sous la direction de M. Coquerand (Philippe) est alors tentée. L’idée étant de créer un grand Service des Travaux et des Domaines. Peu concluante, cette expérience est abandonnée après peu de temps. M. Fernandez (Yvan), déjà en poste au service des Domaines et Bâtiments, est nommé chef du service des Domaines, Bâtiments et Gérances.
En 2008, les concierges des bâtiments scolaires et des lieux de cultes repassent sous la direction des Ecoles et des Cultes, mais restent hiérarchiquement rattachés au Service des Domaines.
Mme Eggler (Maria-Caridad) est engagée comme secrétaire en 2008. Un collaborateur spécialisé dans la gestion de l'énergie est engagé en 2009, M. Jequier (Colin).

Prilly - Service des Travaux

  • CH - Prilly - Service des Travaux
  • Corporate body
  • 1951-nos jours

Durant le XIXème siècle et jusqu’au premier tiers du XXe siècle, la plupart des activités liées aux travaux publics étaient assumées par la Municipalité elle-même ou par le Greffe. L’exécution des travaux était systématiquement confiée à des privés.

Le développement de Prilly et la multiplication des routes et chemins justifièrent, en 1934, l’emploi à titre permanent d’un pionnier (cantonnier) communal. Il s’agit du premier poste permanent lié aux travaux publics. Les premiers pionniers (ou cantonniers) se nomment M. Danthe (1936) et Félix Maurer (1944).

En 1951, la Commune crée un bureau technique dans le bâtiment administratif du Château et engage Claude Pache en tant que technicien communal. Ce dernier est responsable tant des aspects techniques des travaux d’entretien et de constructions que de la police des constructions et de l’urbanisme. Il est alors le seul employé administratif du bureau technique et est administrativement séparé du pionnier communal, mais cette organisation ne va pas durer.

Rapidement le bureau technique grandit et recrute un dessinateur et un(e) sténo-dactylographe. De même, une équipe se constitue autour du pionnier communal, désormais accompagné d’un piqueur et de trois ouvriers : la première « équipe des travaux ». C’est à ce moment là, notamment, que Roger Resin est engagé.

Au cours des années 50, un véritable Service des travaux est créé. Il regroupe, sous la direction de Claude Pache, d’une part, le bureau technique (aussi appelé service technique) avec un secrétariat et, d’autre part, l’équipe des travaux, comprenant le personnel ouvrier.

Dans les années 60, l’effectif croît rapidement et s’adapte au développement urbain de Prilly. La partie administrative (secrétariat et bureau technique) emploie entre 4 et 6 personnes, tandis que l’effectif de l’équipe des travaux varie entre 17 et 21 employés. La fonction de pionnier communal disparaît et le personnel se constitue désormais d’ouvriers et de jardiniers.

En 1972, Jean-Jacques Chollet, ingénieur, et Pierre-Alain Cerise sont engagés au bureau technique.

En 1983, l’équipe des travaux est divisée en trois sous-équipes. La première équipe, sous la direction de Jean-Pierre Diserens, se charge des routes. La deuxième, dirigée par Charles Gavin, s’occupe des parcs et promenades. La troisième, dirigée par Charles Gavin, est chargée de l’entretien des cimetières et piscines ainsi que de la coordination générale. En sus de ces tâches principales, les trois sous-équipes participent à l’organisation de diverses manifestations, au transport du mobilier scolaire, à l’entretien des forêts et aux réparations intérieures et extérieures des bâtiments communaux.

En 1987, Jean-Luc Gilliard est engagé comme collaborateur technique et en 1988 Jacques Chollet est nommé adjoint du chef du Service des travaux, Claude Pache.

Dès le 1er janvier 1991, le Service des travaux est divisé en deux nouveaux services. Le Service des travaux reste, mais se concentre dorénavant sur les routes, l’assainissement (collecteurs) et les espaces verts. Il est constitué d’un bureau administratif et d’une équipe des travaux. La nouveauté réside dans la création d’un Service de l'urbanisme et des constructions, qui reprend à sa charge la police des constructions, l'aménagement du territoire et la surveillance des constructions communales, fonctions jusqu’alors accomplies par le Service des travaux.

Le nouveau service des Travaux est dirigé par M. Jacques Chollet. Claude Pache, quant à lui, prend pendant quelques mois la direction du Service de l’urbanisme et des constructions avant de prendre sa retraite au printemps 1991, après plus de 40 ans passé au Service des travaux.

L’effectif reste grosso modo le même (21 employés en 1991), l’engagement de nouveaux employés compensant les transferts au Service de l’urbanisme et des constructions.

En 2007, Jacques Chollet quitte son poste et un nouveau chef de service est nommé en la personne de Philippe Coquerand. Ce dernier prend également la direction du Service des domaines, bâtiments et gérances, l’idée étant alors de créer un grand Service des travaux et des domaines. Peu concluante, cette expérience est abandonnée après peu de temps. M. Philippe Coquerand, engagé au départ comme chef de ce nouveau super-service, devient alors chef du seul Service des Travaux, tandis que le Service des Domaines, Bâtiments et Gérances regagne son autonomie.

Montreux - Village des Planches

  • CH - Montreux--04
  • Corporate body
  • inconnu - ce jour

L’administration du village des Planches, métralie sous l’Ancien Régime puis fraction de la Commune des Planches et enfin fraction de la Commune de Montreux, s’est semble-t-il constituée autour du four banal, bien administré en commun par les habitants du village. En effet, les documents les plus anciens du fonds émanent du Conseil des propriétaires du Four (procès-verbaux A1 à A4) ou concernent directement le four (E2 à E10, à l’exception de E3). Le fait qu’aient été conservés avant tout les documents ayant rapport au four confirme l’importance accordée au four, non seulement pour son côté indispensable dans la vie des habitants, mais certainement également parce que l’installation commune a « légitimé » la naissance de l’administration du village.

Outre la gestion de ce four, l’administration du village des Planches a eu la charge de la gestion de son eau, et ce, depuis le XVIIè siècle. En effet, une décision baillivale datée de 1616 atteste de la propriété en commun des administrations des Planches et de Chênes et Sâles sur les eaux provenant de la source du Maralley, en-dessus de l’Eglise paroissiale . Ce document confirme une pratique déjà existante, donc antérieure à la date de 1616. Par la suite, la gestion, la distribution, la vente ainsi que les travaux d’amélioration du captage des eaux occupent en grande partie les autorités villageoises, comme en attestent les 33 entrées HA de l’inventaire (3 cartons recoupant 270 ans d’exploitation de la source). Cette gestion occasionnera d’ailleurs quelques heurts avec les propriétaires adjacents des terrains où sourd l’eau ou avec certains abonnés au réseau d’eau . De même, la construction de l’autoroute du Simplon et du tunnel de Glion donnera lieu à des études techniques afin de se prémunir de toute baisse éventuelle du débit de la source du Maralley.

Enfin, si le village des Planches a conservé son statut de fraction de commune, il est intéressant de constater qu’il le doit avant tout à son autorité en matière de gestion des eaux. En effet, alors que les fractions de communes sont autorisées à prélever des impôts pour subvenir à leurs besoins, le village des Planches n’a plus sollicité d’arrêté d’imposition auprès du Conseil d’Etat depuis 1926, date à laquelle la plupart des fractions de la Commune des Planches disparurent suite à la reprise en main par cette dernière des services publics que les villages assumaient jusque là. Seuls Glion et Les Planches restèrent alors des fractions de commune .

A noter encore les documents classés sous U1, qui font référence dans les autres villages de la commune de Montreux. Le village des Planches a en effet demandé un avis de droit sur son statut de fraction de commune. Intéressants également, les documents Y1 qui concernent la convention qu’a passée le village des Planches avec la société électrique Vevey-Montreux concernant le tramway qui dessert le village.

Montreux - Village de Glion

  • CH - Montreux--07
  • Corporate body
  • inconnu - à ce jour

Comme dans nombre d’autres villages de la paroisse de Montreux, l’origine de l’organisation villageoise de Glion est incertaine. Le premier document présent dans le fonds remonte à 1693. Cette pièce, qui est la première attestant d’une organisation autonome à Glion est un règlement pour la fontaine que possèdent en commun les « possesseurs de terres et bâtiment rière le district de Glion » .

L’organisation d’un village autour d’une fontaine ou d’un four est fréquente dans la Paroisse de Montreux. Mais alors qu’au Châtelard, les villages ou « métralies » servent de base à l’organisation de toute la communauté, aux Planches, il n’y avait pas de représentation des villages dans les organes communs. Ainsi, les gens de Glion accèdent aux charges communales, mais le village n’envoie pas de délégués dans les organes communaux. A Glion, les habitants s’assemblent pour discuter de leur approvisionnement en eau. Et cette question va animer le village pendant plus de trois siècles : l’eau est apparemment trop rare sur le Scex et les besoins du village vont aller croissant avec l’arrivée de l’hôtellerie et des touristes.

Le fait que les villages de Montreux assument des services publics (et en particulier la distribution de l’eau) fait qu’ils seront assimilés à des fractions de Commune par la loi vaudoise du 2 juin 1815. Ce nouveau statut les autorise à prélever des impôts. A Glion, ce sera le cas à partir de 1874. Corollaire de ce nouveau statut, les comptes du village doivent dès lors être visés par la municipalité des Planches et par le préfet.

Si l’apport en eau du village s’améliore grâce à l’intervention généreuse d’Henri Nestlé en 1878, la question continue à agiter le village au XXème siècle. Et alors que, en 1927, la commune des Planches reprend à son compte l’éclairage et la gestion de l’eau et fait disparaître plusieurs de ses villages, la fraction de commune de Glion persiste, grâce à la distribution de l’eau.

Mais l’eau sera malheureusement également la cause de la dissolution de l’administration du village. En effet, en 1945, Glion vit un épisode de fièvre typhoïde qui fait 16 morts et rend malade plus de 100 personnes. La gestion « milicienne » des eaux par le village est clairement mise en cause par le collège d’expert chargé de faire la lumière sur cet épisode tragique. Epuisé par les dédommagements et les actions en justices qui suivent cet événement, le village vend son réseau d’eau à la Société des Eaux Vevey-Montreux en 1952, et la fraction sera finalement dissolue par le Conseil d’Etat en 1955. L’administration du village se réunit encore à quelques reprises pour liquider ses dernières affaires et met un terme définitif à ses activités le 16 novembre 1957.

Société Coopérative d'habitation de Montreux (SCHaM)

  • CH - Montreux--15
  • Corporate body
  • 1930-2007

La crise économique engendrée par le crash de Wall Street en 1929 laisse des milliers de chômeurs. La Suisse est également touchée. Les hôteliers et les commerçants n’arrivent plus à faire tourner leurs établissements. La pauvreté atteint la majorité de la population. Des collectes se font alors et à Montreux, les communes du Châtelard et des Planches organisent des distributions de soupes populaires pour les nécessiteux.
C’est en 1931 que les premiers écrits de la Société Coopérative d’Habitation de Montreux apparaissent. Avec l’augmentation constante des loyers et le salaire inexistant d’une bonne partie des habitants, il devient important d’établir un plan d’amélioration des conditions de logement à Montreux. Une assemblée préliminaire est organisée afin de discuter de ce problème. Lors de cette assemblée on en arrive à la conclusion suivante : le moyen le plus efficace est de construire de nouveaux immeubles dont les coûts de construction et d’exploitation soient réduits au strict minimum.
Cette solution est retenue et une assemblée générale de la Société est organisée le 19 février 1932
Dès lors, des démarches sont entreprises pour trouver le terrain, assurer le financement et élaborer des plans. Les premiers immeubles à voir le jour se trouvent au Brayères à Clarens. Les autorités accordent un appui hypothécaire de FR. 135’000 pour une durée de 10 ans.
Cependant en 1933 un référendum contre la décision du Conseil communal est lancé. Il faut alors se défendre auprès du corps électoral, mais le verdict populaire est favorable à la SCHaM. Les rivaux ne cherchent alors de lancer des oppositions à la construction. Le jeu de la concurrence marche pourtant pour la SCHaM. Les constructeurs débutent les travaux alors que la 3ème enquête publique n’est pas encore ouverte. L’utilisation des machines est totalement interdite, grue prohibée également été le béton est mélangé sur place, les ouvriers travaillent alors avec la pioche et la pelle.
Les logements sont disponibles en mai 1934, 30 appartements loués à la fin de la même année.

Par la suite, la guerre de 1939-1945 ainsi que la crise économique de 1930 à 1037met un frein aux activités de la SCHaM. Après cette longue période, un nouvel essor est donné dans le but de relance économique. Un premier groupe de maisons familiales voit le jour à Belmont, suivi 2ans plus tard d’un deuxième groupe. Au total 22 immeubles sont construits.

En 1949 les immeubles les Amandiers apparaissent aux Planches. Pour bénéficier des dernières subventions, la société met en chantier un nouvel immeuble sur un terrain vendu par la commune qui se veut bienveillante à leur égard. 31 appartements sont alors construits.

En 1953 le canton de Vaud édicte une loi prévoyant des mesures destinées à compenser la suppression du subventionnement dans le domaine du logement, occasion que la société saisi afin de mettre en chantier deux immeubles. Les immeubles Les Trois-Tilleuls comptant 16 appartements prennent leurs quartiers à la rue de l’Ancien-Stand.

Viennent ensuite en 1955 les immeubles Les Lauriers. Il y a 1 studio et 20 appartements.

Entre 1959 et 1960 Une nouvelle loi cantonale sur le logement est adoptée le 27 mai 1957. L’Etat de Vaud met une nouvelle tranche de 20 millions de francs en faveur des constructeurs. La commune de Montreux-Planches offrant à La SCHaM un terrain à Territet, celle-ci saisi l’occasion est créé 20 appartements appelés les Genêts.

La Société Coopérative Immobilière et Montreux (SOCIM) et la SCHaM construisent conjointement deux immeubles de 30 appartements chacun aux Ormes, derrières les bâtiments des Bouleaux à Clarens. Ceux-ci sont construits entre 1974 et 1975.

Enfin, dès 1963, les premières études débutent pour l’utilisation des terrains situés aux Taux. En raison de la configuration peu avantageuse des terrains avec des moyens d’accès difficiles, les études se prolongent jusqu’en 1968. La construction peut alors commencer. Cet immeuble, réalisé selon les dispositions de la loi fédérales, touche des subsides de la Confédération, de l’Etat de Vaud et de la Commune de Montreux (Montreux-Châtelard et Montreux-Planches ayant fusionnés en 1962). En raison des mesures prises en matière d’économies financières, la Confédération supprime sa subvention. 30 appartements sont finalement construits entre 1968 et 1969 aux Arolles.

Enfin, entre 1988 et 1989 la commune de Montreux met à disposition des terrains à Clarens pour la SCHaM. L’immeuble des Tamayas, entre la rue des Verges et la rue Marc-Dufour, est le dernier immeuble sous le contrôle des services cantonaux et communaux. Il compte en tout 42 appartements et 2 studios.

Au total 219 appartements ont pu être construits entre 1932 et 1989.
A l’occasion de son 50ème anniversaire, en 1983, la société a fait part de sa motivation à poursuivre son œuvre débutée en 1932.

Depuis 1989 la SCHaM n’a pas créé de nouveaux appartements mais s’est engagé à rénover et à rénover les immeubles de l’époque. Ainsi des ascenseurs ainsi que les tuyauteries, chauffage, sanitaires, salle de bains et cuisines ont été remplacés. Ces rénovations ont eu lieu sur 5 immeubles entre 1995 et 2011.

SOUCRCES : Journal édité à l’occasion du 50ème anniversaire de la Société Coopérative d’Habitation de Montreux (SHCaM), octobre 1983
Journal édité à l’occasion du 75ème anniversaire de la Société Coopérative d’Habitation de Montreux (SCHaM), juin 2007

Amicale fribourgeoise des Avants et environs

  • CH - Montreux--16
  • Corporate body
  • 1945 - 2013

Amicale fondée en 1945.
Présidents: Fernand Philipona (1945 - 1961), Gilbert Pilloud (1961 - 1987), Xavier Sansonnens (1987 - 2001), Armand Vuichard (2001 - 2013)
En août 1960, l'Amicale organise la première Bénichon aux Avants.

Kramer Société anonyme (SA)

  • CH - Montreux--21
  • Corporate body
  • 1907 -

L'entreprise a eu plusieurs noms, entre autres:
Maison Kramer
Kramer frères
Kramer frères Société anonyme (SA)
Kramer Société anonyme (SA)
Kramer-Krieg Société anonyme (SA), dès 1996, date de la fusion avec l'entreprise Krieg établie à Lausanne depuis 1867.

L’histoire de Kramer débute en 1907 à Montreux, avec la fondation d’une papeterie-bazar, complétée en 1943 par un magasin à Vevey. La société développe ensuite ses services aux professionnels, en acquérant une manufacture de papier et une société de distribution à Lausanne.

Yves Kramer était le président de la société jusqu'en 2017, date de la reprise par la société Amiguet-Martin Duplirex.

Le Mont-sur-Lausanne - Commune

  • CH - Le Mont-sur-Lausanne - Administration communale
  • Corporate body

Commune du district de Lausanne, au nord de l'agglomération lausannoise, à la lisière des bois du Jorat, se composant du Petit-Mont, du Grand-Mont et des Planches. Première mention en 1237 (Monte super Lausannam). 514 habitants en 1764, 658 en 1798, 1000 en 1850, 1099 en 1900, 1383 en 1950, 2692 en 1970, 5182 en 2000. Au Moyen Age, Le Mont-sur-Lausanne, divisé en plusieurs petits fiefs, dépendait de l'évêque de Lausanne. Il fit partie du bailliage bernois de Lausanne de 1536 à 1798, puis du district de Lausanne. Au XVIIIe s., la commune était administrée par un grand gouverneur, un maréchal et trois petits gouverneurs (un par hameau). Au militaire, ses habitants marchaient sous la bannière de la Cité. La chapelle de Saint-Jean l'Evangéliste, filiale de la paroisse Saint-Paul à Lausanne, était située près du cimetière actuel. Après la Réforme, Le Mont-sur-Lausanne. devint paroisse (foraine en 1545, avec pasteur résident en 1811). Le temple actuel, en Coppoz, date de 1797, la cure de 1835. Dès 1906, le village fut relié à Lausanne par le tramway. La grande salle du Petit-Mont fut inaugurée en 1955, le nouveau centre administratif et scolaire en 1991. Depuis 1960, la commune qui vivait principalement d'agriculture, devint une commune résidentielle et industrielle à la suite de la création des quartiers de villas du Petit-Mont, des Planches et de la Perrause et des zones industrielles du Rionzi, de Budron et de la Clochatte. (François Béboux, "Mont-sur-Lausanne, Le", in Dictionnaire historique de la Suisse, version du 02/12/2008, URL: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F2409.php)

Nouvel Orchestre de Montreux

  • CH - Montreux--25
  • Corporate body
  • 1987-2001

" Nouvel Orchestre de Montreux (1987-2001)
(Ensemble Orchestral de la Riviera)

Choisir de s'appeler le Nouvel Orchestre de Montreux (NOM), c'est accepter le lourd héritage du prestigieux Orchestre du Kursaal, disparu depuis 1914. Lorsqu'il fonde cet orchestre de chambre en 1987, le chef hongrois Andras Farkas ne redoute pourtant pas la comparaison avec Ernest Ansermet: en plus de combler un vide auprès du public de la Riviera vaudoise, son orchestre de chambre est surtout le bienvenu pour les jeunes musiciens professionnels romands. C'est à la suite d'une demande du festival d'Honfleur qu'Andras Farkas décide de réunir un orchestre formé de musiciens libres de tout contrat. Constatant alors la difficulté pour ceux-ci de trouver un orchestre et encouragé par le succès des concerts d'Honfleur, il choisit de continuer l'aventure. Le premier concert a lieu le mardi 24 février 1988 dans la salle du Pavillon de Montreux. Le Rondo hongrois de Kodaly, le Concerto en ré de Haydn et la Symphonie en do de Mozart sont interprétés avec, notamment, Philippe Schiltknecht au violon solo.

De 1987 à 1994, l'orchestre dirigé par Andras Farkas se produit à Montreux et en Suisse romande, interprétant autant de la musique baroque que contemporaine. Il donne des concerts d'abonnement depuis 1988, au Pavillon de Montreux. Pourtant, s'il bénéficie du soutien de la municipalité de Montreux, d'un conseil de fondation et du public montreusien, le NOM rencontre des difficultés financières. En outre, le départ d'Andras Farkas en 1994 laisse l'orchestre sans chef attitré. Ce sont alors Mathias Aeschbach, Tibor Varga et Hervé Klopfenstein qui se succèdent à la tête de l'orchestre.

Rebaptisé Ensemble Orchestral de la Riviera (EOR) en 1994, l'institution se renouvelle en quasi totalité, du Conseil de fondation aux musiciens de l'orchestre. L'ensemble, qui n'a toujours pas de chef titulaire, décide de ne jouer qu'avec des chefs invités. Désireux de toucher toute une région et non plus seulement la ville de Montreux, l'Ensemble Orchestral de la Riviera cherche également à investir l'auditorium Stravinski. Pourtant louable, la volonté de régionaliser l'institution va au contraire la desservir: plus vraiment implanté à Montreux, ni véritablement impliqué dans les autres communes, l'orchestre perd son identité et, conséquemment, son financement. Après plusieurs tentatives pour relancer l'institution, la fondation de l'Ensemble Orchestral de la Riviera se voit mise en liquidation en 2001.

SOURCES: sites et références mentionnés; "Nouvel Orchestre à Montreux", 24 Heures 1988/02/21; "Du Nouvel Orchestre à l'Ensemble orchestral: nouveau concept, nouveau conseil de fondation pour une phalange montreusienne visant la Riviera", 24 Heures, 1994/10/01; Tétaz, Myriam, "L'Ensemble orchestral de la Riviera se présente au public montreusien", 24 Heures, 1994/12/05; Isler, Joëlle, "Faute de sous, l'Ensemble orchestral de la Riviera risque bien de passer à la trappe", 24 Heures, 1996/01/31; Favez, Jacqueline, "Le public notera l'Ensemble orchestral de la Riviera", 24 Heures, 1997/04/10.
[BCUL/MU/nmo/2013/08/20] "

Tiré de : Bibliothèque cantonale et universitaire de Lausanne, Documentation vaudoise [en ligne], 20 août 2013, http://dbserv1-bcu.unil.ch/persovd/composvd.php?Code=N&Num=7184 (consulté le 22 janvier 2014)

Blonay - Commune

  • CH - Blonay
  • Corporate body
  • 1184 - nos jours

Comm. VD, distr. de Vevey dès 1798, comprenant B. (villages de Tercier et Cojonnex devenus quartiers de B.) et plusieurs hameaux (dont Les Chevalleyres), s'étageant de 500 m env. à 1400 m env. (Pléiades). Elle tire son nom de la famille de B. 861 Blodennaco, 1108 Bloniaco, XIIIe s. Blonay, Blonai, Blunai. 1244 hab. en 1764 (avec Saint-Légier), 800 en 1798, 832 en 1850, 1048 en 1900, 1351 en 1950, 4695 en 2000. Pierre à cupules, nécropole et vestiges préhistoriques. B. faisait partie de la seigneurie du même nom qui regroupait, à la fin du XIIe s., la terre de B., celles de Saint-Légier-La Chiésaz, de Corsier et de Vevey, mais qui sera divisée à plusieurs reprises (Saint-Légier-La Chiésaz échangé en 1363, racheté à la fin du XVIe s., puis passant par mariage aux Joffrey). En 1750, à la suite de difficultés financières, la seigneurie de B. fut vendue à Emanuel Franz Rudolf von Graffenried. Les seigneurs de B. eurent jusqu'en 1798 le droit de basse, moyenne et haute justice (le gibet est visible sur un plan de 1671), les droits de dîme, péage, chasse et pêche. Sous le régime bernois (1536-1798), B. fit partie du bailliage de Vevey. La communauté (affranchie de la taille en 1478 seulement) était administrée au XVIIIe s. par deux conseils (des Douze et des Vingt-Quatre). A la fin du XVIIIe s., B. était la commune la plus rurale du bailliage de Vevey. Le 76% de sa population dépendait du secteur primaire (viticulture, céréaliculture, élevage). A l'aube du XXe s., l'agriculture restait encore l'occupation principale de la population. Les Bains-de-l'Alliaz exploitèrent au XIXe s. une source sulfureuse. Le développement de B. fut favorisé par le chemin de fer Vevey-B.-Chamby, inauguré en 1902, et par la crémaillère B.-Les Pléiades, en fonction dès 1911. L'activité de B. suivit l'évolution économique du district, dépendante de l'essor du tourisme régional d'avant la Première Guerre mondiale. A la fin du XXe s., B. conserve un secteur agricole et viticole, mais la majorité de la population est active dans les secteurs secondaire et tertiaire, occupée surtout hors de la commune. Plan de zones de 1970 remanié en 1976. B. mise sur l'accueil de petites entreprises du tertiaire, le tourisme familial (ski et ski de fond aux Pléiades, remise en fonction de la ligne B.-Chamby en 1998, abandonnée durant les années 1960).
Elisabeth Salvi, "Blonay", in Dictionnaire historique de la Suisse, , URL: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F2612.php^, version du 18/06/2007 .

Fondation du Septembre musical Montreux-Vevey

  • CH - Montreux--30
  • Corporate body
  • 1946 -

Le Septembre musical est fondé en 1946 par M. Manuel Roth qui souhaite organiser une manifestation musicale sur la Riviera suite au séjour de quelques musiciens célèbres dans la région (Igor Stravinski, Maurice Ravel). M. Manuel Roth sera directeur du festival jusqu'en 1967. Il sera succédé par M. René Klopfenstein (de 1968 à 1983), M. Yves Petit de Voize (de 1984 à 1995), M. Christian Chorier (de 1996 à 2001), M. Karl Anton Rickenbacher (de 2002 à 2004), M. Tobias Richter qui depuis 2005 occupe le poste de directeur du festival.
Le festival se passe pendant trois semaines au mois de septembre et a lieu dans différentes salles de Montreux et Vevey.

Montreux - Village de Territet-Collonge

  • CH - Montreux--32
  • Corporate body

Les villages de Territet et Collonge ont voté leur fusion en 1914.
La dissolution de l'administration du village a été approuvée par l'assemblée générale des propriétaires le 15 juin 1927

Familles bourgeoises de Brent

  • CH - Montreux--46
  • Corporate body
  • 1486 - nos jours

L’histoire orale fait remonter le nom de Brent au temps des celtes, « bran » ayant alors la signification de chef. On peut en déduire, qu’au haut Moyen Âge, le village de Brent abritait le chef de la communauté du Châtelard. Cette hypothèse est corroborée par la présence, à Brent, d’un châtelard, sorte de rempart fortifié qui offrait refuge à la population en cas de menace.
Au Haut Moyen Âge, les villages des hauts du territoire du Châtelard tenaient les premiers rôles. L’aval du territoire n’était pas du tout colonisé, Brent Chailly et dans une moindre mesure, Chernex, étaient parmi les villages les plus en vue.
Avec la pacification de la région, l’épicentre de la communauté va lentement « descendre », à partir du XVème siècle, et Brent sera progressivement marginalisé. En premier lieu, avec l’édification, par Jean de Gingins, du château du Châtelard, à Tavel qui remplacera la cachette ancestrale de Brent et offrira refuge en cas d’attaque. Mais également, en deuxième lieu, avec le règlement dont la communauté du Châtelard se dote en 1496 : celui-ci codifie le fonctionnement de la communauté et l’élection du chef, qui ne sera plus dorénavant toujours originaire de Brent.
Brent fera bientôt à nouveau office d’épicentre de la communauté, du moins du point de vue commercial. En effet, en 1486, le duc de Savoie octroie au village un droit de foire. Cet acte est un véritable privilège, tant il est rare. On peut s’essayer à plusieurs explications sur les raisons de l’octroi de ce privilège : compensations pour les changements récents à la réparation d’une injustice suite à une affaire de peaux de moutons, en passant par la simple demande des gens de Brent.
Même si le rassemblement n’a pas lieu de manière très régulière avant le XVIIème siècle, la foire va redonner une notoriété régionale à Brent.
Autre particularité du village de Brent, la présence sur son territoire d’une chapelle, deuxième lieu de culte dans la paroisse de Montreux. Les raisons de l’édification de ce bâtiment ainsi que l’établissement d’un deuxième culte dans la paroisse ne sont pas connues à ce jour.
En 1887, l’assemblée des propriétaires du four de Brent arrête un règlement : le règlement l’association du four de Brent. Dans un premier temps, il s’agissait de créer une société, mais sur conseil du préfet, les bourgeois de Brent ont opté pour l’association et l’inscription au registre du commerce. A partir de 1888, le four de Brent est géré par une association à la tête de laquelle se trouve un régisseur-caissier. Brent se distingue donc des autres villages de la paroisse de Montreux où les administrations de villages (fractions) sont gérées par une assemblée à la tête de laquelle se trouve un gouverneur et qui prélèvent des impôts. Le règlement stipule à son article 13 qu’en cas de dissolution de l’association, ses biens doivent aller au village de Brent. Mais il semblerait qu’il ne faut pas comprendre par là qu’il existe une administration de village en sus de l’association des propriétaires du four. Quant à ses revenus, détaillés à l’article 11, ils proviennent exclusivement de la location du four et des intérêts de capitaux placés.
Toujours dans ce règlement de 1888 il est fait mention des familles bourgeoises de Brent qui sont les suivantes : Borcard, Burdet, Chevalley, Cuenet, Dufour, Masson, Besson, Mury, Cochard, Dériard et Ducret.

SIC - Société industrielle et commerciale de Prilly et environs

  • CH - SIC Prilly et environs
  • Corporate body
  • 06.09.1984-2015

La Société Industrielle et Commerciale de Prllly et Environs (SIC) fut fondée lors d'une assemblée constitutive le 6 septembre 1984 à Castelmont. Dans le cadre de ses statuts, elle déploie ses activités dans la défense et le développement de l'économie régionale dans un environnement en constante mutation.
Cette nouvelle société résulta de la fusion de deux associations préexistantes. La première, appelée Association des Commerçants de Prilly (ACP), avait été créée le 17 octobre 1937. Elle s'agrandit dès 1944 en intégrant de nouveaux membres artisans et se nomma dès lors ACAP. Quant à la seconde, appelée Société des Intérêts de Prilly (SIP), elle avait été fondée en 1979.

​Au fil des années, l'expérience avait démontré les limites de la coexistence des deux anciens groupements ayant des buts similaires, d'où la nécessité d'une entente en vue de la formation d'une seule société plus représentative de la complémentarité des branches d'activité. Cette réunion de toutes les synergies, qui répondait aussi aux vœux des Autorités communales, permit de coordonner les efforts fournis pour défendre avec conviction les intérêts communs des membres et consolider leur rôle d'acteur économique.
​Dès lors, les patrons des diverses PME de l'artisanat, du commerce, de l'industrie et des professions libérales devinrent des interlocuteurs reconnus dans les négociations sur les sujets qui touchent l'économie. De plus ils bénéficient aussi du service d'information de la Fédération Patronale Vaudoise, de ses publications, de son expérience et des nombreux autres services spécialisés de cette importante organisation faîtière vaudoise qui regroupe les « SIC » du canton.

Fondation Addiction, action communautaire, travail social (AACTS)

  • CH - Montreux--62
  • Corporate body

La Fondation AACTS (Addiction, Action Communautaire, Travail Social) a été créée le 21 mai 2012 et fait suite à la dissolution de l’Association ACT (Action Communautaire et Toxicomanie). L'association ACT avait repris plus tôt les activités de Le Clodo.

Châtelard School - Les Avants

  • CH - Montreux--65
  • Corporate body
  • 1929 - 1989

Ouverte en 1927 près du Château du Châtelard par Mlle Dorothy Braginton, la Châtelard School est une pensionnat pour jeunes-filles, majoritairement britanniques. Le premier bâtiment devenant rapidement trop petit, l'école déménage à Chamby, à l'Hôtel des Narcisses, puis, en 1937, au Grand Hôtel des Avants.
Pendant la guerre, l'école a été transférée au Pays de Galles, pour rouvrir dans les années 1950. En 1977, après la chute de la livre anglaise, l'établissement est racheté par M. Robert Eckert qui tient l'institution jusqu'en 1989.
En 1989, le bâtiment est vendu à un promoteur qui souhaite en faire des appartements. Ce projet ne verra jamais le jour, et, en 1992, le bâtiment est réaffecté à un nouvel internat: Le Châtelard Academy.

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