Showing 349 results

Authority record
Corporate body

Châtelard, Le - Commune

  • CH - Montreux--02
  • Corporate body
  • 13ème siècle - 1961

En 1962, les communes du Châtelard et des Planches ont fusionné pour donner naissance à la commune de Montreux.

Prilly - Administration générale

  • CH - Prilly - Administration générale
  • Corporate body
  • 1798-nos jours

De la création de la Commune aux années 1930, les fonctions de secrétaire municipal et de greffier, comme la plupart des autres fonctions administratives, étaient assumées par un secrétaire municipal exerçant ses fonctions en plus d’une activité professionnelle. Parmi ces secrétaires municipaux non permanents, nous pouvons citer M. Girardet (Jean-Louis) de 1833 à 1844), M. Girardet (Marc) de 1856 à 1874, M. Rouffy (Marc) de 1874 à 1889, M. Emery (Gustave) de 1905 à 1913, M. Chabanel (Armand), de 1914-1917 ou encore M. Cottier (Emile), de 1922-1928. Voir : Secrétaires municipaux.xls.

En 1930, le premier secrétaire municipal à titre permanent est engagé en la personne de M. Magnenat (Ernest). M. Schertenleib (André) dans son ouvrage « Prilly à l’ombre d’un Tilleul écrit : « En décembre 1929, la Municipalité obtient du Conseil la création d’un poste [de secrétaire municipal à plein temps] qui inclura, outre le Greffe municipal, la comptabilité communale, le boursier restant responsable du mouvement en espèces. »
En 1939, M. Magnenat (Ernest) crée un Service de l’Economie de guerre (exigence cantonale et fédérale), une apprentie est engagée à titre d’aide de bureau. Le Service d’extension des cultures est également créé à cette époque, dans le but de maximiser l’utilisation des sols pour l’agriculture et ainsi d’assurer l’approvisionnement en nourriture de la population.
En 1945, l’Administration générale, constituée du Greffe et du Secrétariat de la Municipalité, engage deux sténo-dactylographes. L’effectif de l’Administration générale est donc de trois employés. Le Service de l’Economie de guerre est fermé en 1948 et induit la diminution d’un poste.
Le rapport de gestion de 1950 donne un aperçu de quelques autres tâches sous la responsabilité de l’Administration générale et remplies de manière accessoire : M. Magnenat (Ernest), secrétaire municipal, est également préposé à l’agence AVS ; M. Girardet (Eugène) est au Contrôle des prix ; M. Duruz (Edouard), policier, s’occupe de la Protection ouvrière et Registre, M. Bally (Henri) du Contrôle des denrées alimentaires. En 1957, M. Bally (Henri) devient officier d’Etat-civil, également sous la responsabilité de l’Administration générale.
En 1952, après les travaux d’aménagement de locaux administratifs au Château, l’Administration générale partage un bureau au premier étage avec le boursier.
En 1959, l’effectif permanent de l’Administration générale comprend 1 secrétaire municipal, 1 adjointe, 1 sténodactylographe et le concierge du Château. Mme Turrian (Rosette) est engagée comme secrétaire municipale adjointe. De 1959 à 1965 le nombre de sténo-dactylographes passe de 1 à 4. 1 apprenti et 1 assistante sociale sont également engagés durant cette période.

En 1965 toujours, M. Magnenat (Ernest) prend sa retraite après 35 ans de service. Dans le rapport de gestion de 1965 il est écrit : "Incontestablement M. Magnenat a marqué l'Administration communale du sceau de sa forte personnalité; il est à l'origine de son organisation actuelle, à laquelle il a apporté son intelligence et son dévouement. Il fut le premier secrétaire permanent de notre commune; c'est lui qui a mis sur pied, entre autres, l'économie de guerre en 1939-1945, l'agence AVS communale et l'Office du travail, lui aussi qui a instauré le système de comptabilité".

Le nouveau secrétaire municipal, M. Gaudard (Alain), entre en fonction le 1er janvier 1966. Rosette Turrian, quant à elle, passe à la Bourse communale et devient cheffe du Service de comptabilité. Le personnel social de l’Administration générale se renforce ; 1 assistant social, 1 préposé AVS et 1 préposé à l’Office du travail sont engagés.

En 1967, l’Administration générale, la Bourse communale et les Oeuvres sociales sont sous le même dicastère. Dix employés administratifs et un concierge travaillent dans cet ensemble.

Les Œuvres sociales et le personnel social quittent l’Administration générale et les Finances en 1970 pour le dicastère des Domaines et Œuvres sociales.

M. Magnenat (Ernest), qui était resté le préposé communal à la défense économique après avoir pris sa retraite en 1965, quitte définitivement l’Administration communale en 1972. Il est remplacé par M. Duruz (Edouard).

En 1974, M. Pointet (Jean-François) est engagé en tant que secrétaire municipal adjoint. Il est également responsable de la section des Domaines et Bâtiments.

En 1976, l’Administration générale et la Bourse communale ne sont plus sous le même dicastère. L’effectif de l’Administration générale (y.c. Office du travail) est alors de 5 employés administratifs, 2 apprentis et 1 concierge.

En 1981, le concierge du Château est regroupé, avec les autres concierges communaux, sous la responsabilité du Service des Domaines et Bâtiments. L’Administration générale prend en charge la gestion de l’exploitation de la nouvelle piscine de la Fleur-de-Lys.

En 1981, la fonction de secrétaire municipal adjoint est séparée de celle de chef du Service des Domaines et Bâtiments. M. Pointet (Jean-François) opte pour la fonction de chef du Service des Domaines et Bâtiments et quitte donc l’Administration générale. Le rapport de gestion de 1981 rapporte que son remplacement par M. Lenoir (Philippe) se traduit par un échec. Suite à cet épisode, la Municipalité renonce à l'engagement d'un secrétaire municipal-adjoint et nomme Mme Vezzoni-Feusier (Antoinette), jusqu'alors secrétaire au greffe municipal, en tant que cheffe de bureau. La Municipalité lui confie une partie des tâches prévues au cahier des charges du secrétaire municipal adjoint.

La gestion de la Fleur-de-Lys passe sous la responsabilité des Domaines.

La Bibliothèque municipale de Prilly et créée et inaugurée en 1984. Mme Demierre (Oriane) est engagée comme responsable de la bibliothèque jeunesse et Mme Borboen (Anne) comme responsable de la bibliothèque adulte; deux autres aides bibliothécaires sont engagées. La nouvelle bibliothèque est administrativement placée sous l’Administration générale, mais passe sous la responsabilité des Ecoles en 1985.

En 1989, Mme Barraud (Madeleine) fête ses 25 ans de service en tant que secrétaire au sein de l’Administration générale.

M. Gaudard (Alain) prend sa retraite en 1992 après 27 ans passé au poste de secrétaire municipal et chef du personnel. Il est remplacé au début de l’année 1993 par Mme Malherbe (Gladys).

En 1994, l’effectif jusqu’alors stable passe de 6 employés et 3 apprentis à 4 employés et 3 apprentis. Cette même année, le rôle d’impôt est transféré du Greffe au Contrôle des habitants.

En 1997, la Municipalité engage deux agents de police pour des tâches de responsable de l’informatique. Il s’agit d’Olivier Martin et Lionel Mayerat, à qui l’on donne la charge de transformer le système informatique communal, de remplacer le matériel obsolète et de la formation. En 1998, Olivier Martin est nommé chef du Service informatique. Ce nouveau service est administrativement dépendant de l’Administration générale.
En 2000, Mme Malherbe crée un poste d’archiviste, afin de se décharger de cette responsabilité. Mme Friedmann-Perreten (Delphine) est engagée. Son poste est réparti entre 4 communes, soit Prilly (50%), Ecublens (25%), Chavannes-près-Renens (20%) et Jouxtens-Mézery (5%), mais son contrat est établi avec la Commune de Prilly.
En 2003, les organistes des lieux de cultes et les bibliothécaires passent sous la responsabilité de l’Administration générale. L’effectif est à ce moment là de 5 employés administratifs (y.c. l’archiviste), 12 apprentis (travaillant dans tous les services de l’administration), 2 informaticiens, 3 bibliothécaires et 2 organistes.
Mme Vezzoni-Feusier (Antoinette), secrétaire municipale adjointe, prend sa retraite en 2006 ; Mme Agostini (Bianka) lui succède (2006-2010).
En 2007, Mme Malherbe (Gladys) prend sa retraite ; Mme Mojonnet (Joëlle) lui succède (2007-xxxx).
A partir de 2007, l’effectif de l’Administration générale ne tient plus compte des apprentis, il reste donc 5 employés administratifs, 2 informaticiens et 4 bibliothécaires. Les deux organistes ont rejoint les Ecoles.

En 2008, les quatre employés de l’Office de la Population (ancien Contrôle des habitants) rejoignent l’Administration générale. Cet office était auparavant attaché à la Police, mais cette dernière est devenue intercommunale en 2008 (Police de l’Ouest POL).

En 2009, l’effectif est de 5 employés administratifs, 2 informaticiens, 4 employés à l’Office de la Population et 3 bibliothécaires.

L’Administration générale déménage en 2009, en même temps que le reste de l’administration du Château vers le site de Corminjoz. En 2011, elle fait le trajet en sens inverse pour prendre possession des nouveaux locaux du Château.
Suite au départ de Mme Agostini (Bianka) en 2010, Mme Keberlé-Joyet (Christine) reprend le poste de secrétaire municipal adjointe en 2011.

Jouxtens-Mézery - Commune

  • CH - Jouxtens-Mézery - Administration communale
  • Corporate body
  • 1798-nos jours

Les autorités communales sont constituées de la Municipalité, composée du syndic et de 4 Municipaux. Le Conseil communal a remplacé le Conseil général dès le 1er janvier 1990.
L'administration communale de Jouxtens-Mézery est constituée d'un/e secrétaire municipal/e et, depuis xxxx, de secrétaires qui se répartissent l'ensemble des tâches de l'administration.
Liste des secrétaires municipaux:
1950-1956: Rapin (Ch.)
1956-1958: Bally (L.)
1959-1983: Debély (Jean-Louis)
1984-sept. 1985: Pauchon (Willy)
sept. 1985- mars 2007: Zoëll (Christine)
2007- mai 2017: Monod (Christian)
juillet 2017 - ... : Bergmann (Mme).

Lutry - Bourse communale

  • CH - Lutry
  • Corporate body
  • 1375 - à nos jours

Parmi les communes vaudoises, Lutry est l'une de celles qui possède les plus vieux registres de comptes. Avant elle, on trouve à Villeneuve des comptes déjà en 1283, et à Vevey en 1356, puis Lausanne en 1377, Yverdon en 1379, Nyon en 1386, etc.

Montreux - Villages de Chêne-Sâles-Crin

  • CH - Montreux--03
  • Corporate body
  • inconnu - ce jour

Il est impossible de dater de manière précise la naissance des villages de Chêne, Sâles et Crin. La première trace dans le fonds qui nous intéresse ici est une reconnaissance des prud’hommes de Sâles envers le seigneur du Châtelard qui délimite le territoire de Sâles en 1502.

Avant cette date , on trouve une mention de la Métralie douz Chanoz dans le règlement édicté par le seigneur du Châtelard en 1496 qui établit le fonctionnement d’un Conseil de 30 membres pour régir l’administration et la communauté du Châtelard . Comme certains autres villages, la Métralie en question est alors une fraction administrative du Châtelard qui sert de base à la représentation dans le Conseil des 30. En marge de ces activités politiques, les villages assemblés sous la présidence de gouverneurs s’occupent alors de la gestion de leurs biens (four et fontaines) et prennent des décisions qui concernent les intérêts de toute la communauté. Vu sa taille, la Communauté du Châtelard s’appuie sur les administrations villageoises et leur délègue certaines des attributions des communes précisées dans les lois bernoises de 1577 et 1616.

Le fait que, par délégation, les villages de Montreux assument des services publics (en particulier la distribution de l’eau) fait qu’ils seront reconnus comme fractions de Commune par la loi vaudoise du 2 juin 1815, statut que Sâles, Chêne et Crin ont conservé jusqu’à ce jour.

Les registres du fonds de Sâles, Chêne et Crin attestent de la tenue d’assemblées à partir du XVIIIè siècle. Si les registres sont tenus de manière séparées pour la métralie de Sâles (et Crin) et celle de Chêne (et Pallens), il n’est pas rare que les administrés de tous les villages siègent ensemble. À partir de 1807, on trouve des registres communs, mais ce n’est qu’en 1842 que l’assemblée décide qu’il n’y aura dorénavant plus qu’un seul gouverneur pour tous les villages.

Pour ce qui est des compétences propres aux administrations de Sâles, Chêne et Crin, celles-ci s’articulent avant tout autour de la sécurité (choix des gardes-champêtres) et de la gestion des eaux claires et sources. Ainsi une grande partie du fonds est liée à des questions relatives aux fontaines ou encore à la source du Maralley, qui est gérée en copropriété entre les villages de Chêne-Sâles-Crin et le village des Planches selon une décision baillivale de 1616. Dans la deuxième partie du XIXè siècle on voit d’ailleurs apparaître une commission des eaux composée de membres des villages de Sâles, Chêne et Crin ainsi que des Planches.
La gestion des eaux amène les administrés des villages à se prononcer sur l’entretien de leur(s) fontaine(s), des canalisations qui causent nombre de dommages aux bâtiments, routes ainsi qu’au pont, mais également sur la question de l’eau courante (1834 puis 1848), ou encore la gestion des abonnements à l’eau qui concerne autant des particuliers que des industriels. Ils font procéder à des analyses pour s’assurer de la salubrité et la qualité de leur source et se trouvent d’ailleurs mêlés à un conflit à ce sujet qui sera porté jusqu’au Conseil fédéral (affaire Ducret). La construction de la ligne de chemin de fer Montreux-Glion, et plus tard celle de l’autoroute du Simplon causeront d’autres soucis pour son exploitation. L’histoire de la source est encore marquée par d’autres problèmes, notamment un litige avec la société foncière de Bon-Port dans les années 1910-1920.

Parmi les autres attributions des villages, on voit apparaître la gestion de l’éclairage public en 1897, activité attestée jusqu’en 1926. Enfin, dans les années 1900, les constructions du chemin de fer et de la gare MOB à Montreux pousseront les villages de Chêne, Sâles et Crin à adresser leurs doléances concernant la fermeture d’un accès piétonnier à la gare au Conseil fédéral.

Enfin, « privilège » des fractions de communes, Chêne, Sâles et Crin peuvent prélever des impôts si cela s’avère nécessaire dans la gestion de leur service public. Ils doivent alors en faire la demande auprès du Conseil d’Etat : cette démarche est attestée par un arrêté d’imposition daté de 1928. On notera qu’alors, Sâles, Chêne et Crin sont les seuls villages de Montreux à figurer sur la liste…

Montreux - Village de Chailly

  • CH - Montreux--05
  • Corporate body
  • inconnu - à ce jour

Comme pour les autres villages de la commune de Montreux, il n’est pas possible de dater de manière précise la naissance de l’administration du village de Chailly. Néanmoins, on trouve une mention de la Métralie de Chaillex dans le règlement édicté par le seigneur du Châtelard en 1496 qui établit le fonctionnement d’un Conseil de 30 membres pour régir l’administration et la communauté du Châtelard . Comme certains autres villages, la Métralie en question est alors une fraction administrative du Châtelard qui sert de base à la représentation dans le Conseil des 30. En marge de ces activités politiques, les villages assemblés sous la présidence de gouverneurs s’occupent alors de la gestion de leurs biens (four et fontaines) et prennent des décisions qui concernent les intérêts de toute la communauté. Vu sa taille, la Communauté du Châtelard s’appuie sur les administrations villageoises et leur délègue certaines des attributions qui devraient lui revenir.

Le fait que, par délégation, les villages de Montreux assument des services publics (en particulier la distribution de l’eau) fait qu’ils seront reconnus comme fractions de Commune par la loi vaudoise du 2 juin 1815. Le statut de fraction sera abrogé à Chailly en 1939 par la dissolution de l’administration du village et la constitution de la société de développement de Chailly « dont chaque habitant serait invité à faire partie, Suisse ou étranger » . Cette citation marque clairement le changement entre la fraction de commune et la société de développement. En effet, l’administration du village de Chailly se pose fréquemment la question depuis le début du XXe : le fait que la fraction de commune rassemble les seuls propriétaires immobiliers de Chailly n’est pas conforme aux lois et constitutions. D’une part, une telle assemblée exclut les habitants qui ne sont pas propriétaires et instaure ainsi un cens, d’autre part, des étrangers propriétaires peuvent assister à ces assemblées et participer aux décisions alors même qu’ils n’ont pas le droit de vote auprès des autorités communales, cantonales et fédérales.

Cela étant, les registres attestent d’une activité continue de l’assemblée des propriétaires depuis 1650 jusqu’en 1939. 1650 est également la date du document le plus ancien conservé dans les archives du village (outre les comptes). Il s’agit de l’Extrait de la recognoissance du Village de Chailly es mains du Commissaire Dumaine (Place du four) . Durant ces nombreuses années, l’administration du village de Chailly a assumé des services publics qui ont trait à la sécurité (gardes-champêtres, guets puis pompiers) et à la gestion des eaux (entretien des fontaines, tuyaux de distribution, recherche de nouvelles sources ). Au tournant du XXè siècle, on voit apparaître parmi les attributions du village la question de l’éclairage public, mais aussi celle du rattachement téléphonique ou encore de la voirie (enlèvement des balayures).

Enfin, « privilège » des fractions de communes, Chailly peut prélever un impôt si cela s’avère nécessaire dans la gestion de ses services publics. Il faut alors en faire la demande auprès du Conseil d’Etat : cette démarche est attestée par une série d’arrêtés d’impositions délivrés par les autorités vaudoises . Il est intéressant de noter que, pour prélever ces taxes, l’assemblée procède, deux fois par année à un recensement de la population et du bétail. Absents dans les autres administrations villageoises à Montreux, ces chiffres permettent d’établir des statistiques démographiques.

Enfin, les archives de deux sociétés locales complètent le fonds. Il s’agit de la société d’assurance sur le bétail de Chailly , créée en 1869 et qui réunit les propriétaires de bétail des villages de Brent, Baugy, Tavel, Clarens, les deux Planchamp et Chailly ainsi que la société de laiterie (successivement Nouvelle laiterie de Chailly puis association immobilière de Chailly).

Literarischer Verein Montreux

  • CH - Montreux--10
  • Corporate body
  • 1972-2012

Successeur d'un premier Literarischer Verein Montreux fondé par F. Bolliger en 1924, le Literarischer Verein Montreux est fondé en 1972 par des germanophones. Le club a compté jusqu'à environ 170 membres. Les réunions avaient lieu une fois par mois. En 2007, le Literarischer Verein Montreux devient Kulturfreunde Riviera-Chablais. En 2013, suite au décès de son président, l'association est dissoute.

Office du tourisme de Montreux (OTM)

  • CH - Montreux--11
  • Corporate body
  • 1946-1991

1921 Naissance de la Société de développement de Montreux (résultant de la fusion de diverses sociétés qui œuvraient jusque-là au développement de la station).
1946 La Société de développement devient l’Office du tourisme de Montreux
1991 L’office du tourisme de Montreux devient l’Office des Congrès et du Tourisme de Montreux (OCTM)
2000 Fusion avec l’ADIVE (association des intérêts de Vevey et environs) pour donner naissance à Montreux-Vevey Tourisme.

Club Alpin Suisse (CAS), section Montreux

  • CH - Montreux--13
  • Corporate body
  • 1906 - ...

La section de Montreux du Club Alpin Suisse a été fondée en 1907 par des membres montreusiens de la section de Jaman du Club Alpin Suisse en raison du nombre croissant de ceux-ci et surtout de leur difficulté commune à suivre des réunions dans des locaux situés à l'extérieur de leur localité. La section, à l'origine exclusivement masculine, sera rejointe en 1980 par son pendant féminin, le Club Suisse des Femmes Alpiniste (CSFA), section Montreux.

Billard Club Prilly

  • CH - Billard Club Prilly
  • Corporate body
  • 1981-2012

1981: fondation du club de billard à Prilly, suite à la fusion des clubs de Prélaz-Ouest Prilly et Lausanne-Billard-Club.
2012: fusion avec le club de Renens, sous le nom de Billard Ouest Lausannois (BOL) dont le siège est à Ecublens.

Société anonyme de l'imprimerie Corbaz

  • CH - Montreux--27
  • Corporate body
  • 1899 - 2002

Charles [Corbaz (1873-1932), issu d'une famille d'imprimeur originaire du Mont-sur-Lausanne], fonde en 1899 l'imprimerie qui éditera le Messager de Montreux et le Journal suisse d'horlogerie. Georges (1901-1978) modernise l'entreprise, crée le Journal de Montreux. Jean-Paul (naissance 1934), reprend la direction générale en 1966. Il réalise en 1972 la fusion de son journal avec La Feuille d'Avis d'Aigle et le Courrier de Leysin pour fonder L'Est vaudois, aujourd'hui La Presse-Riviera-Chablais, après absorption de Riviera: Vevey-Montreux en 1993. Il vend le groupe à Edipresse en 2002.
Source : BERLINGER KONQUI, Marianne. Corbaz. Dictionnaire Historique Suisse. 2003. pp. 570-571

Billard Club Ouest Lausannois BOL

  • CH - BOL
  • Corporate body
  • 1942-2012

Assemblée constitutive du Billard-Club Renens à l'Hôtel de la Gare, en date du 27.03.1942. Le club se réunit à Renens entre 1942 et 2012. Le procès-verbal du 16.01.2012 précise que le Billard-Club Renens va déménager à Ecublens et changer de nom, pour devenir le Billard de l'Ouest Lausannois BOL.

Caux-Palace

  • CH - Montreux--48
  • Corporate body
  • 1900-1940

Durant la Belle Epoque la région montreusienne a connu un essor touristique fulgurant.
De très nombreux établissements hôteliers ont été modernisés, agrandis ou construits.

Caux, station d’altitude en dessus de Montreux avait alors déjà son Grand Hôtel. Ce dernier comptait parmi ses hôtes aussi célèbres que fortunés, Sissi l’Impératrice.
Cinq ans après l’ouverture de cet établissement, Ami Chessex, également propriétaire du Grand Hôtel de Territet, décida de construire sur les terrains qu’il possédait à Caux, un Palace !
Le Caux-Palace fût alors construit en 26 mois seulement. Il se voulait être le Palace de tous les records. Inauguré le 7 juillet 1902, le Caux-Palace avait plus d’un atout dans sa poche. Son emplacement géographique et sa promenade de plus de 400 mètres lui offraient une vue exceptionnelle, ses éléments architecturaux faits de tourelles le démarquaient notoirement, le luxe et le confort qu’il offrait à sa clientèle étaient sans égale !
Dès son ouverture l’établissement se révéla très rentable.
Toutefois, la Première Guerre Mondiale vint mettre un terme à cette époque fastueuse. L’ère du tourisme de luxe toucha à sa fin. Les hôtels se vidèrent et le Caux-Palace en fit partie. L’établissement fût même fermé durant cinq années. Par la suite, les dettes s’accumulèrent et les directeurs se succédèrent. En 1937, le Caux-Palace prit le nom de l’Hôtel Esplanade mais dû à nouveau fermer ses portes en tant qu’hôtel dès les premiers jours de la Seconde Guerre Mondiale. En 1944, durant la Seconde Guerre Mondiale, il fût rouvert par les autorités suisses pour y héberger des réfugiés juifs de Hongrie ainsi que des aviateurs anglais et américains évadés de camps de prisonniers du nord de l’Italie.

En 1946, Initiatives et Changement, connu à l’époque comme Réarmement Moral, acheta le bâtiment pour en faire son principal centre de rencontres en Europe. Dès l’été de cette même année, trois mille personnes séjournèrent à Caux. Des dortoirs furent installés et une partie des participants hébergés dans les autres hôtels désaffectés de Caux.
Entre 1946 et 1947, de nombreux travaux furent réalisés dans le Caux-Palace pour l’adapter à sa nouvelle vocation : transformation de la salle de bal en théâtre, nouveau hall d’accueil plus spacieux. Au printemps 1947, la Fondation de Caux, devant augmenter sa capacité d’accueil, acheta le Grand-Hôtel et l’hôtel Maria, puis en 1949 l’hôtel Alpina et divers chalets.
Au cours des 50 années suivantes, le Palace ne connût guère d’autres modifications.
C’est avec l’arrivée de SHMS (Swiss Hotel Management School) comme locataire dès 1995 que la Fondation de Caux put à nouveau rénover le bâtiment grâce au cofinancement de deux partenaires (L'école Swiss Hotel Management School (SHMS).
La rénovation la plus intéressante du point de vue du patrimoine fût la rénovation de la grande salle et de certaines pièces à valeur historiques en 2007 et 2008, avec l’aide de la Fondation Pro.
L’histoire du Caux-Palace peut être racontée et étudiée grâce aux très nombreuses sources originales et exceptionnelles de l’établissement et des différents propriétaires.

Société de jeunesse de Jouxtens-Mézery

  • CH - Société de Jeunesse de Jouxtens-Mézery
  • Corporate body
  • 1884 - (date inconnue)

Société fondée le 2 février 1884 à Jouxtens-Mézery par quelques jeunes gens de la localité.
Le 7 février 1884, nomination d'un comité:
E. Gaudard, président; J. Grin, vice-président; J. Blanchard, secrétaire; L. Bourgeois, boursier; E. Schopfer, huissier.

Association Suisse des Sous-Officiers (ASSO), section de Montreux

  • CH - Montreux--61
  • Corporate body
  • 1871-1996

La section des Sous-Officiers de Montreux s'est constituée en novembre 1871 afin de maintenir, même au civil, les liens tissés entre les sous-officiers lors de la mobilisation de 1870-1871. Dès lors, la section travailla à trouver une ligne de tir, à Sonzier, puis Chailly, puis enfin Villeneuve et à organiser des conférences.
En 1877, la section cherche des fonds pour s'offrir un étendard.
En 1921, à la sortie de la guerre, des festivités de trois jours marquaient le 50ème anniversaire de la section.
En 1971, la section organise son 100ème anniversaire, en collaboration avec la Société des Armes de Guerre de Montreux, fondée en 1870-
Enfin, en 1996, le 125ème anniversaire de la section est la dernière célébration de la section qui se dissout à la suite des festivités.

Fondation Théodore Strawinsky

  • CH - Montreux--67
  • Corporate body
  • 1991 -

La Fondation Théodore Strawinsky est une fondation à but non lucratif, créée le 22 novembre 1991 à Genève. Elle est inscrite au registre du commerce de Genève. En 2019, 8 personnes siègent au Conseil de Fondation.
Théodore Strawinsky désirait que l'on crée à Genève une fondation qui fasse vivre son œuvre et décerne annuellement un prix à un étudiant en fin d'études de l'école des Beaux-Arts de Genève, pour faciliter ses débuts. Denise Strawinsky répond à ce vœu en créant la Fondation Théodore Strawinsky et remet le prix Théodore Strawinsky dès le 25 juin 1992.

Présidence:
Denise Strawinsky (1991-2004)
Luc-Régis Gilbert (2004-présent)

Service intercommunal de protection civile Prilly - Jouxtens-Mézery

  • CH - Service intercommunal PC Prilly - Jouxtens-Mézery
  • Corporate body
  • 1981-1997

Service intercommunal de protection civile créé conjointement entre les communes de Prilly et Jouxtens-Mézery par le biais d'une convention provisoire (1981) puis définitive (1983), en vue de renforcer l'efficacité de la protection civile et d'assurer l'utilisation optimale de ses moyens.

ORPC Lausanne-Nord

  • CH - ORPC Lausanne-nord
  • Corporate body
  • 1997-2012

Jusque-là communale, l'organisation de la protection civile se régionalise officiellement en 1997. Prilly est le siège de la première organisation régionale de protection civile du canton. Par une convention datant de 1997, l'Organisation Régionale de Protection civile Lausanne-nord regroupe les communes de Cheseaux-sur-Lausanne, Cugy, Epalinges, Jouxtens-Mézery, Le Mont-sur-Lausanne, Morrens, Prilly et Romanel-sur-Lausanne. Le préavis 1996-16 du 7 octobre 1996, soumis au Conseil communal de Prilly, précise:
"La Commune de Prilly sera certainement confirmée dans sa fonction de commune-siège de la région Lausanne-Nord. Son délégué présidera en principe le comité directeur. La comptabilité, séparée de celle de la commune, sera tenue par le boursier de Prilly.
Les charges de la Commune de Prilly diminueront de 44 fr. 68 par habitant en 1995 à 29 fr. au budget 1997. Il en résulte une économie de plus de 160'000 fr. par an. Les 4 places de travail du personnel PCi de la région Lausanne-Nord seront installées dans la salle de conférences n°2 du bâtiment de la police municipale "Au Tilleul". Les places de travail des deux agents chargés de la police du commerce et de l'informatique seront transférées dans une partie de la salle n°1, l'autre partie étant conservée pour les rapports et conférences du corps de police. Les locaux libérés au Château seront occupés par le bureau du syndic, qui reprendra le bureau actuel du chef PCi, ce qui permettra à la bourse communale, très à l'étroit, de bénéficier d'une surface supplémentaire. Le bureau de la protection civile est prévu pour le responsable de l'informatique.
Ces transferts engendrent des frais de 15'000 fr. provoqués par différents aménagements indispensables. Une somme de 15'000 fr. est demandée pour réaliser cette opération. (...)".

M. Candaux (Samuel), municipal prilléran, a présidé les travaux de fusion.
En centralisant l'administration, en abaissant les effectifs et en ne constituant qu'un seul état-major par région, des économies non négligeables deviennent possibles.
En 1997, le chef ORPC est M. Desarzens (Francis), tandis que le Comité directeur de Lausanne-Nord est M. Candaux (Samuel).

Tandis qu'une réorganisation régionale se mettait en place, la Commune de Prilly a, dès 2009, souhaité intégrer l'ORPC de l'Ouest lausannois et former, à partir de 2012 et à huit communes, la nouvelle région de PCi du district de l'Ouest-lausannois, basée à Chavannes-près-Renens.

Ecublens - Police communale

  • CH - Ecublens - Police communale
  • Corporate body
  • 1842-2007

En 1842, trois messeillers sont engagés par la Municipalité. Ils sont chargés de percevoir les finances provenant des frais de tauperie et messeillerie des propriétaires forins, de la surveillance des cabarets, de faire "dissiper les attroupements dans les rues, lors qu'il y aura lieu de compromettre la tranquillité publique".

En 1859, on note la présence de «messeillers» ainsi que d’un gendarme. Les premiers avaient pour mission principalement la «garde des récoltes et des pâturages». Au début du 20ème siècle, des gendarmes chargés du maintien de l’ordre public étaient nommés par la commune. Le Conseil général refusa en 1902 d’envisager une collaboration avec les gendarmes de Renens. En 1861 un agent de police pour les cafés est engagé.

Dès 1923, un "agent de police permanent" est nommé. Ses fonctions sont variées : Agent de police (surveillance des établissements publics, dénonciation des contraventions aux lois et aux règlements de Police, surveillance des forêts, surveillance des personnes suspectes et des vagabonds, surveillance des mesures de précaution contre l’incendie, responsabilité de donner l’alarme en cas d’incendie, préparation des corbillards, conduite des cortèges mortuaires); Huissier (service de propreté, entretien et chauffage de la salle de Municipalité, convocation des membres de la Municipalité aux séances, remise de communications officielles et des décisions municipales, affichage des lois et arrêtés fédéraux et cantonaux, des décisions municipales et des actes d’Etat-civil, remise aux établissements publics des pièces à afficher, criée aux mises communales, convocation des membres du conseil communal et de la commission scolaire); Contrôle des habitants et bureaux des étrangers; Préposé à l’électricité; Service d’Eglise; Préposé aux assurances (dès 1951, il est également préposé à l’office communal de placement) et Inspecteur des viandes.

Le règlement communal de police de 1935 nous indique que l'agent de police est en charge de la signalisation routière, de la circulation et du stationnement. Par la suite, la police municipale suit également les projets d'aménagements routiers aux côtés du service des travaux.

En 1923, Fivaz (César) est engagé au poste d'agent de police permanent. Il est remplacé en novembre 1931 par Rieben (André) qui occupe la fonction jusqu'en 1959. Perret (Marc) lui succède. Au vu de l'augmentation rapide de la population, un second poste d'agent est créé en 1962. Il est occupé par Pointet (Armand). Rochat (Charles) est nommé commissaire de police en 1969 et en janvier 1988, il cède sa place à Morend (Daniel-André) qui dirige le service jusqu'en 1993. En 1994 Tréboux (Pascal) lui succède. En 2007, le service compte 16 employés ainsi que 6 patrouilleurs scolaires.

En 2008, La Police communale d’Ecublens est intégrée dans la POL (Police de l’Ouest Lausannois) qui regroupe les 8 communes du District de l’Ouest lausannois, soit Bussigny, Chavannes-près-Renens, Crissier, Ecublens, Prilly, Renens, St-Sulpice et Villars-Ste-Croix. La direction de la POL se situe à Renens dans un premier temps. Elle déménage à Prilly en 2013. Deux postes de police de base sont sont situés à Renens et à Ecublens (ouverts du lundi au vendredi). Des points d’appui, aux heures d’ouverture réduites se trouvent Bussigny, Chavannes-près-Renens, Crissier et St-Sulpice.

Le personnel du service de police communal change alors d'employeur et est transféré à l'association de communes pour la sécurité dans l'Ouest lausannois (Polouest). Le capitaine Tréboud (Pascal), ancien commissaire et chef du service de police occupe dès lors la fonction de répondant communal au sein de cette nouvelle organisation.

Sans producteur

  • Sans producteur
  • Corporate body
  • ... - nos jours

Choeur de dames de Prilly

  • CH - Choeur de dames de Prilly
  • Corporate body
  • 1937-1964

1937: création d'une section indépendante de l'Avenir, le choeur de dames, baptisé "La Coccinelle".
Ce choeur collabora à de nombreuses reprises avec le choeur d'hommes lors des soirées.
1964: dissolution.

Yverdon-les-Bains - Galerie de l'Hôtel de ville (service des expositions)

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Corporate body
  • 1980 - 2013

1980: entrée en fonction de Bernadette Pilloud comme responsable; sous sa responsabilité, les salles du rez-de-chaussée de l'Hôtel de Ville deviennent un lieu d'exposition pérenne. B. Pilloud réalise sa première exposition sur Marguerite Künzi (programmée par A. Schauenberg). Le lieu ne s'appelle alors pas encore Galerie de l'Hôtel de ville. Le Service des Expositions prend une commission de 30% sur la vente des oeuvres.
1980: constitution du F.A.V. (Fonds d’art visuel), collection d’art de la Ville d’Yverdon-les-Bains.
1983: création de la Cartothèque des artistes de Suisse romande, centre de documentation constitué de dossiers d'artistes suisses ou étrangers travaillant en Suisse romande.
1999: mise en place d'une commission d’achat d’œuvres, chargée d'assurer le développement actif du F.A.V.
1999: accueil d'"Espace d'une Sculpture" à Yverdon, sur la place des Droits de l'Homme.
2005: mise sur pied des dossiers "Visiteur en herbe" destinés aux enfants.
2007: mise sur pied des Intermèdes Musicaux, avec la collaboration de Christian Delafontaine
2007: suite à sa rénovation, la Salle des expositions de l'Hôtel de Ville d'Yverdon-les-Bains fait place à la Galerie de l'Hôtel de Ville. Création du logo par Marie-Claude Iseli.
2010: la Cartothèque des artistes de Suisse romande reçoit une nouvelle appellation: art.suisse romande.
2012: dernière exposition organisée par Bernadette Pilloud, "Passages".
2013: l'ex Galerie de l'Hôtel de Ville est rebaptisée CACY (Centre d'Art Contemporain d'Yverdon-les-Bains) et placée sous la direction de Karine Tissot.

La Région SA

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Corporate body
  • 2006 - à nos jours

La société d'édition La Région SA édite le journal La Région dès le 8 mars 2006. Le prépresse est assuré par l'Imprimerie Sprint à Yverdon-les-Bains et l'impression par ediprim à Bienne (La Région du 30 mars 2006) . Dès 2008, La Région SA édite le bihebdomadaire (lundi et mercredi) et La Région Nord vaudois Hebdo SA (participation de la Région SA, Société NE de presse et Edipresse) édite le tous-ménages du vendredi La Région Nord vaudois Hebdo.

TOP Editions Sàrl

  • CH - TOP Editions Sàrl
  • Corporate body
  • 1997-2009

Maison d'édition basée à Prilly, créée et dirigée par M. Ruckstuhl (Philippe).

Chœur mixte de Prilly

  • CH - Choeur mixte de Prilly
  • Corporate body
  • 1963-1967

1963: Création d'un chœur mixte, suite à une suggestion du Chœur de dames de Prilly
1967: Nouvelle appellation pour le choeur mixte: "La Chanson de Prilly", nouvel essor.

Echo des Campagnes

  • CH - Echo des Campagnes
  • Corporate body
  • 1912-aujourd'hui

18.11.1912: création de la société chorale L'Echo des Campagnes

Syndicat d'améliorations foncières de Sermuz

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Corporate body
  • 1988-2012

Le Syndicat d’améliorations foncières de Sermuz a été créé en janvier 1988 dans le but de procéder au remaniement parcellaire et à l’équipement en ouvrages collectifs de génie rural (chemins et collecteurs) du territoire de Sermuz (commune de Gressy). L'entité a été dissoute en juin 2012.
Le syndicat est une association de propriétaires de fonds composée de l’assemblée générale des propriétaires, d’un bureau de l’assemblée générale (ou comité composé d’un président, d’un secrétaire et d’un caissier) et d’une commission de classification, composée de 3 membres et d’un technicien ingénieur-géomètre. Son siège est à Gressy.
Sept propriétaires de fonds, dont la commune de Gressy, sont concernés par le remaniement parcellaire.

Yverdon-les-Bains - Secrétariat général

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Corporate body

Le Secrétariat général a porté le nom de Greffe jusqu'en 2008.
Le poste de secrétaire communal (clerc de ville) existe depuis l’année 1394. Il reprend des tâches effectuées jusque-là par le syndic.
Les comptes de l’année 1892 mentionnent un secrétaire, un sous-secrétaire, un boursier et un huissier. Le secrétaire et le boursier gagnaient exactement le double du salaire du sous-secrétaire et de l’huissier (2400.- contre 1200.-). La ville paie par ailleurs un logement pour le secrétaire et un bureau pour le boursier (rapport de gestion).
1919 : Le rapport de gestion fait état d’un poste de secrétaire-comptable en plus de celui de boursier communal.
1929 : Le secrétaire-comptable devient sous-secrétaire, tandis que le sous-secrétaire, qui était également en charge de la police des étrangers, devient préposé à la police des étrangers et au contrôle des habitants.
Depuis 1930, les rapports de gestion mentionnent le nombre de préavis traités et/ou déposés.
1952 : le rapport de gestion évoque une réorganisation du greffe qui devrait intervenir en 1953. Le rapport de 1953 n’en dit toutefois rien.
1965 : Le rapport de gestion mentionne que le greffe compte cette année-là un secrétaire municipal, un sous-secrétaire, une secrétaire-téléphoniste et un apprenti d’administration.
1968 : Le rapport de gestion mentionne, parmi les tâches du greffe, la préparation des réunions mensuelles des chefs de service de la commune, organisation et secrétariat des séances des Conseils d’administration et des assemblées générales des sociétés Gyrobus SA et Cité des Bains SA.
Années 1970 : La délivrance des actes de mœurs et des actes d’origine est mentionnée à plusieurs reprises comme tâche du greffe (rapport de gestion).

En 2008, le Greffe devient Secrétariat général. Le terme « greffe » subsiste toutefois, car c’est ainsi qu’il est désigné dans la législation. Progressivement, le Greffe devient une des filières du Secrétariat général, à côté des Archives, de la Naturalisation et de la Communication, etc.

Männerchor Harmonie Yverdon

  • CH - Männerchor Harmonie Yverdon
  • Corporate body
  • 1878 - 2017

Le Männerchor a été fondé le 27 juin 1878 au café du « Tilleul » par un groupe d’amis, pour la plupart des ouvriers d'origine suisse allemande et allemande. Le 9 décembre 1877 certains d'entre eux issus du corps de sapeurs pompiers d'Yverdon avaient décidé de fonder une chorale.
A ses débuts, 11 membres composent la chorale. La société organise sa première soirée en 1879. Au fil des ans, le Männerchor rassemblera jusqu’à 35 membres. En 1880, le premier drapeau de la société est inauguré. Un 2e suivra en 1914. Il suit la société dans toutes les manifestations. La société remporte de nombreux prix aux concours et fêtes de chant. Elle est admise en 1946 dans le Giron de l’Arnon. En 1979, le Männerchor, qui est constitué de 29 membres, célèbre son centenaire et organise la 18ème Fête romande des chorales de langue allemande.

Le nombre de membres ne cessant de diminuer au fil des ans, le Männerchor décide en 1992 de collaborer avec le chœur d’hommes de Couvet. Chaque choeur garde toutefois son autonomie. Les répétitions se déroulent dès lors à Sainte-Croix.

Dès 2014, le Männerchor, arrivant tout juste à 12 chanteurs âgés de 50 à 86 ans, réfléchit à l’avenir incertain de la chorale. En effet, la société rencontre des difficultés à recruter de nouveaux membres depuis quelques années déjà. Elle donne donc son dernier concert annuel à Orges en 2015. La dissolution du Männerchor a lieu en 2017 (AG du 13 décembre 2017). Les membres restants souhaitent garder leur rencontre mensuelle afin de maintenir le contact et la camaraderie.

Association des orgues

  • CH - Association des orgues
  • Corporate body

association constituée pour l'acquisition de nouvelles orgues au temple d'Yverdon

Urbaplan

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Corporate body
  • 1966-

bureau d'urbanistes de A. Gramm et J. Barbier

Halte-garderie La Bergerette

  • CH - Montreux--112
  • Corporate body
  • 1982-2012

La halte-garderie "La Bergerette" est un établissement qui accueille les jeunes enfants à Glion depuis 1982. Fondé par Madame Paule Borloz comme présidente, le jardin d'enfants a été reprit en 2012 par la Commune de Montreux et continue exercer sa fonction d'origine.

Amis du Musée d'Yverdon

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Corporate body
  • 2001 - à nos jours

Fondée en juin 2001 en parallèle à la Fondation du Musée d'Yverdon et région qui devient l'autorité de tutelle de l'institution. L'AMY remplace la Société du Musée et Vieil Yverdon qui gérait le musée jusque là.

Société de développement d'Ecublens

  • CH - Ecublens - Société de développement
  • Corporate body
  • 1919-

En date du 18.12.1919, fondation de la société de développement dont le but premier est de s'occuper de la réfection de la grande salle et de l'aide financière à apporter à la commune dans ce but.

Société de sauvetage de Montreux La Vigie

  • CH - Montreux--119
  • Corporate body
  • 1893-

Suite à l’accident de 1883 au large d’Ouchy, entre les bateaux à vapeur « Le Rhône » et « Le Cygne », le Genevois W. Huber fonde la Société de Sauvetage du Lac Léman (SSLL) en septembre 1885. Sur la Riviera, c'est le promoteur Ami Chessex qui voit l’utilité de ces sections et fonde, en 1887, la société de sauvetage de Territet, « La Dame du Lac ».

En 1893, sous l’impulsion de l’hôtelier Alexandre Emery, une nouvelle société voit le jour sur le territoire de la Commune du Châtelard, à Vernex : la société de sauvetage « La Vigie ». Le 6 août 1893, la section est admise au sein de la SSLL.
Sous la président de Jean de Muralt, la section récolte des fonds et achète son premier canot à huit rameurs en 1894.
En 1897, la section de Montreux reçoit l’assemblée générale de la SSLL et organise des courses et des compétitions.
En 1915, la société met à l’eau son nouveau canot.
En 1944, le bateau de la société est pris dans le gros temps. Les membres d’équipages s’en sortent, mais pas l’embarcation.
1946, inauguration de la nouvelle barque de la Vigie
En 1954, la société se dote d’un hangar sur l’actuel Quai de Vernex.
En 1966, la Vigie motorise son embarcation grâce à la donation d’un navigateur
1982, inauguration de la nouvelle vedette La Vigie 2

Ecublens - Autorités communales

  • CH - Ecublens - Autorités communales
  • Corporate body
  • 1799-nos jours

10 mai 1799: Constitution de la première municipalité. Celle-ci a probablement eu fonction d'autorité législative et exécutive pendant une quinzaine d'années: le Conseil général a vraisemblablement été constitué en 1816 (date du premier procès-verbal d'une assemblée du Conseil général).

Le 21 novembre 1909, un Conseil communal comportant 45 membre est élu.

Longtemps composée de 5 membres, la Municipalité est actuellement constituée de 7 élu/es.

Syndics d'Ecublens:

1848-1857: Musy (Louis)
1858-1859: Ducret (Henri)
1860-1861: Clerc (Louis)
1862-1865: Masson (Auguste)
1866: Clerc (Paul)
1867-1872: Ducret (Samuel)
1873-1882: Masson (Henri)
1883-1886: Musy (Louis)
1887-1893: Clerc (Victor)
1894-1896: Massson (Eugène)
1896-1911: Masson (Henri)
1912-1916: Bonzon (Adrien)
1916-1918: Masson (Adrien)
1918-1933: Ducret (Elie)
1934-1949: Ducret (François)
1950-1969: Jaquenoud (Adrien)
1970-1981: Teuscher (Pierre)
1982-1993: Masson (Jacques)
1994-1997: Bonzon (André)

Prilly - Bourse communale

  • CH - Prilly - Service des Finances
  • Corporate body
  • 1944-nos jours

Durant le 19ème siècle et jusqu’au début du 20ème siècle, la fonction de boursier communal, comme la plupart des autres fonctions administratives, était assumée par des titulaires en plus de leurs activités professionnelles courantes. Parmi ceux-ci nous pouvons citer M. Vuagniaux (Daniel) entre 1868 et env.1898), M. Rouffy en 1910, M. Barbey en 1913 et M. Magnin (Fernand) entre 1924 et 1944.
Comme les municipaux à l’époque, le boursier exerce cette fonction en plus d’une activité professionnelle. Ses heures de réception en témoignent : en 1934, par exemple, il reçoit les lundis et jeudis de 19 heures à 21 heures et les samedis de 14 heures à 16 heures.
En 1944, après 20 ans d'activité, M. Magnin (Fernand) démissionne. Il est remplacé la même année par M. Joss (Georges), qui devient le premier boursier communal nommé à titre permanent.
En 1948, le nouveau statut du personnel de la Commune de Prilly confirme la création d’un poste de boursier communal permanent.
Pendant longtemps, le boursier communal travaille seul et fait appel au personnel du Greffe pour l’appuyer dans sa tâche. Il consacre également une partie de son temps à l’Office du travail. Il faut attendre 1966 pour que la Bourse augmente son effectif : Mme Turrian (Rosette) est alors nommée cheffe du service comptable, dans le but de seconder le boursier ; une sténo-dactylographe est engagée en tant que collaboratrice régulière, en la personne de Mme Steiner (Josiane).
A cette même période, le boursier, en plus de ses activités normales, se voit confier petit à petit diverses responsabilités : il consacre une partie de son temps aux Œuvres sociales, devient délégué à la commission d'impôt et caissier du service dentaire scolaire.
Au cours de ses dernières années à la Commune, M. Joss consacre une part toujours plus grande de son activité au secteur social, tandis que la plupart des tâches de la bourse sont assurées par le service comptable (tenu par Mme Turrian). En 1979, après 35 ans de service, M. Joss prend sa retraite.
A son départ, la Municipalité clarifie les tâches de la Bourse et les recentre sur les activités comptables. Elle nomme une caissière en la personne de Mme Bonzon (Micheline), jusque là employée au service comptable, et le titre de boursière communale, au sens des dispositions légales, est donné à Mme Turrian (Rosette). Enfin, les activités de M. Joss dans le domaine social sont reprises par un nouveau fonctionnaire, rattaché au service des assurances sociales.
Peu de changements interviennent au cours des décennies suivantes : Mme Turrian (Rosette) part à la retraite en 1991. M. Cavin (Daniel) lui succéde. Actif jusqu’en 2007, il est alors remplacé par M. Divorne (Pierre-Michel).

Lutry - Commune

  • CH - Lutry
  • Corporate body
  • 1214 - nos jours

Montreux - Village de Chernex

  • CH - Montreux--06
  • Corporate body
  • inconnu - à ce jour

Le plus vieux document du fonds, daté de 1496, est une reconnaissance de titre classée sous E1, mais dont le contenu est encore à identifier. Pour le reste, les documents attestant de l’activité de la métralie de Chernex débutent aux environs de 1650.

Il est étonnant de constater le nombre de documents attestant de transactions entre particuliers, documents qu’il est également surprenant de rencontrer dans un fonds de village dépourvu d’instance juridique. L’explication la plus probable à l’existence de ces documents (OA et OB) serait qu’une des fonctions de la Cour du Château du Châtelard ait été exercée par un ressortissant de Chernex, voire par une famille de Chernex, qui, au fil des générations, est partie avec des doubles des actes. Mais cette assertion reste à vérifier.

Pour ce qui est des procès-verbaux des assemblées, les registres contenus dans le fonds débutent en 1720 et continuent jusqu’en 1941, avec une béance inexpliquée de 100 ans entre 1814 et 1915 : les registres ont disparu. En revanche, la date de 1941 a une explication puisque c’est à cette période que l’Etat de Vaud a pris acte de la décision de Chernex de ne plus prélever d’impôts. Ceci met un terme à l’existence de la fraction de commune de Chernex et a pour conséquence la fin des archives : les registres de procès-verbaux, les copies de lettres et les documents financiers s’interrompent au tournant de l’année 1942. Dès lors, l’administration du village fonctionne de manière différente et les pièces ne seront plus versées au même fonds d’archives.

La métralie de Chernex est reconnue par le règlement de la Communauté du Châtelard de 1792 comme étant une grande métralie. Toutefois, son assemblée siège parfois avec les ressortissants de Sonzier, comme cela semble être le cas particulièrement dans le registre A2. De même, Chernex et Sonzier se rassemblent pour ce qui concerne les questions d’école puisque les deux villages font partie de la même régence. D’ailleurs, les litiges avec les régents successifs prennent une place importante dans l’ensemble du fonds (voir section P). Et si les écoles sont un des domaines de compétences des fractions de communes, on rappellera ici que, par ailleurs, les villages géraient également la distribution des eaux et des fontaines et qu’ils avaient à leur charge les fonctions de sécurité, telle la prévention des incendies ou la nomination des gardes champêtres. À ce sujet également, les archives du village relatent un cas de litige avec la commune du Châtelard, lorsqu’en 1753, il s’oppose à la procédure habituelle de nomination des guets et s’expose à la colère du Châtelard devant ce « ridicule refus » (NA3).

Modèle - Commune

  • Corporate body
  • 1010 (1ère mention) à nos jours

Société coopérative de la Piscine de Prilly

  • CH - Société coopérative de la piscine de Prilly
  • Corporate body
  • 1966-1982

16 juin 1966: Assemblée constitutive de la Société coopérative de la piscine de Prilly. Paul Mermoud en devient le président. Cette société a pour but de construire et exploiter avec l'aide de la Commune de Prilly, une piscine avec locaux annexes.
La société compte 10 administrateurs: Mermoud (Paul), président; Nicollier (Jean-Pierre), vice président; Zollinger (Jean-Pierre), secrétaire; Dupont (Albert), caissier; Baier (William); Clavel (Agénor); Gely (Marcel); Monod (Henri); Perrin (Marcel); Rochat (Paul).
Les statuts de la Société coopérative sont approuvés par l'assemblée constitutive en date du 15 juin 1966.
La société ouvre une souscription, mais ne remporte que peu de succès. le capital social devait se monter à 500'000 francs. Il n'est toutefois au départ que de 111'500 francs; la moins-value doit être couverte par un prêt de la Commune, à hauteur de 400'000 francs, sans intérêt ni amortissement.
Il faut y ajouter une contribution de l'Etat de Vaud et du Sport-Toto de 500'000 francs, ainsi qu'un emprunt de 1'500'000 francs.
Le 13 juin 1970, la piscine de la Fleur-de-Lys est inaugurée.
Mais les difficultés financières se multiplient et si 3 motions proposent des modifications de régime pour assainir la situation, la Municipalité, en accord avec le Comité, propose finalement la reprise des actifs et des passifs de la Société coopérative par la Commune. C'est accepté en date du 22 novembre 1982, date de la dissolution de la Société coopérative.
Depuis lors, la piscine de la Fleur-de-Lys est en mains communales.

Direction générale de l'environnement (DGE)

  • Corporate body
  • 2013 - à nos jours

En 2013, le Service des eaux, sols et assainissement (SESA), le Service des forêts, de la faune et de la nature (SFFN), le Service de l'énergie et de l'environnement ainsi que l'Unité des dangers naturels (UDN) fusionnent pour former la Direction générale de l'environnement (DGE). Cornelis Neet, alors chef de service du SFFN est nommé à sa tête.
La direction générale est divisée en trois directions: la Direction des ressources et du patrimoine naturels (DIRNA), la Direction de l'environnement industrile et urbain (DIREV) et la Direction de l'Energie (DIREN).
La DIRNA est composée des divisions Ressources en eau et économie hydraulique (EAU); Inspection cantonale des forêts (FORET); Biodiversité et paysage (BIODIV), Géologie, sols et déchets (GEODE).
La DIREV est composée des divisions Protection des eaux (PRE); Assainissement (ASS); Air, climat et risques technologiques (ARC).

Results 101 to 200 of 349