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Personnes, familles, organisations

Journal de Pully

  • CH - Pully
  • Collectivité
  • 1930 - 1992

Il fut remplacé par le journal "Le Régional" en 1995.

Joux

Jouxtens-Mézery - Commune

  • CH - Jouxtens-Mézery - Administration communale
  • Collectivité
  • 1798-nos jours

Les autorités communales sont constituées de la Municipalité, composée du syndic et de 4 Municipaux. Le Conseil communal a remplacé le Conseil général dès le 1er janvier 1990.
L'administration communale de Jouxtens-Mézery est constituée d'un/e secrétaire municipal/e et, depuis xxxx, de secrétaires qui se répartissent l'ensemble des tâches de l'administration.
Liste des secrétaires municipaux:
1950-1956: Rapin (Ch.)
1956-1958: Bally (L.)
1959-1983: Debély (Jean-Louis)
1984-sept. 1985: Pauchon (Willy)
sept. 1985- mars 2007: Zoëll (Christine)
2007- mai 2017: Monod (Christian)
juillet 2017 - ... : Bergmann (Mme).

Koenig (René)

  • CH - Montreux--084
  • Personne
  • 1923-2016

Kramer Société anonyme (SA)

L'entreprise a eu plusieurs noms, entre autres:
Maison Kramer
Kramer frères
Kramer frères Société anonyme (SA)
Kramer Société anonyme (SA)
Kramer-Krieg Société anonyme (SA), dès 1996, date de la fusion avec l'entreprise Krieg établie à Lausanne depuis 1867.

L’histoire de Kramer débute en 1907 à Montreux, avec la fondation d’une papeterie-bazar, complétée en 1943 par un magasin à Vevey. La société développe ensuite ses services aux professionnels, en acquérant une manufacture de papier et une société de distribution à Lausanne.

Yves Kramer était le président de la société jusqu'en 2017, date de la reprise par la société Amiguet-Martin Duplirex.

Kramer Société anonyme (SA)

  • CH - Montreux--21
  • Collectivité
  • 1907 -

L'entreprise a eu plusieurs noms, entre autres:
Maison Kramer
Kramer frères
Kramer frères Société anonyme (SA)
Kramer Société anonyme (SA)
Kramer-Krieg Société anonyme (SA), dès 1996, date de la fusion avec l'entreprise Krieg établie à Lausanne depuis 1867.

L’histoire de Kramer débute en 1907 à Montreux, avec la fondation d’une papeterie-bazar, complétée en 1943 par un magasin à Vevey. La société développe ensuite ses services aux professionnels, en acquérant une manufacture de papier et une société de distribution à Lausanne.

Yves Kramer était le président de la société jusqu'en 2017, date de la reprise par la société Amiguet-Martin Duplirex.

La Lyre yverdonnoise

  • CH - Lyre yverdonnoise
  • Collectivité
  • 1894 - 2007

La Lyre yverdonnoise s’identifie comme un chœur d’homme. Elle se constitue en 1894. Elle possède une devise (« Amitié et travail ») ; son drapeau, inauguré en 1896, figure Johann Heinrich Pestalozzi et la formule emblématique de la ville d’Yverdon-les-Bains : « Superna quaerite ».
Comptant 22 membres à sa fondation, la Lyre accueille un nombre croissant de chanteurs et en réunit une centaine à son 25e anniversaire en 1919. Des difficultés dans le recrutement marquent pourtant la fin de son existence, lorsque, entre 1999 et 2000, le nombre de chanteurs est jugé insuffisant pour assumer les activités du chœur. Pour pallier ce problème, une collaboration est mise en place avec le chœur d’hommes « La Vigneronne de Montagny-près-Yverdon » . Cette collaboration donne naissance quelques années plus tard à un nouveau chœur d’hommes nommé « Chor’hom » (2005).
La Lyre yverdonnoise poursuit une activité soutenue tout au long de son existence. Elle parvient à maintenir un certain nombre d’activités annuelles (concert annuel, culte du souvenir à la Toussaint, veillée de Noël, courses pour les membres) tout en s’investissant dans des projets ponctuels de grande envergure. La Lyre s’implique particulièrement dans les concours de l’Association cantonale des chanteurs vaudois et de la Société fédérale des chanteurs ainsi que dans le Giron choral de la plaine de l’Orbe dont elle organise certaines éditions.

La Mouche

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Collectivité
  • 1899 - sans date

La Récréation

  • CH - La Récréation
  • Collectivité
  • 1853 - 2017

En 1853, Orbe, berceau de la société cantonale des chanteurs vaudois, organise la première Fête cantonale regroupant 26 sociétés, uniquement masculines. Des chanteurs yverdonnois y participent et fondent la même année un chœur d’hommes, « La Récréation », qui adopte ses statuts en 1854.
La société atteint son effectif record en 1921 à l’occasion du Concours cantonal de Lausanne : 106 chanteurs.
Dès 1877, les dames intègrent progressivement La Récréation. Elles collaborent à plusieurs concerts au début du 20e siècle. En 1930, une sous-section « dames » est fondée. Dès lors, La Récréation se présente dans les trois formations : hommes, dames ou mixte selon les circonstances jusqu’en 1967, année d’adoption de sa formation mixte. Plusieurs succès sont à à attribuer au Choeur mixte :Flûte de roseau, Jeu du Feuillu, Trois âges de l'homme, Cadran solaire, Nuit des Quatre Temps, La Rue des 13 Métiers.
En 1930, le choeur rejoint le Giron de la Menthue.
Depuis sa création, il organise de multiples manifestations d’envergure dont plusieurs Fêtes cantonales des chanteurs vaudois, des jubilés (50ème, 100ème, 125ème, 150ème et 160ème) ainsi qu’Opéra Pestalozzi pour n’en citer que quelques-unes. Elle reçoit également de nombreux prix lors de concours cantonaux, nationaux et parfois même internationaux (en France notamment). Sa renommée dépasse dès lors les frontières suisses.
La société fête son centenaire en 1954 et inaugure à cette occasion son cinquième drapeau.
A la fin du 20e siècle, le recrutement de nouveaux chanteurs devient difficile. Le nombre des membres ne cessant de diminuer, la société est dissoute à l’automne 2018, alors qu’elle ne compte plus que 19 membres.

La Région SA

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Collectivité
  • 2006 - à nos jours

La société d'édition La Région SA édite le journal La Région dès le 8 mars 2006. Le prépresse est assuré par l'Imprimerie Sprint à Yverdon-les-Bains et l'impression par ediprim à Bienne (La Région du 30 mars 2006) . Dès 2008, La Région SA édite le bihebdomadaire (lundi et mercredi) et La Région Nord vaudois Hebdo SA (participation de la Région SA, Société NE de presse et Edipresse) édite le tous-ménages du vendredi La Région Nord vaudois Hebdo.

Le Bourdon

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Collectivité
  • 1883 - à nos jours

Journal édité par la Société l'Agrément (19e siècle), le comité des Brandons (1970-1971), le comité de rédaction du Bourdon (1978-1984), L'Essaim du Bourdon (1985-à nos jours)
Imprimé par l'Imprimerie Lambert d'Yverdon (1883-), l'Imprimerie Fivaz Yverdon (1900-), puis l'Imprimerie du Journal d'Yverdon (1967-?)

Le Mont-sur-Lausanne - Commune

  • CH - Le Mont-sur-Lausanne - Administration communale
  • Collectivité

Commune du district de Lausanne, au nord de l'agglomération lausannoise, à la lisière des bois du Jorat, se composant du Petit-Mont, du Grand-Mont et des Planches. Première mention en 1237 (Monte super Lausannam). 514 habitants en 1764, 658 en 1798, 1000 en 1850, 1099 en 1900, 1383 en 1950, 2692 en 1970, 5182 en 2000. Au Moyen Age, Le Mont-sur-Lausanne, divisé en plusieurs petits fiefs, dépendait de l'évêque de Lausanne. Il fit partie du bailliage bernois de Lausanne de 1536 à 1798, puis du district de Lausanne. Au XVIIIe s., la commune était administrée par un grand gouverneur, un maréchal et trois petits gouverneurs (un par hameau). Au militaire, ses habitants marchaient sous la bannière de la Cité. La chapelle de Saint-Jean l'Evangéliste, filiale de la paroisse Saint-Paul à Lausanne, était située près du cimetière actuel. Après la Réforme, Le Mont-sur-Lausanne. devint paroisse (foraine en 1545, avec pasteur résident en 1811). Le temple actuel, en Coppoz, date de 1797, la cure de 1835. Dès 1906, le village fut relié à Lausanne par le tramway. La grande salle du Petit-Mont fut inaugurée en 1955, le nouveau centre administratif et scolaire en 1991. Depuis 1960, la commune qui vivait principalement d'agriculture, devint une commune résidentielle et industrielle à la suite de la création des quartiers de villas du Petit-Mont, des Planches et de la Perrause et des zones industrielles du Rionzi, de Budron et de la Clochatte. (François Béboux, "Mont-sur-Lausanne, Le", in Dictionnaire historique de la Suisse, version du 02/12/2008, URL: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F2409.php)

Literarischer Verein Montreux

  • CH - Montreux--10
  • Collectivité
  • 1972-2012

Successeur d'un premier Literarischer Verein Montreux fondé par F. Bolliger en 1924, le Literarischer Verein Montreux est fondé en 1972 par des germanophones. Le club a compté jusqu'à environ 170 membres. Les réunions avaient lieu une fois par mois. En 2007, le Literarischer Verein Montreux devient Kulturfreunde Riviera-Chablais. En 2013, suite au décès de son président, l'association est dissoute.

Lüthi (Jean)

  • CH - Montreuxx--52
  • Personne
  • 1954-2004

Lutry - Bourse communale

  • CH - Lutry
  • Collectivité
  • 1375 - à nos jours

Parmi les communes vaudoises, Lutry est l'une de celles qui possède les plus vieux registres de comptes. Avant elle, on trouve à Villeneuve des comptes déjà en 1283, et à Vevey en 1356, puis Lausanne en 1377, Yverdon en 1379, Nyon en 1386, etc.

Lutry - Commune

  • CH - Lutry
  • Collectivité
  • 1214 - nos jours

Männerchor Harmonie Yverdon

  • CH - Männerchor Harmonie Yverdon
  • Collectivité
  • 1878 - 2017

Le Männerchor a été fondé le 27 juin 1878 au café du « Tilleul » par un groupe d’amis, pour la plupart des ouvriers d'origine suisse allemande et allemande. Le 9 décembre 1877 certains d'entre eux issus du corps de sapeurs pompiers d'Yverdon avaient décidé de fonder une chorale.
A ses débuts, 11 membres composent la chorale. La société organise sa première soirée en 1879. Au fil des ans, le Männerchor rassemblera jusqu’à 35 membres. En 1880, le premier drapeau de la société est inauguré. Un 2e suivra en 1914. Il suit la société dans toutes les manifestations. La société remporte de nombreux prix aux concours et fêtes de chant. Elle est admise en 1946 dans le Giron de l’Arnon. En 1979, le Männerchor, qui est constitué de 29 membres, célèbre son centenaire et organise la 18ème Fête romande des chorales de langue allemande.

Le nombre de membres ne cessant de diminuer au fil des ans, le Männerchor décide en 1992 de collaborer avec le chœur d’hommes de Couvet. Chaque choeur garde toutefois son autonomie. Les répétitions se déroulent dès lors à Sainte-Croix.

Dès 2014, le Männerchor, arrivant tout juste à 12 chanteurs âgés de 50 à 86 ans, réfléchit à l’avenir incertain de la chorale. En effet, la société rencontre des difficultés à recruter de nouveaux membres depuis quelques années déjà. Elle donne donc son dernier concert annuel à Orges en 2015. La dissolution du Männerchor a lieu en 2017 (AG du 13 décembre 2017). Les membres restants souhaitent garder leur rencontre mensuelle afin de maintenir le contact et la camaraderie.

Marguerat (Pierre)

  • CH - Ecublens - Marguerat (Pierre)
  • Personne
  • à compléter

Mayer (Albert Roman)

Albert Mayer est né le 19 juillet 1890 à Montreux, où son père était joaillier-bijoutier. Il y fréquente les écoles primaires et secondaires, avant de poursuivre ses études à Bâle, où il obtient un diplôme à l'école du commerce. Après avoir parfait sa formation dans la joaillerie-bijouterie à l'étranger, il travaille dans l'entreprise de son père et reprendra son enseigne. Il joue un grand rôle dans la corporation des joailliers-bijoutiers, tant au niveau de la Riviera, qu'au niveaux cantonal et fédéral.
Sur le plan politique, Albert Mayer est élu en 1921 au conseil communal de Montreux Planches et en 1922 à la Municipalité. En tant que municipal, il est en charge de la police, du service du feu et des questions liées au tourisme. Mayer est élu en 1942 au Grand Conseil et succède à R. Maron à la syndicature des Planches en 1946. En plus de la charge de syndic des Planches, Albert Mayer assume, tous les trois ans, la fonction de Président du conseil administratif de la Ville de Montreux, organe commun aux trois communes du Cercle de Montreux. Syndic jusque 1962, date à laquelle les communes de Montreux-Planches et de Montreux-Châtelard fusionnent pour donner naissance à la Commune de Montreux. Grand artisan de cette fusion, il mène les discussions avec les élus du Châtelard et de Veytaux et défend le projet devant le public.
Major à l'armée, il a été le premier adjudant du Général Guisan pendant la deuxième Guerre Mondiale.
Actif au sein de la paroisse catholique, Albert Mayer a été fait commandeur de l'ordre de Saint-Grégoire-le-Grand.
Enfin, dans la secteur touristique, Albert Mayer préside la comité des sports de la Société de développement de Montreux, précurseur de l'Office du tourisme et a été président du Conseil d'administration du Casino-Kursaal.
Albert Mayer était par ailleurs très actif au niveau sportif.
Grand sportif, il pratique le tennis, le football, le hockey sur terre, le tir, le culring, l'hippisme, le hockey sur glace et le ski. Mais c'est surtout dans les organes dirigeants des associations sportives qu'il est actif: Association suisse de football, Fédération suisse de hockey sur roulettes, Association suisse de bobsleigh, Association internationale de bobsleigh, Comité olympique suisse, Comité central de l'Association nationale d'éducation physique, Commission fédérale de gymnastique et de sport.
Élu en 1946 comme représentant de la Suisse au Comité international olympique (CIO), il est l'un des principaux animateurs du mouvement recréé par le baron de Coubertin, avec son frère Otto Mayer, chancelier du CIO.
Albert Mayer assume enfin la charge de consul de la République de Corée du Sud à Montreux, avec juridiction sur l'ensemble de la Suisse occidentale.
Distinctions reçues par Albert Mayer: Chevalier de la couronne d'Italie (1932), chevalier de Sainte-Agathe à Saint-Marin (1956), médaillé d'or du gouvernement français (1952), croix du mérite sportif du gouvernement finlandais (1952), mérite sportif des journalistes sportifs suisses.
Sur le plan local, Mayer a été membre d'honneur de l'Union instrumentale de Territet, membre d'honneur de la Caecilia - choeur mixte catholique de Montreux, membre d'honneur de la section de Montreux de l'Association suisse des sous-officiers (ASSO), président d'honneur du Cercle catholique.
Albert Roman Mayer décède le 6 décembre 1968.
D'après la nécrologie d'Albert Mayer parue le 7 décembre 1968 dans le <i> Journal de Montreux </i>

Mayer (Albert Roman)

  • CH - Montreux--14
  • Personne
  • 1890 - 1968

Albert Mayer est né le 19 juillet 1890 à Montreux, où son père était joaillier-bijoutier. Il y fréquente les écoles primaires et secondaires, avant de poursuivre ses études à Bâle, où il obtient un diplôme à l'école du commerce. Après avoir parfait sa formation dans la joaillerie-bijouterie à l'étranger, il travaille dans l'entreprise de son père et reprendra son enseigne. Il joue un grand rôle dans la corporation des joailliers-bijoutiers, tant au niveau de la Riviera, qu'au niveaux cantonal et fédéral.

Sur le plan politique, Albert Mayer est élu en 1921 au conseil communal de Montreux Planches et en 1922 à la Municipalité. En tant que municipal, il est en charge de la police, du service du feu et des questions liées au tourisme. Mayer est élu en 1942 au Grand Conseil et succède à R. Maron à la syndicature des Planches en 1946. En plus de la charge de syndic des Planches, Albert Mayer assume, tous les trois ans, la fonction de Président du conseil administratif de la Ville de Montreux, organe commun aux trois communes du Cercle de Montreux. Syndic jusque 1962, date à laquelle les communes de Montreux-Planches et de Montreux-Châtelard fusionnent pour donner naissance à la Commune de Montreux. Grand artisan de cette fusion, il mène les discussions avec les élus du Châtelard et de Veytaux et défend le projet devant le public.

Major à l'armée, il a été le premier adjudant du Général Guisan pendant la deuxième Guerre Mondiale.

Actif au sein de la paroisse catholique, Albert Mayer a été fait commandeur de l'ordre de Saint-Grégoire-le-Grand.

Enfin, dans la secteur touristique, Albert Mayer préside la comité des sports de la Société de développement de Montreux, précurseur de l'Office du tourisme et a été président du Conseil d'administration du Casino-Kursaal.

Albert Mayer était par ailleurs très actif au niveau sportif.
Grand sportif, il pratique le tennis, le football, le hockey sur terre, le tir, le culring, l'hippisme, le hockey sur glace et le ski. Mais c'est surtout dans les organes dirigeants des associations sportives qu'il est actif: Association suisse de football, Fédération suisse de hockey sur roulettes, Association suisse de bobsleigh, Association internationale de bobsleigh, Comité olympique suisse, Comité central de l'Association nationale d'éducation physique, Commission fédérale de gymnastique et de sport.

Élu en 1946 comme représentant de la Suisse au Comité international olympique (CIO), il est l'un des principaux animateurs du mouvement recréé par le baron de Coubertin, avec son frère Otto Mayer, chancelier du CIO.

Albert Mayer assume enfin la charge de consul de la République de Corée du Sud à Montreux, avec juridiction sur l'ensemble de la Suisse occidentale.

Distinctions reçues par Albert Mayer: Chevalier de la couronne d'Italie (1932), chevalier de Sainte-Agathe à Saint-Marin (1956), médaillé d'or du gouvernement français (1952), croix du mérite sportif du gouvernement finlandais (1952), mérite sportif des journalistes sportifs suisses.

Sur le plan local, Mayer a été membre d'honneur de l'Union instrumentale de Territet, membre d'honneur de la Caecilia - choeur mixte catholique de Montreux, membre d'honneur de la section de Montreux de l'Association suisse des sous-officiers (ASSO), président d'honneur du Cercle catholique.

Albert Roman Mayer décède le 6 décembre 1968.
D'après la nécrologie d'Albert Mayer parue le 7 décembre 1968 dans le <i> Journal de Montreux </i>

Mercier (Julien), architecte

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Personne
  • 1912-1999

Julien Charles Alfred Mercier, fils de Charles Mercier pasteur, originaire de Coppet, est né à Lausanne le 27 décembre 1912. En 1936, il est diplômé du Technicum de Bienne. En 1936, il effectue un stage chez Le Corbusier à Paris. Celui-ci n’influence guère la conception des bâtiments qu’il dessine: « Son architecture était trop extraordinaire pour que je l’applique » déclare Mercier en 1987. Le 1er février 1947, il ouvre son bureau d’architecte à l'Avenue des 4-Marronniers 16 à Yverdon, puis en 1948 au Quai de la Thièle 16.
Il réalise ses premiers projets d’architecture dans le Nord vaudois, en particulier à Yverdon et Sainte-Croix. Dès le début et conformément à son engagement personnel, il se consacre, en collaboration avec des sociétés coopératives, à des projets sociaux comme la création de logements à prix ou loyers modérés destinés aux familles à revenus modestes. À son actif, au cours de ses 50 ans d’activité, on dénombre près de mille logements, principalement à Yverdon dans les quartiers Prés-du-Lac, rues de Montagny et du Général-Guisan, et Coin-de-Terre, mais également à Sainte-Croix, Payerne, Morges et Lucens.
Progressivement, son champ d’activité s’élargit, couvrant l'ensemble du territoire cantonal, notamment à Gryon et dans la région d’Ollon où il réalise plusieurs villas et chalets. Son travail s'étend aussi aux cantons de Neuchâtel et de Fribourg.
La typologie des bâtiments qu'il construit est très large. Son travail varie entre édifices industriels, commerciaux et de services, mais également des établissements médico-sociaux, comme des centres de réinsertion pour alcooliques (La Licorne et L'Escale à Lausanne), et des établissements scolaires, comme le Collège Léon Michaud à Yverdon dont il a remporté le concours en 1965. Selon lui, l'œuvre de sa vie reste la Chapelle des Tuileries-de-Grandson qu'il supervise entre 1963 et 1968.
Le 4 juin 1987, Louis Cruchet, son associé de toujours, décède à l'âge de 59 ans, ce qui semble laisser un vide à Mercier qui l'avait engagé le 1er janvier 1948 comme apprenti. La carrière de Mercier s’achève en 1990 par un projet social à La Côte-aux-Fées, le foyer-atelier des Bolles du Temple. Les principaux dossiers sur lesquels il travaille durant la période 1989-1992 sont des concours d’architecte auxquels il participe juste pour le plaisir, bien conscient qu'il ne les gagnera pas, n'étant, selon ses propres dires, pas assez au fait des courants architecturaux modernes.
Parallèlement à ses activités professionnelles, il s’intéresse à la vie politique de sa ville. Approché par le Parti socialiste, il est brillamment élu en 1949 et passe 36 ans sur les bancs du Conseil communal dont il est vice-président en 1955 puis président en 1957. Il siège également au Grand Conseil vaudois de 1955 à 1966.
Il décède le 30 mars 1999.

Modèle - Commune

  • Collectivité
  • 1010 (1ère mention) à nos jours

Monnet (Alfred)

  • CH - Montreux--47
  • Personne
  • 1907-1984

Alfred Monnet naît à Montreux, dans le hameau de Pertit, le 12 septembre 1907. Fils de paysan-vignerons, il est l'aîné d'une grande famille de huit enfants et par la suite l'oncle de très nombreux neveux et nièces. Il fréquente en premier l'école de Chernex, puis le Collège de Montreux avant de poursuivre ses études à l'Ecole Normale de Lausanne. C’est en 1926 qu’il rédige, pour le travail de concours de l’école Normale, une remarquable monographie sur la Commune du Châtelard. Ces 400 pages de manuscrits étudient les aspects historiques et géographiques de la commune : relief, eaux, climat, richesses naturelles, nom de lieux locaux, légendes populaires, population etc. Ce panorama historique à travers les siècles, abondamment illustrés de croquis faits à la main et à l’encre de chine, ne recevra pas les honneurs qu’il aurait mérité car resté inachevé.
Fraîchement diplômé instituteur en 1927, il s’installe à Forel (Lavaux) où il restera toute sa vie, se consacrant à sa vocation pédagogique. Il enseigne successivement dans les collèges du Pigeon, des Cornes-de-Cerf et du Grenet. Il est ensuite nommé à la tête d’une nouvelle classe primaire et reçoit aussi des élèves de Savigny. Fortement engagé dans sa région, une classe du nouveau groupe scolaire de Forel porte son nom et perpétue son souvenir.
Voué au bien public, il ne s’est pas limité à donner des cours. Il fut aussi gérant de la Caisse Raiffeisen, directeur du chœur des hommes, conseiller communal puis municipal libéral. La commune de Forel lui montra sa reconnaissance en lui décernant la bourgeoisie d’honneur, distinction très rarement accordée.
La maladie et la faiblesse de l’âge l’obligent à quitter Forel. Il s’éteint à l’âge de 77 ans, le 24 juin 1984, après plusieurs mois à l’EMS les Laurelles à Territet. Il repose au cimetière de Clarens.
(Extrait de la notice historique sur Alfred Monnet, par Jean-Pierre Monnet, 2014)

Monney (Jean-Louis)

  • CH - Montreux--128
  • Personne
  • 1938-2007

Typographe à l'Imprimerie Corbaz SA

Montreux - Cercle

  • CH - Montreuxx--57
  • Collectivité
  • 1000 - 1961

La Commune de Montreux est née d’une fusion, en 1962, entre les communes des Planches et du Châtelard. L’appellation « Montreux » était néanmoins déjà une réalité avant cette date. C’était, dans un premier temps, le nom de la paroisse qui regroupait dès le XIème siècle les habitants de Veytaux, des Planches et du Châtelard. Mais c’était également, dès le milieu du XIXème siècle, l’appellation utilisée par la région pour promouvoir l’essor touristique et économique. En fait, jusqu’à 1962, « Montreux » repose sur un organe commun aux trois communes qui composent la paroisse : le Cercle.

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