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Personnes, familles, organisations

Ecublens - Autorités communales

  • CH - Ecublens - Autorités communales
  • Collectivité
  • 1799-nos jours

10 mai 1799: Constitution de la première municipalité. Celle-ci a probablement eu fonction d'autorité législative et exécutive pendant une quinzaine d'années: le Conseil général a vraisemblablement été constitué en 1816 (date du premier procès-verbal d'une assemblée du Conseil général).

Le 21 novembre 1909, un Conseil communal comportant 45 membre est élu.

Longtemps composée de 5 membres, la Municipalité est actuellement constituée de 7 élu/es.

Syndics d'Ecublens:

1848-1857: Musy (Louis)
1858-1859: Ducret (Henri)
1860-1861: Clerc (Louis)
1862-1865: Masson (Auguste)
1866: Clerc (Paul)
1867-1872: Ducret (Samuel)
1873-1882: Masson (Henri)
1883-1886: Musy (Louis)
1887-1893: Clerc (Victor)
1894-1896: Massson (Eugène)
1896-1911: Masson (Henri)
1912-1916: Bonzon (Adrien)
1916-1918: Masson (Adrien)
1918-1933: Ducret (Elie)
1934-1949: Ducret (François)
1950-1969: Jaquenoud (Adrien)
1970-1981: Teuscher (Pierre)
1982-1993: Masson (Jacques)
1994-1997: Bonzon (André)

Halte-garderie La Bergerette

  • CH - Montreux--112
  • Collectivité
  • 1982-2012

La halte-garderie "La Bergerette" est un établissement qui accueille les jeunes enfants à Glion depuis 1982. Fondé par Madame Paule Borloz comme présidente, le jardin d'enfants a été reprit en 2012 par la Commune de Montreux et continue exercer sa fonction d'origine.

Ecoles

Kramer Société anonyme (SA)

  • CH - Montreux--21
  • Collectivité
  • 1907 -

L'entreprise a eu plusieurs noms, entre autres:
Maison Kramer
Kramer frères
Kramer frères Société anonyme (SA)
Kramer Société anonyme (SA)
Kramer-Krieg Société anonyme (SA), dès 1996, date de la fusion avec l'entreprise Krieg établie à Lausanne depuis 1867.

L’histoire de Kramer débute en 1907 à Montreux, avec la fondation d’une papeterie-bazar, complétée en 1943 par un magasin à Vevey. La société développe ensuite ses services aux professionnels, en acquérant une manufacture de papier et une société de distribution à Lausanne.

Yves Kramer était le président de la société jusqu'en 2017, date de la reprise par la société Amiguet-Martin Duplirex.

Gymnastique des hommes

  • CH - Gymnastique des hommes
  • Collectivité
  • 1906 - 2017 (?)

Société fondée en 1906. Dès les débuts, elle compte deux sections: gymnastique des hommes et choeur. En 2005, la section gymnastique cesse ses activités, suivie en 2012 de la section choeur, dont les membres se réunissent par la suite encore sous forme d'amicale.

Urbaplan

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Collectivité
  • 1966-

bureau d'urbanistes de A. Gramm et J. Barbier

Zehnder (Dr ing. Frédéric, Raphaël Roland)

  • CH - Montreux--110
  • Personne
  • 1874-1952

Naissance le 10 octobre 1874
Originaire de Suhr et du Châtelard
Écoles primaire et secondaire à Olten (Soleure)
Ingénieur mécanicien, diplôme École polytechnique fédérale de Zurich
Docteur en sciences techniques, École d'ingénieurs de l'Université de Lausanne

Épouse en secondes noces Lucie Cachat (1902-1988)

Décès en août 1952

Koenig (René)

  • CH - Montreux--084
  • Personne
  • 1923-2016

URBAT

La Lyre yverdonnoise

  • CH - Lyre yverdonnoise
  • Collectivité
  • 1894 - 2007

La Lyre yverdonnoise s’identifie comme un chœur d’homme. Elle se constitue en 1894. Elle possède une devise (« Amitié et travail ») ; son drapeau, inauguré en 1896, figure Johann Heinrich Pestalozzi et la formule emblématique de la ville d’Yverdon-les-Bains : « Superna quaerite ».
Comptant 22 membres à sa fondation, la Lyre accueille un nombre croissant de chanteurs et en réunit une centaine à son 25e anniversaire en 1919. Des difficultés dans le recrutement marquent pourtant la fin de son existence, lorsque, entre 1999 et 2000, le nombre de chanteurs est jugé insuffisant pour assumer les activités du chœur. Pour pallier ce problème, une collaboration est mise en place avec le chœur d’hommes « La Vigneronne de Montagny-près-Yverdon » . Cette collaboration donne naissance quelques années plus tard à un nouveau chœur d’hommes nommé « Chor’hom » (2005).
La Lyre yverdonnoise poursuit une activité soutenue tout au long de son existence. Elle parvient à maintenir un certain nombre d’activités annuelles (concert annuel, culte du souvenir à la Toussaint, veillée de Noël, courses pour les membres) tout en s’investissant dans des projets ponctuels de grande envergure. La Lyre s’implique particulièrement dans les concours de l’Association cantonale des chanteurs vaudois et de la Société fédérale des chanteurs ainsi que dans le Giron choral de la plaine de l’Orbe dont elle organise certaines éditions.

Civitas Nostra

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Collectivité
  • 1964-[Sans date]

Corps de musique

  • CH - Corps de musique
  • Collectivité
  • 1878 - 2005

Association du Bâtiment de l'Etoile

  • CH - Association du Bâtiment de l'Etoile
  • Collectivité
  • 1901- à nos jours

L’Association du Bâtiment de l’Etoile naît de la volonté de trois entités yverdonnoises de se réunir sous un même toit. Initié en 1895, ce rapprochement entre l’Union Chrétienne des Jeunes Garçons (UCJG), l’Union Chrétienne des Jeunes Filles (UCJF) et la Croix-Bleue est acté le 11 octobre 1900 lors de la signature des statuts de la société de l’Etoile. Ces trois entités se regroupent tout d’abord sous le nom de Société Immobilière de l’Etoile pour ensuite devenir l’Association du bâtiment de l’Etoile en novembre 1970. Le comité de l’Etoile se compose de trois membres (président, secrétaire, caissier) qui doivent être issus des sociétés propriétaires.
Après une tentative d’achat avortée qui occupe les premières années d’existence de La Société Immobilière de l’Etoile, l’assemblée approuve en 1920 l’achat de l’immeuble de la rue du Four 21 qui sera détruit et où sera érigé le bâtiment actuel de l’Etoile. Celui-ci, construit sous la direction de l’architecte Oberhänsli, mettra moins de deux ans à sortir de terre et est inauguré le dimanche 18 juin 1922.
Les années qui suivirent vont progressivement voir le nombre de location des salles du bâtiment augmenter tout comme le nombre de membres des sociétés y résidant. C’est pourquoi, en 1932, dans un souci de garder ces locataires, l’Etoile entreprend la jonction entre deux salles via la destruction du mur les séparant et avec la construction d’une paroi mobile.
Durant les années de guerre, certaines salles du bâtiment sont réquisitionnées par l’armée impliquant un manque à gagner. De plus, les restrictions d’utilisation du gaz et la difficulté à trouver de quoi alimenter les thé-vente grève un peu les finances de l’Etoile.
Entre septembre 1950 et mai 1951, la section yverdonnoise de l’Union Chrétienne des Jeunes Filles est dissoute faute de membres suffisants, impliquant que les obligations inhérentes à ce copropriétaire historique et locataire ne sont plus remplies. Les conséquences seront toutefois minimes car la section locale de UCJF se reforme rapidement.
Dans les années 1970, de grands travaux de rajeunissement sont entrepris peu avant la célébration des 50 ans du bâtiment de l’Etoile (1972). Depuis cet anniversaire, l’Association a ponctuellement fait des travaux plus ou moins conséquents, dont une rénovation complète en 2005, afin d’entretenir et de rénover les salles misent à la location.

Fondations Petitmaître - maisons d'accueil

  • CH - Fondation Petitmaître
  • Collectivité
  • 1957 - à nos jours

Erigée en fondation en 1957, la maison des orphelins de la Fondation Petitmaître accueille ses premiers pensionnaires en 1961. D'abord nommée maison des orphelins, puis, dès 1975 foyer Petitmaître, elle devient Fondation Petitmaître - maisons d'accueil en 2007.

Comité de gérance de la fondation Petitmaître

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Collectivité
  • 1860 - à nos jours

En 1859, François-Frédéric Petitmaître lègue par testament à la ville d'Yverdon un capital de CHF 150'000.- (vignes, capitaux etc.)
Pour la gestion de ce legs (biens et capitaux), la ville nomme un comité des fondations Petitmaître, aujourd'hui comité de gérance. A la mort de sa descendante, Rosine Petitmaître, qui survient en 1876, les fonds légués sont capitalisés durant 60 ans. Dès 1936, une partie des revenus et intérêts du legs devait être redistribuée par le comité de gérance en vue de la création d'une maison des orphelins et à une caisse de secours destinée aux descendants de la famille.
Le comité de gérance est composé de 5 membres dont un membre de la municipalité et un représentant de la famille. Le comité est nommé par la municipalité, qui est également en charge de nommer le conseil de fondation Petitmaître-maisons d'accueil (anciennement maison des orphelins).
La maison des orphelins est finalement créée en 1957, année où elle devient une fondation. De 1936 à 1959 (achat de la maison rue St Georges), les fonds sont versés sur un compte de construction.

1860: le conseil communal est consulté sur l'acceptation du legs
1936: constitution du comité de la Caisse de secours Petitmaître
1958: vente des vignes, qui faisaient partie du legs
1961: le conseil communal autorise le comité de gérance à acquérir des immeubles à Grandson
1964: acquisition des immeubles de Grandson et de terrains à Valeyres-sous-Montagny, qui viennent s'ajouter à l'immeuble en Condémines déjà propriété de la ville. Revente des terrains en 1984
La complexité de la structure des Fondations Petitmaître a créé un flottement au niveau des appellations : Fondation Petitmaître par exemple désigne autant le comité de gérance que la Maison des orphelins. Elle a aussi parfois été à l’origine d’une confusion des rôles entre les deux entités.

La Région SA

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Collectivité
  • 2006 - à nos jours

La société d'édition La Région SA édite le journal La Région dès le 8 mars 2006. Le prépresse est assuré par l'Imprimerie Sprint à Yverdon-les-Bains et l'impression par ediprim à Bienne (La Région du 30 mars 2006) . Dès 2008, La Région SA édite le bihebdomadaire (lundi et mercredi) et La Région Nord vaudois Hebdo SA (participation de la Région SA, Société NE de presse et Edipresse) édite le tous-ménages du vendredi La Région Nord vaudois Hebdo.

Sans titre

Rodolphe Schlemmer, né à Wiesbaden, a fait son apprentissage de photographe à Genève, puis travaille plusieurs années avec le photographe genevois Frédéric Boissonnas. Ils envisagent ensemble d'ouvrir des studios dans différentes villes européennes, mais le projet ne se concrétisera pas.
En 1910, il ouvre un atelier à Montreux en pleine période de croissance touristique, succédant à Max Maier (av. du Kursaal 21-23), . Il se spécialise dans les portraits de personnalités locales et de passage dans la région et se lie avec des personnalités telle Romain Rolland ou Gandhi.
Schlemmer fait de nombreux portraits et paysages au charbon, à la gomme bichromatée ou au bromoïl, techniques qui contribuent à asseoir sa réputation.
Rodolphe Schlemmer sera le maître d'apprentissage d'Émile Gos et de Jean Schlemmer, à qui il remet son activité.
Jean Schlemmer, qui reprend l'activité de son père, délaisse la spécialisation de portraits et se spécialise dans la documentation des événements locaux et du développement de la région dans la deuxième moitié du 20ème siècle.
Dans les années 1990, Jean-François Gailloud reprend l'atelier Schlemmer. Selon des tampons observés à l'arrière de photographies, un deuxième photographe se déclare successeur de Jean Schlemmer. Il s'agit de Marcel Lerouge.

Nini (Silvio)

  • CH - Montreux--53
  • Personne

Armando Lombardo et Fils Société Anonyme (SA)

  • CH - Montreux--108
  • Collectivité
  • env. 1970 - 2008

Entreprise fondée par Armando Lombardo, ouvrier italier, dans les années 1970. L'entreprise a compté jusqu'à une quarantaine de collaborateurs et s'est établie dès 1982 dans l'Hôtel Moderne, proche de la Gare de Montreux.

Mayer (Albert Roman)

  • CH - Montreux--14
  • Personne
  • 1890 - 1968

Albert Mayer est né le 19 juillet 1890 à Montreux, où son père était joaillier-bijoutier. Il y fréquente les écoles primaires et secondaires, avant de poursuivre ses études à Bâle, où il obtient un diplôme à l'école du commerce. Après avoir parfait sa formation dans la joaillerie-bijouterie à l'étranger, il travaille dans l'entreprise de son père et reprendra son enseigne. Il joue un grand rôle dans la corporation des joailliers-bijoutiers, tant au niveau de la Riviera, qu'au niveaux cantonal et fédéral.

Sur le plan politique, Albert Mayer est élu en 1921 au conseil communal de Montreux Planches et en 1922 à la Municipalité. En tant que municipal, il est en charge de la police, du service du feu et des questions liées au tourisme. Mayer est élu en 1942 au Grand Conseil et succède à R. Maron à la syndicature des Planches en 1946. En plus de la charge de syndic des Planches, Albert Mayer assume, tous les trois ans, la fonction de Président du conseil administratif de la Ville de Montreux, organe commun aux trois communes du Cercle de Montreux. Syndic jusque 1962, date à laquelle les communes de Montreux-Planches et de Montreux-Châtelard fusionnent pour donner naissance à la Commune de Montreux. Grand artisan de cette fusion, il mène les discussions avec les élus du Châtelard et de Veytaux et défend le projet devant le public.

Major à l'armée, il a été le premier adjudant du Général Guisan pendant la deuxième Guerre Mondiale.

Actif au sein de la paroisse catholique, Albert Mayer a été fait commandeur de l'ordre de Saint-Grégoire-le-Grand.

Enfin, dans la secteur touristique, Albert Mayer préside la comité des sports de la Société de développement de Montreux, précurseur de l'Office du tourisme et a été président du Conseil d'administration du Casino-Kursaal.

Albert Mayer était par ailleurs très actif au niveau sportif.
Grand sportif, il pratique le tennis, le football, le hockey sur terre, le tir, le culring, l'hippisme, le hockey sur glace et le ski. Mais c'est surtout dans les organes dirigeants des associations sportives qu'il est actif: Association suisse de football, Fédération suisse de hockey sur roulettes, Association suisse de bobsleigh, Association internationale de bobsleigh, Comité olympique suisse, Comité central de l'Association nationale d'éducation physique, Commission fédérale de gymnastique et de sport.

Élu en 1946 comme représentant de la Suisse au Comité international olympique (CIO), il est l'un des principaux animateurs du mouvement recréé par le baron de Coubertin, avec son frère Otto Mayer, chancelier du CIO.

Albert Mayer assume enfin la charge de consul de la République de Corée du Sud à Montreux, avec juridiction sur l'ensemble de la Suisse occidentale.

Distinctions reçues par Albert Mayer: Chevalier de la couronne d'Italie (1932), chevalier de Sainte-Agathe à Saint-Marin (1956), médaillé d'or du gouvernement français (1952), croix du mérite sportif du gouvernement finlandais (1952), mérite sportif des journalistes sportifs suisses.

Sur le plan local, Mayer a été membre d'honneur de l'Union instrumentale de Territet, membre d'honneur de la Caecilia - choeur mixte catholique de Montreux, membre d'honneur de la section de Montreux de l'Association suisse des sous-officiers (ASSO), président d'honneur du Cercle catholique.

Albert Roman Mayer décède le 6 décembre 1968.
D'après la nécrologie d'Albert Mayer parue le 7 décembre 1968 dans le <i> Journal de Montreux </i>

Fondation Hotelarchiv Schweiz

  • CH - Montreux--107
  • Collectivité
  • 2008 - présent

Fondation à but non lucratif créée en mars 2008 par Hôtellerie Suisse et des donateurs privés à l'occasion des 125 ans de la Société suisse des hôteliers. Inscrite au registre du commerce du Canton de Berne en tant que fondation à but non lucratif.
La fondation est dotée d'un bureau opérationnel de 2008 à 2019. Direction Evelyne Lüthi-Graf, adjointe Graziella Borrelli.
Dès 2019, reprise des fonds d'archives physiques et digitaux par deux institutions en parallèle: Les Archives de Montreux pour les fonds montreusiens et quelques fonds romands, le Schweizerisches Wirtschaftsarchiv pour la majorité des 60 fonds gérés par la fondation.

Männerchor Harmonie Yverdon

  • CH - Männerchor Harmonie Yverdon
  • Collectivité
  • 1878 - 2017

Le Männerchor a été fondé le 27 juin 1878 au café du « Tilleul » par un groupe d’amis, pour la plupart des ouvriers d'origine suisse allemande et allemande. Le 9 décembre 1877 certains d'entre eux issus du corps de sapeurs pompiers d'Yverdon avaient décidé de fonder une chorale.
A ses débuts, 11 membres composent la chorale. La société organise sa première soirée en 1879. Au fil des ans, le Männerchor rassemblera jusqu’à 35 membres. En 1880, le premier drapeau de la société est inauguré. Un 2e suivra en 1914. Il suit la société dans toutes les manifestations. La société remporte de nombreux prix aux concours et fêtes de chant. Elle est admise en 1946 dans le Giron de l’Arnon. En 1979, le Männerchor, qui est constitué de 29 membres, célèbre son centenaire et organise la 18ème Fête romande des chorales de langue allemande.

Le nombre de membres ne cessant de diminuer au fil des ans, le Männerchor décide en 1992 de collaborer avec le chœur d’hommes de Couvet. Chaque choeur garde toutefois son autonomie. Les répétitions se déroulent dès lors à Sainte-Croix.

Dès 2014, le Männerchor, arrivant tout juste à 12 chanteurs âgés de 50 à 86 ans, réfléchit à l’avenir incertain de la chorale. En effet, la société rencontre des difficultés à recruter de nouveaux membres depuis quelques années déjà. Elle donne donc son dernier concert annuel à Orges en 2015. La dissolution du Männerchor a lieu en 2017 (AG du 13 décembre 2017). Les membres restants souhaitent garder leur rencontre mensuelle afin de maintenir le contact et la camaraderie.

Abbaye d'Yverdon

  • CH - Abbaye d'Yverdon
  • Collectivité
  • 1819 - à nos jours

Gressy - Commune

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Collectivité
  • sans date - 30 juin 2011

1er juillet 2011: fusion de la commune de Gressy avec celle d'Yverdon-les-Bains

Ecublens - Police communale

  • CH - Ecublens - Police communale
  • Collectivité
  • 1842-2007

En 1842, trois messeillers sont engagés par la Municipalité. Ils sont chargés de percevoir les finances provenant des frais de tauperie et messeillerie des propriétaires forins, de la surveillance des cabarets, de faire "dissiper les attroupements dans les rues, lors qu'il y aura lieu de compromettre la tranquillité publique".

En 1859, on note la présence de «messeillers» ainsi que d’un gendarme. Les premiers avaient pour mission principalement la «garde des récoltes et des pâturages». Au début du 20ème siècle, des gendarmes chargés du maintien de l’ordre public étaient nommés par la commune. Le Conseil général refusa en 1902 d’envisager une collaboration avec les gendarmes de Renens. En 1861 un agent de police pour les cafés est engagé.

Dès 1923, un "agent de police permanent" est nommé. Ses fonctions sont variées : Agent de police (surveillance des établissements publics, dénonciation des contraventions aux lois et aux règlements de Police, surveillance des forêts, surveillance des personnes suspectes et des vagabonds, surveillance des mesures de précaution contre l’incendie, responsabilité de donner l’alarme en cas d’incendie, préparation des corbillards, conduite des cortèges mortuaires); Huissier (service de propreté, entretien et chauffage de la salle de Municipalité, convocation des membres de la Municipalité aux séances, remise de communications officielles et des décisions municipales, affichage des lois et arrêtés fédéraux et cantonaux, des décisions municipales et des actes d’Etat-civil, remise aux établissements publics des pièces à afficher, criée aux mises communales, convocation des membres du conseil communal et de la commission scolaire); Contrôle des habitants et bureaux des étrangers; Préposé à l’électricité; Service d’Eglise; Préposé aux assurances (dès 1951, il est également préposé à l’office communal de placement) et Inspecteur des viandes.

Le règlement communal de police de 1935 nous indique que l'agent de police est en charge de la signalisation routière, de la circulation et du stationnement. Par la suite, la police municipale suit également les projets d'aménagements routiers aux côtés du service des travaux.

En 1923, Fivaz (César) est engagé au poste d'agent de police permanent. Il est remplacé en novembre 1931 par Rieben (André) qui occupe la fonction jusqu'en 1959. Perret (Marc) lui succède. Au vu de l'augmentation rapide de la population, un second poste d'agent est créé en 1962. Il est occupé par Pointet (Armand). Rochat (Charles) est nommé commissaire de police en 1969 et en janvier 1988, il cède sa place à Morend (Daniel-André) qui dirige le service jusqu'en 1993. En 1994 Tréboux (Pascal) lui succède. En 2007, le service compte 16 employés ainsi que 6 patrouilleurs scolaires.

En 2008, La Police communale d’Ecublens est intégrée dans la POL (Police de l’Ouest Lausannois) qui regroupe les 8 communes du District de l’Ouest lausannois, soit Bussigny, Chavannes-près-Renens, Crissier, Ecublens, Prilly, Renens, St-Sulpice et Villars-Ste-Croix. La direction de la POL se situe à Renens dans un premier temps. Elle déménage à Prilly en 2013. Deux postes de police de base sont sont situés à Renens et à Ecublens (ouverts du lundi au vendredi). Des points d’appui, aux heures d’ouverture réduites se trouvent Bussigny, Chavannes-près-Renens, Crissier et St-Sulpice.

Le personnel du service de police communal change alors d'employeur et est transféré à l'association de communes pour la sécurité dans l'Ouest lausannois (Polouest). Le capitaine Tréboud (Pascal), ancien commissaire et chef du service de police occupe dès lors la fonction de répondant communal au sein de cette nouvelle organisation.

RAI

Association des orgues

  • CH - Association des orgues
  • Collectivité

association constituée pour l'acquisition de nouvelles orgues au temple d'Yverdon

Société de secours des ouvriers

  • CH - Société de secours des ouvriers
  • Collectivité
  • 1779 - à nos jours

Société dont l'origine remonte à 1779, année où le potier Ingold et le cordonnier Laubscher créent un fonds de secours pour les ouvriers et compagnons allemands tous métiers confondus. Ce fonds alimenté par les patrons, les compagnons et les ouvriers devait éviter que les malades ne tombent à la charge des entreprises ou de l'hôpital.
En 1873, la compagnie s'appelle Société de secours mutuels en faveur des ouvriers malades résidant à Yverdon. En contrepartie d'une finance d'entrée de 5 francs et d'une cotisation mensuelle d'1 franc, les sociétaires malades reçoivent pendant 3 mois et demi un franc par jour et le remboursement des frais de médecin et de pharmacie.
La société devient Société de secours des Ouvriers au début du 20e siècle. Les derniers membres entrent en 1950, le développement des assurances maladie la rendant de moins en moins nécessaire. Elle est transformée en amicale et renonce en 1990 au versement de l'indemnité (Bonjour, décembre 2006)

Association de la Broquine

  • CH - Association de la Broquine
  • Collectivité
  • 1975 - 2015

La bibliothèque enfantine La Broquine, située dès ses débuts dans le bâtiment de l’Ancienne Poste 4, est durant de nombreuses années gérée par une association fondée en 1975. Les différentes tâches liées au fonctionnement de la bibliothèque sont essentiellement assumées par des bénévoles, supervisés par le comité de l’association réparti en groupes de travail. Une première bibliothécaire à mi-temps est engagée en 1987. En 2015, l'association est dissolue et la Broquine est communalisée et intégrée à la Bibliothèque publique d’Yverdon, une action proposée par la commune, qui a été votée et approuvée en assemblée de l’association.

Yverdon-les-Bains - Service de l'urbanisme et des bâtiments

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Collectivité
  • 1990 - 2017

1990 au 31 décembre 2017: service urbanisme et bâtiments (URBAT).
Au 1er janvier 2018, le service URBAT est scindé en 2 services (URB et BAT) avec un pôle administratif commun.

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