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Notices descriptives
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Sermon, prière et discours imprimé prononcé par le doyen de la Vénérable Classe Jean Louis Muret

Le document est intitulé : "Sermon sur Juges Chap. XIX. vers. 30. Prononcé dans l'Eglise de Vevey le Dimanche 18. Novembre 1781. Avec une prière et un discours, prononcés sur l'échafaud, le jeudi 29 du dit mois, à l'occasion de l'exécution de deux criminelles et un détail succinct du triste événement qui a causé leur mort"

Cahier d'école intitulé "Cours de géographie" signé "Vincent Cochard de Chernex à Sales [Sâles]"

L'incipit s'ouvre sur une description géographique des coordonnées de la Suisse "située entre le 45ème et le 48ème degré de latitude septentrionale et entre le 23ème le 28ème degré de longitude orientale, à compter depuis le méridien de l'île de Fer." Trois sous-chapitres thématisent le "cours de géographie" : "Des rivières", "Des principaux lacs" et "Des Cantons". Ce dernier est numéroté, car l'objectif de l'auteur est de dresser le tableau de vingt-deux cantons. On y retrouve ainsi des informations succinctes sur leur emplacements géographiques, leurs capitales, leurs principales activités économiques ou encore la mention de certains monuments architecturaux, comme la Cathédrale de Lausanne

Réflexions personnelles sur la religion et descriptions géographiques de Vincent Cochard

Sur la première page écrite à la première personne, le scripteur relate à la première personne sa reconnaissance envers "l'auteur du poème des saisons" à qui il a légué cent livres sterlings dans son testament. Interviennent ensuite sur dix pages des réflexions sur l'éducation religieuse et le comportement de l'homme qui doit se conformer à l'Évangile. Puis, cinq pages se veulent plus intimes dans un sous-chapitre intitulé "Lettre de l'Espérance" où l'auteur revient sur sa séparation avec "sa tendre mère". Les neuf dernières pages sont elles consacrées à une description géographique de la Suisse, notamment des Alpes ou encore des lacs

Copie des procédures, accords, règlement et sentences pour les "torniaux" et conduites de l'eau depuis "Taveyre" [Toveyre ?] en bas jusques a "Songier" [Sonzier ?] et "L'Arsiliere" [En l'Arzilliere]

Cahier qui comporte la sentence de Leurs Excellences de Berne interdisant les communiers de détourner l'eau du bisse qui coule le long des "grands chemins" pour arroser leurs prés, exceptés ceux qui sont chargés de la maintenance des "torniaux" (plaques pour dériver l'eau des bisses)

Testament d'Anthoine Cochard de Clarens

Anthoine fils de feu David Cochard de Clarens, donne et lègue dix francs aux pauvres de la Commune du Châtelard, une parcelle de vigne à son frère David sis "Devant Clarens", cent francs à sa soeur Susanne ainsi que des parcelles sises "Au Crevelaz" [En Crêt Villard ?] et à "Clarengeoz" [Clarenjaux] à son fils Légitime David Anthoine Cochard. Enfin, il nomme et institut pour tous ses autres bien ses deux frères Vincent et David Cochard du Châtelard

Testament de Claude Cochard de Chernex

Claude, fils de feu Pierre Cochard, donne et lègue deux écus blancs à la Bourse des pauvres de Chernex un an après sa mort. Par ailleurs, il institut sa fille Louise Marie Cochard, femme de Vincent Cochard, comme héritière sous réserve de plusieurs conditions. Les biens concernent notamment une maison à Chernex et des parcelles de vigne au "Clods de Chernex" [Clos de Chernex] et "au Crau" [Fin de Craux ?]

Contrat de mariage entre Jean Louis Delarottaz, domicilié à Chernex, et Madeleine Cochard, domicilié à Pallens

D'après le document, Madeleine Cochard est la fille majeure de feu Gabriel Vincent Cochard et de Françoise, née Favre, sa veuve. Tandis que Jean Louis de Delarottaz, bourgeois de Veytaux, Noville et Rennaz ainsi que lieutenant de milices, est le fils majeur de feu Rodolph[e ?] Louis Delarottaz et de Susanne Marie, née Talon, sa veuve

Contrat de mariage entre Vincent Cochard, domicilé à Chernex, et Marguerite Françoise Henriette Cochard, domiciliée à Pallens

D'après le document, Vincent Cochard (18 mars 1813) est le fils majeur de Jean David Vincent Cochard et de Susanne Claudine, née Wichoud [Vuichoud ?]. Tandis que Margueritte Françoise Henriette Cochard (15 janvier 1821) est la fille mineure de feu Gabriel Vincent Cochard et de Françoise née Favre, sa veuve

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