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Personnes, familles, organisations

Ski-club QND

  • CH - Vevey
  • Collectivité

Société anonyme de l'imprimerie Corbaz

Charles Corbaz (1873-1932), issu d'une famille d'imprimeur originaire du Mont-sur-Lausanne, fonde en 1899 l'imprimerie qui éditera le Messager de Montreux et le Journal suisse d'horlogerie. Georges (1901-1978) modernise l'entreprise, crée le Journal de Montreux. Jean-Paul (naissance 1934), reprend la direction générale en 1966. Il réalise en 1972 la fusion de son journal avec La Feuille d'Avis d'Aigle et le Courrier de Leysin pour fonder L'Est vaudois, aujourd'hui La Presse-Riviera-Chablais, après absorption de Riviera: Vevey-Montreux en 1993. Il vend le groupe à Edipresse en 2002.
Source : BERLINGER KONQUI, Marianne. Corbaz. Dictionnaire Historique Suisse. 2003. pp. 570-571

Société anonyme de l'imprimerie Corbaz

  • CH - Montreux--27
  • Collectivité
  • 1899 - 2002

Charles [Corbaz (1873-1932), issu d'une famille d'imprimeur originaire du Mont-sur-Lausanne], fonde en 1899 l'imprimerie qui éditera le Messager de Montreux et le Journal suisse d'horlogerie. Georges (1901-1978) modernise l'entreprise, crée le Journal de Montreux. Jean-Paul (naissance 1934), reprend la direction générale en 1966. Il réalise en 1972 la fusion de son journal avec La Feuille d'Avis d'Aigle et le Courrier de Leysin pour fonder L'Est vaudois, aujourd'hui La Presse-Riviera-Chablais, après absorption de Riviera: Vevey-Montreux en 1993. Il vend le groupe à Edipresse en 2002.
Source : BERLINGER KONQUI, Marianne. Corbaz. Dictionnaire Historique Suisse. 2003. pp. 570-571

Société coopérative de la Piscine de Prilly

  • CH - Société coopérative de la piscine de Prilly
  • Collectivité
  • 1966-1982

16 juin 1966: Assemblée constitutive de la Société coopérative de la piscine de Prilly. Paul Mermoud en devient le président. Cette société a pour but de construire et exploiter avec l'aide de la Commune de Prilly, une piscine avec locaux annexes.
La société compte 10 administrateurs: Mermoud (Paul), président; Nicollier (Jean-Pierre), vice président; Zollinger (Jean-Pierre), secrétaire; Dupont (Albert), caissier; Baier (William); Clavel (Agénor); Gely (Marcel); Monod (Henri); Perrin (Marcel); Rochat (Paul).
Les statuts de la Société coopérative sont approuvés par l'assemblée constitutive en date du 15 juin 1966.
La société ouvre une souscription, mais ne remporte que peu de succès. le capital social devait se monter à 500'000 francs. Il n'est toutefois au départ que de 111'500 francs; la moins-value doit être couverte par un prêt de la Commune, à hauteur de 400'000 francs, sans intérêt ni amortissement.
Il faut y ajouter une contribution de l'Etat de Vaud et du Sport-Toto de 500'000 francs, ainsi qu'un emprunt de 1'500'000 francs.
Le 13 juin 1970, la piscine de la Fleur-de-Lys est inaugurée.
Mais les difficultés financières se multiplient et si 3 motions proposent des modifications de régime pour assainir la situation, la Municipalité, en accord avec le Comité, propose finalement la reprise des actifs et des passifs de la Société coopérative par la Commune. C'est accepté en date du 22 novembre 1982, date de la dissolution de la Société coopérative.
Depuis lors, la piscine de la Fleur-de-Lys est en mains communales.

Société Coopérative d'habitation de Montreux (SCHaM)

La crise économique engendrée par le crash de Wall Street en 1929 laisse des milliers de chômeurs. La Suisse est également touchée. Les hôteliers et les commerçants n’arrivent plus à faire tourner leurs établissements. La pauvreté atteint la majorité de la population. Des collectes se font alors et à Montreux, les communes du Châtelard et des Planches organisent des distributions de soupes populaires pour les nécessiteux.
C’est en 1931 que les premiers écrits de la Société Coopérative d’Habitation de Montreux apparaissent. Avec l’augmentation constante des loyers et le salaire inexistant d’une bonne partie des habitants, il devient important d’établir un plan d’amélioration des conditions de logement à Montreux. Une assemblée préliminaire est organisée afin de discuter de ce problème. Lors de cette assemblée on en arrive à la conclusion suivante : le moyen le plus efficace est de construire de nouveaux immeubles dont les coûts de construction et d’exploitation soient réduits au strict minimum.
Cette solution est retenue et une assemblée générale de la Société est organisée le 19 février 1932
Dès lors, des démarches sont entreprises pour trouver le terrain, assurer le financement et élaborer des plans. Les premiers immeubles à voir le jour se trouvent au Brayères à Clarens. Les autorités accordent un appui hypothécaire de FR. 135’000 pour une durée de 10 ans.
Cependant en 1933 un référendum contre la décision du Conseil communal est lancé. Il faut alors se défendre auprès du corps électoral, mais le verdict populaire est favorable à la SCHaM. Les rivaux ne cherchent alors de lancer des oppositions à la construction. Le jeu de la concurrence marche pourtant pour la SCHaM. Les constructeurs débutent les travaux alors que la 3ème enquête publique n’est pas encore ouverte. L’utilisation des machines est totalement interdite, grue prohibée également été le béton est mélangé sur place, les ouvriers travaillent alors avec la pioche et la pelle.
Les logements sont disponibles en mai 1934, 30 appartements loués à la fin de la même année.
Par la suite, la guerre de 1939-1945 ainsi que la crise économique de 1930 à 1037met un frein aux activités de la SCHaM. Après cette longue période, un nouvel essor est donné dans le but de relance économique. Un premier groupe de maisons familiales voit le jour à Belmont, suivi 2ans plus tard d’un deuxième groupe. Au total 22 immeubles sont construits.
En 1949 les immeubles les Amandiers apparaissent aux Planches. Pour bénéficier des dernières subventions, la société met en chantier un nouvel immeuble sur un terrain vendu par la commune qui se veut bienveillante à leur égard. 31 appartements sont alors construits.
En 1953 le canton de Vaud édicte une loi prévoyant des mesures destinées à compenser la suppression du subventionnement dans le domaine du logement, occasion que la société saisi afin de mettre en chantier deux immeubles. Les immeubles Les Trois-Tilleuls comptant 16 appartements prennent leurs quartiers à la rue de l’Ancien-Stand.
Viennent ensuite en 1955 les immeubles Les Lauriers. Il y a 1 studio et 20 appartements.
Entre 1959 et 1960 Une nouvelle loi cantonale sur le logement est adoptée le 27 mai 1957. L’Etat de Vaud met une nouvelle tranche de 20 millions de francs en faveur des constructeurs. La commune de Montreux-Planches offrant à La SCHaM un terrain à Territet, celle-ci saisi l’occasion est créé 20 appartements appelés les Genêts.
La Société Coopérative Immobilière et Montreux (SOCIM) et la SCHaM construisent conjointement deux immeubles de 30 appartements chacun aux Ormes, derrières les bâtiments des Bouleaux à Clarens. Ceux-ci sont construits entre 1974 et 1975.
Enfin, dès 1963, les premières études débutent pour l’utilisation des terrains situés aux Taux. En raison de la configuration peu avantageuse des terrains avec des moyens d’accès difficiles, les études se prolongent jusqu’en 1968. La construction peut alors commencer. Cet immeuble, réalisé selon les dispositions de la loi fédérales, touche des subsides de la Confédération, de l’Etat de Vaud et de la Commune de Montreux (Montreux-Châtelard et Montreux-Planches ayant fusionnés en 1962). En raison des mesures prises en matière d’économies financières, la Confédération supprime sa subvention. 30 appartements sont finalement construits entre 1968 et 1969 aux Arolles.
Enfin, entre 1988 et 1989 la commune de Montreux met à disposition des terrains à Clarens pour la SCHaM. L’immeuble des Tamayas, entre la rue des Verges et la rue Marc-Dufour, est le dernier immeuble sous le contrôle des services cantonaux et communaux. Il compte en tout 42 appartements et 2 studios.
Au total 219 appartements ont pu être construits entre 1932 et 1989.
A l’occasion de son 50ème anniversaire, en 1983, la société a fait part de sa motivation à poursuivre son œuvre débutée en 1932.
Depuis 1989 la SCHaM n’a pas créé de nouveaux appartements mais s’est engagé à rénover et à rénover les immeubles de l’époque. Ainsi des ascenseurs ainsi que les tuyauteries, chauffage, sanitaires, salle de bains et cuisines ont été remplacés. Ces rénovations ont eu lieu sur 5 immeubles entre 1995 et 2011.
SOUCRCES : Journal édité à l’occasion du 50ème anniversaire de la Société Coopérative d’Habitation de Montreux (SHCaM), octobre 1983
Journal édité à l’occasion du 75ème anniversaire de la Société Coopérative d’Habitation de Montreux (SCHaM), juin 2007

Société Coopérative d'habitation de Montreux (SCHaM)

  • CH - Montreux--15
  • Collectivité
  • 1930-2007

La crise économique engendrée par le crash de Wall Street en 1929 laisse des milliers de chômeurs. La Suisse est également touchée. Les hôteliers et les commerçants n’arrivent plus à faire tourner leurs établissements. La pauvreté atteint la majorité de la population. Des collectes se font alors et à Montreux, les communes du Châtelard et des Planches organisent des distributions de soupes populaires pour les nécessiteux.
C’est en 1931 que les premiers écrits de la Société Coopérative d’Habitation de Montreux apparaissent. Avec l’augmentation constante des loyers et le salaire inexistant d’une bonne partie des habitants, il devient important d’établir un plan d’amélioration des conditions de logement à Montreux. Une assemblée préliminaire est organisée afin de discuter de ce problème. Lors de cette assemblée on en arrive à la conclusion suivante : le moyen le plus efficace est de construire de nouveaux immeubles dont les coûts de construction et d’exploitation soient réduits au strict minimum.
Cette solution est retenue et une assemblée générale de la Société est organisée le 19 février 1932
Dès lors, des démarches sont entreprises pour trouver le terrain, assurer le financement et élaborer des plans. Les premiers immeubles à voir le jour se trouvent au Brayères à Clarens. Les autorités accordent un appui hypothécaire de FR. 135’000 pour une durée de 10 ans.
Cependant en 1933 un référendum contre la décision du Conseil communal est lancé. Il faut alors se défendre auprès du corps électoral, mais le verdict populaire est favorable à la SCHaM. Les rivaux ne cherchent alors de lancer des oppositions à la construction. Le jeu de la concurrence marche pourtant pour la SCHaM. Les constructeurs débutent les travaux alors que la 3ème enquête publique n’est pas encore ouverte. L’utilisation des machines est totalement interdite, grue prohibée également été le béton est mélangé sur place, les ouvriers travaillent alors avec la pioche et la pelle.
Les logements sont disponibles en mai 1934, 30 appartements loués à la fin de la même année.

Par la suite, la guerre de 1939-1945 ainsi que la crise économique de 1930 à 1037met un frein aux activités de la SCHaM. Après cette longue période, un nouvel essor est donné dans le but de relance économique. Un premier groupe de maisons familiales voit le jour à Belmont, suivi 2ans plus tard d’un deuxième groupe. Au total 22 immeubles sont construits.

En 1949 les immeubles les Amandiers apparaissent aux Planches. Pour bénéficier des dernières subventions, la société met en chantier un nouvel immeuble sur un terrain vendu par la commune qui se veut bienveillante à leur égard. 31 appartements sont alors construits.

En 1953 le canton de Vaud édicte une loi prévoyant des mesures destinées à compenser la suppression du subventionnement dans le domaine du logement, occasion que la société saisi afin de mettre en chantier deux immeubles. Les immeubles Les Trois-Tilleuls comptant 16 appartements prennent leurs quartiers à la rue de l’Ancien-Stand.

Viennent ensuite en 1955 les immeubles Les Lauriers. Il y a 1 studio et 20 appartements.

Entre 1959 et 1960 Une nouvelle loi cantonale sur le logement est adoptée le 27 mai 1957. L’Etat de Vaud met une nouvelle tranche de 20 millions de francs en faveur des constructeurs. La commune de Montreux-Planches offrant à La SCHaM un terrain à Territet, celle-ci saisi l’occasion est créé 20 appartements appelés les Genêts.

La Société Coopérative Immobilière et Montreux (SOCIM) et la SCHaM construisent conjointement deux immeubles de 30 appartements chacun aux Ormes, derrières les bâtiments des Bouleaux à Clarens. Ceux-ci sont construits entre 1974 et 1975.

Enfin, dès 1963, les premières études débutent pour l’utilisation des terrains situés aux Taux. En raison de la configuration peu avantageuse des terrains avec des moyens d’accès difficiles, les études se prolongent jusqu’en 1968. La construction peut alors commencer. Cet immeuble, réalisé selon les dispositions de la loi fédérales, touche des subsides de la Confédération, de l’Etat de Vaud et de la Commune de Montreux (Montreux-Châtelard et Montreux-Planches ayant fusionnés en 1962). En raison des mesures prises en matière d’économies financières, la Confédération supprime sa subvention. 30 appartements sont finalement construits entre 1968 et 1969 aux Arolles.

Enfin, entre 1988 et 1989 la commune de Montreux met à disposition des terrains à Clarens pour la SCHaM. L’immeuble des Tamayas, entre la rue des Verges et la rue Marc-Dufour, est le dernier immeuble sous le contrôle des services cantonaux et communaux. Il compte en tout 42 appartements et 2 studios.

Au total 219 appartements ont pu être construits entre 1932 et 1989.
A l’occasion de son 50ème anniversaire, en 1983, la société a fait part de sa motivation à poursuivre son œuvre débutée en 1932.

Depuis 1989 la SCHaM n’a pas créé de nouveaux appartements mais s’est engagé à rénover et à rénover les immeubles de l’époque. Ainsi des ascenseurs ainsi que les tuyauteries, chauffage, sanitaires, salle de bains et cuisines ont été remplacés. Ces rénovations ont eu lieu sur 5 immeubles entre 1995 et 2011.

SOUCRCES : Journal édité à l’occasion du 50ème anniversaire de la Société Coopérative d’Habitation de Montreux (SHCaM), octobre 1983
Journal édité à l’occasion du 75ème anniversaire de la Société Coopérative d’Habitation de Montreux (SCHaM), juin 2007

Société de développement d'Ecublens

  • CH - Ecublens - Société de développement
  • Collectivité
  • 1919-

En date du 18.12.1919, fondation de la société de développement dont le but premier est de s'occuper de la réfection de la grande salle et de l'aide financière à apporter à la commune dans ce but.

Société de jeunesse de Jouxtens-Mézery

  • CH - Société de Jeunesse de Jouxtens-Mézery
  • Collectivité
  • 1884 - (date inconnue)

Société fondée le 2 février 1884 à Jouxtens-Mézery par quelques jeunes gens de la localité.
Le 7 février 1884, nomination d'un comité:
E. Gaudard, président; J. Grin, vice-président; J. Blanchard, secrétaire; L. Bourgeois, boursier; E. Schopfer, huissier.

Société de la Chapelle évangélique réformée de Caux

  • CH - Montreux--125
  • Collectivité
  • 1944-

Société créée le 25 septembre 1944 sous l'appellation « Société de la chapelle nationale évangélique réformée de Caux ». Selon les statuts du 26 juillet 1979, ses buts sont d'une part de contribuer à la proclamation de l'Évangile à Caux et d'autre part de veiller à l'intégrité et à l'entretien de la chapelle de Caux.

L’afflux de touristes anglais relatif notamment à la création de la station de Caux et au rayonnement de son Palace à la fin du XIXème siècle incite la « Société pour la propagation de l’Évangile en pays étrangers » à construire un édifice religieux pour satisfaire ses fidèles en déplacement. Construite en 1905 sur un terrain mis à disposition par la « Société immobilière de Caux » et inaugurée en 1906, la Chapelle anglicane de Caux se nomme « Saint Michael and all Angels ». Encore très prisé jusqu’en 1914, l’édifice fut inemployé durant la Première Guerre mondiale, puis progressivement abandonné du fait du manque de fréquentation. Pour pallier au manque d'entretien, plusieurs meubles ou objets liturgiques précieux ont par ailleurs été confiés à la chapelle des Avants pour être finalement restitués en 1980. En 1944, en effet, le lieu de culte change de propriétaire et de statut. La « Société pour la propagation de l’Évangile en pays étrangers » cède la Chapelle à la Paroisse de Montreux de l’Église nationale. Afin que le lieu serve aux cultes et services religieux de l’Église nationale évangélique, le conseil de Paroisse suggère de créer une association. C'est ainsi que sera fondée la « Société de la chapelle nationale évangélique réformée de Caux » en septembre 1944, qui entreprend directement des travaux de restauration de l'édifice pour un coût de 27000 francs. Le 23 juin 1946, la Chapelle devient une annexe de son nouveau propriétaire qui a par ailleurs bénéficié du soutien financier de donateurs comme le Réarmement moral.

Société de l'Ancien Four de Clarens

  • CH - Montreux--26
  • Collectivité
  • 1738 -

Société créée au Moyen-Age lors de la construction du Four de Clarens. Elle défendait les intérêts des six familles bourgeoises de Clarens à l'origine de la construction : Rambert, Mayor, Cochard, Chessex, Mury et Puenzieux.
Source : CHANEY, Andrée, GONTHIER, Albert. L'histoire d'un village... Clarens. Association des intérêts de Clarens, 2001

Société de sauvetage de Clarens Mon Devoir

  • CH - Montreux--120
  • Collectivité
  • 1904 -

La section de sauvetage de Clarens est fondée officiellement en 1904, partant du constat qu'il convient de structurer et de donner davantage de moyens et d'organisation à l'action de sauveteurs volontaires et jusqu'ici isolés. Réunis en 1904, quelques citoyens décident de lancer un appel à la population et aux autorités pour récolter les fonds nécessaires à la construction d'un canot de sauvetage.
La barque Mon Devoir est mise en service au printemps 1905, au droit de Verte Rive.
Le 9 juillet 1922, Mon Devoir organise sa première grande Fête des sauveteurs lémaniques.
En novembre 1926, Mon Devoir I coule sur son point d'amarrage. En mars 1927, c'est l'inauguration de la nouvelle barque, également nommée Mon Devoir.
En 1930, le hangar à bateau est déplacé de Verte Rive au Pierrier, proche de l'embouchure de la Baye de Clarens.
Dans les années 1950, la section motorise son embarcation.
En 1964, la section rachète la vedette de la police du Lac de la Ville de Lausanne, qui sera remplacée en 1984.

Société de sauvetage de Montreux La Vigie

  • CH - Montreux--119
  • Collectivité
  • 1893-

Suite à l’accident de 1883 au large d’Ouchy, entre les bateaux à vapeur « Le Rhône » et « Le Cygne », le Genevois W. Huber fonde la Société de Sauvetage du Lac Léman (SSLL) en septembre 1885. Sur la Riviera, c'est le promoteur Ami Chessex qui voit l’utilité de ces sections et fonde, en 1887, la société de sauvetage de Territet, « La Dame du Lac ».

En 1893, sous l’impulsion de l’hôtelier Alexandre Emery, une nouvelle société voit le jour sur le territoire de la Commune du Châtelard, à Vernex : la société de sauvetage « La Vigie ». Le 6 août 1893, la section est admise au sein de la SSLL.
Sous la président de Jean de Muralt, la section récolte des fonds et achète son premier canot à huit rameurs en 1894.
En 1897, la section de Montreux reçoit l’assemblée générale de la SSLL et organise des courses et des compétitions.
En 1915, la société met à l’eau son nouveau canot.
En 1944, le bateau de la société est pris dans le gros temps. Les membres d’équipages s’en sortent, mais pas l’embarcation.
1946, inauguration de la nouvelle barque de la Vigie
En 1954, la société se dote d’un hangar sur l’actuel Quai de Vernex.
En 1966, la Vigie motorise son embarcation grâce à la donation d’un navigateur
1982, inauguration de la nouvelle vedette La Vigie 2

Société de secours des ouvriers

  • CH - Société de secours des ouvriers
  • Collectivité
  • 1779 - à nos jours

Société dont l'origine remonte à 1779, année où le potier Ingold et le cordonnier Laubscher créent un fonds de secours pour les ouvriers et compagnons allemands tous métiers confondus. Ce fonds alimenté par les patrons, les compagnons et les ouvriers devait éviter que les malades ne tombent à la charge des entreprises ou de l'hôpital.
En 1873, la compagnie s'appelle Société de secours mutuels en faveur des ouvriers malades résidant à Yverdon. En contrepartie d'une finance d'entrée de 5 francs et d'une cotisation mensuelle d'1 franc, les sociétaires malades reçoivent pendant 3 mois et demi un franc par jour et le remboursement des frais de médecin et de pharmacie.
La société devient Société de secours des Ouvriers au début du 20e siècle. Les derniers membres entrent en 1950, le développement des assurances maladie la rendant de moins en moins nécessaire. Elle est transformée en amicale et renonce en 1990 au versement de l'indemnité (Bonjour, décembre 2006)

Société des Intérêts des Avants (SIA)

  • CH - Montreux--121
  • Collectivité
  • 1915 -

La Société des Intérêts des Avants a été fondée le 31.10.1915.
Sa création s'est faite suite à une période très faste du développement urbain et touristique initié et encouragé par la famille Dufour. Les frères Dufour, Adrien-Louis et Ami ont développé entre les années 1890 et 1915 la station des Avants en y construisant notamment le Grand Hôtel des Avants, la gare pour le passage du Montreux-Oberland bernois (MOB), le funiculaire, la galerie marchande et développé toute l'activité sportive et récréative faisant des Avants, une station touristique de grande renommée jusqu'à la Première Guerre mondiale. La Société des Intérêts des Avants (SIA), à savoir la réunification des commerçants et hôteliers du village, va servir les intérêts du village afin de continuer à faire connaître et développer son économie par l'attrait touristique malgré les difficultés engendrées par les deux guerres mondiales. Les premiers statuts de la Société des Intérêts des Avants sont établis le 13.12.1919 sous la présidence de Monsieur Nicodet.
Dès ses débuts, la Société des Intérêts des Avants (SIA) a pour but d'animer le village et ses environs en organisant différentes manifestations et activités, de favoriser les relations avec les autorités communales et les organismes privés et publics et de faire connaître la région d'un point de vue touristique en collaborant étroitement avec les offices du tourisme. Entre les années 1930 et 1990, la SIA s’est investie dans la grande période de ski, saut à ski, courses de luge et bob, tennis, la cueillette des narcisses, les fêtes de Bénichons, les concours de pétanque, de caisses à savon.
Plus récemment, la société organise de manifestations visant à la préservation des narcisses (fleur emblématique des Avants) et soutient des événements tels que le Bukolik Freeride et le Cross du Cubly.

Société villageoise de Brent et environs (SVBE)

L’histoire de la société villageoise de Brent et environs se mêle avec celle des familles bourgeoises de Brent. La société villageoise résulte de la dissolution de la métralie puis fraction de commune de Brent, à la tête de laquelle siégeait un gouverneur et qui réunissait tous les habitants propriétaires de Brent.

Société villageoise de Brent et environs (SVBE)

  • CH - Montreux--98
  • Collectivité
  • inconnu - ce jour

L’histoire de la société villageoise de Brent et environs se mêle avec celle des familles bourgeoises de Brent. La société villageoise résulte de la dissolution de la métralie puis fraction de commune de Brent, à la tête de laquelle siégeait un gouverneur et qui réunissait tous les habitants propriétaires de Brent

Strawinsky (Théodore et Denise)

  • CH - Montreux--69
  • Famille
  • Strawinsky Théodore 1907-1989; Strawinsky-Guerzoni Denise 1914-2004

Théodore Strawinsky est le fils aîné d'Igor Strawinsky et Catherine Nossenko, né le 24 mars 1907 à Saint-Petersbourg et décédé le 16 mai 1989 à Genève. En 1910, la famille s'établit en Suisse romande, à Montreux puis à Morges jusqu'en 1920. Déménagement en France et à Paris dès 1935. Théodore Strawinsky y épouse Denise Guerzoni en 1936. Etabli dans le sud-ouest, il est arrêté par le gouvernement de Vichy en 1941. Libéré, il se réfugie à Genève en 1942 et s'y installe définitivement. Apatride depuis le décret soviétique du 15 décembre 1922 qui révoque la nationalité de tous les émigrés russes, Théodore Strawinsky obtient la nationalité suisse en 1956. Très tôt il s'adonne à la peinture. En Suisse, ses maîtres sont : Auberjonois, Cingria. Dès 1920 il est suivi et guidé par André Derain, Georges Braque et Pablo Picasso. À la fin de ses études secondaires, en 1925, il se consacre exclusivement à son art. À Paris, il suit les cours de l'Académie André Lhote de 1930 à 1932. En 1927 a lieu à Paris sa première exposition, puis d'autres, seul ou en groupe, et ses œuvres, picturales ou monumentales, figurent dans de nombreux pays (Suisse, France, USA, Italie, Belgique, Hollande, Angleterre). En 1976, il reçoit la médaille d'argent Arts, Sciences, Lettres décernée de l'Académie française et en 1977 est promu par le Pape Paul VI Commandeur de l'Ordre de St-Grégoire le Grand pour "services rendus à l'église par son art".
Denise Strawinsky est la fille du peintre suisse Stéphanie Guerzoni et de Joseph Ange Guerzoni, née le 11 octobre 1914 à Genève et décédée le 21 août 2004 dans la même ville. Son père décède en 1920 et sa mère se remarie avec Joseph Palivec, diplomate et poète tchèque. Elle vit dès lors à Paris. Son beau-père, bibliophile averti, lui communiquera son amour des livres. Elle suit les cours de l’Ecole du Louvre et obtient son diplôme de relieuse d’art en 1935. Par l’entremise de Gina, fille du peintre Gino Severini, Denise rencontre Théodore Strawinsky. Denise donne des cours de reliure et exerce sa profession jusqu’en 1962, date à laquelle lui est diagnostiquée une tuberculose de la hanche. Un séjour de deux ans dans une clinique de Leysin et une immobilisation totale permettront une évolution favorable de la maladie, avec pour seule séquelle, le blocage de la hanche gauche. Elle renonce alors à son métier et se voue totalement à l’œuvre de l’artiste.

Studer (Ernest) Imprimeur-éditeur

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Collectivité

Ernest Studer, imprimeur-éditeur, rue des Remparts 7 à Yverdon; successeur de Albert Studer.

Syndicat d'améliorations foncières de Sermuz

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Collectivité
  • 1988-2012

Le Syndicat d’améliorations foncières de Sermuz a été créé en janvier 1988 dans le but de procéder au remaniement parcellaire et à l’équipement en ouvrages collectifs de génie rural (chemins et collecteurs) du territoire de Sermuz (commune de Gressy). L'entité a été dissoute en juin 2012.
Le syndicat est une association de propriétaires de fonds composée de l’assemblée générale des propriétaires, d’un bureau de l’assemblée générale (ou comité composé d’un président, d’un secrétaire et d’un caissier) et d’une commission de classification, composée de 3 membres et d’un technicien ingénieur-géomètre. Son siège est à Gressy.
Sept propriétaires de fonds, dont la commune de Gressy, sont concernés par le remaniement parcellaire.

Thaler (Louis)

  • CH - Pully
  • Personne
  • 1910-2000

Théâtre Montreux Riviera (TMR)

En 1975, le Centre dramatique Chablais-Riviera (CDCR) naît de la rencontre d'un lieu, le Théâtre du Vieux-Quartier (TVQ) à Montreux et de trois personnes.
Co-fondateur de la salle avec des amis passionnés comme lui, Jean-Pierre Duchoud s'échine alors depuis 1952 pour y présenter des spectacles. En 1976, au cours d'un stage d'art dramatique, il sympathise avec deux représentants d’une troupe « concurrente » voisine, Annie Godel et Jean-Philippe Weiss, des Tréteaux du Château de La Tour-de-Peilz.
Bientôt émerge l’idée d’une troupe professionnelle de théâtre décentralisée (la première à s’implanter hors de Lausanne !): c'est la naissance du Centre Dramatique Chablais-Riviera.
Dès la première saison (1976-1977), les productions du CDCR côtoient des spectacles parisiens qui tournent dans les théâtres et salles de la Riviera.
En 1992, Jean-Pierre Duchoud remet les rênes du CDCR à Jean-Philippe Weiss. Sous sa direction, la troupe recevra plusieurs récompenses prestigieuses.
En 2002, c'est la naissance de l'appellation Thêâtre Montreux-Riviera et la disparition des entités précédentes, le CDCR et le Théâtre du Vieux-Quartier.
<i> Historique inspiré de www.theatre-tmr.ch </i>

Théâtre Montreux Riviera (TMR)

  • CH - Montreux--66
  • Collectivité
  • 1952 -

En 1975, le Centre dramatique Chablais-Riviera (CDCR) naît de la rencontre d'un lieu, le Théâtre du Vieux-Quartier (TVQ) à Montreux et de trois personnes.
Co-fondateur de la salle avec des amis passionnés comme lui, Jean-Pierre Duchoud s'échine alors depuis 1952 pour y présenter des spectacles. En 1976, au cours d'un stage d'art dramatique, il sympathise avec deux représentants d’une troupe « concurrente » voisine, Annie Godel et Jean-Philippe Weiss, des Tréteaux du Château de La Tour-de-Peilz.

Bientôt émerge l’idée d’une troupe professionnelle de théâtre décentralisée (la première à s’implanter hors de Lausanne !): c'est la naissance du Centre Dramatique Chablais-Riviera.

Dès la première saison (1976-1977), les productions du CDCR côtoient des spectacles parisiens qui tournent dans les théâtres et salles de la Riviera.

En 1992, Jean-Pierre Duchoud remet les rênes du CDCR à Jean-Philippe Weiss. Sous sa direction, la troupe recevra plusieurs récompenses prestigieuses.

En 2002, c'est la naissance de l'appellation Thêâtre Montreux-Riviera et la disparition des entités précédentes, le CDCR et le Théâtre du Vieux-Quartier.

<i> Historique inspiré de www.theatre-tmr.ch </i>

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