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Personnes, familles, organisations
Collectivité

Ecublens - Service de l'urbanisme et des constructions

  • CH - Ecublens - Service de l'urbanisme et des constructions
  • Collectivité
  • 2005-nos jours

La gestion des affaires liées à l'aménagement du territoire et à la police des constructions a longtemps été l'apanage du Greffe Municipal.
Vers 1960-1961: création d'une commission d'urbanisme, chargée de suivre les questions liées aux constructions et à l'aménagement du territoire.
Jusqu'au début des années 2000, la Municipalité travaillait avec des bureaux extérieurs tandis que l'Administration générale assurait le secrétariat.
En 2005, lors du changement de secrétaire municipal (départ à la retraite de M. Jacques Bertoliatti, reprise du poste par son adjoint M. Philippe Poget), la police des constructions est reprise par M. Gilliéron, engagé au Service des Bâtiments).
En 2008, un collaborateur est engagé pour s'occuper de l'aménagement du territoire (M. Bonzon, remplacé peu après par M. Besson).
En 2012, le Service de l'urbanisme et des constructions est officiellement créé. Il comprend un chef de service (M. Gilliéron), un collaborateur spécialisé (M. Besson) et une secrétaire.

Ecublens - Service de la culture, de la jeunesse, des sports, de l'intégration et des églises

  • CH - Ecublens - Service culture
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  • 2012 à nos jours

Le Service de la culture, de la jeunesse, des sports, de l'intégration et des églises est créé à Ecublens en 2012. Avant sa création coexistaient le Service des affaires culturelles, sportives et de loisirs et le Service des affaires sociales. Suite à une étude de fonctionnement réalisée par l'IDHEAP en 2010, la Municipalité a décidé de créer un nouveau service pour ce dicastère.

Ecublens - Police communale

  • CH - Ecublens - Police communale
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  • 1842-2007

En 1842, trois messeillers sont engagés par la Municipalité. Ils sont chargés de percevoir les finances provenant des frais de tauperie et messeillerie des propriétaires forins, de la surveillance des cabarets, de faire "dissiper les attroupements dans les rues, lors qu'il y aura lieu de compromettre la tranquillité publique".

En 1859, on note la présence de «messeillers» ainsi que d’un gendarme. Les premiers avaient pour mission principalement la «garde des récoltes et des pâturages». Au début du 20ème siècle, des gendarmes chargés du maintien de l’ordre public étaient nommés par la commune. Le Conseil général refusa en 1902 d’envisager une collaboration avec les gendarmes de Renens. En 1861 un agent de police pour les cafés est engagé.

Dès 1923, un "agent de police permanent" est nommé. Ses fonctions sont variées : Agent de police (surveillance des établissements publics, dénonciation des contraventions aux lois et aux règlements de Police, surveillance des forêts, surveillance des personnes suspectes et des vagabonds, surveillance des mesures de précaution contre l’incendie, responsabilité de donner l’alarme en cas d’incendie, préparation des corbillards, conduite des cortèges mortuaires); Huissier (service de propreté, entretien et chauffage de la salle de Municipalité, convocation des membres de la Municipalité aux séances, remise de communications officielles et des décisions municipales, affichage des lois et arrêtés fédéraux et cantonaux, des décisions municipales et des actes d’Etat-civil, remise aux établissements publics des pièces à afficher, criée aux mises communales, convocation des membres du conseil communal et de la commission scolaire); Contrôle des habitants et bureaux des étrangers; Préposé à l’électricité; Service d’Eglise; Préposé aux assurances (dès 1951, il est également préposé à l’office communal de placement) et Inspecteur des viandes.

Le règlement communal de police de 1935 nous indique que l'agent de police est en charge de la signalisation routière, de la circulation et du stationnement. Par la suite, la police municipale suit également les projets d'aménagements routiers aux côtés du service des travaux.

En 1923, Fivaz (César) est engagé au poste d'agent de police permanent. Il est remplacé en novembre 1931 par Rieben (André) qui occupe la fonction jusqu'en 1959. Perret (Marc) lui succède. Au vu de l'augmentation rapide de la population, un second poste d'agent est créé en 1962. Il est occupé par Pointet (Armand). Rochat (Charles) est nommé commissaire de police en 1969 et en janvier 1988, il cède sa place à Morend (Daniel-André) qui dirige le service jusqu'en 1993. En 1994 Tréboux (Pascal) lui succède. En 2007, le service compte 16 employés ainsi que 6 patrouilleurs scolaires.

En 2008, La Police communale d’Ecublens est intégrée dans la POL (Police de l’Ouest Lausannois) qui regroupe les 8 communes du District de l’Ouest lausannois, soit Bussigny, Chavannes-près-Renens, Crissier, Ecublens, Prilly, Renens, St-Sulpice et Villars-Ste-Croix. La direction de la POL se situe à Renens dans un premier temps. Elle déménage à Prilly en 2013. Deux postes de police de base sont sont situés à Renens et à Ecublens (ouverts du lundi au vendredi). Des points d’appui, aux heures d’ouverture réduites se trouvent Bussigny, Chavannes-près-Renens, Crissier et St-Sulpice.

Le personnel du service de police communal change alors d'employeur et est transféré à l'association de communes pour la sécurité dans l'Ouest lausannois (Polouest). Le capitaine Tréboud (Pascal), ancien commissaire et chef du service de police occupe dès lors la fonction de répondant communal au sein de cette nouvelle organisation.

Ecublens - Autorités communales

  • CH - Ecublens - Autorités communales
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  • 1799-nos jours

10 mai 1799: Constitution de la première municipalité. Celle-ci a probablement eu fonction d'autorité législative et exécutive pendant une quinzaine d'années: le Conseil général a vraisemblablement été constitué en 1816 (date du premier procès-verbal d'une assemblée du Conseil général).

Le 21 novembre 1909, un Conseil communal comportant 45 membre est élu.

Longtemps composée de 5 membres, la Municipalité est actuellement constituée de 7 élu/es.

Syndics d'Ecublens:

1848-1857: Musy (Louis)
1858-1859: Ducret (Henri)
1860-1861: Clerc (Louis)
1862-1865: Masson (Auguste)
1866: Clerc (Paul)
1867-1872: Ducret (Samuel)
1873-1882: Masson (Henri)
1883-1886: Musy (Louis)
1887-1893: Clerc (Victor)
1894-1896: Massson (Eugène)
1896-1911: Masson (Henri)
1912-1916: Bonzon (Adrien)
1916-1918: Masson (Adrien)
1918-1933: Ducret (Elie)
1934-1949: Ducret (François)
1950-1969: Jaquenoud (Adrien)
1970-1981: Teuscher (Pierre)
1982-1993: Masson (Jacques)
1994-1997: Bonzon (André)

Ecublens - Administration générale

  • CH - Ecublens - Administration générale
  • Collectivité
  • 1799 à nos jours (?)

L'administration générale ou Greffe municipal a originellement pour tâche principale d'être le secrétariat de la Municipalité et ainsi, d'être au centre de l'organisation administrative communale.
Pendant des décennies, le Greffe municipal était le seul "service" de l'administration et regroupait l'ensemble des documents produits et reçus par la Commune.
Dès le 20ème siècle, de nouveaux services ont été créés au sein de l'administration, qui ont peu à peu repris des tâches du Greffe.

Association de Parents pour la Petite Enfance APPE

  • CH - Ecublens - APPE
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  • 1988-actuel

Le 30 novembre 1988 a été créée à Ecublens l’Association de Parents pour la Petite Enfance A.P.P.E. Cette association a pris contact avec la Municipalité pour étudier l’exploitation d’une garderie d’enfants à Ecublens. Après plusieurs entretiens et études, la Municipalité a considéré qu’il serait préférable de charger une institution privée de créer et d’exploiter une garderie d’enfants, avec l’appui financier des pouvoirs publics, ceci dans l’attente de la création d’une garderie dans un bâtiment communal. L’A.P.P.E. s’est donc chargée de l’exploitation en échange d’une convention ainsi que de locaux adéquats.
La garderie-nurserie Domino a ainsi pu ouvrir ses portes le 15 avril 1991.
Jusqu'en juillet 2012, la nurserie garderie Domino était située au chemin des Esserts 12, 1024 Ecublens.
Elle accueillait 28 enfants par jour de la fin du congé maternité à l'entrée au cycle initial (10 en nurserie et 18 dans la garderie).
Depuis la rentrée 2012, la garderie nurserie a déménagé dans une nouvelle structure, plus grande et mieux adaptée à la demande croissante des parents, située à la Route du Bois 27 (face au centre commercial).
Rebaptisée Centre de Vie Enfantine Domino, la structure accueille dorénavant 90 enfants:
La nurserie accueille 15 bébés de 3 mois à 18 mois
Le groupe des trotteurs accueille 21 enfants de 18 mois à env. 2 1/2 ans
Le groupe des moyens accueille 30 enfants d'env. 2 1/2 ans à l'entrée à l'école enfantine
L'UAPE accueille 24 écoliers de 1ère et 2ème enfantines (Croset et Pontet)
La région offre de nombreuses possibilités de promenades dans la région ainsi qu'un grand choix de destinations grâce à l’arrêt du M1 à proximité : bord du lac, parcs, spectacles en ville de Lausanne, etc.

Echo des Campagnes

  • CH - Echo des Campagnes
  • Collectivité
  • 1912-aujourd'hui

18.11.1912: création de la société chorale L'Echo des Campagnes

Corps de musique

  • CH - Corps de musique
  • Collectivité
  • 1878 - 2005

Chorale L'Avenir

  • CH - Chorale L'Avenir
  • Collectivité
  • 1891-2001

1891: Création de la société de chant le 5 janvier, sous le nom de "société de chant l'Avenir de Prilly".
1893: Inauguration du 1er drapeau, offert par les épouses des chanteurs.
1909: Jules Corbaz et son épouse fondent et animent un groupe d'acteurs qui, pendant une trentaine d'années, assure la partie littéraire et dramatique des soirées annuelles.
1911: la société devient propriétaire de la "Bibliothèque populaire de Prilly". Gérée par une commission formée de chanteurs. Met à disposition de la population environ 3000 volumes. Ouverture 1-2 jours par semaine. Cesse son activité lors de l'ouverture de la bibliothèque communale à Castelmont.

Chœur mixte de Prilly

  • CH - Choeur mixte de Prilly
  • Collectivité
  • 1963-1967

1963: Création d'un chœur mixte, suite à une suggestion du Chœur de dames de Prilly
1967: Nouvelle appellation pour le choeur mixte: "La Chanson de Prilly", nouvel essor.

Choeur mixte de Jouxtens-Mézery

  • CH - Choeur mixte de Jouxtens-Mézery
  • Collectivité
  • 1954 - (date inconnue)

Société formée en 1954

Choeur de dames de Prilly

  • CH - Choeur de dames de Prilly
  • Collectivité
  • 1937-1964

1937: création d'une section indépendante de l'Avenir, le choeur de dames, baptisé "La Coccinelle".
Ce choeur collabora à de nombreuses reprises avec le choeur d'hommes lors des soirées.
1964: dissolution.

Chanson de Prilly

  • CH - Chanson de Prilly
  • Collectivité
  • 1967-2017

1967: Nouvelle appellation pour le choeur mixte: "La Chanson de Prilly", nouvel essor.
1970: Création d'un petit choeur d'enfants, les Moineaux de la Chanson / 1ère soirée annuelle.
1986: la Chanson fait partie du giron choral de la Venoge.
1987: 1ère participation au Giron de la Venoge.
1989: 25ème anniversaire de la Chanson de Prilly
1990: dissolution de la sous-section des Moineaux, faute d'effectif
2014: 50ème anniversaire de la Chanson de Prilly
2017: dissolution de la Chanson de Prilly, faute d'effectif
2018: don des archives de la Chanson aux Archives communales de Prilly.

CIGM - Centre intercommunal de glace de Malley

  • CH - CIGM
  • Collectivité
  • 1981-2016

En 1981, au vu de l’essor des sports de glace et conscientes d’un manque dans le paysage sportif vaudois, les Communes de Prilly, Renens et Lausanne ont décidé de s’unir afin de réaliser le Centre Intercommunal de Glace de Malley S.A. (CIGM).

Le CIGM a toujours tenu compte à la fois des souhaits des utilisateurs privés et de ceux des clubs de patinage et hockey-sur-glace et des écoles.

Ce projet d’envergure, devenu depuis un pôle incontournable des activités sur glace et organisation de manifestations en Suisse romande a été inauguré en 1984. Il comprenait en ce temps-là une patinoire couverte et deux patinoires extérieures exploitées en hiver, et huit courts de tennis exploités en été.

Evolution depuis 1984

Puis le site s’est modifié au fil des années pour rester en adéquation avec l’évolution des tendances. Il comporte à ce jour une patinoire à ciel ouvert et deux patinoires intérieures, transformables en salles omnisports ou de spectacles et pouvant recevoir de 1'000 à 10'000 personnes.
Le 14 décembre 2005, le Conseil d’administration a donné son accord pour la réalisation d’un nouveau bâtiment. En 2007, le CIGM s’est donc enrichi de quatre salles polyvalentes modulables, regroupées sous le nom Malley Event Center et pouvant accueillir jusqu’à 200 personnes par salle. Ce lieu d’exception a pour vocation d’accueillir séminaires, conférences, banquets, cocktails, tout ceci dans un environnement original.

Evolution depuis 2010
En 2010, sur demande du Conseil d'administration, un audit a été effectué pour évaluer quels travaux devraient être faits pour améliorer le site.
Ce rapport a permis de définir les coûts nécessaires aux travaux de reconstruction du site. Début 2014, les municipalités de Lausanne, Prilly et Renens ont demandé au CIGM de mener un concours d'architecture et le suivi d'un plan d'affectation cantonal. Ces projets ont été soumis aux Conseils communaux des trois communes.
En juin 2015, le jury du concours a sélectionné le lauréat du projet H20, présenté par le Bureau d'architecture Pont12.
Le CIGM a été chargé de réaliser la suite, soit la réalisation d'un pôle sportif d'importance cantonale, composé de piscines, patinoires, salles pour l'escrime et le tennis de table.

Pour que son mandat corresponde aux nouvelles activités qui lui ont été confiées, le CIGM a revu ses statuts et sa raison sociale en septembre 2016. Il est alors devenu le Centre Sportif de Malley SA (CSM SA).

Bobst SA

  • CH - Bobst SA
  • Collectivité
  • 1890-nos jours

Blonay - Commune

  • CH - Blonay
  • Collectivité
  • 1184 - nos jours

Comm. VD, distr. de Vevey dès 1798, comprenant B. (villages de Tercier et Cojonnex devenus quartiers de B.) et plusieurs hameaux (dont Les Chevalleyres), s'étageant de 500 m env. à 1400 m env. (Pléiades). Elle tire son nom de la famille de B. 861 Blodennaco, 1108 Bloniaco, XIIIe s. Blonay, Blonai, Blunai. 1244 hab. en 1764 (avec Saint-Légier), 800 en 1798, 832 en 1850, 1048 en 1900, 1351 en 1950, 4695 en 2000. Pierre à cupules, nécropole et vestiges préhistoriques. B. faisait partie de la seigneurie du même nom qui regroupait, à la fin du XIIe s., la terre de B., celles de Saint-Légier-La Chiésaz, de Corsier et de Vevey, mais qui sera divisée à plusieurs reprises (Saint-Légier-La Chiésaz échangé en 1363, racheté à la fin du XVIe s., puis passant par mariage aux Joffrey). En 1750, à la suite de difficultés financières, la seigneurie de B. fut vendue à Emanuel Franz Rudolf von Graffenried. Les seigneurs de B. eurent jusqu'en 1798 le droit de basse, moyenne et haute justice (le gibet est visible sur un plan de 1671), les droits de dîme, péage, chasse et pêche. Sous le régime bernois (1536-1798), B. fit partie du bailliage de Vevey. La communauté (affranchie de la taille en 1478 seulement) était administrée au XVIIIe s. par deux conseils (des Douze et des Vingt-Quatre). A la fin du XVIIIe s., B. était la commune la plus rurale du bailliage de Vevey. Le 76% de sa population dépendait du secteur primaire (viticulture, céréaliculture, élevage). A l'aube du XXe s., l'agriculture restait encore l'occupation principale de la population. Les Bains-de-l'Alliaz exploitèrent au XIXe s. une source sulfureuse. Le développement de B. fut favorisé par le chemin de fer Vevey-B.-Chamby, inauguré en 1902, et par la crémaillère B.-Les Pléiades, en fonction dès 1911. L'activité de B. suivit l'évolution économique du district, dépendante de l'essor du tourisme régional d'avant la Première Guerre mondiale. A la fin du XXe s., B. conserve un secteur agricole et viticole, mais la majorité de la population est active dans les secteurs secondaire et tertiaire, occupée surtout hors de la commune. Plan de zones de 1970 remanié en 1976. B. mise sur l'accueil de petites entreprises du tertiaire, le tourisme familial (ski et ski de fond aux Pléiades, remise en fonction de la ligne B.-Chamby en 1998, abandonnée durant les années 1960).
Elisabeth Salvi, "Blonay", in Dictionnaire historique de la Suisse, , URL: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F2612.php^, version du 18/06/2007 .

Billard Club Prilly

  • CH - Billard Club Prilly
  • Collectivité
  • 1981-2012

1981: fondation du club de billard à Prilly, suite à la fusion des clubs de Prélaz-Ouest Prilly et Lausanne-Billard-Club.
2012: fusion avec le club de Renens, sous le nom de Billard Ouest Lausannois (BOL) dont le siège est à Ecublens.

Billard Club Ouest Lausannois BOL

  • CH - BOL
  • Collectivité
  • 1942-2012

Assemblée constitutive du Billard-Club Renens à l'Hôtel de la Gare, en date du 27.03.1942. Le club se réunit à Renens entre 1942 et 2012. Le procès-verbal du 16.01.2012 précise que le Billard-Club Renens va déménager à Ecublens et changer de nom, pour devenir le Billard de l'Ouest Lausannois BOL.

Auberge de la Fleur-de-Lys

  • CH - Auberge de la Fleur-de-Lys Prilly
  • Collectivité
  • 1974-aujourd'hui

1974: Ouverture de l'Auberge de la Fleur-de-Lys par M. et Mme Rochat (Paul et Yvonne).
xxxx: Reprise du restaurant familial par Rochat (Daniel et Mireille).
2009: Reprise de la cuisine par Rochat (Stéphane), fils de Daniel et Mireille.

Association du Bâtiment de l'Etoile

  • CH - Association du Bâtiment de l'Etoile
  • Collectivité
  • 1901- à nos jours

L’Association du Bâtiment de l’Etoile naît de la volonté de trois entités yverdonnoises de se réunir sous un même toit. Initié en 1895, ce rapprochement entre l’Union Chrétienne des Jeunes Garçons (UCJG), l’Union Chrétienne des Jeunes Filles (UCJF) et la Croix-Bleue est acté le 11 octobre 1900 lors de la signature des statuts de la société de l’Etoile. Ces trois entités se regroupent tout d’abord sous le nom de Société Immobilière de l’Etoile pour ensuite devenir l’Association du bâtiment de l’Etoile en novembre 1970. Le comité de l’Etoile se compose de trois membres (président, secrétaire, caissier) qui doivent être issus des sociétés propriétaires.
Après une tentative d’achat avortée qui occupe les premières années d’existence de La Société Immobilière de l’Etoile, l’assemblée approuve en 1920 l’achat de l’immeuble de la rue du Four 21 qui sera détruit et où sera érigé le bâtiment actuel de l’Etoile. Celui-ci, construit sous la direction de l’architecte Oberhänsli, mettra moins de deux ans à sortir de terre et est inauguré le dimanche 18 juin 1922.
Les années qui suivirent vont progressivement voir le nombre de location des salles du bâtiment augmenter tout comme le nombre de membres des sociétés y résidant. C’est pourquoi, en 1932, dans un souci de garder ces locataires, l’Etoile entreprend la jonction entre deux salles via la destruction du mur les séparant et avec la construction d’une paroi mobile.
Durant les années de guerre, certaines salles du bâtiment sont réquisitionnées par l’armée impliquant un manque à gagner. De plus, les restrictions d’utilisation du gaz et la difficulté à trouver de quoi alimenter les thé-vente grève un peu les finances de l’Etoile.
Entre septembre 1950 et mai 1951, la section yverdonnoise de l’Union Chrétienne des Jeunes Filles est dissoute faute de membres suffisants, impliquant que les obligations inhérentes à ce copropriétaire historique et locataire ne sont plus remplies. Les conséquences seront toutefois minimes car la section locale de UCJF se reforme rapidement.
Dans les années 1970, de grands travaux de rajeunissement sont entrepris peu avant la célébration des 50 ans du bâtiment de l’Etoile (1972). Depuis cet anniversaire, l’Association a ponctuellement fait des travaux plus ou moins conséquents, dont une rénovation complète en 2005, afin d’entretenir et de rénover les salles misent à la location.

Association des orgues

  • CH - Association des orgues
  • Collectivité

association constituée pour l'acquisition de nouvelles orgues au temple d'Yverdon

Association des commerçants de Prilly

  • CH - Association des commerçants de Prilly
  • Collectivité
  • 1937-1944

1937: naissance de l'Association des commerçants de Prilly (ACP)
1944: l'Association se transforme en ACAP, après avoir accueilli des artisans en son sein.
1979: disparition de l'ACAP et de la Société des intérêts de Prilly (SIP) au profit d'une nouvelle association, la Société Industrielle et Commerciale de Prilly et Environs (SIC)

Association de la Broquine

  • CH - Association de la Broquine
  • Collectivité
  • 1975 - 2015

La bibliothèque enfantine La Broquine, située dès ses débuts dans le bâtiment de l’Ancienne Poste 4, est durant de nombreuses années gérée par une association fondée en 1975. Les différentes tâches liées au fonctionnement de la bibliothèque sont essentiellement assumées par des bénévoles, supervisés par le comité de l’association réparti en groupes de travail. Une première bibliothécaire à mi-temps est engagée en 1987. En 2015, l'association est dissolue et la Broquine est communalisée et intégrée à la Bibliothèque publique d’Yverdon, une action proposée par la commune, qui a été votée et approuvée en assemblée de l’association.

Abbaye de Prilly

  • CH - Abbaye de Prilly
  • Collectivité
  • 1875 - aujourd'hui

1810: Fêtes à intervalles plus ou moins réguliers, sans mention d'une société organisée avec des statuts.
1875: Date officielle de la naissance de l'Abbaye de Prilly.
1896-1900: Cette société prend forme juridiquement.
1904: 1er drapeau
1937: Proposition de fusion entre l'Abbaye des Travailleurs et celle de l'Union.
1949: Aboutissement d'une étude sur la proposition de fusion.
12.11.1949: une assemblée générale qui réunit 87 membres des deux sociétés adopte les nouveaux statuts de la nouvelle société.
1980: inauguration d'une nouvelle bannière.
1975: l'Abbaye fête son centenaire.
2000: Festivités pour le 125ème anniversaire.

Abbaye d'Yverdon

  • CH - Abbaye d'Yverdon
  • Collectivité
  • 1819 - à nos jours

ASIGOS

  • CH - ASIGOS
  • Collectivité
  • 2002-2016

Sous l’empire de la Loi scolaire de 1984, en vigueur depuis 1986, les Communes de Bournens, Boussens,
Cheseaux-sur-Lausanne, Jouxtens-Mézery, Prilly, Romanel-sur-Lausanne et Sullens ont constitué une
entente intercommunale, gérée par les Municipaux des écoles desdites communes, afin de mettre en
commun les ressources nécessitées par la voie baccalauréat; les élèves concernés ont été scolarisés dans
l’établissement secondaire de Prilly, qui existait depuis 1974.
Cette structure a fonctionné jusqu’en 2002, date à laquelle les sept communes ont décidé de la remplacer
par une association intercommunale, plus démocratique parce que comportant, outre le Comité de
direction, toujours formé des Municipaux en charge du domaine scolaire, un Conseil intercommunal
composé de Conseillers communaux, élus suivant une proportion atténuée (en faveur des plus petites
communes) de la population des collectivités membres; elles se trouvaient en outre à la veille de gros
travaux d’extension des locaux d’enseignement, commandés par l’évolution démographique, et la nouvelle
structure était plus adéquate pour décider, cofinancer et suivre cette phase de construction, puis, à terme,
pour en acquérir la propriété.

Renens - Commune

  • 1020 Renens, Vaud, Suisse
  • Collectivité
  • Mentionné dès le 9e siècle sous la forme villa Runingis

Modèle - Commune

  • Collectivité
  • 1010 (1ère mention) à nos jours

Direction générale de l'environnement (DGE)

  • Collectivité
  • 2013 - à nos jours

En 2013, le Service des eaux, sols et assainissement (SESA), le Service des forêts, de la faune et de la nature (SFFN), le Service de l'énergie et de l'environnement ainsi que l'Unité des dangers naturels (UDN) fusionnent pour former la Direction générale de l'environnement (DGE). Cornelis Neet, alors chef de service du SFFN est nommé à sa tête.
La direction générale est divisée en trois directions: la Direction des ressources et du patrimoine naturels (DIRNA), la Direction de l'environnement industrile et urbain (DIREV) et la Direction de l'Energie (DIREN).
La DIRNA est composée des divisions Ressources en eau et économie hydraulique (EAU); Inspection cantonale des forêts (FORET); Biodiversité et paysage (BIODIV), Géologie, sols et déchets (GEODE).
La DIREV est composée des divisions Protection des eaux (PRE); Assainissement (ASS); Air, climat et risques technologiques (ARC).

Service des forêts, de la faune et de la nature (SFFN)

  • Collectivité
  • 1886-2012

A ses débuts en 1803 l’administration cantonale vaudoise ne comptait ni départements ni services. L’exécutif du canton, le Conseil d’Etat, s’appuyait alors sur un ensemble de commissions spécialisées, notamment la Commission des forêts. La police de la chasse et de la pêche était alors sous la responsabilité de la Gendarmerie. Parmi les personnalités de cette époque, nous pouvons citer Charles Lardy, inspecteur cantonal des forêts de 1812 à 1858.
En 1862, La Commission des forêts et l’inspecteur général des forêts sont rattachés au tout nouveau Département de l’Agriculture et du commerce. Adolphe De Saussure puis Adolphe Jordan assument successivement l’inspection générale des forêts.
En 1886, le Service cantonal des forêts, chasse et pêche est créé. Il s’agit du 2ème service du Département de l’Agriculture et du commerce. Le chef de service est nommé en la personne d’Adolphe Puenzieux, inspecteur général des forêts depuis 1884. Il assumera la direction du service ainsi que l’inspection générale des forêts jusqu’à son décès en 1903 et sera remplacé, dans les mêmes fonctions, par Ernest Muret.
Le Département de tutelle change de nom en 1905 et devient le Département de l’Agriculture, de l’industrie et du commerce.
De 1913 à 1950, l’effectif du service oscille entre 5 et 7 personnes. Le chef de service est alors accompagné d’un expert forestier et d’employés administratifs. Ernest Muret est remplacé par Frédéric Grivaz en 1935. Parmi les experts forestiers de cette époque, nous pouvons citer Gabriel Berthoud, Frank Aubert, Charles Gonet, Maurice Moreillon et Simon Combe.
En 1950, Charles Massy est nommé chef de service, il est secondé par Simon Combe, expert forestier, et Alfred Audemars, inspecteur aménagiste puis inspecteur forestier.
C’est en 1957 que le premier inspecteur cantonal de pêche et hydrobiologiste est nommé en la personne de Gilbert Matthey.
Entre 1959 et 1962, plusieurs ingénieurs forestiers viennent compléter l’effectif : André Anken (1959), Jean-Pierre Bezençon (1960) et René Badan (1962).
Jean-François Robert prend la direction du service et l’inspection cantonale des forêts en 1962. Une dizaine de personne sont employées à cette époque par le service.
En 1974, le service change de nom est devient le Service des forêts et de la faune. Une section « Bureau technique » est créée au côté d’une section « Administration » et d’une autre « Conservation de la faune ». Le « Bureau technique » est dirigé par René Badan et a pour vocation de seconder le chef de service dans sa fonction d’inspecteur cantonal des forêts.
Gilbert Matthey prend la tête de la section « conservation de la faune » et devient conservateur de la faune et hydrobiologiste.
Un Centre de formation professionnelle de forestier-bûcheron est créé au Mont-sur-Lausanne en 1980 et placé sous la direction de Michel Bays.
Le « Bureau technique » devient « Services techniques » en 1982. Daniel Zimmermann en prend la direction en 1983.
En 1984, la conservation de la faune devient le Centre de conservation de la faune et d’hydrobiologie appliquée.
Georges Herbez est nommé chef de service et inspecteur cantonal des forêts en 1989. L’effectif du service comporte alors une vingtaine d’employés.
Cornelis Neet devient conservateur de la faune en 1990. L’effectif du Centre de conservation de la faune et d’hydrobiologie appliquée sera complété en 1993 par Bernard Büttiker, inspecteur de la pêche et Claude Lang, hydrobiologiste.
En 1996 le service prend le nom de Service des forêts de la faune et de la nature (SFFN). Le service comporte dorénavant une section « Administration », une « Section technique et gestion forestière », une section « Conservation de la forêt », le centre de formation professionnelle et le Centre de conservation de la faune et de la nature ».
La « Section technique et gestion forestière » est alors dirigée par Daniel Zimmermann ; la « Conservation de la forêt » est assurée par Daniel Goertz (ingénieur forestier) et Anne-France Eichelberger (juriste) ; le centre de formation professionnelle est quant à lui placé sous la responsabilité de Roger Burri.
Le Centre de conservation de la faune et de la nature (CCFN) se divise en trois nouvelles sections : la Conservation de la faune, l’Inspection de la pêche et la Conservation de la nature. A la tête de ses trois sections se trouvent respectivement Cornelis Neet, responsable du centre et conservateur de la faune ; Bernard Büttiker, inspecteur de la pêche ; Philippe Gmür conservateur de la nature. L’effectif du centre passe à 12, spécialistes et employés administratifs compris.
La section "Protection de la nature" a été créée suite à la loi du 10 décembre 1969 sur la protection de la nature, des monuments et des sites et rattachée à l'Office de l'urbanisme puis au Service de l'aménagement du territoire dès 1974. Elle a été transférée au Service des eaux et de la protection de l'environnement le 1er juin 1988 avant de l’être à nouveau, en 1995, au CCFN sous le nom de « Conservation de la nature ».
En 1998, après une refonte complète des départements de l’administration cantonale vaudoise, le SFFN et à fortiori les sections forestières et le CCFN passent sous la tutelle du tout nouveau Département de la Sécurité et de l’Environnement (DSE). L’effectif du service comporte à cette époque une trentaine d’employés.
En 2002, Cornelis Neet prend la direction du SFFN. Il est remplacé à la tête du CCFN par Philippe Gmür, et à la conservation de la faune par Sébastien Sachot. L’effectif du CCFN évolue pendant ces années et atteint 18 en 2005. Jean-François Métraux, ingénieur de conservation, prend la direction de la « Conservation des forêts » et Daniel Zimmermann est nommé inspecteur cantonal des forêts.
En 2005 les sections forestières du service sont réorganisées comme suit : une section « Inspection cantonale des forêts » dirigée par Daniel Zimmermann ; une section « Gestion forestière » dirigée par Patrick Fouvy ; une section « Conservation des forêts » dirigée par Jean-François Métraux ; et le Centre de formation professionnelle dirigé par Roger Burri.
En 2012, le SFFN est intégré à la Direction générale de l’Environnement (DGE) et Cornelis Neet est nommé directeur général de l’environnement. La DGE se divise en trois directions qui se divisent elles-mêmes en plusieurs divisions.
L’ensemble des attributions du SFFN en matière de forêts sont désormais regroupées dans la division « Inspection cantonale des forêts » (DGE-FORET) de la Direction des ressources naturelles (DIRNA).
L’ensemble des attributions du CCFN sont désormais regroupées dans la division Biodiversité et Paysages (BIODIV) de la Direction des ressources naturelles (DIRNA). La division BIODIV est dirigée depuis 2013 par Catherine Strehler-Perrin.

Service des eaux, sols et assainissement (SESA)

  • Collectivité
  • 1929-2012

Dès 1886, la gestion des eaux était répartie entre deux services du Département des Travaux publics. Le premier service « Administration et entretien » était chargé des concessions sur les grèves et des concessions à bien-plaire, tandis que le deuxième service « Etudes et constructions » s’occupait des lacs et cours d’eau (corrections fluviales) ainsi que des concessions pour l’utilisation des eaux fluviales.
Ces tâches ne représentaient à l’époque qu’une petite partie du travail de ces services qui avaient en outre la charge de la gestion du domaine public de manière générale, de la police des constructions, des moyens de transports, de la construction des ponts et chaussées, etc.. Au tournant du siècle ces deux services employaient une quinzaine de personnes.
1902 : Les concessions pour l’utilisation des eaux fluviales passent de la responsabilité du deuxième au premier service. Les questions liées à la gestion du domaine public « eau » sont ainsi regroupées au sein du service « Administration et entretien ». Les concessions pour l’exploitation des mines et des carrières sont également placées sous la responsabilité de ce service à ce moment là.
1929 : Par la décision du Conseil d’Etat du 21 mai, les deux services « Administration et entretien » et « Etudes et constructions » sont remaniés de fond en comble pour créer le Service des routes et le Service des eaux. Ce dernier a désormais à sa charge: les corrections fluviales ; la régulation des lacs ; les travaux d’assainissement et de dessèchement ; l’entretien des ouvrages d’endiguement ; les concessions pour l’utilisation des lacs et cours d’eau ; l’application de la loi sur le marchepied le long des lacs et les plans riverains ; la police et la gérance du domaine public en ce qui concerne les lacs et cours d’eau ; les concessions de grèves et les concessions à bien-plaire. Les carrières sont quant à elles sous la surveillance du Service des routes.
A sa création, l’effectif du Service des eaux comprend en tout et pour tout, le chef de service, Charles Pelet, un ingénieur, Henri Zorn, et un secrétaire technique, Alfred Chollet.
1938 : Un premier surveillant des cours d’eau est nommé en la personne de Serge Faesh (bassin de l’Orbe et nord du bassin de la Venoge)
1948 : L’organisation du service fait apparaître un bureau technique, un bureau administratif et les surveillants des cours d’eau, dont le nombre est passé à trois.
1950 : Charles Pelet est remplacé par Edouard Dutoit, ingénieur, au poste de chef de service.
1954 : Organisation de la surveillance des cours d’eau en quatre secteurs
1955 : Inscription de la lutte contre la pollution des eaux dans les attributions du service
1958 : Jean Noverraz est nommé chef de service
1966 : Déménagement du service de la rue Cité-Devant 11 à la place de la Riponne 10
1974 : Inscription des concessions de pompage aux nappes souterraines dans les attributions du service. L’effectif du service oscille alors entre 15 et 20
1976 : Le service est dorénavant chargé du contrôle de la construction et de l’exploitation des installations d’épuration des eaux usées et de traitement des déchets, ainsi que du contrôle de la construction et la révision des installations servant à l’entreposage, au transport, au transvasement de liquides pouvant altérer les eaux. Outre l’administration (du service et du domaine public eau), le bureau technique lacs et cours d’eau et les chefs de secteur, le service se dote d’un office de la protection des eaux comprenant une section épuration et incinération et une section contrôle des citernes. L’effectif du service bondit à 32 employés.
1977 : Une section laboratoire est créée au sein de l’Office de la protection des eaux. Le laboratoire est chargé du contrôle analytique des eaux des lacs, des rivières et des stations d’épuration
1978 : La section épuration et incinération devient la section assainissement.
1982 : Pierre Chausson est nommé chef de service
1983-85 : Le service comprend une administration, une section génie civile (ex bureau technique), une section entretien (chefs de secteurs) et l’Office de la protection des eaux, lui-même divisé en 5 sections (administration, épuration urbaine, épuration industrielle, contrôle des citernes, laboratoire). L’hydrogéologue cantonal (poste créé en 1978), Joseph Mautner, est transféré du Laboratoire cantonal au Service des eaux en 1983. Il est notamment chargé de la protection des nappes souterraines et des sources
1988: Le service est rebaptisé « Service des eaux et de la protection de l’environnement ». Une section protection de la nature est créée et un délégué cantonal à l’environnement est nommé.
1989-1991 : L’Office de la protection des eaux est dissous et ses sections sont ramenées au niveau du service. Ce dernier est réorganisé en divisions dans la foulée:
• Administration (administration du service et gestion administrative du domaine public eau) ;
• Eaux souterraines (hydrogéologie et contrôle des citernes) ;
• Economie Hydraulique (corrections fluviales, gestion technique du domaine public eau et entretien par secteur) ;
• Assainissement et gestion des déchets (assainissement urbain, assainissement industriel et gestion des déchets) ;
• Laboratoire ;
• Protection de la nature ;
• Délégué à l’environnement
1995 : La protection de la nature quitte le service
1996 : Le délégué à l’environnement quitte à son tour le service
1998 : Le service est rebaptisé Service des eaux, sols et assainissement (SESA) et est placé sous la tutelle du nouveau Département de la sécurité et de l’environnement (DSE). Le Département des travaux publics est quant à lui dissous. La surveillance et la protection des sols deviennent de la compétence du SESA à ce moment là, tout comme les autorisations d’exploiter et la surveillance des carrières
2000 : Une nouvelle division « Déchets, sols et installations » est créée
2002 : Jean-François Jaton est nommé chef de service
2004 : Les chefs de secteur se voient appuyés par le soutien de deux nouveaux adjoints
2006 : La division des carrières et gravières est dissoute et son activité est intégrée à la division nouvellement créée des « Sols, carrières et déchets »
2009-2010 : Premières réflexions en vue de la création d’une cellule « micropolluants », avec l’achat en 2010 d’un appareillage analytique complexe, permettant de mettre en évidence des substances en traces infinitésimales dans les eaux
À mi 2012, le SESA compte 122 collaborateurs, pour une activité de 111 ETP (équivalent temps plein), répartis comme suit: 54 au Valentin 10, 16 au laboratoire des Croisettes et 52 décentralisés dans les quatre secteurs d'entretien des cours d'eau.
Fin 2012, le SESA est intégré à la nouvelle "Direction générale de l'environnement" (DGE), au côté du Service de la forêt, de la faune et de la nature (SFFN) et du Service de l’environnement et de l’énergie (SEVEN), sous la direction de M. Cornelis Neet.

Sainte-Croix - Ville

  • Collectivité

Comm. VD, distr. du Jura-Nord vaudois, située au pied du Chasseron, divisée en deux vallons principaux, celui de S. et celui des Granges, composée de vingt-sept localités, les plus importantes étant le village de S. (1086 m), L' Auberson, La Chaux, La Vraconne, La Sagne et Le Château. 1177 Sancta Crux, 1317 Saint Crueyz, ancien nom all. Heilig Kreuz. 1834 hab. en 1764, 2833 en 1798, 3541 en 1850, 5914 en 1900, 6575 en 1950, 6925 en 1960, 6240 en 1970, 4543 en 1980, 4333 en 2000.
Source et autres informations : Chantal Lafontant: "Sainte-Croix (commune)", in: Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), version du 08.02.2011. Online: https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/002400/2011-02-08/, consulté le 08.09.2022.

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