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Pièces annexes

Cette série contient les pièces élaborées par la Municipalité à l'intention du Conseil communal: budget, comptes, rapport de gestion et préavis municipaux, ainsi que des pièces reçues par la Municipalité, concernant le Conseil communal et son fonctionnement.

Le Dèfreguelyï

Le Dèfreguelyî, n° 1 à 36.
Chaque numéro s'articule de la manière suivante:
Edito / Le mot du syndic / articles traitant de:

•ce qui se passe au sein de l'administration (en fin d'année),
•des voeux adressés aux nonagénaires et aux couples fêtant un anniversaire important
•des activités des sociétés locales
•du Conseil des Jeunes
•des manifestations ou activités spéciales de saison.

Correspondance 1906

Correspondance au sujet de l'aménagement d'un parc public sur la propriété de M. Charrière de Sévery en Montétan. Plaintes sur poules & garde champêtre. Divers.

Bourse des Pauvres

Cette série contient différents types de documents issus de la tenue de la Bourse des Pauvres:

  • Comptes annuels;
  • Journaux de caisse;
  • Liste de personnes ayant bénéficié d'une aide, liste des transactions mensuelles;
  • Lettres de rente en faveur de la Bourse des pauvres;
  • Obligations en faveur de la Bourse des pauvres;
  • Rentier
  • Correspondance relative à des dons et pensions accordées par la Municipalité
  • Demandes de secours, d'aide et de pensions;
  • Legs en faveur de la Bourse des pauvres;
  • Actes de pauvreté ou déclarations d'indigence;
  • Contributions versées à différents établissements de secours.

Grande Salle

Cette série contient les documents relatifs au bâtiment de la Grande Salle. Elle retrace la construction, les transformations et les divers travaux d’entretien réalisés entre 1921 et 1987. On y trouve notamment :

  • des préavis municipaux, rapports et extraits de décision ;
  • de la correspondance ;
  • des plans (construction ; projet de transformation ; transformations) ;
  • des décomptes et factures ;
  • des devis, soumissions et contrats avec les entreprises.
    Notice historique:
    Peu après la construction du Collège-Centre, une salle de gymnastique est réclamée pour l’enseignement du sport aux classes prillérannes. On imagine d’abord transformer le bâtiment « Grand-Vigne » en salle de gymnastique. Le projet n’est pas poursuivi.
    En 1914, une salle de gymnastique communale est projetée par l’architecte James Ramelet, auteur du Collège-Centre (voir plans de 1914), au lieu-dit Sus-Vellaz (emplacement approximatif Ch. du Centenaire 8). Le projet est accepté par le Conseil communal après avoir été modifié pour en limiter les coûts, mais le 28 novembre 1914, le conseiller communal Frédéric Mayor fait passer une motion visant à renvoyer l’entreprise à des temps meilleurs.
    Dans son ouvrage, M. Schertenleib indique que la question refait surface en 1916 lorsque Mme Pinard fait part de son intention de vendre la grange du château suite au décès du Dr. Pinard. L’architecte Ramelet estime qu’on pourrait y aménager une salle de gymnastique. Mais le Conseil communal refuse la transaction.
    Ce n’est qu’entre 1920 et 1922 qu’un bâtiment abritant à la fois une salle de gymnastique et une Grande Salle est construit, suite à une intervention du conseiller Rubli en date du 21 mars 1921, qui informe le Conseil des nouveaux arrêtés fédéraux urgents sur le chômage. La Municipalité réagit aussitôt et charge l’architecte R. Devaud de présenter un projet. Le bâtiment devra se trouver sur les terrains de la Grand-Vigne et comprendre une salle de gymnastique avec scène et sous-sol pour salle de sociétés et locaux divers. Le projet est accepté par le Conseil communal ; le chantier est lancé, sous la conduite des entreprises Antonioli et Ferraris. Le bâtiment est inauguré les 7 et 8 octobre 1922 : le spectacle « On... Cery… de nous ! » est donné par l’Union des sociétés locales à cette occasion.
    Le temps passe et l’essor démographique oblige la Commune à transformer ses bâtiments : les bâtiments scolaires se multiplient, tandis que d’autres doivent être réadaptés.
    Le 27 octobre 1960, une motion est déposée par M. René de Siebenthal: il demande à la Municipalité de procéder à l'étude de "la construction d'une grande salle et d'un bâtiment administratif". Une réponse est donnée par la Municipalité le 2 mars 1962 (rapport), qui a consulté l'architecte Berguer. Le 18 février 1963, une nouvelle motion est déposée par M. André Favre au sujet de la Grande salle. Le 2 décembre 1963, une séance est tenue par la Commission extra-parlementaire nommée pour étudier le problème de la Grande Salle. Mais il faut attendre le 7 décembre 1964 pour une réponse municipale aux motions déposées par MM. de Siebenthal et Favre concernant la construction d'un bâtiment administratif et d'une nouvelle Grande Salle. Cette réponse se base sur l'avis de la commission spéciale, qui a notamment conclu que "la construction d'une grande salle s'impose dans notre commune et cela dans le plus bref délai ».
    Un projet de transformations et d'agrandissement de la grande salle de l'architecte Jean-Jacques Danthe figure ensuite dans le dossier : aucune trace n’y figure concernant un éventuel concours ou des projets d’autres architectes. Le 13 juin 1966, un préavis (1966-10) concernant une demande de crédit pour la transformation de la grande salle est soumis au Conseil communal. Le rapport de commission (04.07.1966) indique que le crédit 654'000.- Fr. est accepté. Le 12 avril 1967, un second préavis (1967-11) relatif à "l'obtention de crédit pour l'aménagement de la grande salle" est déposé. Les transformations sont réalisées par des entreprises prillérannes ou de la région. Parallèlement aux travaux d'agrandissement et de transformations de la grande salle, une place de stationnement est créée et la Promenade des Alpes est refaite. L'inauguration a lieu le 26 septembre 1969, en même temps que celle du Collège du Grand-Pré.

Collège Centre

Cette série contient les documents relatifs au bâtiment du Collège-Centre. Elle retrace la construction, les transformations et les divers travaux d’entretien réalisés entre 1905 et nos jours. On y trouve notamment :

  • des préavis municipaux, rapports et extraits de décision ;
  • de la correspondance ;
  • des plans (construction ; projet de transformation ; transformations) ;
  • des décomptes et factures ;
  • des devis, soumissions et contrats avec les entreprises.

Historique du bâtiment (1904-1933):
Entre 1904 et 1908, des terrains sont acquis par la Municipalité au centre du village, dans le but d’y ériger un collège. Les classes se trouvent alors au Collège Sus-Vellaz (dit ensuite « Vieux-Collège ») et au 1er étage du bâtiment communal. Les élèves sont entassés dans des locaux exigus et les enseignants en fonction semblent ne pas répondre aux exigences.

En 1905, le Département de l’Instruction publique fait rédiger un rapport sur les problèmes de salubrité des locaux du bâtiment d’école, qu’elle transmet aux autorités communales. Le Département incite la Municipalité à prendre des mesures rapidement.
En 1907, faute de moyens, la Municipalité propose au Conseil communal d’aménager des classes dans le bâtiment « Moraz ». Mais le Conseil rejette le préavis par 18 voix contre 8 et préconise la construction d’un nouveau collège.
Quelques semaines plus tard, la Municipalité, sous pression, demande un crédit pour lancer un concours d’idées pour la construction d’un nouveau collège, aussitôt accepté par le Conseil communal, qui nomme une commission pour suivre le projet.

Le procès-verbal de la séance de Municipalité du 1er mai 1907 indique que « Le collège devra contenir :

  • 8 classes de 50 élèves chacune
  • 4 appartements dont 2 de trois chambres et cuisine et 2 de deux chambres et cuisines et toutes dépendances ;
  • 1 classe spéciale pour les travaux de couture ;
  • éventuellement un local pour la commission scolaire ;
  • 1 chambre à lessive ;
  • 1 horloge avec cloche.

En août 1907, le 1er prix du concours est décerné à M. Bron, architecte. Toutefois, le projet de construction est finalement attribué en décembre 1907 à M. James Ramelet, alors jeune architecte. Les travaux de construction débutent en 1908. Les premiers élèves pénètrent vraisemblablement dans le nouveau collège en août 1909. Il n’y a pas de renseignements concernant une inauguration officielle du bâtiment, en revanche, la reconnaissance définitive des travaux a lieu le 7 novembre 1911.

En prévision de l’augmentation de la population, le Collège-Centre est agrandi au début des années 1930 par l’architecte James Ramelet, auteur du bâtiment de 1909. La Municipalité lance le projet en 1931, soumet le préavis concernant les travaux d’agrandissement en 1932 au Conseil Communal, qui l’approuve le 16 mai 1932. Les travaux sont exécutés entre 1932 et 1933.

Flumeaux 2 (Rte)

Cette série contient les documents relatifs au bâtiment du Tilleul. Elle retrace les diverses transformations et réaffectations du bâtiment. On y trouve notamment :

  • des préavis municipaux, rapports et extraits de décision ;
  • de la correspondance ;
  • des plans ;
  • des décomptes et factures ;
  • des devis, soumissions et contrats avec les entreprises.
    Histoire du bâtiment:
    Selon Alain Gaudard, ce bâtiment était à l’origine une ferme et datait des années 1870, la première mention de cet immeuble sur le registre cadastral élaboré en 1841 datant de 1877 : « A la Grande Vigne, maison d’habitation avec caves voûtées, grange, écurie, fenil de 27 toises ».
    Selon André Schertenleib, ce bâtiment, dit « de la Grand-Vigne », appartenait à la famille Moraz. Il est acquis par la Commune le 28 décembre 1906.
    Vers 1920, un local du feu y est créé et deux appartements sont aménagés. L’un est attribué à Emile Mignot, premier agent de police de Prilly. En 1932, l’échelle mécanique du service du feu nécessite la construction d’une annexe et le déplacement de la fontaine. La porte voûtée fait place à une grande porte carrée.
    Des plans de 1938 réalisés par les architectes Edmond Gold et van Dorsser indiquent que des transformations sont projetées, qui n’ont vraisemblablement pas été réalisées.
    La gendarmerie s’installe dans cet édifice en 1939 (on l’appelle alors « Au Tilleul ») et y reste jusqu’au 30 juin 1988, date à laquelle elle quitte Prilly, suite à une réorganisation et à la création d’un centre régional à Renens. C’est l’occasion pour la Commune de transformer le bâtiment et d’y loger la police locale et le Contrôle des Habitants, qui se trouvent à l’étroit au Château (transformations entre 1988 et 1991 environ).
    Le 28 avril 1983 déjà, M. Gilbert Behrens dépose une motion demandant la remise en état et la transformation du bâtiment ; sans suite.
    En 1986, une étude est lancée pour la restauration du bâtiment Au Tilleul (préavis 1986-18). Dans le préavis, la Municipalité indique que « le nouveau plan d’aménagement du centre prévoit le maintien de cet ensemble dont la situation au cœur de la localité est intéressante. Son aspect, tout comme ses proportions, justifient son maintien avec le Collège Centre, le Château, Castelmont et le four à pain ; il constitue l’un des éléments caractéristiques de notre ville. L’évolution de la situation nous permet aujourd’hui de vous proposer d’entreprendre une étude approfondie tendant à la restauration du bâtiment Au Tilleul. (…). La Municipalité propose d’affecter ces locaux au Service de police, ainsi qu’à la gendarmerie et de créer si possible un logement. La nécessité impérative de trouver de nouvelles surfaces pour nos services administratifs justifie cette option. »
    Il faut toutefois attendre 1989 (et le départ de la gendarmerie) pour qu’un nouveau préavis (1989-12) soit déposé, qui demande un crédit pour la rénovation et agrandissement du bâtiment « Au Tilleul », la construction d’une annexe avec monte-charge pour la Grande Salle et l’équipement des locaux. Ce préavis découle de la décision du 29 septembre 1986 octroyant un crédit d’étude à cet effet. L’avant-projet précisant la destination de ce bâtiment est présenté au Conseil communal au cours de sa séance du 14 décembre 1987.
    L’immeuble rénové et agrandi est finalement affecté au service de police et à celui du contrôle des habitants uniquement. Les locaux dont disposent ces services au Château sont jugés insuffisants et ne répondent plus aux exigences. Pour des raisons évidentes, la police doit se situer au centre-ville. Son transfert dans le bâtiment Au Tilleul constitue la seule implantation envisageable satisfaisant les critères devant être pris en considération (garages de police le plus proche du poste, liaison avec le réseau routier, rapidité d’intervention, sécurité, voisinage, discrétion, proximité de l’administration communale). Le préavis indique enfin que « parallèlement à l’étude de la rénovation, la Municipalité a examiné si sa reconstruction totale, sous une forme ou une autre, ne devait être retenue. L’espace disponible et la disposition des lieux n’offrent pas le choix de cette alternative sans inclure également la grande salle. Le coût de cette éventualité est tel qu’elle doit être écartée. Le Collège Centre, la grande salle et le bâtiment au Tilleul forment un ensemble qui mérite d’être maintenu. Ils ont marqué l’histoire de notre ville qui, après avoir su sauvegarder le Château et Castelmont, se doit de maintenir au cœur de la Commune cet héritage de son passé. La contiguïté de la grande salle et la proximité du collège Centre nous ont conduits à étendre l’étude pour tenter de résoudre les problèmes suivants : création d’une chaufferie centrale, aménagement d’un monte-charge pour la grande salle et création de WC pour handicapés. L’aménagement d’un appartement prévu dans les combles a été abandonné pour des raisons économiques et de cohabitation avec les locaux de police. (…) Le devis des travaux s’élève à 4'550'000.- francs, soit 3'625'000.- pour la rénovation du bâtiment Au Tilleul et 675'000.- francs pour la grande salle. »
    En 2008, suite à un postulat déposé en 2007, un projet de transformation du bâtiment est lancé, qui prévoit le changement de destination des locaux et la création d’une crèche. Ce projet est soumis l’enquête publique en août-septembre 2008 et accepté.
    La police et le Contrôle des habitants utilisent ces locaux jusqu’en 2009. L’Office de la population est alors transféré dans un bâtiment provisoire à Corminjoz avec les autres services de l’administration communale durant les travaux de transformation du Château ; quelques locaux du Tilleul restent attribués à la Police, devenue entre-temps POL (Police de l’Ouest Lausannois).
    Les travaux de transformations ont lieu en 2009. Le centre de vie enfantine est ouvert en 2010 et permet d’accueillir des enfants de 0 à 3 ans.

Plantinel - Av. Floréal 3, Parcelle n°662

Cette série contient les documents relatifs au bâtiment de Plantinel. Elle retrace essentiellement les travaux de transformations réalisés entre 1996 et 1999, suite au rachat de la propriété par la Commune. On y trouve notamment :

  • un préavis municipal, rapports et extraits de décision ;
  • de la correspondance ;
  • des plans (construction ; projet de transformation ; transformations) ;
  • des décomptes et factures ;
  • des devis, soumissions et contrats avec les entreprises.
    Notice historique:
    Ce bâtiment a été construit en 1912 par les architectes Baud & Hoguer pour le Dr. Pinard (Henri-Louis) (Dossier J 3656). Le dossier de construction contient principalement des plans (situation, façades, niveaux et coupes de la villa projetée ; façades, niveaux et coupe de la dépendance).
    M. Pinard (Henri-Louis), originaire de Rances, est médecin à Echallens entre 1880 et 1894, puis il est engagé comme médecin-assistant à Cery. En 1897, il s'associe avec Mayor (Frédéric) et Strudel (Charles) pour acheter des hoirs Emery la vaste propriété du Château, qui comprend, outre les terrains de l'Av. du Château et de Jolimont, une superficie importante du côté aval de la Rte de Cossonay, directement en face du Château et en Floréal. Le prix de la transaction se monte à 137'000 CHF et porte sur plus de 20 hectares. L'année suivante, le Dr. Pinard crée la clinique psychiatrique du Château. (...) Le Dr. Pinard décède en mai 1915; ses héritiers, soit son épouse et son fils François, vendent la propriété de Plantinel le 30 janvier 1928 à Bérard (Emile). Sa fille Marguerite, épouse de Deluz (Robert), en hérite en 1943.
    En 1959, Mme et M. Deluz (Marguerite et Robert) font installer une citerne à mazout avec brûleur dans la villa, par l’entreprise Joux Frères SA (Dossier J 1434). Ils font encore construire un garage en 1960 par l’architecte Gold (Edmond) (Dossier J 1497).
    En 1995, alors que la propriété est aux mains de Mme Del Vecchio (Gislaine), une demande de démolition de la villa est déposée par l’architecte Lavizzari (Jean-Pierre). La Commune refuse la démolition des bâtiments sis sur la parcelle 662 en date du 3 juillet 1995 (Dossier J 3205).
    En 1996, la Commune décide d'acquérir la propriété et de la transformer de manière à y créer des locaux d’enseignement et d’administration des écoles primaires de Prilly (Dossier J 3281 et préavis 1996-12).
    Les coûts d'acquisition de la propriété s'élèvent à CHF 756'000.-. Mme Delvecchio conserve une partie du terrain (devenu parcelle 1757) et y construit un immeuble locatif avec parking enterré et places de parc entre 1997 et 1999 (Dossier J 3300).
    Les travaux de transformations de Plantinel entrepris par la Commune, devisés à CHF 720'000.- sont confiés au bureau d'architecture Architram SA - Vuillomenet (François).
    A noter que le bâtiment a reçu la note "3" du recensement architectural. Concrètement, cela signifie que le bâtiment présente un intérêt au niveau local. Il mérite d'être conservé, mais peut être modifié, à condition de ne pas en altérer les qualités. Avant les transformations, il abrite un cave au niveau du sous-sol; des caves, réduit, buanderie, chaufferie et local citerne à l'entresol (accessible par l'escalier principal et par un escalier extérieur); le tambour d'entrée et la cage d'escalier au niveau du rez-de-chaussée; un logement de 3.5 pièces au rez supérieur, comprenant un hall d'entrée, séjour, 2 loggias, cuisine, sanitaires et 2 chambres dont une avec accès indépendant; 2 escaliers extérieurs desservent l'un la loggia, l'autre la cuisine; le 1er étage abrite un logement de 3 pièces comprenant un hall d'entrée, séjour, cuisine, sanitaires, 2 chambres dont une indépendante; il jouit également de 2 balcons; un escalier privatif en liaison avec le rez-de-chaussée a été condamné. Dans les combles se trouve un logement de 2 pièces comprenant hall d'entrée, cuisine, sanitaires, chambre et balcon; une chambre indépendante complète cet étage; un surcombles a usage de galetas est accessible depuis un "trappon" situé dans la cage d'escalier.

Piscine de la Fleur-de-Lys

Documents relatifs à la piscine de la Fleur-de-Lys, à sa construction, aux transformations et aux questions relatives à l'entretien, à sa gestion etc.

Description: complexe de 27'000m2 situé dans un décor panoramique. La piscine même est formée de 4 bassins (olympique, une fosse pour plongeurs, un bassin pour non-nageurs et un bassin-école), auxquels s'ajoute une pataugeoire équipée de jeux et d'un petit toboggan, un terrain de basketball et deux terrains de handball dont l'un est polyvalent (1983). L'enceinte de la piscine abrite aussi des tables de ping-pong avec un jeux d'échecs géant, un restaurant avec terrasse, un vestiaire de 1900 cases et 5 cabines ainsi que 270 places de parc.

Notes historiques:
1963: Dépôt d'une motion par M. Mermoud (Paul), demandant la création d'une piscine.
1965: La Municipalité obtient du Conseil Communal un crédit de CHF 25'000.- pour l'organisation d'un concours d'idée en vue de

•l'aménagement des terrains communaux sis "Sous la Fleur-de-Lys" et à Montolivet
•la construction d'une piscine.

1966: Le 16 juin, assemblée constitutive de la Société coopérative de la Piscine de Prilly, dont M. Mermoud (Paul) devient président.
1967: Le jury attribue le 1er prix avec mandat d'exécution à l'architecte Urech (Jean-Daniel). 36 projets étaient en lice.
1968: Le Conseil communal approuve le plan d'extension partiel de la Fleur-de-Lys et octroie un droit de superficie à la Société coopérative de la piscine. La même année, la Municipalité obtient du CC un crédit de CHF 800'000.- pour la construction des voies d'accès et l'autorisation de porter à son budget annuel une somme de CHF 50'000.- pour couvrir les déficits éventuels d'exploitation. La Commune cautionnera en plus les emprunts.
1966/1968: La souscription ouverte par la Société rapporte relativement peu de succès. 2230 parts sociales de Fr. 50.- sont acquises par la population de Prilly et diverses entreprises. Le capital social initial est ainsi de Fr. 111'500.-, alors qu'on avait espéré Fr. 500'000.-.
1969: Le CC autorise la Municipalité à accordé à la Société un prêt sans intérêt de CHF 400'000.-.
1970: Inauguration officielle de la piscine en date du 13 juin.
1974: Deux motions sont déposées simultanément au Conseil Communal. La première demande la municipalisation de la piscine - Motion Nicollier (Albert). La Motion Rogivue (Albert) souhaite le maintien de la Société coopérative, moyennant quelques modifications de structure.
1976: Bien que très partagé, le Conseil communal opte pour la seconde proposition et, le 24 juin, l'assemblée générale ordinaire de la Société coopérative accepte la modification de ses statuts et le renforcement de l'intervention communale dans la gestion de son entreprise. Dorénavant, le comité comprendra 9 membres, dont 5 élus par l'Assemblée, parmi lesquels le Président, et 4 représentants de la Commune, soit 2 conseillers municipaux et 2 autres délégués ayant qualité de secrétaire et de caissier. Le président Mermoud (Paul) démissionne pour des raisons professionnelles de surcharge professionnelle; il est remplacé par M. Monod (Henri).
1980: M. Monod, qui a abandonné la présidence à M. Perreti (Albert), dépose en sa qualité de Conseiller communal, une motion demandant l'étude des moyens propres à assainir la situation financière de la piscine de Prilly.
1982: Le 22 novembre, la Municipalité, qui a étudié les solutions proposées par le motionnaire (transformation de la coopérative en SA / maintien de la coopérative mais octroi d'une subvention communale suffisante pour lui redonner son autonomie perdue / reprise du capital par la Commune de Prilly) propose au Conseil communal la reprise des actifs et passifs de la Société coopérative. Cette proposition est faite en plein accord avec le comité de la Société coopérative et le Conseil se prononce favorablement.
1983: La piscine passe en mains communales.

Restaurant de la Piscine de la Fleur-de-Lys

Historique du restaurant:
En 1963, une motion déposée par le Conseiller communal Paul Mermoud demande la création d'une piscine à Prilly. Le 13 juin 1970, la piscine de la Fleur-de-Lys est inaugurée.
Le bâtiment abritant le restaurant est construit en même temps que les bassins, sur la base d'une buvette d'été pour les clients de la piscine. Caractérisé par une dalle en béton pour la toiture plate, posée sur des piliers dans les angles et cloisonnée par de simples parois, ce bâtiment est dépourvu de tout système de chauffage, son utilisation étant limitée à l'été.
Après quelques années, la buvette est transformée: des cloisonnements sont réalisés, un système de chauffage est installé, ainsi que divers équipements. En 1983, un premier bail à loyer est signé à l'usage d'un restaurant, avec une cuisine, une salle à boire, une salle à manger et une terrasse.
Malgré les investissements réalisés au fil des nombreuses années d'exploitation, l'état des locaux et des équipements techniques se détériore.
En 2010, la Municipalité décide de lancer un projet de démolition et reconstruction d'un nouvel établissement. Le bureau d'architectes Atelier Nord présente un projet séduisant: "Tout d'abord est venue l'idée de boîtes lumineuses et généreuses, imbriquées les unes dans les autres. Puis sur l'une d'entre elles s'est déposée une vague". Ce projet faisait écho à la volumétrie cubique des bâtiments d'origine, tout en la réinterprétant dans un langage architectural contemporain.
Les travaux, engagés dès la fermeture des bassins en septembre 2011, se déroulent selon un planning serré: après 9 mois de travaux intenses, le restaurant ouvre ses portes.

Prilly - Service des Domaines et Bâtiments

Propriété communale de Plan-Sépey à Gryon

Résumé de l'historique de Plan-Sépey:
1957: Motion de M. Pradervand (Maurice) invitant la Municipalité à créer une colonie de vacances
1959: Préavis 1959-13 concernant l'achat de la propriété de Plan-Sépey sur Gryon, pour l'installation d'une colonie de vacances.
Lors de l'achat par la Commune, la propriété comprend un grand chalet de 3 étages (Le Bambi); une maison d'un étage (La Renardière) et un petit bâtiment vétuste (La Tour); ce dernier est détruit et des travaux de transformations sont exécutés dans les deux autres bâtiments (notamment: installation de douches, amélioration de l'accès, etc.)
1960: 1ère colonie de vacances à Plan- Sépey.
Préavis 1960-06 concernant une demande de crédit pour la mise en exploitation de la colonie de vacances de Plan-Sépey.
Préavis 1960-10 relatif à l'installation de douches, toilettes et lave-pieds dans le chalet "Le Bambi" et à l'amélioration des voies d'accès aux bâtiments de la colonie.
Préavis 1960-11 concernant une demande de crédit pour la suite des travaux et des achats nécessités par la mise en exploitation de la colonie de vacances de Plan-Sépey.
1967: Préavis 1967-? concernant une demande de crédit pour la réalisation d'un pavillon (L'Ecureuil)
1968: Construction d'un bâtiment de 2 étages (L'Ecureuil)

1968-1979: Transformations et travaux d'entretien de "La Renardière", notamment réparation de la toiture
Dès 1969: Instauration de l'école à la montagne avec 4 classes, puis camps de ski

1981: Aménagement d'une zone de jeux*
1983: Préavis 1983-03 concernant une demande de crédit pour la réfection du chemin sis à l'intérieur de la propriété de Plan-Sépey et divers aménagements
1990: Préavis 1990-19 concernant la réfection des douches et le remplacement du système de production d'eau chaude du bâtiment "L'Ecureuil"
1992: Révision et mise en conformité de la citerne à mazout d'une contenance de 30'000l. et remplacement des conduites d'alimentation
1998: Préavis 1998-11 relatif au remplacement des installations de chauffage et d'eau chaude des bâtiments "La Renardière" et "Le Bambi"
2000: Préavis 2000-01 concernant la reconstruction du bâtiment "La Renardière"
2002: Préavis 2002-19 relatif à la reconstruction du chalet "Le Bambi".

Dossiers disponibles aux Archives, relatifs aux travaux exécutés à Plan-Sépey vers 1960 et jusque vers 2002:
C 1794 + C 1799 Documents relatifs à l'acquisition de la propriété par la Commune
C 1796 Plans d'ensemble (1960)
I 0570 Construction de pavillons SEMPA (1964-1967)
I 0572 Construction et transformations, pavillons L'Ecureuil et La Renardière (1969-1979)
I 0576 + I 0577 Plans "La Renardière" (1960-1961)
I 0578 Plans d'ensemble de Plan-Sépey (1966)
I 0598 Aménagement d'une zone de jeux (1981)
I 0629 Réparation toiture de La Renardière (1970-1980), préavis 1972-03
I 1304 Plans: Renardière etc. (1960-2000)

  • Dossiers déposés en pré archivage, sans identifiant:

Préavis 2000-01 Dossier des travaux de reconstruction de "La Renardière"
Préavis 2002-19 Dossier des travaux de reconstruction du "Bambi"

Correspondance 1910

Correspondance au sujet de la construction du Collège-Centre et emprunts y relatifs, d'un projet de bibliothèque populaire par la Sté de chant L'Avenir de Prilly, du bâtiment "L'Horizon" à Malley, propriété de Sironi et Borella, avec projet d'annex et d'un projet de villa pour M. Perrochon.

Correspondance 1912

Correspondance au sujet d'un nouveau portail au cimetière, de l'impôt communal, du service d'arrosage, du séquestre de l'écurie Pinard, de l'organisation d'une course de vélo et divers.

Correspondance 1913

Correspondance au sujet de la vérification des comptes de remise de Caisse de l'ancien boursier communal, de plaintes concernant le Dr. Pinard et la construction d'un mur, de subsides pour écoles, de la vérification des décès en 1913 et divers.

Chalets d'alpages

Photographies de chalets d'alpage durant la 2ème guerre mondiale (réalisées par la Protection civile):

  • PG 123: chalet d'alpage dans les Préalpes.
  • PG 124: chalet d'alpage dans les Préalpes.
  • PG 125: chalet d'alpage dans les Préalpes, dont une photographie avec un homme sur un balcon.

Bureau électoral de l'arrondissement d'Ecublens (1974-1975)

En 1803, le Canton de Vaud est divisé en 19 districts et 60 subdivisions. Faisant partie du district de Morges, Ecublens devint le chef-lieu du 20ème cercle cantonal. En 1998, Ecublens sert de chef-lieu pour l'un des 60 cercles judiciaires et se trouve à la tête d'un des 30 arrondissements électoraux. (Ecublens raconte, p. 45-46)

De 1998 à 2007, le canton de Vaud était découpé en 19 districts abritant 19 préfectures.

Dès le 1er janvier 2008, le canton est découpé en 10 districts abritant 10 préfectures (sont divisés en deux sous-arrondissements)

En 2020, Ecublens fait partie du district de l'Ouest lausannois dont le chef-lieu est Renens.

Correspondance

Correspondance échangée dans le cadre de la gestion, de l'entretien et de travaux effectués à la piscine de la Fleur-de-Lys, y compris devis, offres, procès-verbaux, rapports, notes etc.
Cette série contient des dossiers "par an".

Football de table

Documents relatifs aux footballs de table appartenant à Egger (Robert):

  • Correspondance;
  • Rapports;
  • Notes.

Auberge communale du Motty

Auberge communale du Motty.
Localisation: Place du Motty 6, parcelle n°462, ECA n°296.

Plans de conduites de gaz (1951-1997).

Travaux de réfection et d'entretien, opérés entre 1974 et 2004:

  • Dossier général relatif aux transformations et aux travaux d'entretien (1974-2004)
  • Plans (1974, 1980, 1984-1985, 1994-1995).

Comptes

Les livres de comptes conservés aux Archives, même s'ils ne sont pas tous décrits jusqu'au niveau de la pièce, vont jusqu'en 1999 y compris.

Police des constructions

Fonds présenté et constitué en marge des plans des fonds (A) et (B), dont le contenu concerne la Police des constructions, soit les dossiers de constructions ou transformations de bâtiments privés et publics se trouvant sur le territoire de la Commune de Jouxtens-Mézery et soumis à l'enquête publique.

Les dossiers de mises à l'enquête contiennent généralement une série de formulaires qui doivent être remis, avec des plans, par le propriétaire et éventuellement son architecte, pour obtenir un permis de construire. Une série d'organismes et/ou de personnes interviennent ensuite pour faire part de leurs commentaires. Les voisins ont notamment le droit de faire opposition au projet. Si tout est en ordre, un permis de construire est délivré. Lors de la fin des travaux, un permis d'habiter ou d'utiliser est demandé et remis lorsque la construction est conforme à la législation en vigueur.

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