Affichage de 992 résultats

Personnes, familles, organisations

Planches, Les - Commune

  • CH - Montreux--80
  • Collectivité
  • 13ème siècle - 1961

En 1962, les communes du Châtelard et des Planches ont fusionné pour donner naissance à la commune de Montreux.

Prilly - Administration générale

  • CH - Prilly - Administration générale
  • Collectivité
  • 1798-nos jours

De la création de la Commune aux années 1930, les fonctions de secrétaire municipal et de greffier, comme la plupart des autres fonctions administratives, étaient assumées par un secrétaire municipal exerçant ses fonctions en plus d’une activité professionnelle. Parmi ces secrétaires municipaux non permanents, nous pouvons citer M. Girardet (Jean-Louis) de 1833 à 1844), M. Girardet (Marc) de 1856 à 1874, M. Rouffy (Marc) de 1874 à 1889, M. Emery (Gustave) de 1905 à 1913, M. Chabanel (Armand), de 1914-1917 ou encore M. Cottier (Emile), de 1922-1928. Voir : Secrétaires municipaux.xls.

En 1930, le premier secrétaire municipal à titre permanent est engagé en la personne de M. Magnenat (Ernest). M. Schertenleib (André) dans son ouvrage « Prilly à l’ombre d’un Tilleul écrit : « En décembre 1929, la Municipalité obtient du Conseil la création d’un poste [de secrétaire municipal à plein temps] qui inclura, outre le Greffe municipal, la comptabilité communale, le boursier restant responsable du mouvement en espèces. »
En 1939, M. Magnenat (Ernest) crée un Service de l’Economie de guerre (exigence cantonale et fédérale), une apprentie est engagée à titre d’aide de bureau. Le Service d’extension des cultures est également créé à cette époque, dans le but de maximiser l’utilisation des sols pour l’agriculture et ainsi d’assurer l’approvisionnement en nourriture de la population.
En 1945, l’Administration générale, constituée du Greffe et du Secrétariat de la Municipalité, engage deux sténo-dactylographes. L’effectif de l’Administration générale est donc de trois employés. Le Service de l’Economie de guerre est fermé en 1948 et induit la diminution d’un poste.
Le rapport de gestion de 1950 donne un aperçu de quelques autres tâches sous la responsabilité de l’Administration générale et remplies de manière accessoire : M. Magnenat (Ernest), secrétaire municipal, est également préposé à l’agence AVS ; M. Girardet (Eugène) est au Contrôle des prix ; M. Duruz (Edouard), policier, s’occupe de la Protection ouvrière et Registre, M. Bally (Henri) du Contrôle des denrées alimentaires. En 1957, M. Bally (Henri) devient officier d’Etat-civil, également sous la responsabilité de l’Administration générale.
En 1952, après les travaux d’aménagement de locaux administratifs au Château, l’Administration générale partage un bureau au premier étage avec le boursier.
En 1959, l’effectif permanent de l’Administration générale comprend 1 secrétaire municipal, 1 adjointe, 1 sténodactylographe et le concierge du Château. Mme Turrian (Rosette) est engagée comme secrétaire municipale adjointe. De 1959 à 1965 le nombre de sténo-dactylographes passe de 1 à 4. 1 apprenti et 1 assistante sociale sont également engagés durant cette période.

En 1965 toujours, M. Magnenat (Ernest) prend sa retraite après 35 ans de service. Dans le rapport de gestion de 1965 il est écrit : "Incontestablement M. Magnenat a marqué l'Administration communale du sceau de sa forte personnalité; il est à l'origine de son organisation actuelle, à laquelle il a apporté son intelligence et son dévouement. Il fut le premier secrétaire permanent de notre commune; c'est lui qui a mis sur pied, entre autres, l'économie de guerre en 1939-1945, l'agence AVS communale et l'Office du travail, lui aussi qui a instauré le système de comptabilité".

Le nouveau secrétaire municipal, M. Gaudard (Alain), entre en fonction le 1er janvier 1966. Rosette Turrian, quant à elle, passe à la Bourse communale et devient cheffe du Service de comptabilité. Le personnel social de l’Administration générale se renforce ; 1 assistant social, 1 préposé AVS et 1 préposé à l’Office du travail sont engagés.

En 1967, l’Administration générale, la Bourse communale et les Oeuvres sociales sont sous le même dicastère. Dix employés administratifs et un concierge travaillent dans cet ensemble.

Les Œuvres sociales et le personnel social quittent l’Administration générale et les Finances en 1970 pour le dicastère des Domaines et Œuvres sociales.

M. Magnenat (Ernest), qui était resté le préposé communal à la défense économique après avoir pris sa retraite en 1965, quitte définitivement l’Administration communale en 1972. Il est remplacé par M. Duruz (Edouard).

En 1974, M. Pointet (Jean-François) est engagé en tant que secrétaire municipal adjoint. Il est également responsable de la section des Domaines et Bâtiments.

En 1976, l’Administration générale et la Bourse communale ne sont plus sous le même dicastère. L’effectif de l’Administration générale (y.c. Office du travail) est alors de 5 employés administratifs, 2 apprentis et 1 concierge.

En 1981, le concierge du Château est regroupé, avec les autres concierges communaux, sous la responsabilité du Service des Domaines et Bâtiments. L’Administration générale prend en charge la gestion de l’exploitation de la nouvelle piscine de la Fleur-de-Lys.

En 1981, la fonction de secrétaire municipal adjoint est séparée de celle de chef du Service des Domaines et Bâtiments. M. Pointet (Jean-François) opte pour la fonction de chef du Service des Domaines et Bâtiments et quitte donc l’Administration générale. Le rapport de gestion de 1981 rapporte que son remplacement par M. Lenoir (Philippe) se traduit par un échec. Suite à cet épisode, la Municipalité renonce à l'engagement d'un secrétaire municipal-adjoint et nomme Mme Vezzoni-Feusier (Antoinette), jusqu'alors secrétaire au greffe municipal, en tant que cheffe de bureau. La Municipalité lui confie une partie des tâches prévues au cahier des charges du secrétaire municipal adjoint.

La gestion de la Fleur-de-Lys passe sous la responsabilité des Domaines.

La Bibliothèque municipale de Prilly et créée et inaugurée en 1984. Mme Demierre (Oriane) est engagée comme responsable de la bibliothèque jeunesse et Mme Borboen (Anne) comme responsable de la bibliothèque adulte; deux autres aides bibliothécaires sont engagées. La nouvelle bibliothèque est administrativement placée sous l’Administration générale, mais passe sous la responsabilité des Ecoles en 1985.

En 1989, Mme Barraud (Madeleine) fête ses 25 ans de service en tant que secrétaire au sein de l’Administration générale.

M. Gaudard (Alain) prend sa retraite en 1992 après 27 ans passé au poste de secrétaire municipal et chef du personnel. Il est remplacé au début de l’année 1993 par Mme Malherbe (Gladys).

En 1994, l’effectif jusqu’alors stable passe de 6 employés et 3 apprentis à 4 employés et 3 apprentis. Cette même année, le rôle d’impôt est transféré du Greffe au Contrôle des habitants.

En 1997, la Municipalité engage deux agents de police pour des tâches de responsable de l’informatique. Il s’agit d’Olivier Martin et Lionel Mayerat, à qui l’on donne la charge de transformer le système informatique communal, de remplacer le matériel obsolète et de la formation. En 1998, Olivier Martin est nommé chef du Service informatique. Ce nouveau service est administrativement dépendant de l’Administration générale.
En 2000, Mme Malherbe crée un poste d’archiviste, afin de se décharger de cette responsabilité. Mme Friedmann-Perreten (Delphine) est engagée. Son poste est réparti entre 4 communes, soit Prilly (50%), Ecublens (25%), Chavannes-près-Renens (20%) et Jouxtens-Mézery (5%), mais son contrat est établi avec la Commune de Prilly.
En 2003, les organistes des lieux de cultes et les bibliothécaires passent sous la responsabilité de l’Administration générale. L’effectif est à ce moment là de 5 employés administratifs (y.c. l’archiviste), 12 apprentis (travaillant dans tous les services de l’administration), 2 informaticiens, 3 bibliothécaires et 2 organistes.
Mme Vezzoni-Feusier (Antoinette), secrétaire municipale adjointe, prend sa retraite en 2006 ; Mme Agostini (Bianka) lui succède (2006-2010).
En 2007, Mme Malherbe (Gladys) prend sa retraite ; Mme Mojonnet (Joëlle) lui succède (2007-xxxx).
A partir de 2007, l’effectif de l’Administration générale ne tient plus compte des apprentis, il reste donc 5 employés administratifs, 2 informaticiens et 4 bibliothécaires. Les deux organistes ont rejoint les Ecoles.

En 2008, les quatre employés de l’Office de la Population (ancien Contrôle des habitants) rejoignent l’Administration générale. Cet office était auparavant attaché à la Police, mais cette dernière est devenue intercommunale en 2008 (Police de l’Ouest POL).

En 2009, l’effectif est de 5 employés administratifs, 2 informaticiens, 4 employés à l’Office de la Population et 3 bibliothécaires.

L’Administration générale déménage en 2009, en même temps que le reste de l’administration du Château vers le site de Corminjoz. En 2011, elle fait le trajet en sens inverse pour prendre possession des nouveaux locaux du Château.
Suite au départ de Mme Agostini (Bianka) en 2010, Mme Keberlé-Joyet (Christine) reprend le poste de secrétaire municipal adjointe en 2011.

Prilly - Autorités communales

  • CH - Prilly - Autorités communales
  • Collectivité
  • 1799 - nos jours

Sous l’Ancien Régime, les autorités communales sont constituée d’un gouverneur (ou seigneur) et d’une Assemblée de Commune.
L’article « Prilly » du Dictionnaire historique de la Suisse nous apprend, à ce propos, qu’ « au Moyen Age, le chapitre de Lausanne et l'abbaye de Saint-Maurice possédaient des terres à Prilly, qui relevaient de l'évêque de Lausanne. Inféodée aux chevaliers de Prilly, la seigneurie passa à Jacques de Penthéréaz, aux Colombier, Russin, Prez, Gimel, Daux puis, après la conjuration d'Isbrand Daux, aux familles Crousaz et Rosset.
Sous le régime bernois, Prilly fait partie du baillage de Lausanne et est vendue en 1729 à la Ville de Lausanne, dont le Conseil exerce la haute, moyenne et basse justice. Au niveau communal, les autorités sont alors constituées d’une Assemblée de Commune et d’un gouverneur. Son pouvoir, ainsi que celui de l’Assemblée de Commune est restreint et se cantonne à la gestion des intérêts locaux (vente de bois, de vins, de produits agricoles, nomination du taupier, etc). Le premier gouverneur dont on trouve la trace dans les Archives communales se nomme François Girardet ; il est nommé gouverneur pour une année en 1752 par l’Assemblée de Commune.
L'assemblée de commune est l’ancêtre de l’actuel Conseil communal. Dans les Archives communales, nous trouvons trace de cette assemblée dès l’année 1752. Elle nomme alors en son seing un gouverneur pour une année. Le pouvoir de cette autorité est restreint et cantonné à la gestion des intérêts locaux (vente de bois, de vins, de produits agricoles, nomination du taupier, etc). Sous l’Ancien Régime, cette autorité communale dépend directement d’une seigneurie. Selon l'article « Prilly » du Dictionnaire historique de la Suisse, la seigneurie passe entre les mains de différents seigneurs « puis est vendue en 1729 à la Ville de Lausanne, dont le Conseil exerce la haute, moyenne et basse justice. Sous le régime bernois, Prilly fait partie du baillage de Lausanne (1536-1798). »
Sous la République helvétique (1798-1803), une Municipalité est créée et présidée par un Président de Municipalité. Les municipaux et le président sont élus par les citoyens de la Commune réunis en assemblée.
Suite à l’Acte de médiation en 1803, le Président de Municipalité devient le Syndic. Il préside alors le Conseil général.
Alain Gaudard, ancien secrétaire municipal et auteur d’un ouvrage sur Prilly « Prilly, de village en ville », s’inspirant de l'étude du professeur Zwahlen intitulée «Des pouvoirs respectifs de la Municipalité et du Conseil communal», explique que la création des conseils généraux et communaux dans les communes vaudoises remonte à 1814 et qu’ils sont alors présidés par le syndic.
« L’exécutif compte pendant longtemps 7 membres, sauf de 1835 à 1853 où la Municipalité n’en compte que 5, parmi lesquels on ne s’étonne pas de trouver en quasi permanence, comme s’ils siégeaient de droit, les gros paysans de la commune comme Pahud ou Gachet. En 1897, sur proposition de Frédéric Mayor, l’effectif de la Municipalité est ramené de 7 à 5 membres, et l’on crée les dicastères selon le système connu aujourd’hui; précédemment, des délégations de trois municipaux se partageaient les divers secteurs du ménage communal, ce qui diluait les responsabilités et donnait plus d’importance à la fonction de syndic. »
En 1874, la population de Prilly dépasse pour la première fois les mille habitants ce qui implique au niveau institutionnel le passage d’un Conseil général à un Conseil communal. Avant 1874, il n’y a pas d’élection pour le Conseil général puisque tous les citoyens peuvent en faire partie. Il en va autrement avec un Conseil communal : Alain Gaudard indique que le premier procès-verbal relatif à l’élection du Conseil communal est daté du 22 mars 1874, que le Conseil communal est alors formé de vingt-cinq membres et qu’il est présidé par Charles Gachet.
Le Conseil se réunit dans une salle du vieux collège jusqu’à une date indéterminée. Depuis 1984, le Conseil communal dispose d’une salle dans le bâtiment communal de Castelmont.
Le nombre d’élus au Conseil communal suit l’évolution démographique. Toujours d’après Alain Gaudard, il y a 25 sièges en 1874 ; 50 sièges en 1885 ; 55 sièges en 1893 ; 60 sièges en 1913 ; 65 sièges en 1933 ; 70 sièges en 1953 ; 80 sièges en 1957 et 90 sièges en 1961. En 1965, les conseillers communaux sont élus au nombre de 100. La population ayant baissé depuis, le nombre de conseillers communaux descend à 85 en 1993 et à 75 depuis 2006.
De 1982 à 1998, la droite (radicaux, libéraux, PDC) est majoritaire et détient environ 60% des sièges du Conseil communal. Les choses changent en 2002, lorsque la gauche (Parti socialiste, Verts et POP & Gauche en mouvement) décroche 47% des sièges. La gauche dépasse même la droite (radicaux, libéraux, PDC puis depuis peu UDC) en 2006 avec 51% des sièges avant de redevenir minoritaire en 2011 avec 48% des sièges.

Prilly - Bourse communale

  • CH - Prilly - Service des Finances
  • Collectivité
  • 1944-nos jours

Durant le 19ème siècle et jusqu’au début du 20ème siècle, la fonction de boursier communal, comme la plupart des autres fonctions administratives, était assumée par des titulaires en plus de leurs activités professionnelles courantes. Parmi ceux-ci nous pouvons citer M. Vuagniaux (Daniel) entre 1868 et env.1898), M. Rouffy en 1910, M. Barbey en 1913 et M. Magnin (Fernand) entre 1924 et 1944.
Comme les municipaux à l’époque, le boursier exerce cette fonction en plus d’une activité professionnelle. Ses heures de réception en témoignent : en 1934, par exemple, il reçoit les lundis et jeudis de 19 heures à 21 heures et les samedis de 14 heures à 16 heures.
En 1944, après 20 ans d'activité, M. Magnin (Fernand) démissionne. Il est remplacé la même année par M. Joss (Georges), qui devient le premier boursier communal nommé à titre permanent.
En 1948, le nouveau statut du personnel de la Commune de Prilly confirme la création d’un poste de boursier communal permanent.
Pendant longtemps, le boursier communal travaille seul et fait appel au personnel du Greffe pour l’appuyer dans sa tâche. Il consacre également une partie de son temps à l’Office du travail. Il faut attendre 1966 pour que la Bourse augmente son effectif : Mme Turrian (Rosette) est alors nommée cheffe du service comptable, dans le but de seconder le boursier ; une sténo-dactylographe est engagée en tant que collaboratrice régulière, en la personne de Mme Steiner (Josiane).
A cette même période, le boursier, en plus de ses activités normales, se voit confier petit à petit diverses responsabilités : il consacre une partie de son temps aux Œuvres sociales, devient délégué à la commission d'impôt et caissier du service dentaire scolaire.
Au cours de ses dernières années à la Commune, M. Joss consacre une part toujours plus grande de son activité au secteur social, tandis que la plupart des tâches de la bourse sont assurées par le service comptable (tenu par Mme Turrian). En 1979, après 35 ans de service, M. Joss prend sa retraite.
A son départ, la Municipalité clarifie les tâches de la Bourse et les recentre sur les activités comptables. Elle nomme une caissière en la personne de Mme Bonzon (Micheline), jusque là employée au service comptable, et le titre de boursière communale, au sens des dispositions légales, est donné à Mme Turrian (Rosette). Enfin, les activités de M. Joss dans le domaine social sont reprises par un nouveau fonctionnaire, rattaché au service des assurances sociales.
Peu de changements interviennent au cours des décennies suivantes : Mme Turrian (Rosette) part à la retraite en 1991. M. Cavin (Daniel) lui succéde. Actif jusqu’en 2007, il est alors remplacé par M. Divorne (Pierre-Michel).

Prilly - Office de la population OPO

  • CH - Prilly - Office de la population
  • Collectivité
  • 1961-actuel

En 1953, les fonctions de la police sont définies ainsi:
Fonctions principales: police des étrangers; contrôle des habitants; tenue du registre civique; surveillance de l'office communal des alcools; protection du travail; désinfections; services funèbres; patrouilles de surveillance; police de la circulation; fermeture des établissements publics; contrôle des bulletins d'hôtels.

En 1961, la Commune engage, à la Police, deux employés civils chargés du Contrôle des Habitants et du Bureau des étrangers. En 1963, M. Vaudroz (Robert) est promu chef du Bureau des étrangers et du Contrôle des Habitants, tandis qu'un 3ème employé civil est engagé. A partir de 1964, les activités du Contrôle des Habitants sont présentées indépendamment de celles du Service de Police dans le rapport de gestion; mais dès 1967, le Contrôle est à nouveau sous la rubrique "Police". Dès 1970, 4 personnes travaillent au Contrôle des Habitants.
En 1994, le Contrôle des Habitants passe au dicastère de l'Administration générale, mais reste administrativement au niveau de la Police.
En 2000, suite au départ de M. Sahli (Ernest), un nouveau chef d'office est engagé en la personne de M. Chiaradia (Jean-Marie).
En 2002, le Contrôle des Habitants et Bureau des étrangers est rebaptisé "Office de la Population (OPO)".

Prilly - Police communale

  • CH - Prilly - Police communale
  • Collectivité
  • 1898-2007

En 1898, la Municipalité demande au Conseil l'autorisation d'engager un policier communal. Ses tâches sont définies comme suit: « Entretien des chemins, surveillance et nettoyage des fontaines, surveillance du pressoir et des pulvérisateurs, surveillance du taupier et du ramassage des hannetons, registre des étrangers, surveillance des ouvriers, divers ».
M. Mignot (Emile) est choisi pour remplir ce rôle. Dès 1900, il est employé à plein temps.
En 1910, création d'un poste de sous-agent à temps partiel. M. Müller (Louis), concierge du collège, est engagé à ce poste.
En 1925, projet de création d'un second poste d'agent de police et décès de M. Mignot.
En 1942, on trouve M. Huber (Willy) au poste de brigadier de police et M. Girardet au poste d'agent de police.
Un 3ème poste d'agent de police est créé en 1943. Nomination de M. Duruz (Edouard) en 1944, agent de police à Morges, qui entre en fonction le 01.02.1944. Dès le mois de mai 1944, le bureau de police est ouvert aux heures suivantes: 9-12h / 15-19h.
En mai 1954, entrée en fonction de M. Durussel (Arthur), agent de police.
Le 1er janvier 1956, le brigadier Hubert (Willy) est nommé commissaire.
En 1960, suite à la démission de M. Girardet, la Commune projette l'engagement de 2 employés civils pour le bureau des étrangers et contrôle des habitants.. M. Vaudoz (Robert), appointé de police à Aigle, est nommé agent de police dès le 01.02.1961. En juin 1961, engagement de M. Guignard (Alfred), agent de police.
(...)
En 2008, d'importants changements interviennent dans l'organisation du Corps de police, avec la mutualisation des forces de police entre les communes d'Ecublens, Prilly, Renens, Crissier, Bussigny, Chavannes-près-Renens, St-Sulpice et Villars-Ste-Croix (POL - Police Ouest Lausannois). A la création de la POL, la direction se trouve à Renens.
Fin 2013, la POL déménage sur le territoire prilléran. Certains bureaux restés à Prilly rejoignent les bureaux de l'Etat major.
Certaines tâches, telles que la gestion des places de parc (ou gestion des macarons), les objets trouvés et les inhumations, qui étaient restées entre les mains de la police à Prilly sont transmises à la Commune.

Prilly - Service de l'Urbanisme

  • CH - Prilly - Service de l'urbanisme et constructions
  • Collectivité
  • 1991-nos jours

Les tâches du Service de l'urbanisme ont été longtemps assumées par l'Administration générale, puis transférées en 1951 au Service technique nouvellement créé.
A partir du 1er janvier 1991, le Service technique (ou Service des Travaux) est divisé en deux services:

  1. Le Service des travaux se concentre dorénavant sur les routes, l’assainissement (collecteurs) et les espaces verts. Il est constitué d’un bureau administratif et d’une équipe des travaux/voirie. A sa tête est nommé M. Chollet (Jacques).
  2. Un Service de l'Urbanisme et des constructions est créé, qui reprend à sa charge la police des constructions, l'aménagement du territoire et la surveillance des constructions communales, fonctions jusqu’alors accomplies par le Service des travaux.
    Claude Pache prend pendant quelques mois la direction du Service de l’urbanisme et des constructions avant de prendre sa retraite au printemps 1991, après plus de 40 ans passé au Service des travaux.
    M. Hassler (Patrick) est alors engagé pour reprendre la tête de ce nouveau service; l'équipe est formée du chef de service, d'un adjoint technique et d'une secrétaire.
    Ce n'est qu'à partir de 2001 que le service commence à augmenter ses effectifs, avec l'engagement d'une nouvelle adjointe technique, Mme Piguet (Anne-Marie).
    En 2007, engagement d'une ingénieure-architecte, Mme Maze (Sandrine) et en 2010, M. Zahnd (Jean-Pierre) est remplacé suite à son départ à la retraite par M. Wenger (Yann).
    En 2011, engagement de Mme Glatt (Elise) géographe, qui travaille à la fois pour le Service de l'Urbanisme et le Service des Travaux.
    En 2012, démission de Mme Piguet, qui est aussitôt remplacée par Mme Bouamrirene Ould-Henia (Amina), architecte.

Prilly - Service des Domaines et Bâtiments

  • CH - Prilly - Service des Domaines, bâtiments et énergie
  • Collectivité
  • 1976-nos jours

La Commune de Prilly, dès sa création en 1803, a eu notamment la responsabilité de gérer les terrains, bâtiments et autres possessions communales. Au XIXème et XXème siècle la Commune a mené de nombreuses opérations d’achats, de ventes et d’échanges de terrains au gré des besoins communaux, en infrastructures notamment. C’est ainsi que la Commune a accru ses possessions pour accueillir des écoles, des bâtiments administratifs et des immeubles à loyers modérés.
Les tâches liées à cette activité de gestion des possessions communales sont nombreuses : achats, ventes, entretien et gestion des terrains ; entretien et exploitation des forêts et vignes ; entretien, gestion et rénovation des bâtiments locatifs, administratifs, scolaires et des lieux de cultes ; entretien et gestion des installations sportives, terrains de jeux et piscines. Ces différentes tâches sont aujourd’hui sous la responsabilité du Service des Domaines & Bâtiments, mais il n’en a pas toujours été ainsi. Ce service n’existe concrètement que depuis les années 1970, avant cela ces tâches étaient partagées entre l’Administration générale, le municipal en charges des Domaines et les différents concierges des bâtiments communaux.
Les premiers concierges dont il est fait mention dans les rapports d’activité de la Commune sont ceux du Collège-Centre, le plus grand bâtiment communal de l’époque, construit en 1908. Il s’agit notamment de M. Müller (Louis), ancien agent de police, et M. Rochat.
Le nombre des concierges évolue en fonction des constructions communales. En 1959, il y a 3 concierges pour les bâtiments scolaires et lieux de cultes et 1 pour les locaux administratifs. En 1969, il y a 8 concierges pour les bâtiments scolaires, 2 pour les lieux de culte et 1 pour les locaux administratifs.
Au début de 1970, lors du changement de législature, un employé administratif chargé de la section des bâtiments et domaines est engagé. Il s’agit de M. Hautier (Maurice) qui assume également le secrétariat de la Protection Civile. La section des bâtiments et domaines est à ce moment regroupée avec la section des œuvres sociales dans le dicastère des Domaines et Oeuvres sociales. Mais seuls les deux concierges de la colonie de vacances de Plan-Sépey sont administrativement rattachés à cette nouvelle section ; les concierges de bâtiments scolaires sont sous la responsabilité du municipal des Ecoles et les concierges de locaux administratifs sont sous la responsabilité du Greffe.
En 1972, les deux concierges de Plan-Sépey sont rattachés aux Ecoles. Dans le même temps M. Hautier (Maurice) s’en va et est remplacé par M. Bettens (Claude) ; lui-même remplacé en 1974 par M. Pointet (Jean-François). Ce dernier occupe la double fonction de secrétaire municipal adjoint et responsable de la section des bâtiments et domaines.
La séparation d’avec les Œuvres sociales intervient en 1976, avec la création du Service des Domaines et Bâtiments, qui compte alors deux employés administratifs ; Mme Pernet (Christiane), secrétaire nouvellement engagée et M. Pointet (Jean-François), chef de service. Le nouveau service a également sous sa responsabilité deux employés de la nouvelle Piscine de la Fleur-de-Lys, ainsi que l’animateur du Centre de loisirs.
En 1977, le Centre de loisirs se dote d’un concierge, aussi rattaché au Service des Domaines et Bâtiments. Les concierges des autres bâtiments communaux, non rattachés au service, sont alors au nombre de 15.
En 1980, le concierge et l’animateur du Centre de loisirs passent sous la responsabilité du Service de la Sécurité sociale.
En 1981, vu la surcharge de l’administration, la Municipalité décide de séparer les fonctions de secrétaire municipal adjoint et de chef du Service des Domaines et Bâtiments. M. Pointet doit choisir et opte finalement pour la fonction de chef de service. Il est secondé par Mme Rime (Marianne), secrétaire, qui remplace Mme Pernet (Christine). A deux, ils constituent le personnel administratif du service. Dans le même temps, tous les concierges sont regroupés et placés sous l’autorité du Service des Domaines et Bâtiments. L’effectif complet des concierges des bâtiments communaux et des gardiens de piscine est alors de 28.
En 1981 toujours, le service perd la gestion de l’exploitation de la Piscine qui passe sous la responsabilité de l’Administration générale, mais garde les gardiens de piscine.
En 1987, le service compte 3 employés administratifs, 22 concierges et 4 gardiens de piscines.
Mme Rime (Marianne) quitte son poste en 1989 et est remplacée par Mme Fiadeiro (Anne Isabelle).
L’animateur de Plan Sépey passe en 1990 des Ecoles aux Domaines et Bâtiments.
En 1992, M. Gilliard (Jean-Luc) est nommé suppléant au chef de service.
En 2000, le service compte encore 3 employés administratifs, mais aussi 24 concierges, 2 gardiens de piscines et 1 animateur à Plan-Sépey.
M. Pointet (Jean-François)décède en 2007. Une fusion avec le Service des Travaux, sous la direction de M. Coquerand (Philippe) est alors tentée. L’idée étant de créer un grand Service des Travaux et des Domaines. Peu concluante, cette expérience est abandonnée après peu de temps. M. Fernandez (Yvan), déjà en poste au service des Domaines et Bâtiments, est nommé chef du service des Domaines, Bâtiments et Gérances.
En 2008, les concierges des bâtiments scolaires et des lieux de cultes repassent sous la direction des Ecoles et des Cultes, mais restent hiérarchiquement rattachés au Service des Domaines.
Mme Eggler (Maria-Caridad) est engagée comme secrétaire en 2008. Un collaborateur spécialisé dans la gestion de l'énergie est engagé en 2009, M. Jequier (Colin).

Prilly - Service des Travaux

  • CH - Prilly - Service des Travaux
  • Collectivité
  • 1951-nos jours

Durant le XIXème siècle et jusqu’au premier tiers du XXe siècle, la plupart des activités liées aux travaux publics étaient assumées par la Municipalité elle-même ou par le Greffe. L’exécution des travaux était systématiquement confiée à des privés.

Le développement de Prilly et la multiplication des routes et chemins justifièrent, en 1934, l’emploi à titre permanent d’un pionnier (cantonnier) communal. Il s’agit du premier poste permanent lié aux travaux publics. Les premiers pionniers (ou cantonniers) se nomment M. Danthe (1936) et Félix Maurer (1944).

En 1951, la Commune crée un bureau technique dans le bâtiment administratif du Château et engage Claude Pache en tant que technicien communal. Ce dernier est responsable tant des aspects techniques des travaux d’entretien et de constructions que de la police des constructions et de l’urbanisme. Il est alors le seul employé administratif du bureau technique et est administrativement séparé du pionnier communal, mais cette organisation ne va pas durer.

Rapidement le bureau technique grandit et recrute un dessinateur et un(e) sténo-dactylographe. De même, une équipe se constitue autour du pionnier communal, désormais accompagné d’un piqueur et de trois ouvriers : la première « équipe des travaux ». C’est à ce moment là, notamment, que Roger Resin est engagé.

Au cours des années 50, un véritable Service des travaux est créé. Il regroupe, sous la direction de Claude Pache, d’une part, le bureau technique (aussi appelé service technique) avec un secrétariat et, d’autre part, l’équipe des travaux, comprenant le personnel ouvrier.

Dans les années 60, l’effectif croît rapidement et s’adapte au développement urbain de Prilly. La partie administrative (secrétariat et bureau technique) emploie entre 4 et 6 personnes, tandis que l’effectif de l’équipe des travaux varie entre 17 et 21 employés. La fonction de pionnier communal disparaît et le personnel se constitue désormais d’ouvriers et de jardiniers.

En 1972, Jean-Jacques Chollet, ingénieur, et Pierre-Alain Cerise sont engagés au bureau technique.

En 1983, l’équipe des travaux est divisée en trois sous-équipes. La première équipe, sous la direction de Jean-Pierre Diserens, se charge des routes. La deuxième, dirigée par Charles Gavin, s’occupe des parcs et promenades. La troisième, dirigée par Charles Gavin, est chargée de l’entretien des cimetières et piscines ainsi que de la coordination générale. En sus de ces tâches principales, les trois sous-équipes participent à l’organisation de diverses manifestations, au transport du mobilier scolaire, à l’entretien des forêts et aux réparations intérieures et extérieures des bâtiments communaux.

En 1987, Jean-Luc Gilliard est engagé comme collaborateur technique et en 1988 Jacques Chollet est nommé adjoint du chef du Service des travaux, Claude Pache.

Dès le 1er janvier 1991, le Service des travaux est divisé en deux nouveaux services. Le Service des travaux reste, mais se concentre dorénavant sur les routes, l’assainissement (collecteurs) et les espaces verts. Il est constitué d’un bureau administratif et d’une équipe des travaux. La nouveauté réside dans la création d’un Service de l'urbanisme et des constructions, qui reprend à sa charge la police des constructions, l'aménagement du territoire et la surveillance des constructions communales, fonctions jusqu’alors accomplies par le Service des travaux.

Le nouveau service des Travaux est dirigé par M. Jacques Chollet. Claude Pache, quant à lui, prend pendant quelques mois la direction du Service de l’urbanisme et des constructions avant de prendre sa retraite au printemps 1991, après plus de 40 ans passé au Service des travaux.

L’effectif reste grosso modo le même (21 employés en 1991), l’engagement de nouveaux employés compensant les transferts au Service de l’urbanisme et des constructions.

En 2007, Jacques Chollet quitte son poste et un nouveau chef de service est nommé en la personne de Philippe Coquerand. Ce dernier prend également la direction du Service des domaines, bâtiments et gérances, l’idée étant alors de créer un grand Service des travaux et des domaines. Peu concluante, cette expérience est abandonnée après peu de temps. M. Philippe Coquerand, engagé au départ comme chef de ce nouveau super-service, devient alors chef du seul Service des Travaux, tandis que le Service des Domaines, Bâtiments et Gérances regagne son autonomie.

Pully - Commune

  • CH - Pully
  • Collectivité
  • 1328 - nos jours

RAI

renens

Renens - Commune

  • 1020 Renens, Vaud, Suisse
  • Collectivité
  • Mentionné dès le 9e siècle sous la forme villa Runingis

Rohrer (Otto)

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Personne

Rotary Club Pully

  • CH - Pully
  • Collectivité
  • 1977 - nos jours

Ruffy (Eugène)

  • CH - Montreux--83
  • Personne
  • 1854-1919

Avocat, Eugène Ruffy est élu en 1882 au Grand Conseil et, dans la même année, au Conseil national.
Il entre au Conseil d'État en 1885 et mène le Département de l'instruction publique où il fait passer la loi sur la création de l'Université de Lausanne en 1890.
Il est élu au Conseil fédéral en 1893 et dirige successivement plusieurs départements : le Département de justice et police, le Département de l'intérieur et le Département militaire. Il préside le Conseil fédéral en 1898.
En 1900, Ruffy renonce à ses fonctions au Conseil fédéral et prend la direction de l'Union postale universelle jusqu’en 1919, année de son décès.

Ruffy (Eugène)

Avocat, Eugène Ruffy est élu en 1882 au Grand Conseil et, dans la même année, au Conseil national.
Il entre au Conseil d'État en 1885 et mène le Département de l'instruction publique où il fait passer la loi sur la création de l'Université de Lausanne en 1890.
Il est élu au Conseil fédéral en 1893 et dirige successivement plusieurs départements : le Département de justice et police, le Département de l'intérieur et le Département militaire. Il préside le Conseil fédéral en 1898.
En 1900, Ruffy renonce à ses fonctions au Conseil fédéral et prend la direction de l'Union postale universelle jusqu’en 1919, année de son décès.

Sainte-Croix - Ville

  • Collectivité

Comm. VD, distr. du Jura-Nord vaudois, située au pied du Chasseron, divisée en deux vallons principaux, celui de S. et celui des Granges, composée de vingt-sept localités, les plus importantes étant le village de S. (1086 m), L' Auberson, La Chaux, La Vraconne, La Sagne et Le Château. 1177 Sancta Crux, 1317 Saint Crueyz, ancien nom all. Heilig Kreuz. 1834 hab. en 1764, 2833 en 1798, 3541 en 1850, 5914 en 1900, 6575 en 1950, 6925 en 1960, 6240 en 1970, 4543 en 1980, 4333 en 2000.
Source et autres informations : Chantal Lafontant: "Sainte-Croix (commune)", in: Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), version du 08.02.2011. Online: https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/002400/2011-02-08/, consulté le 08.09.2022.

Sans producteur

  • Sans producteur
  • Collectivité
  • ... - nos jours

Schlemmer (Rodolphe), Schlemmer (Jean)

Rodolphe Schlemmer, né à Wiesbaden, a fait son apprentissage de photographe à Genève, puis travaille plusieurs années avec le photographe genevois Frédéric Boissonnas. Ils envisagent ensemble d'ouvrir des studios dans différentes villes européennes, mais le projet ne se concrétisera pas.
En 1910, il ouvre un atelier à Montreux en pleine période de croissance touristique, succédant à Max Maier (av. du Kursaal 21-23), . Il se spécialise dans les portraits de personnalités locales et de passage dans la région et se lie avec des personnalités telle Romain Rolland ou Gandhi.
Schlemmer fait de nombreux portraits et paysages au charbon, à la gomme bichromatée ou au bromoïl, techniques qui contribuent à asseoir sa réputation.
Rodolphe Schlemmer sera le maître d'apprentissage d'Émile Gos et de Jean Schlemmer, à qui il remet son activité.
Jean Schlemmer, qui reprend l'activité de son père, délaisse la spécialisation de portraits et se spécialise dans la documentation des événements locaux et du développement de la région dans la deuxième moitié du 20ème siècle.
Dans les années 1990, Jean-François Gailloud reprend l'atelier Schlemmer. Selon des tampons observés à l'arrière de photographies, un deuxième photographe se déclare successeur de Jean Schlemmer. Il s'agit de Marcel Lerouge.

Schlemmer (Rodolphe), Schlemmer (Jean)

  • CH - Montreux--63
  • Famille
  • 1878-1972 (Rodolphe), 1913-1988 (Jean)

Rodolphe Schlemmer, né à Wiesbaden, a fait son apprentissage de photographe à Genève, puis travaille plusieurs années avec le photographe genevois Frédéric Boissonnas. Ils envisagent ensemble d'ouvrir des studios dans différentes villes européennes, mais le projet ne se concrétisera pas.
En 1910, il ouvre un atelier à Montreux en pleine période de croissance touristique, succédant à Max Maier (av. du Kursaal 21-23), . Il se spécialise dans les portraits de personnalités locales et de passage dans la région et se lie avec des personnalités telle Romain Rolland ou Gandhi.
Schlemmer fait de nombreux portraits et paysages au charbon, à la gomme bichromatée ou au bromoïl, techniques qui contribuent à asseoir sa réputation.
Rodolphe Schlemmer sera le maître d'apprentissage d'Émile Gos et de Jean Schlemmer, à qui il remet son activité.
Jean Schlemmer, qui reprend l'activité de son père, délaisse la spécialisation de portraits et se spécialise dans la documentation des événements locaux et du développement de la région dans la deuxième moitié du 20ème siècle.
Dans les années 1990, Jean-François Gailloud reprend l'atelier Schlemmer. Selon des tampons observés à l'arrière de photographies, un deuxième photographe se déclare successeur de Jean Schlemmer. Il s'agit de Marcel Lerouge.

Service d'accueil pour écoliers Scoubidou

  • CH - Montreux--76
  • Collectivité
  • 1985-2015

Fondé en 1985 avec Madame Madeleine Nicolier comme présidente, Scoubidou fut une garderie qui a accueilli les jeunes écoliers à Montreux dans différents lieux avec ses débuts dans le quartier des Planches en 1987, puis son premier déménagement dans les locaux de l'église catholique en 1993 où Scoubidou vécut son premier incendie en 1995 (le second sera en 2007). Un nouveau déménagement a lieu en 2005 à l'Avenue des Alpes 90, qui est resté l'adresse du service d'accueil jusqu'à sa fin en 2015. Aujourd'hui Scoubidou à été intégré à l' Accueil Collectif de la petite Enfance de Montreux et Environs (FACEME).

Service des Eaux du Maralley (SEM)

  • CH - Montreux--86
  • Collectivité
  • 2013-

Le Service des Eaux du Maralley a été créé en 2013 à l'issue de la procédure de dissolution des fractions de Commune de Chêne-Sâles-Crin et des Planches, qui géraient jusqu'à cette date conjointement la distribution de l'eau dans leurs périmètres.

Service des eaux, sols et assainissement (SESA)

  • Collectivité
  • 1929-2012

Dès 1886, la gestion des eaux était répartie entre deux services du Département des Travaux publics. Le premier service « Administration et entretien » était chargé des concessions sur les grèves et des concessions à bien-plaire, tandis que le deuxième service « Etudes et constructions » s’occupait des lacs et cours d’eau (corrections fluviales) ainsi que des concessions pour l’utilisation des eaux fluviales.
Ces tâches ne représentaient à l’époque qu’une petite partie du travail de ces services qui avaient en outre la charge de la gestion du domaine public de manière générale, de la police des constructions, des moyens de transports, de la construction des ponts et chaussées, etc.. Au tournant du siècle ces deux services employaient une quinzaine de personnes.
1902 : Les concessions pour l’utilisation des eaux fluviales passent de la responsabilité du deuxième au premier service. Les questions liées à la gestion du domaine public « eau » sont ainsi regroupées au sein du service « Administration et entretien ». Les concessions pour l’exploitation des mines et des carrières sont également placées sous la responsabilité de ce service à ce moment là.
1929 : Par la décision du Conseil d’Etat du 21 mai, les deux services « Administration et entretien » et « Etudes et constructions » sont remaniés de fond en comble pour créer le Service des routes et le Service des eaux. Ce dernier a désormais à sa charge: les corrections fluviales ; la régulation des lacs ; les travaux d’assainissement et de dessèchement ; l’entretien des ouvrages d’endiguement ; les concessions pour l’utilisation des lacs et cours d’eau ; l’application de la loi sur le marchepied le long des lacs et les plans riverains ; la police et la gérance du domaine public en ce qui concerne les lacs et cours d’eau ; les concessions de grèves et les concessions à bien-plaire. Les carrières sont quant à elles sous la surveillance du Service des routes.
A sa création, l’effectif du Service des eaux comprend en tout et pour tout, le chef de service, Charles Pelet, un ingénieur, Henri Zorn, et un secrétaire technique, Alfred Chollet.
1938 : Un premier surveillant des cours d’eau est nommé en la personne de Serge Faesh (bassin de l’Orbe et nord du bassin de la Venoge)
1948 : L’organisation du service fait apparaître un bureau technique, un bureau administratif et les surveillants des cours d’eau, dont le nombre est passé à trois.
1950 : Charles Pelet est remplacé par Edouard Dutoit, ingénieur, au poste de chef de service.
1954 : Organisation de la surveillance des cours d’eau en quatre secteurs
1955 : Inscription de la lutte contre la pollution des eaux dans les attributions du service
1958 : Jean Noverraz est nommé chef de service
1966 : Déménagement du service de la rue Cité-Devant 11 à la place de la Riponne 10
1974 : Inscription des concessions de pompage aux nappes souterraines dans les attributions du service. L’effectif du service oscille alors entre 15 et 20
1976 : Le service est dorénavant chargé du contrôle de la construction et de l’exploitation des installations d’épuration des eaux usées et de traitement des déchets, ainsi que du contrôle de la construction et la révision des installations servant à l’entreposage, au transport, au transvasement de liquides pouvant altérer les eaux. Outre l’administration (du service et du domaine public eau), le bureau technique lacs et cours d’eau et les chefs de secteur, le service se dote d’un office de la protection des eaux comprenant une section épuration et incinération et une section contrôle des citernes. L’effectif du service bondit à 32 employés.
1977 : Une section laboratoire est créée au sein de l’Office de la protection des eaux. Le laboratoire est chargé du contrôle analytique des eaux des lacs, des rivières et des stations d’épuration
1978 : La section épuration et incinération devient la section assainissement.
1982 : Pierre Chausson est nommé chef de service
1983-85 : Le service comprend une administration, une section génie civile (ex bureau technique), une section entretien (chefs de secteurs) et l’Office de la protection des eaux, lui-même divisé en 5 sections (administration, épuration urbaine, épuration industrielle, contrôle des citernes, laboratoire). L’hydrogéologue cantonal (poste créé en 1978), Joseph Mautner, est transféré du Laboratoire cantonal au Service des eaux en 1983. Il est notamment chargé de la protection des nappes souterraines et des sources
1988: Le service est rebaptisé « Service des eaux et de la protection de l’environnement ». Une section protection de la nature est créée et un délégué cantonal à l’environnement est nommé.
1989-1991 : L’Office de la protection des eaux est dissous et ses sections sont ramenées au niveau du service. Ce dernier est réorganisé en divisions dans la foulée:
• Administration (administration du service et gestion administrative du domaine public eau) ;
• Eaux souterraines (hydrogéologie et contrôle des citernes) ;
• Economie Hydraulique (corrections fluviales, gestion technique du domaine public eau et entretien par secteur) ;
• Assainissement et gestion des déchets (assainissement urbain, assainissement industriel et gestion des déchets) ;
• Laboratoire ;
• Protection de la nature ;
• Délégué à l’environnement
1995 : La protection de la nature quitte le service
1996 : Le délégué à l’environnement quitte à son tour le service
1998 : Le service est rebaptisé Service des eaux, sols et assainissement (SESA) et est placé sous la tutelle du nouveau Département de la sécurité et de l’environnement (DSE). Le Département des travaux publics est quant à lui dissous. La surveillance et la protection des sols deviennent de la compétence du SESA à ce moment là, tout comme les autorisations d’exploiter et la surveillance des carrières
2000 : Une nouvelle division « Déchets, sols et installations » est créée
2002 : Jean-François Jaton est nommé chef de service
2004 : Les chefs de secteur se voient appuyés par le soutien de deux nouveaux adjoints
2006 : La division des carrières et gravières est dissoute et son activité est intégrée à la division nouvellement créée des « Sols, carrières et déchets »
2009-2010 : Premières réflexions en vue de la création d’une cellule « micropolluants », avec l’achat en 2010 d’un appareillage analytique complexe, permettant de mettre en évidence des substances en traces infinitésimales dans les eaux
À mi 2012, le SESA compte 122 collaborateurs, pour une activité de 111 ETP (équivalent temps plein), répartis comme suit: 54 au Valentin 10, 16 au laboratoire des Croisettes et 52 décentralisés dans les quatre secteurs d'entretien des cours d'eau.
Fin 2012, le SESA est intégré à la nouvelle "Direction générale de l'environnement" (DGE), au côté du Service de la forêt, de la faune et de la nature (SFFN) et du Service de l’environnement et de l’énergie (SEVEN), sous la direction de M. Cornelis Neet.

Service des forêts, de la faune et de la nature (SFFN)

  • Collectivité
  • 1886-2012

A ses débuts en 1803 l’administration cantonale vaudoise ne comptait ni départements ni services. L’exécutif du canton, le Conseil d’Etat, s’appuyait alors sur un ensemble de commissions spécialisées, notamment la Commission des forêts. La police de la chasse et de la pêche était alors sous la responsabilité de la Gendarmerie. Parmi les personnalités de cette époque, nous pouvons citer Charles Lardy, inspecteur cantonal des forêts de 1812 à 1858.
En 1862, La Commission des forêts et l’inspecteur général des forêts sont rattachés au tout nouveau Département de l’Agriculture et du commerce. Adolphe De Saussure puis Adolphe Jordan assument successivement l’inspection générale des forêts.
En 1886, le Service cantonal des forêts, chasse et pêche est créé. Il s’agit du 2ème service du Département de l’Agriculture et du commerce. Le chef de service est nommé en la personne d’Adolphe Puenzieux, inspecteur général des forêts depuis 1884. Il assumera la direction du service ainsi que l’inspection générale des forêts jusqu’à son décès en 1903 et sera remplacé, dans les mêmes fonctions, par Ernest Muret.
Le Département de tutelle change de nom en 1905 et devient le Département de l’Agriculture, de l’industrie et du commerce.
De 1913 à 1950, l’effectif du service oscille entre 5 et 7 personnes. Le chef de service est alors accompagné d’un expert forestier et d’employés administratifs. Ernest Muret est remplacé par Frédéric Grivaz en 1935. Parmi les experts forestiers de cette époque, nous pouvons citer Gabriel Berthoud, Frank Aubert, Charles Gonet, Maurice Moreillon et Simon Combe.
En 1950, Charles Massy est nommé chef de service, il est secondé par Simon Combe, expert forestier, et Alfred Audemars, inspecteur aménagiste puis inspecteur forestier.
C’est en 1957 que le premier inspecteur cantonal de pêche et hydrobiologiste est nommé en la personne de Gilbert Matthey.
Entre 1959 et 1962, plusieurs ingénieurs forestiers viennent compléter l’effectif : André Anken (1959), Jean-Pierre Bezençon (1960) et René Badan (1962).
Jean-François Robert prend la direction du service et l’inspection cantonale des forêts en 1962. Une dizaine de personne sont employées à cette époque par le service.
En 1974, le service change de nom est devient le Service des forêts et de la faune. Une section « Bureau technique » est créée au côté d’une section « Administration » et d’une autre « Conservation de la faune ». Le « Bureau technique » est dirigé par René Badan et a pour vocation de seconder le chef de service dans sa fonction d’inspecteur cantonal des forêts.
Gilbert Matthey prend la tête de la section « conservation de la faune » et devient conservateur de la faune et hydrobiologiste.
Un Centre de formation professionnelle de forestier-bûcheron est créé au Mont-sur-Lausanne en 1980 et placé sous la direction de Michel Bays.
Le « Bureau technique » devient « Services techniques » en 1982. Daniel Zimmermann en prend la direction en 1983.
En 1984, la conservation de la faune devient le Centre de conservation de la faune et d’hydrobiologie appliquée.
Georges Herbez est nommé chef de service et inspecteur cantonal des forêts en 1989. L’effectif du service comporte alors une vingtaine d’employés.
Cornelis Neet devient conservateur de la faune en 1990. L’effectif du Centre de conservation de la faune et d’hydrobiologie appliquée sera complété en 1993 par Bernard Büttiker, inspecteur de la pêche et Claude Lang, hydrobiologiste.
En 1996 le service prend le nom de Service des forêts de la faune et de la nature (SFFN). Le service comporte dorénavant une section « Administration », une « Section technique et gestion forestière », une section « Conservation de la forêt », le centre de formation professionnelle et le Centre de conservation de la faune et de la nature ».
La « Section technique et gestion forestière » est alors dirigée par Daniel Zimmermann ; la « Conservation de la forêt » est assurée par Daniel Goertz (ingénieur forestier) et Anne-France Eichelberger (juriste) ; le centre de formation professionnelle est quant à lui placé sous la responsabilité de Roger Burri.
Le Centre de conservation de la faune et de la nature (CCFN) se divise en trois nouvelles sections : la Conservation de la faune, l’Inspection de la pêche et la Conservation de la nature. A la tête de ses trois sections se trouvent respectivement Cornelis Neet, responsable du centre et conservateur de la faune ; Bernard Büttiker, inspecteur de la pêche ; Philippe Gmür conservateur de la nature. L’effectif du centre passe à 12, spécialistes et employés administratifs compris.
La section "Protection de la nature" a été créée suite à la loi du 10 décembre 1969 sur la protection de la nature, des monuments et des sites et rattachée à l'Office de l'urbanisme puis au Service de l'aménagement du territoire dès 1974. Elle a été transférée au Service des eaux et de la protection de l'environnement le 1er juin 1988 avant de l’être à nouveau, en 1995, au CCFN sous le nom de « Conservation de la nature ».
En 1998, après une refonte complète des départements de l’administration cantonale vaudoise, le SFFN et à fortiori les sections forestières et le CCFN passent sous la tutelle du tout nouveau Département de la Sécurité et de l’Environnement (DSE). L’effectif du service comporte à cette époque une trentaine d’employés.
En 2002, Cornelis Neet prend la direction du SFFN. Il est remplacé à la tête du CCFN par Philippe Gmür, et à la conservation de la faune par Sébastien Sachot. L’effectif du CCFN évolue pendant ces années et atteint 18 en 2005. Jean-François Métraux, ingénieur de conservation, prend la direction de la « Conservation des forêts » et Daniel Zimmermann est nommé inspecteur cantonal des forêts.
En 2005 les sections forestières du service sont réorganisées comme suit : une section « Inspection cantonale des forêts » dirigée par Daniel Zimmermann ; une section « Gestion forestière » dirigée par Patrick Fouvy ; une section « Conservation des forêts » dirigée par Jean-François Métraux ; et le Centre de formation professionnelle dirigé par Roger Burri.
En 2012, le SFFN est intégré à la Direction générale de l’Environnement (DGE) et Cornelis Neet est nommé directeur général de l’environnement. La DGE se divise en trois directions qui se divisent elles-mêmes en plusieurs divisions.
L’ensemble des attributions du SFFN en matière de forêts sont désormais regroupées dans la division « Inspection cantonale des forêts » (DGE-FORET) de la Direction des ressources naturelles (DIRNA).
L’ensemble des attributions du CCFN sont désormais regroupées dans la division Biodiversité et Paysages (BIODIV) de la Direction des ressources naturelles (DIRNA). La division BIODIV est dirigée depuis 2013 par Catherine Strehler-Perrin.

Service intercommunal de protection civile Prilly - Jouxtens-Mézery

  • CH - Service intercommunal PC Prilly - Jouxtens-Mézery
  • Collectivité
  • 1981-1997

Service intercommunal de protection civile créé conjointement entre les communes de Prilly et Jouxtens-Mézery par le biais d'une convention provisoire (1981) puis définitive (1983), en vue de renforcer l'efficacité de la protection civile et d'assurer l'utilisation optimale de ses moyens.

SIC - Société industrielle et commerciale de Prilly et environs

  • CH - SIC Prilly et environs
  • Collectivité
  • 06.09.1984-2015

La Société Industrielle et Commerciale de Prllly et Environs (SIC) fut fondée lors d'une assemblée constitutive le 6 septembre 1984 à Castelmont. Dans le cadre de ses statuts, elle déploie ses activités dans la défense et le développement de l'économie régionale dans un environnement en constante mutation.
Cette nouvelle société résulta de la fusion de deux associations préexistantes. La première, appelée Association des Commerçants de Prilly (ACP), avait été créée le 17 octobre 1937. Elle s'agrandit dès 1944 en intégrant de nouveaux membres artisans et se nomma dès lors ACAP. Quant à la seconde, appelée Société des Intérêts de Prilly (SIP), elle avait été fondée en 1979.

​Au fil des années, l'expérience avait démontré les limites de la coexistence des deux anciens groupements ayant des buts similaires, d'où la nécessité d'une entente en vue de la formation d'une seule société plus représentative de la complémentarité des branches d'activité. Cette réunion de toutes les synergies, qui répondait aussi aux vœux des Autorités communales, permit de coordonner les efforts fournis pour défendre avec conviction les intérêts communs des membres et consolider leur rôle d'acteur économique.
​Dès lors, les patrons des diverses PME de l'artisanat, du commerce, de l'industrie et des professions libérales devinrent des interlocuteurs reconnus dans les négociations sur les sujets qui touchent l'économie. De plus ils bénéficient aussi du service d'information de la Fédération Patronale Vaudoise, de ses publications, de son expérience et des nombreux autres services spécialisés de cette importante organisation faîtière vaudoise qui regroupe les « SIC » du canton.

Ski-club du Vallon de Villard

  • CH - Montreux--130
  • Collectivité
  • 1952-2023

En février 1952 un groupe d'amis du Vallon de Villard fonde le premier club sportif et humoristique nommé "Les Amis du Vallon". Une année plus tard, en mars 1953 ce dernier change de nom et devient "Le Ski-Club du Vallon". Le club à vocation sportive organise au fil des années notamment des concours internes de ski alpin. Il se diversifie aussi en proposant des manifestations telles que la première course internationale de Rollerski entre Chailly et les Avants le 29.09.1974, course rééditée en 1975 entre Montreux et Blonay et en1976 entre Chailly et le Vallon de Villard. Il propose aussi des concours de luges à foin, "La Nuit du Vallon" une course de ski de fond sur piste éclairée en 1981 mais aussi 20 éditions du "Cross du Cubly" ainsi que des participations à des manifestations telles que la "Bénichon des Avants", des kermesses etc. Club très actif pendant de nombreuses années, il signe sa dissolution en 2023.

Résultats 701 à 800 sur 992