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Gymnastique des hommes

  • CH - Gymnastique des hommes
  • Corporate body
  • 1906 - 2017 (?)

Société fondée en 1906. Dès les débuts, elle compte deux sections: gymnastique des hommes et choeur. En 2005, la section gymnastique cesse ses activités, suivie en 2012 de la section choeur, dont les membres se réunissent par la suite encore sous forme d'amicale.

Corps de musique

  • CH - Corps de musique
  • Corporate body
  • 1878 - 2005

Nouvel Orchestre de Montreux

" Nouvel Orchestre de Montreux (1987-2001)
(Ensemble Orchestral de la Riviera)
Choisir de s'appeler le Nouvel Orchestre de Montreux (NOM), c'est accepter le lourd héritage du prestigieux Orchestre du Kursaal, disparu depuis 1914. Lorsqu'il fonde cet orchestre de chambre en 1987, le chef hongrois Andras Farkas ne redoute pourtant pas la comparaison avec Ernest Ansermet: en plus de combler un vide auprès du public de la Riviera vaudoise, son orchestre de chambre est surtout le bienvenu pour les jeunes musiciens professionnels romands. C'est à la suite d'une demande du festival d'Honfleur qu'Andras Farkas décide de réunir un orchestre formé de musiciens libres de tout contrat. Constatant alors la difficulté pour ceux-ci de trouver un orchestre et encouragé par le succès des concerts d'Honfleur, il choisit de continuer l'aventure. Le premier concert a lieu le mardi 24 février 1988 dans la salle du Pavillon de Montreux. Le Rondo hongrois de Kodaly, le Concerto en ré de Haydn et la Symphonie en do de Mozart sont interprétés avec, notamment, Philippe Schiltknecht au violon solo.
De 1987 à 1994, l'orchestre dirigé par Andras Farkas se produit à Montreux et en Suisse romande, interprétant autant de la musique baroque que contemporaine. Il donne des concerts d'abonnement depuis 1988, au Pavillon de Montreux. Pourtant, s'il bénéficie du soutien de la municipalité de Montreux, d'un conseil de fondation et du public montreusien, le NOM rencontre des difficultés financières. En outre, le départ d'Andras Farkas en 1994 laisse l'orchestre sans chef attitré. Ce sont alors Mathias Aeschbach, Tibor Varga et Hervé Klopfenstein qui se succèdent à la tête de l'orchestre.
Rebaptisé Ensemble Orchestral de la Riviera (EOR) en 1994, l'institution se renouvelle en quasi totalité, du Conseil de fondation aux musiciens de l'orchestre. L'ensemble, qui n'a toujours pas de chef titulaire, décide de ne jouer qu'avec des chefs invités. Désireux de toucher toute une région et non plus seulement la ville de Montreux, l'Ensemble Orchestral de la Riviera cherche également à investir l'auditorium Stravinski. Pourtant louable, la volonté de régionaliser l'institution va au contraire la desservir: plus vraiment implanté à Montreux, ni véritablement impliqué dans les autres communes, l'orchestre perd son identité et, conséquemment, son financement. Après plusieurs tentatives pour relancer l'institution, la fondation de l'Ensemble Orchestral de la Riviera se voit mise en liquidation en 2001.
SOURCES: sites et références mentionnés; "Nouvel Orchestre à Montreux", 24 Heures 1988/02/21; "Du Nouvel Orchestre à l'Ensemble orchestral: nouveau concept, nouveau conseil de fondation pour une phalange montreusienne visant la Riviera", 24 Heures, 1994/10/01; Tétaz, Myriam, "L'Ensemble orchestral de la Riviera se présente au public montreusien", 24 Heures, 1994/12/05; Isler, Joëlle, "Faute de sous, l'Ensemble orchestral de la Riviera risque bien de passer à la trappe", 24 Heures, 1996/01/31; Favez, Jacqueline, "Le public notera l'Ensemble orchestral de la Riviera", 24 Heures, 1997/04/10.
[BCUL/MU/nmo/2013/08/20] "
Tiré de : Bibliothèque cantonale et universitaire de Lausanne, Documentation vaudoise [en ligne], 20 août 2013, http://dbserv1-bcu.unil.ch/persovd/composvd.php?Code=N&Num=7184 (consulté le 22 janvier 2014)

Théâtre Montreux Riviera (TMR)

En 1975, le Centre dramatique Chablais-Riviera (CDCR) naît de la rencontre d'un lieu, le Théâtre du Vieux-Quartier (TVQ) à Montreux et de trois personnes.
Co-fondateur de la salle avec des amis passionnés comme lui, Jean-Pierre Duchoud s'échine alors depuis 1952 pour y présenter des spectacles. En 1976, au cours d'un stage d'art dramatique, il sympathise avec deux représentants d’une troupe « concurrente » voisine, Annie Godel et Jean-Philippe Weiss, des Tréteaux du Château de La Tour-de-Peilz.
Bientôt émerge l’idée d’une troupe professionnelle de théâtre décentralisée (la première à s’implanter hors de Lausanne !): c'est la naissance du Centre Dramatique Chablais-Riviera.
Dès la première saison (1976-1977), les productions du CDCR côtoient des spectacles parisiens qui tournent dans les théâtres et salles de la Riviera.
En 1992, Jean-Pierre Duchoud remet les rênes du CDCR à Jean-Philippe Weiss. Sous sa direction, la troupe recevra plusieurs récompenses prestigieuses.
En 2002, c'est la naissance de l'appellation Thêâtre Montreux-Riviera et la disparition des entités précédentes, le CDCR et le Théâtre du Vieux-Quartier.
<i> Historique inspiré de www.theatre-tmr.ch </i>

Familles Puenzieux - Borcard - Cochard

Établies au Châtelard depuis le XVème siècle au moins, les Puenzieux de Clarens, les Borcard de Pertit et les Cochard de Chernex et Tavel sont des familles influentes du Châtelard où elles ont exercé des fonctions publiques

Montreux - Village de Chernex

Le plus vieux document du fonds, daté de 1496, est une reconnaissance de titre classée sous E1, mais dont le contenu est encore à identifier. Pour le reste, les documents attestant de l’activité de la métralie de Chernex débutent aux environs de 1650.
Il est étonnant de constater le nombre de documents attestant de transactions entre particuliers, documents qu’il est également surprenant de rencontrer dans un fonds de village dépourvu d’instance juridique. L’explication la plus probable à l’existence de ces documents (OA et OB) serait qu’une des fonctions de la Cour du Château du Châtelard ait été exercée par un ressortissant de Chernex, voire par une famille de Chernex, qui, au fil des générations, est partie avec des doubles des actes. Mais cette assertion reste à vérifier.
Pour ce qui est des procès-verbaux des assemblées, les registres contenus dans le fonds débutent en 1720 et continuent jusqu’en 1941, avec une béance inexpliquée de 100 ans entre 1814 et 1915 : les registres ont disparu. En revanche, la date de 1941 a une explication puisque c’est à cette période que l’Etat de Vaud a pris acte de la décision de Chernex de ne plus prélever d’impôts. Ceci met un terme à l’existence de la fraction de commune de Chernex et a pour conséquence la fin des archives : les registres de procès-verbaux, les copies de lettres et les documents financiers s’interrompent au tournant de l’année 1942. Dès lors, l’administration du village fonctionne de manière différente et les pièces ne seront plus versées au même fonds d’archives.
La métralie de Chernex est reconnue par le règlement de la Communauté du Châtelard de 1792 comme étant une grande métralie. Toutefois, son assemblée siège parfois avec les ressortissants de Sonzier, comme cela semble être le cas particulièrement dans le registre A2. De même, Chernex et Sonzier se rassemblent pour ce qui concerne les questions d’école puisque les deux villages font partie de la même régence. D’ailleurs, les litiges avec les régents successifs prennent une place importante dans l’ensemble du fonds (voir section P). Et si les écoles sont un des domaines de compétences des fractions de communes, on rappellera ici que, par ailleurs, les villages géraient également la distribution des eaux et des fontaines et qu’ils avaient à leur charge les fonctions de sécurité, telle la prévention des incendies ou la nomination des gardes champêtres. À ce sujet également, les archives du village relatent un cas de litige avec la commune du Châtelard, lorsqu’en 1753, il s’oppose à la procédure habituelle de nomination des guets et s’expose à la colère du Châtelard devant ce « ridicule refus » (NA3).

Montreux - Village de Chailly

Comme pour les autres villages de la commune de Montreux, il n’est pas possible de dater de manière précise la naissance de l’administration du village de Chailly. Néanmoins, on trouve une mention de la Métralie de Chaillex dans le règlement édicté par le seigneur du Châtelard en 1496 qui établit le fonctionnement d’un Conseil de 30 membres pour régir l’administration et la communauté du Châtelard . Comme certains autres villages, la Métralie en question est alors une fraction administrative du Châtelard qui sert de base à la représentation dans le Conseil des 30. En marge de ces activités politiques, les villages assemblés sous la présidence de gouverneurs s’occupent alors de la gestion de leurs biens (four et fontaines) et prennent des décisions qui concernent les intérêts de toute la communauté. Vu sa taille, la Communauté du Châtelard s’appuie sur les administrations villageoises et leur délègue certaines des attributions qui devraient lui revenir.
Le fait que, par délégation, les villages de Montreux assument des services publics (en particulier la distribution de l’eau) fait qu’ils seront reconnus comme fractions de Commune par la loi vaudoise du 2 juin 1815. Le statut de fraction sera abrogé à Chailly en 1939 par la dissolution de l’administration du village et la constitution de la société de développement de Chailly « dont chaque habitant serait invité à faire partie, Suisse ou étranger » . Cette citation marque clairement le changement entre la fraction de commune et la société de développement. En effet, l’administration du village de Chailly se pose fréquemment la question depuis le début du XXe : le fait que la fraction de commune rassemble les seuls propriétaires immobiliers de Chailly n’est pas conforme aux lois et constitutions. D’une part, une telle assemblée exclut les habitants qui ne sont pas propriétaires et instaure ainsi un cens, d’autre part, des étrangers propriétaires peuvent assister à ces assemblées et participer aux décisions alors même qu’ils n’ont pas le droit de vote auprès des autorités communales, cantonales et fédérales.
Cela étant, les registres attestent d’une activité continue de l’assemblée des propriétaires depuis 1650 jusqu’en 1939. 1650 est également la date du document le plus ancien conservé dans les archives du village (outre les comptes). Il s’agit de l’Extrait de la recognoissance du Village de Chailly es mains du Commissaire Dumaine (Place du four) . Durant ces nombreuses années, l’administration du village de Chailly a assumé des services publics qui ont trait à la sécurité (gardes-champêtres, guets puis pompiers) et à la gestion des eaux (entretien des fontaines, tuyaux de distribution, recherche de nouvelles sources ). Au tournant du XXè siècle, on voit apparaître parmi les attributions du village la question de l’éclairage public, mais aussi celle du rattachement téléphonique ou encore de la voirie (enlèvement des balayures).
Enfin, « privilège » des fractions de communes, Chailly peut prélever un impôt si cela s’avère nécessaire dans la gestion de ses services publics. Il faut alors en faire la demande auprès du Conseil d’Etat : cette démarche est attestée par une série d’arrêtés d’impositions délivrés par les autorités vaudoises . Il est intéressant de noter que, pour prélever ces taxes, l’assemblée procède, deux fois par année à un recensement de la population et du bétail. Absents dans les autres administrations villageoises à Montreux, ces chiffres permettent d’établir des statistiques démographiques.
Enfin, les archives de deux sociétés locales complètent le fonds. Il s’agit de la société d’assurance sur le bétail de Chailly , créée en 1869 et qui réunit les propriétaires de bétail des villages de Brent, Baugy, Tavel, Clarens, les deux Planchamp et Chailly ainsi que la société de laiterie (successivement Nouvelle laiterie de Chailly puis association immobilière de Chailly).

Yverdon-les-Bains - Service des affaires sociales

  • CH - Yverdon-les-Bains
  • Corporate body
  • 1994-aujourd'hui

En 1974 est créé le premier dicastère principalement consacré aux affaires sociales; il regroupait les services sociaux et l'office du logement
Le service des affaires sociales s'est appelé ensuite service de la sécurité sociale de 1994 à 2002 puis Services des Affaires sociales et jeunesse de 2002 à 2006.
2006 – 2011: Affaires sociales et culture.
2011 – 2012: Affaires sociales, intégration et culture.
2012 – actuellement : Jeunesse et cohésion sociale (JECOS)

Marguerat (Pierre)

  • CH - Ecublens - Marguerat (Pierre)
  • Person
  • à compléter

Société de sauvetage de Clarens Mon Devoir

  • CH - Montreux--120
  • Corporate body
  • 1904 -

La section de sauvetage de Clarens est fondée officiellement en 1904, partant du constat qu'il convient de structurer et de donner davantage de moyens et d'organisation à l'action de sauveteurs volontaires et jusqu'ici isolés. Réunis en 1904, quelques citoyens décident de lancer un appel à la population et aux autorités pour récolter les fonds nécessaires à la construction d'un canot de sauvetage.
La barque Mon Devoir est mise en service au printemps 1905, au droit de Verte Rive.
Le 9 juillet 1922, Mon Devoir organise sa première grande Fête des sauveteurs lémaniques.
En novembre 1926, Mon Devoir I coule sur son point d'amarrage. En mars 1927, c'est l'inauguration de la nouvelle barque, également nommée Mon Devoir.
En 1930, le hangar à bateau est déplacé de Verte Rive au Pierrier, proche de l'embouchure de la Baye de Clarens.
Dans les années 1950, la section motorise son embarcation.
En 1964, la section rachète la vedette de la police du Lac de la Ville de Lausanne, qui sera remplacée en 1984.

Association Suisse des Maîtres Coiffeurs

  • CH - Montreux--127
  • Corporate body
  • 1888-

Fêtant ses 100 ans en 1988, l'Association suisse des maîtres coiffeurs a vraisemblablement été fondée en 1888.
Nouvelle appellation en 1999: Association suisse de la coiffure, puis CoiffureSuisse.

Monney (Jean-Louis)

  • CH - Montreux--128
  • Person
  • 1938-2007

Typographe à l'Imprimerie Corbaz SA

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