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Personnes, familles, organisations
Collectivité

Fondation du Septembre musical Montreux-Vevey

  • CH - Montreux--30
  • Collectivité
  • 1946 -

Le Septembre musical est fondé en 1946 par M. Manuel Roth qui souhaite organiser une manifestation musicale sur la Riviera suite au séjour de quelques musiciens célèbres dans la région (Igor Stravinski, Maurice Ravel). M. Manuel Roth sera directeur du festival jusqu'en 1967. Il sera succédé par M. René Klopfenstein (de 1968 à 1983), M. Yves Petit de Voize (de 1984 à 1995), M. Christian Chorier (de 1996 à 2001), M. Karl Anton Rickenbacher (de 2002 à 2004), M. Tobias Richter qui depuis 2005 occupe le poste de directeur du festival.
Le festival se passe pendant trois semaines au mois de septembre et a lieu dans différentes salles de Montreux et Vevey.

Montreux - Village de la Rouvenaz

  • CH - Montreux--31
  • Collectivité
  • 1872 - 1930

Fraction de commune de la Commune du Châtelard, créée en 1872 par Décret du Grand Conseil. Dissolution en 1930, à cause de l'imposition de plus en plus importante des propriétaires (ces derniers formant l'assemblée générale du village) et le coût de plus en plus onéreux de l'éclairage public et du ramassage des balayures (principes charges de la fraction de Commune). Proposition de dissolution dès 1918; en 1919, les village de la Commune des Planches avaient remis le service des balayures à l'administration communale. A cette date, les villages du Châtelard pensent en faire autant. Toutefois, la Municipalité du Châtelard répond que tant que les villages continueront à prélever des impôts, elle ne reprendra pas cette charge.
Finalement, la situation se détend et en 1929, l'administration communale et villageoise accepte la dissolution.

Montreux - Village de Territet-Collonge

  • CH - Montreux--32
  • Collectivité

Les villages de Territet et Collonge ont voté leur fusion en 1914.
La dissolution de l'administration du village a été approuvée par l'assemblée générale des propriétaires le 15 juin 1927

Montreux - Village de Vernex

  • CH - Montreux--35
  • Collectivité
  • Probablement 15ème siècle - ce jour

Il est probable que les premiers à s'installer dans la région qui allait devenir Vernex arrivèrent au XVe siècle. Sûrement attirés par un cadre idyllique et l'accès facile à l'eau. Des familles s'y installèrent, peu à peu, avant 1536 (l'arrivée des Bernois), si bien qu'ils furent assez pour former un village qui devint l'une des cinq grands villages constituants la Baronnie du Châtelard. Les premières bâtisses se dessinent dans le paysage, rassemblant paysans et vignerons. Avant l'essor de l'hôtellerie, Vernex ressemblait donc aux autres bourgades du Chablais, dont l'activité principale était commune : le vignoble.
La religion prépondérante était le Protestantisme.
Vernex tenait sa renommée ainsi que son droit d'exister en tant que fraction de commune, de ses eaux Alcalines. À cette époque, l'eau avait une place importante dans les préoccupations des villages. À la lecture des procès-verbaux (datant de 1746), on voit que les habitants avaient une attention toute particulière pour leurs deux fontaines. Car même si l’eau n’est pas rare (nous sommes au bord du lac), celle de Vernex est précieuse.
Le siècle des Lumière va engendrer un essor tant au niveau des travaux de routes que de la circulation. Cette circulation va se propager dans le hameau, Vernex se voyant directement touché par ces évènements. En effet, c'est le début des constructions de bâtisses sur le bord de la Grande Rue.
Dans le dictionnaire géographique de la suisse, il est mentionné qu'en 1910 Vernex était le quartier de l'agglomération de Montreux, comptant 1871 habitants et 149 foyers.
(Source « Autrefois Montreux s’appelait Vernex », pp. 6-9)

Montreux - commune

  • CH - Montreux--44
  • Collectivité
  • 1962 - nos jours

La commune de Montreux est née en 1962 de la fusion des communes du Châtelard et des Planches

Familles bourgeoises de Brent

  • CH - Montreux--46
  • Collectivité
  • 1486 - nos jours

L’histoire orale fait remonter le nom de Brent au temps des celtes, « bran » ayant alors la signification de chef. On peut en déduire, qu’au haut Moyen Âge, le village de Brent abritait le chef de la communauté du Châtelard. Cette hypothèse est corroborée par la présence, à Brent, d’un châtelard, sorte de rempart fortifié qui offrait refuge à la population en cas de menace.
Au Haut Moyen Âge, les villages des hauts du territoire du Châtelard tenaient les premiers rôles. L’aval du territoire n’était pas du tout colonisé, Brent Chailly et dans une moindre mesure, Chernex, étaient parmi les villages les plus en vue.
Avec la pacification de la région, l’épicentre de la communauté va lentement « descendre », à partir du XVème siècle, et Brent sera progressivement marginalisé. En premier lieu, avec l’édification, par Jean de Gingins, du château du Châtelard, à Tavel qui remplacera la cachette ancestrale de Brent et offrira refuge en cas d’attaque. Mais également, en deuxième lieu, avec le règlement dont la communauté du Châtelard se dote en 1496 : celui-ci codifie le fonctionnement de la communauté et l’élection du chef, qui ne sera plus dorénavant toujours originaire de Brent.
Brent fera bientôt à nouveau office d’épicentre de la communauté, du moins du point de vue commercial. En effet, en 1486, le duc de Savoie octroie au village un droit de foire. Cet acte est un véritable privilège, tant il est rare. On peut s’essayer à plusieurs explications sur les raisons de l’octroi de ce privilège : compensations pour les changements récents à la réparation d’une injustice suite à une affaire de peaux de moutons, en passant par la simple demande des gens de Brent.
Même si le rassemblement n’a pas lieu de manière très régulière avant le XVIIème siècle, la foire va redonner une notoriété régionale à Brent.
Autre particularité du village de Brent, la présence sur son territoire d’une chapelle, deuxième lieu de culte dans la paroisse de Montreux. Les raisons de l’édification de ce bâtiment ainsi que l’établissement d’un deuxième culte dans la paroisse ne sont pas connues à ce jour.
En 1887, l’assemblée des propriétaires du four de Brent arrête un règlement : le règlement l’association du four de Brent. Dans un premier temps, il s’agissait de créer une société, mais sur conseil du préfet, les bourgeois de Brent ont opté pour l’association et l’inscription au registre du commerce. A partir de 1888, le four de Brent est géré par une association à la tête de laquelle se trouve un régisseur-caissier. Brent se distingue donc des autres villages de la paroisse de Montreux où les administrations de villages (fractions) sont gérées par une assemblée à la tête de laquelle se trouve un gouverneur et qui prélèvent des impôts. Le règlement stipule à son article 13 qu’en cas de dissolution de l’association, ses biens doivent aller au village de Brent. Mais il semblerait qu’il ne faut pas comprendre par là qu’il existe une administration de village en sus de l’association des propriétaires du four. Quant à ses revenus, détaillés à l’article 11, ils proviennent exclusivement de la location du four et des intérêts de capitaux placés.
Toujours dans ce règlement de 1888 il est fait mention des familles bourgeoises de Brent qui sont les suivantes : Borcard, Burdet, Chevalley, Cuenet, Dufour, Masson, Besson, Mury, Cochard, Dériard et Ducret.

Caux-Palace

  • CH - Montreux--48
  • Collectivité
  • 1900-1940

Durant la Belle Epoque la région montreusienne a connu un essor touristique fulgurant.
De très nombreux établissements hôteliers ont été modernisés, agrandis ou construits.

Caux, station d’altitude en dessus de Montreux avait alors déjà son Grand Hôtel. Ce dernier comptait parmi ses hôtes aussi célèbres que fortunés, Sissi l’Impératrice.
Cinq ans après l’ouverture de cet établissement, Ami Chessex, également propriétaire du Grand Hôtel de Territet, décida de construire sur les terrains qu’il possédait à Caux, un Palace !
Le Caux-Palace fût alors construit en 26 mois seulement. Il se voulait être le Palace de tous les records. Inauguré le 7 juillet 1902, le Caux-Palace avait plus d’un atout dans sa poche. Son emplacement géographique et sa promenade de plus de 400 mètres lui offraient une vue exceptionnelle, ses éléments architecturaux faits de tourelles le démarquaient notoirement, le luxe et le confort qu’il offrait à sa clientèle étaient sans égale !
Dès son ouverture l’établissement se révéla très rentable.
Toutefois, la Première Guerre Mondiale vint mettre un terme à cette époque fastueuse. L’ère du tourisme de luxe toucha à sa fin. Les hôtels se vidèrent et le Caux-Palace en fit partie. L’établissement fût même fermé durant cinq années. Par la suite, les dettes s’accumulèrent et les directeurs se succédèrent. En 1937, le Caux-Palace prit le nom de l’Hôtel Esplanade mais dû à nouveau fermer ses portes en tant qu’hôtel dès les premiers jours de la Seconde Guerre Mondiale. En 1944, durant la Seconde Guerre Mondiale, il fût rouvert par les autorités suisses pour y héberger des réfugiés juifs de Hongrie ainsi que des aviateurs anglais et américains évadés de camps de prisonniers du nord de l’Italie.

En 1946, Initiatives et Changement, connu à l’époque comme Réarmement Moral, acheta le bâtiment pour en faire son principal centre de rencontres en Europe. Dès l’été de cette même année, trois mille personnes séjournèrent à Caux. Des dortoirs furent installés et une partie des participants hébergés dans les autres hôtels désaffectés de Caux.
Entre 1946 et 1947, de nombreux travaux furent réalisés dans le Caux-Palace pour l’adapter à sa nouvelle vocation : transformation de la salle de bal en théâtre, nouveau hall d’accueil plus spacieux. Au printemps 1947, la Fondation de Caux, devant augmenter sa capacité d’accueil, acheta le Grand-Hôtel et l’hôtel Maria, puis en 1949 l’hôtel Alpina et divers chalets.
Au cours des 50 années suivantes, le Palace ne connût guère d’autres modifications.
C’est avec l’arrivée de SHMS (Swiss Hotel Management School) comme locataire dès 1995 que la Fondation de Caux put à nouveau rénover le bâtiment grâce au cofinancement de deux partenaires (L'école Swiss Hotel Management School (SHMS).
La rénovation la plus intéressante du point de vue du patrimoine fût la rénovation de la grande salle et de certaines pièces à valeur historiques en 2007 et 2008, avec l’aide de la Fondation Pro.
L’histoire du Caux-Palace peut être racontée et étudiée grâce aux très nombreuses sources originales et exceptionnelles de l’établissement et des différents propriétaires.

Association Festivités et Loisirs Les Avants

  • CH - Montreux--60
  • Collectivité
  • 2010-2011

L'Association Festivités et Loisirs Les Avants est créée à l'occasion du centième anniversaire du funiculaire Les Avants-Sonloup en 2010 et dissoute en 2011. Madame Patricia Jomini préside l'Association suivie de Madame Rachel Soydan jusqu'à sa dissolution. M. Charles C. Riolo en est le secrétaire.

Association Suisse des Sous-Officiers (ASSO), section de Montreux

  • CH - Montreux--61
  • Collectivité
  • 1871-1996

La section des Sous-Officiers de Montreux s'est constituée en novembre 1871 afin de maintenir, même au civil, les liens tissés entre les sous-officiers lors de la mobilisation de 1870-1871. Dès lors, la section travailla à trouver une ligne de tir, à Sonzier, puis Chailly, puis enfin Villeneuve et à organiser des conférences.
En 1877, la section cherche des fonds pour s'offrir un étendard.
En 1921, à la sortie de la guerre, des festivités de trois jours marquaient le 50ème anniversaire de la section.
En 1971, la section organise son 100ème anniversaire, en collaboration avec la Société des Armes de Guerre de Montreux, fondée en 1870-
Enfin, en 1996, le 125ème anniversaire de la section est la dernière célébration de la section qui se dissout à la suite des festivités.

Fondation Addiction, action communautaire, travail social (AACTS)

  • CH - Montreux--62
  • Collectivité

La Fondation AACTS (Addiction, Action Communautaire, Travail Social) a été créée le 21 mai 2012 et fait suite à la dissolution de l’Association ACT (Action Communautaire et Toxicomanie). L'association ACT avait repris plus tôt les activités de Le Clodo.

Châtelard School - Les Avants

  • CH - Montreux--65
  • Collectivité
  • 1929 - 1989

Ouverte en 1927 près du Château du Châtelard par Mlle Dorothy Braginton, la Châtelard School est une pensionnat pour jeunes-filles, majoritairement britanniques. Le premier bâtiment devenant rapidement trop petit, l'école déménage à Chamby, à l'Hôtel des Narcisses, puis, en 1937, au Grand Hôtel des Avants.
Pendant la guerre, l'école a été transférée au Pays de Galles, pour rouvrir dans les années 1950. En 1977, après la chute de la livre anglaise, l'établissement est racheté par M. Robert Eckert qui tient l'institution jusqu'en 1989.
En 1989, le bâtiment est vendu à un promoteur qui souhaite en faire des appartements. Ce projet ne verra jamais le jour, et, en 1992, le bâtiment est réaffecté à un nouvel internat: Le Châtelard Academy.

Théâtre Montreux Riviera (TMR)

  • CH - Montreux--66
  • Collectivité
  • 1952 -

En 1975, le Centre dramatique Chablais-Riviera (CDCR) naît de la rencontre d'un lieu, le Théâtre du Vieux-Quartier (TVQ) à Montreux et de trois personnes.
Co-fondateur de la salle avec des amis passionnés comme lui, Jean-Pierre Duchoud s'échine alors depuis 1952 pour y présenter des spectacles. En 1976, au cours d'un stage d'art dramatique, il sympathise avec deux représentants d’une troupe « concurrente » voisine, Annie Godel et Jean-Philippe Weiss, des Tréteaux du Château de La Tour-de-Peilz.

Bientôt émerge l’idée d’une troupe professionnelle de théâtre décentralisée (la première à s’implanter hors de Lausanne !): c'est la naissance du Centre Dramatique Chablais-Riviera.

Dès la première saison (1976-1977), les productions du CDCR côtoient des spectacles parisiens qui tournent dans les théâtres et salles de la Riviera.

En 1992, Jean-Pierre Duchoud remet les rênes du CDCR à Jean-Philippe Weiss. Sous sa direction, la troupe recevra plusieurs récompenses prestigieuses.

En 2002, c'est la naissance de l'appellation Thêâtre Montreux-Riviera et la disparition des entités précédentes, le CDCR et le Théâtre du Vieux-Quartier.

<i> Historique inspiré de www.theatre-tmr.ch </i>

Fondation Théodore Strawinsky

  • CH - Montreux--67
  • Collectivité
  • 1991 -

La Fondation Théodore Strawinsky est une fondation à but non lucratif, créée le 22 novembre 1991 à Genève. Elle est inscrite au registre du commerce de Genève. En 2019, 8 personnes siègent au Conseil de Fondation.
Théodore Strawinsky désirait que l'on crée à Genève une fondation qui fasse vivre son œuvre et décerne annuellement un prix à un étudiant en fin d'études de l'école des Beaux-Arts de Genève, pour faciliter ses débuts. Denise Strawinsky répond à ce vœu en créant la Fondation Théodore Strawinsky et remet le prix Théodore Strawinsky dès le 25 juin 1992.

Présidence:
Denise Strawinsky (1991-2004)
Luc-Régis Gilbert (2004-présent)

Fondation du Festival de Jazz de Montreux

  • CH - Montreux--72
  • Collectivité
  • 1967-

Le Montreux Jazz Festival a été créé en 1967 sous l'égide de l'Office du Tourisme de Montreux (OTM) par Claude Nobs, René Langel et Géo Voumard, dans l'idée de de diversifier l'offre touristique de Montreux. Cette première édition dure trois jours et attire 1500 spectateurs. Durant ces trois jours, douze orchestres européens se succèdent sur scène et une star américaine clôture la manifestation. La durée de la manifestation grandit au fil des années pour se fixer finalement à deux semaines de concerts en été.
Jusqu'en 1971 les concerts ont lieu dans l'ancien Casino de Montreux. Le 4 décembre 1971 le bâtiment est détruit par un incendie lors du concert de Frank Zappa organisé par Claude Nobs dans le cadre de ses activités auprès de l'Office du Tourisme. Dès l'année suivante, le festival prend ses quartiers dans le nouveau Casino et ce jusqu'en 1993. Il déménage alors et se déplace au Centre des Congrès rénové, dans les deux nouvelles salles: l'Auditorium Stravinski et le Miles Davis Hall (Le Floc'h, p.107).
Les années 1990 amènent d'autres nouveautés: dès 1991, les concerts sont enregistrés en HD; de 1991 à 1993 Quincy Jones devient coproducteur du Montreux Jazz Festival (Le Floc'h, p. 104); la Fondation du Festival de Jazz de Montreux est créée le 19 janvier 1996, ce qui met un terme à la participation de l'Office du Tourisme de Montreux dans l'organisation du Montreux Jazz Festival.
Au décès de Claude Nobs, en 2013, Mathieu Jaton, alors secrétaire général, devient directeur du Montreux Jazz Festival.
En 2016, la Fondation du Festival de Jazz de Montreux interagit avec les 3 raisons sociales suivantes:
a) la Montreux Jazz Artists Foundation (anciennement Fondation 2 (2007-2015), créée en 2007. Cette fondation d'utilité publique a pour mission d'encourager la formation et la relève.
b) la Claude Nobs Foundation, créée en 2014. Cette fondation a pour mission de préserver et valoriser les enregistrements audiovisuels du Montreux Jazz Festival.
c) la S.A. Montreux Jazz International. Cette société s'occupe des Montreux Jazz Cafés et de leur exploitation.

Service d'accueil pour écoliers Scoubidou

  • CH - Montreux--76
  • Collectivité
  • 1985-2015

Fondé en 1985 avec Madame Madeleine Nicolier comme présidente, Scoubidou fut une garderie qui a accueilli les jeunes écoliers à Montreux dans différents lieux avec ses débuts dans le quartier des Planches en 1987, puis son premier déménagement dans les locaux de l'église catholique en 1993 où Scoubidou vécut son premier incendie en 1995 (le second sera en 2007). Un nouveau déménagement a lieu en 2005 à l'Avenue des Alpes 90, qui est resté l'adresse du service d'accueil jusqu'à sa fin en 2015. Aujourd'hui Scoubidou à été intégré à l' Accueil Collectif de la petite Enfance de Montreux et Environs (FACEME).

Montreux Natation

  • CH - Montreux--78
  • Collectivité
  • 1944 -

Le 1er février 1944, création du Montreux-Natation. Les activités du club sont principalement pratiquées dans le lac aux Bains de Clarens.
En 1949, le club organise le 1er Championnat Suisse de water-polo de 2ème ligue.
En 1953, 1ère Traversée de Montreux, une compétition populaire de natation dans le lac.
En 1959, le Montreux-Natation traverse une crise interne proche la dissolution.
En 1977, l’ouverture de la piscine de la Maladaire permet au Montreux-Natation de pratiquer ses activités durant l’entier de l’année en eau chauffée dans une piscine couverte.
En 1979, création de la section de natation synchronisée.
En 1979, tournoi des 5 nations de natation.
En 2003, 1ère Traversée de la baye de Montreux, course populaire entre le Perrier et le ponton de la place du marché.

Source (http://www.montreux-natation.ch/uploads/pdf/le-club/Historiques.pdf)

Planches, Les - Commune

  • CH - Montreux--80
  • Collectivité
  • 13ème siècle - 1961

En 1962, les communes du Châtelard et des Planches ont fusionné pour donner naissance à la commune de Montreux.

Montreux - Service des affaires culturelles

  • CH - Montreux--80
  • Collectivité
  • 1993-2003

Le service des affaires culturelles a été créé le 1er janvier 1993 et a donné naissance en janvier 2004 à la Direction Économie, Culture et Tourisme.

Service des Eaux du Maralley (SEM)

  • CH - Montreux--86
  • Collectivité
  • 2013-

Le Service des Eaux du Maralley a été créé en 2013 à l'issue de la procédure de dissolution des fractions de Commune de Chêne-Sâles-Crin et des Planches, qui géraient jusqu'à cette date conjointement la distribution de l'eau dans leurs périmètres.

Société villageoise de Brent et environs (SVBE)

  • CH - Montreux--98
  • Collectivité
  • inconnu - ce jour

L’histoire de la société villageoise de Brent et environs se mêle avec celle des familles bourgeoises de Brent. La société villageoise résulte de la dissolution de la métralie puis fraction de commune de Brent, à la tête de laquelle siégeait un gouverneur et qui réunissait tous les habitants propriétaires de Brent

Association de la Vieille Ville de Montreux (VVM)

  • CH - Montreux--99
  • Collectivité
  • 1956 - ce jour

Fondée en 1956 par la famille Annichini et sous le nom d'"Association des commerçants et artisans du village des Planches et du Quartier du Pont", l'association a changé de nom dans les années 1960 pour devenir l"Association des commerçants de la Rue du Pont et Village de Montreux-Planches". En 1987 elle se transforme en "Société de développement de la Vieille Ville de Montreux" et en 2017, devient "Association Vieille Ville de Montreux".

En 2019, son président est M. Aubry.
"L’association s’attache à rénover les enseignes anciennes et met sur pied une dizaine d’événements par an (concerts, expositions,...)." (https://www.montreux.ch/vieilleville/, consultation mai 2019)

Montreux - Cercle

  • CH - Montreuxx--57
  • Collectivité
  • 1000 - 1961

La Commune de Montreux est née d’une fusion, en 1962, entre les communes des Planches et du Châtelard. L’appellation « Montreux » était néanmoins déjà une réalité avant cette date. C’était, dans un premier temps, le nom de la paroisse qui regroupait dès le XIème siècle les habitants de Veytaux, des Planches et du Châtelard. Mais c’était également, dès le milieu du XIXème siècle, l’appellation utilisée par la région pour promouvoir l’essor touristique et économique. En fait, jusqu’à 1962, « Montreux » repose sur un organe commun aux trois communes qui composent la paroisse : le Cercle.

Männerchor Harmonie Yverdon

  • CH - Männerchor Harmonie Yverdon
  • Collectivité
  • 1878 - 2017

Le Männerchor a été fondé le 27 juin 1878 au café du « Tilleul » par un groupe d’amis, pour la plupart des ouvriers d'origine suisse allemande et allemande. Le 9 décembre 1877 certains d'entre eux issus du corps de sapeurs pompiers d'Yverdon avaient décidé de fonder une chorale.
A ses débuts, 11 membres composent la chorale. La société organise sa première soirée en 1879. Au fil des ans, le Männerchor rassemblera jusqu’à 35 membres. En 1880, le premier drapeau de la société est inauguré. Un 2e suivra en 1914. Il suit la société dans toutes les manifestations. La société remporte de nombreux prix aux concours et fêtes de chant. Elle est admise en 1946 dans le Giron de l’Arnon. En 1979, le Männerchor, qui est constitué de 29 membres, célèbre son centenaire et organise la 18ème Fête romande des chorales de langue allemande.

Le nombre de membres ne cessant de diminuer au fil des ans, le Männerchor décide en 1992 de collaborer avec le chœur d’hommes de Couvet. Chaque choeur garde toutefois son autonomie. Les répétitions se déroulent dès lors à Sainte-Croix.

Dès 2014, le Männerchor, arrivant tout juste à 12 chanteurs âgés de 50 à 86 ans, réfléchit à l’avenir incertain de la chorale. En effet, la société rencontre des difficultés à recruter de nouveaux membres depuis quelques années déjà. Elle donne donc son dernier concert annuel à Orges en 2015. La dissolution du Männerchor a lieu en 2017 (AG du 13 décembre 2017). Les membres restants souhaitent garder leur rencontre mensuelle afin de maintenir le contact et la camaraderie.

ORPC Lausanne-Nord

  • CH - ORPC Lausanne-nord
  • Collectivité
  • 1997-2012

Jusque-là communale, l'organisation de la protection civile se régionalise officiellement en 1997. Prilly est le siège de la première organisation régionale de protection civile du canton. Par une convention datant de 1997, l'Organisation Régionale de Protection civile Lausanne-nord regroupe les communes de Cheseaux-sur-Lausanne, Cugy, Epalinges, Jouxtens-Mézery, Le Mont-sur-Lausanne, Morrens, Prilly et Romanel-sur-Lausanne. Le préavis 1996-16 du 7 octobre 1996, soumis au Conseil communal de Prilly, précise:
"La Commune de Prilly sera certainement confirmée dans sa fonction de commune-siège de la région Lausanne-Nord. Son délégué présidera en principe le comité directeur. La comptabilité, séparée de celle de la commune, sera tenue par le boursier de Prilly.
Les charges de la Commune de Prilly diminueront de 44 fr. 68 par habitant en 1995 à 29 fr. au budget 1997. Il en résulte une économie de plus de 160'000 fr. par an. Les 4 places de travail du personnel PCi de la région Lausanne-Nord seront installées dans la salle de conférences n°2 du bâtiment de la police municipale "Au Tilleul". Les places de travail des deux agents chargés de la police du commerce et de l'informatique seront transférées dans une partie de la salle n°1, l'autre partie étant conservée pour les rapports et conférences du corps de police. Les locaux libérés au Château seront occupés par le bureau du syndic, qui reprendra le bureau actuel du chef PCi, ce qui permettra à la bourse communale, très à l'étroit, de bénéficier d'une surface supplémentaire. Le bureau de la protection civile est prévu pour le responsable de l'informatique.
Ces transferts engendrent des frais de 15'000 fr. provoqués par différents aménagements indispensables. Une somme de 15'000 fr. est demandée pour réaliser cette opération. (...)".

M. Candaux (Samuel), municipal prilléran, a présidé les travaux de fusion.
En centralisant l'administration, en abaissant les effectifs et en ne constituant qu'un seul état-major par région, des économies non négligeables deviennent possibles.
En 1997, le chef ORPC est M. Desarzens (Francis), tandis que le Comité directeur de Lausanne-Nord est M. Candaux (Samuel).

Tandis qu'une réorganisation régionale se mettait en place, la Commune de Prilly a, dès 2009, souhaité intégrer l'ORPC de l'Ouest lausannois et former, à partir de 2012 et à huit communes, la nouvelle région de PCi du district de l'Ouest-lausannois, basée à Chavannes-près-Renens.

Ouest Informations - Rédaction

  • CH - Ouest Informations
  • Collectivité
  • 1965-1980

Journal fondé par Georges Rognon (adm. et rédaction) en 1965 avec la complicité du rédacteur responsable P.H. Bonvin et de Ch. Carrel (publicité régionale).
La publicité et l'impression sont reprises par l'imprimerie J. Magnenat en décembre 1965.
Dès 1968, le rédacteur régional est M. Jacques Lardet. En 1971, l'administration et la rédaction se réorganisent: on trouve J. Lardet comme rédacteur responsable, tandis que G. Rognon est rédacteur régional.
Jusqu'en 1971, ce journal est dédié aux communes de Prilly, Jouxtens et Romanel. Il s'étend dès juin 1971 à Cheseaux.
La parution cesse en 1980.

Prilly - Administration générale

  • CH - Prilly - Administration générale
  • Collectivité
  • 1798-nos jours

De la création de la Commune aux années 1930, les fonctions de secrétaire municipal et de greffier, comme la plupart des autres fonctions administratives, étaient assumées par un secrétaire municipal exerçant ses fonctions en plus d’une activité professionnelle. Parmi ces secrétaires municipaux non permanents, nous pouvons citer M. Girardet (Jean-Louis) de 1833 à 1844), M. Girardet (Marc) de 1856 à 1874, M. Rouffy (Marc) de 1874 à 1889, M. Emery (Gustave) de 1905 à 1913, M. Chabanel (Armand), de 1914-1917 ou encore M. Cottier (Emile), de 1922-1928. Voir : Secrétaires municipaux.xls.

En 1930, le premier secrétaire municipal à titre permanent est engagé en la personne de M. Magnenat (Ernest). M. Schertenleib (André) dans son ouvrage « Prilly à l’ombre d’un Tilleul écrit : « En décembre 1929, la Municipalité obtient du Conseil la création d’un poste [de secrétaire municipal à plein temps] qui inclura, outre le Greffe municipal, la comptabilité communale, le boursier restant responsable du mouvement en espèces. »
En 1939, M. Magnenat (Ernest) crée un Service de l’Economie de guerre (exigence cantonale et fédérale), une apprentie est engagée à titre d’aide de bureau. Le Service d’extension des cultures est également créé à cette époque, dans le but de maximiser l’utilisation des sols pour l’agriculture et ainsi d’assurer l’approvisionnement en nourriture de la population.
En 1945, l’Administration générale, constituée du Greffe et du Secrétariat de la Municipalité, engage deux sténo-dactylographes. L’effectif de l’Administration générale est donc de trois employés. Le Service de l’Economie de guerre est fermé en 1948 et induit la diminution d’un poste.
Le rapport de gestion de 1950 donne un aperçu de quelques autres tâches sous la responsabilité de l’Administration générale et remplies de manière accessoire : M. Magnenat (Ernest), secrétaire municipal, est également préposé à l’agence AVS ; M. Girardet (Eugène) est au Contrôle des prix ; M. Duruz (Edouard), policier, s’occupe de la Protection ouvrière et Registre, M. Bally (Henri) du Contrôle des denrées alimentaires. En 1957, M. Bally (Henri) devient officier d’Etat-civil, également sous la responsabilité de l’Administration générale.
En 1952, après les travaux d’aménagement de locaux administratifs au Château, l’Administration générale partage un bureau au premier étage avec le boursier.
En 1959, l’effectif permanent de l’Administration générale comprend 1 secrétaire municipal, 1 adjointe, 1 sténodactylographe et le concierge du Château. Mme Turrian (Rosette) est engagée comme secrétaire municipale adjointe. De 1959 à 1965 le nombre de sténo-dactylographes passe de 1 à 4. 1 apprenti et 1 assistante sociale sont également engagés durant cette période.

En 1965 toujours, M. Magnenat (Ernest) prend sa retraite après 35 ans de service. Dans le rapport de gestion de 1965 il est écrit : "Incontestablement M. Magnenat a marqué l'Administration communale du sceau de sa forte personnalité; il est à l'origine de son organisation actuelle, à laquelle il a apporté son intelligence et son dévouement. Il fut le premier secrétaire permanent de notre commune; c'est lui qui a mis sur pied, entre autres, l'économie de guerre en 1939-1945, l'agence AVS communale et l'Office du travail, lui aussi qui a instauré le système de comptabilité".

Le nouveau secrétaire municipal, M. Gaudard (Alain), entre en fonction le 1er janvier 1966. Rosette Turrian, quant à elle, passe à la Bourse communale et devient cheffe du Service de comptabilité. Le personnel social de l’Administration générale se renforce ; 1 assistant social, 1 préposé AVS et 1 préposé à l’Office du travail sont engagés.

En 1967, l’Administration générale, la Bourse communale et les Oeuvres sociales sont sous le même dicastère. Dix employés administratifs et un concierge travaillent dans cet ensemble.

Les Œuvres sociales et le personnel social quittent l’Administration générale et les Finances en 1970 pour le dicastère des Domaines et Œuvres sociales.

M. Magnenat (Ernest), qui était resté le préposé communal à la défense économique après avoir pris sa retraite en 1965, quitte définitivement l’Administration communale en 1972. Il est remplacé par M. Duruz (Edouard).

En 1974, M. Pointet (Jean-François) est engagé en tant que secrétaire municipal adjoint. Il est également responsable de la section des Domaines et Bâtiments.

En 1976, l’Administration générale et la Bourse communale ne sont plus sous le même dicastère. L’effectif de l’Administration générale (y.c. Office du travail) est alors de 5 employés administratifs, 2 apprentis et 1 concierge.

En 1981, le concierge du Château est regroupé, avec les autres concierges communaux, sous la responsabilité du Service des Domaines et Bâtiments. L’Administration générale prend en charge la gestion de l’exploitation de la nouvelle piscine de la Fleur-de-Lys.

En 1981, la fonction de secrétaire municipal adjoint est séparée de celle de chef du Service des Domaines et Bâtiments. M. Pointet (Jean-François) opte pour la fonction de chef du Service des Domaines et Bâtiments et quitte donc l’Administration générale. Le rapport de gestion de 1981 rapporte que son remplacement par M. Lenoir (Philippe) se traduit par un échec. Suite à cet épisode, la Municipalité renonce à l'engagement d'un secrétaire municipal-adjoint et nomme Mme Vezzoni-Feusier (Antoinette), jusqu'alors secrétaire au greffe municipal, en tant que cheffe de bureau. La Municipalité lui confie une partie des tâches prévues au cahier des charges du secrétaire municipal adjoint.

La gestion de la Fleur-de-Lys passe sous la responsabilité des Domaines.

La Bibliothèque municipale de Prilly et créée et inaugurée en 1984. Mme Demierre (Oriane) est engagée comme responsable de la bibliothèque jeunesse et Mme Borboen (Anne) comme responsable de la bibliothèque adulte; deux autres aides bibliothécaires sont engagées. La nouvelle bibliothèque est administrativement placée sous l’Administration générale, mais passe sous la responsabilité des Ecoles en 1985.

En 1989, Mme Barraud (Madeleine) fête ses 25 ans de service en tant que secrétaire au sein de l’Administration générale.

M. Gaudard (Alain) prend sa retraite en 1992 après 27 ans passé au poste de secrétaire municipal et chef du personnel. Il est remplacé au début de l’année 1993 par Mme Malherbe (Gladys).

En 1994, l’effectif jusqu’alors stable passe de 6 employés et 3 apprentis à 4 employés et 3 apprentis. Cette même année, le rôle d’impôt est transféré du Greffe au Contrôle des habitants.

En 1997, la Municipalité engage deux agents de police pour des tâches de responsable de l’informatique. Il s’agit d’Olivier Martin et Lionel Mayerat, à qui l’on donne la charge de transformer le système informatique communal, de remplacer le matériel obsolète et de la formation. En 1998, Olivier Martin est nommé chef du Service informatique. Ce nouveau service est administrativement dépendant de l’Administration générale.
En 2000, Mme Malherbe crée un poste d’archiviste, afin de se décharger de cette responsabilité. Mme Friedmann-Perreten (Delphine) est engagée. Son poste est réparti entre 4 communes, soit Prilly (50%), Ecublens (25%), Chavannes-près-Renens (20%) et Jouxtens-Mézery (5%), mais son contrat est établi avec la Commune de Prilly.
En 2003, les organistes des lieux de cultes et les bibliothécaires passent sous la responsabilité de l’Administration générale. L’effectif est à ce moment là de 5 employés administratifs (y.c. l’archiviste), 12 apprentis (travaillant dans tous les services de l’administration), 2 informaticiens, 3 bibliothécaires et 2 organistes.
Mme Vezzoni-Feusier (Antoinette), secrétaire municipale adjointe, prend sa retraite en 2006 ; Mme Agostini (Bianka) lui succède (2006-2010).
En 2007, Mme Malherbe (Gladys) prend sa retraite ; Mme Mojonnet (Joëlle) lui succède (2007-xxxx).
A partir de 2007, l’effectif de l’Administration générale ne tient plus compte des apprentis, il reste donc 5 employés administratifs, 2 informaticiens et 4 bibliothécaires. Les deux organistes ont rejoint les Ecoles.

En 2008, les quatre employés de l’Office de la Population (ancien Contrôle des habitants) rejoignent l’Administration générale. Cet office était auparavant attaché à la Police, mais cette dernière est devenue intercommunale en 2008 (Police de l’Ouest POL).

En 2009, l’effectif est de 5 employés administratifs, 2 informaticiens, 4 employés à l’Office de la Population et 3 bibliothécaires.

L’Administration générale déménage en 2009, en même temps que le reste de l’administration du Château vers le site de Corminjoz. En 2011, elle fait le trajet en sens inverse pour prendre possession des nouveaux locaux du Château.
Suite au départ de Mme Agostini (Bianka) en 2010, Mme Keberlé-Joyet (Christine) reprend le poste de secrétaire municipal adjointe en 2011.

Prilly - Autorités communales

  • CH - Prilly - Autorités communales
  • Collectivité
  • 1799 - nos jours

Sous l’Ancien Régime, les autorités communales sont constituée d’un gouverneur (ou seigneur) et d’une Assemblée de Commune.
L’article « Prilly » du Dictionnaire historique de la Suisse nous apprend, à ce propos, qu’ « au Moyen Age, le chapitre de Lausanne et l'abbaye de Saint-Maurice possédaient des terres à Prilly, qui relevaient de l'évêque de Lausanne. Inféodée aux chevaliers de Prilly, la seigneurie passa à Jacques de Penthéréaz, aux Colombier, Russin, Prez, Gimel, Daux puis, après la conjuration d'Isbrand Daux, aux familles Crousaz et Rosset.
Sous le régime bernois, Prilly fait partie du baillage de Lausanne et est vendue en 1729 à la Ville de Lausanne, dont le Conseil exerce la haute, moyenne et basse justice. Au niveau communal, les autorités sont alors constituées d’une Assemblée de Commune et d’un gouverneur. Son pouvoir, ainsi que celui de l’Assemblée de Commune est restreint et se cantonne à la gestion des intérêts locaux (vente de bois, de vins, de produits agricoles, nomination du taupier, etc). Le premier gouverneur dont on trouve la trace dans les Archives communales se nomme François Girardet ; il est nommé gouverneur pour une année en 1752 par l’Assemblée de Commune.
L'assemblée de commune est l’ancêtre de l’actuel Conseil communal. Dans les Archives communales, nous trouvons trace de cette assemblée dès l’année 1752. Elle nomme alors en son seing un gouverneur pour une année. Le pouvoir de cette autorité est restreint et cantonné à la gestion des intérêts locaux (vente de bois, de vins, de produits agricoles, nomination du taupier, etc). Sous l’Ancien Régime, cette autorité communale dépend directement d’une seigneurie. Selon l'article « Prilly » du Dictionnaire historique de la Suisse, la seigneurie passe entre les mains de différents seigneurs « puis est vendue en 1729 à la Ville de Lausanne, dont le Conseil exerce la haute, moyenne et basse justice. Sous le régime bernois, Prilly fait partie du baillage de Lausanne (1536-1798). »
Sous la République helvétique (1798-1803), une Municipalité est créée et présidée par un Président de Municipalité. Les municipaux et le président sont élus par les citoyens de la Commune réunis en assemblée.
Suite à l’Acte de médiation en 1803, le Président de Municipalité devient le Syndic. Il préside alors le Conseil général.
Alain Gaudard, ancien secrétaire municipal et auteur d’un ouvrage sur Prilly « Prilly, de village en ville », s’inspirant de l'étude du professeur Zwahlen intitulée «Des pouvoirs respectifs de la Municipalité et du Conseil communal», explique que la création des conseils généraux et communaux dans les communes vaudoises remonte à 1814 et qu’ils sont alors présidés par le syndic.
« L’exécutif compte pendant longtemps 7 membres, sauf de 1835 à 1853 où la Municipalité n’en compte que 5, parmi lesquels on ne s’étonne pas de trouver en quasi permanence, comme s’ils siégeaient de droit, les gros paysans de la commune comme Pahud ou Gachet. En 1897, sur proposition de Frédéric Mayor, l’effectif de la Municipalité est ramené de 7 à 5 membres, et l’on crée les dicastères selon le système connu aujourd’hui; précédemment, des délégations de trois municipaux se partageaient les divers secteurs du ménage communal, ce qui diluait les responsabilités et donnait plus d’importance à la fonction de syndic. »
En 1874, la population de Prilly dépasse pour la première fois les mille habitants ce qui implique au niveau institutionnel le passage d’un Conseil général à un Conseil communal. Avant 1874, il n’y a pas d’élection pour le Conseil général puisque tous les citoyens peuvent en faire partie. Il en va autrement avec un Conseil communal : Alain Gaudard indique que le premier procès-verbal relatif à l’élection du Conseil communal est daté du 22 mars 1874, que le Conseil communal est alors formé de vingt-cinq membres et qu’il est présidé par Charles Gachet.
Le Conseil se réunit dans une salle du vieux collège jusqu’à une date indéterminée. Depuis 1984, le Conseil communal dispose d’une salle dans le bâtiment communal de Castelmont.
Le nombre d’élus au Conseil communal suit l’évolution démographique. Toujours d’après Alain Gaudard, il y a 25 sièges en 1874 ; 50 sièges en 1885 ; 55 sièges en 1893 ; 60 sièges en 1913 ; 65 sièges en 1933 ; 70 sièges en 1953 ; 80 sièges en 1957 et 90 sièges en 1961. En 1965, les conseillers communaux sont élus au nombre de 100. La population ayant baissé depuis, le nombre de conseillers communaux descend à 85 en 1993 et à 75 depuis 2006.
De 1982 à 1998, la droite (radicaux, libéraux, PDC) est majoritaire et détient environ 60% des sièges du Conseil communal. Les choses changent en 2002, lorsque la gauche (Parti socialiste, Verts et POP & Gauche en mouvement) décroche 47% des sièges. La gauche dépasse même la droite (radicaux, libéraux, PDC puis depuis peu UDC) en 2006 avec 51% des sièges avant de redevenir minoritaire en 2011 avec 48% des sièges.

Prilly - Office de la population OPO

  • CH - Prilly - Office de la population
  • Collectivité
  • 1961-actuel

En 1953, les fonctions de la police sont définies ainsi:
Fonctions principales: police des étrangers; contrôle des habitants; tenue du registre civique; surveillance de l'office communal des alcools; protection du travail; désinfections; services funèbres; patrouilles de surveillance; police de la circulation; fermeture des établissements publics; contrôle des bulletins d'hôtels.

En 1961, la Commune engage, à la Police, deux employés civils chargés du Contrôle des Habitants et du Bureau des étrangers. En 1963, M. Vaudroz (Robert) est promu chef du Bureau des étrangers et du Contrôle des Habitants, tandis qu'un 3ème employé civil est engagé. A partir de 1964, les activités du Contrôle des Habitants sont présentées indépendamment de celles du Service de Police dans le rapport de gestion; mais dès 1967, le Contrôle est à nouveau sous la rubrique "Police". Dès 1970, 4 personnes travaillent au Contrôle des Habitants.
En 1994, le Contrôle des Habitants passe au dicastère de l'Administration générale, mais reste administrativement au niveau de la Police.
En 2000, suite au départ de M. Sahli (Ernest), un nouveau chef d'office est engagé en la personne de M. Chiaradia (Jean-Marie).
En 2002, le Contrôle des Habitants et Bureau des étrangers est rebaptisé "Office de la Population (OPO)".

Prilly - Police communale

  • CH - Prilly - Police communale
  • Collectivité
  • 1898-2007

En 1898, la Municipalité demande au Conseil l'autorisation d'engager un policier communal. Ses tâches sont définies comme suit: « Entretien des chemins, surveillance et nettoyage des fontaines, surveillance du pressoir et des pulvérisateurs, surveillance du taupier et du ramassage des hannetons, registre des étrangers, surveillance des ouvriers, divers ».
M. Mignot (Emile) est choisi pour remplir ce rôle. Dès 1900, il est employé à plein temps.
En 1910, création d'un poste de sous-agent à temps partiel. M. Müller (Louis), concierge du collège, est engagé à ce poste.
En 1925, projet de création d'un second poste d'agent de police et décès de M. Mignot.
En 1942, on trouve M. Huber (Willy) au poste de brigadier de police et M. Girardet au poste d'agent de police.
Un 3ème poste d'agent de police est créé en 1943. Nomination de M. Duruz (Edouard) en 1944, agent de police à Morges, qui entre en fonction le 01.02.1944. Dès le mois de mai 1944, le bureau de police est ouvert aux heures suivantes: 9-12h / 15-19h.
En mai 1954, entrée en fonction de M. Durussel (Arthur), agent de police.
Le 1er janvier 1956, le brigadier Hubert (Willy) est nommé commissaire.
En 1960, suite à la démission de M. Girardet, la Commune projette l'engagement de 2 employés civils pour le bureau des étrangers et contrôle des habitants.. M. Vaudoz (Robert), appointé de police à Aigle, est nommé agent de police dès le 01.02.1961. En juin 1961, engagement de M. Guignard (Alfred), agent de police.
(...)
En 2008, d'importants changements interviennent dans l'organisation du Corps de police, avec la mutualisation des forces de police entre les communes d'Ecublens, Prilly, Renens, Crissier, Bussigny, Chavannes-près-Renens, St-Sulpice et Villars-Ste-Croix (POL - Police Ouest Lausannois). A la création de la POL, la direction se trouve à Renens.
Fin 2013, la POL déménage sur le territoire prilléran. Certains bureaux restés à Prilly rejoignent les bureaux de l'Etat major.
Certaines tâches, telles que la gestion des places de parc (ou gestion des macarons), les objets trouvés et les inhumations, qui étaient restées entre les mains de la police à Prilly sont transmises à la Commune.

Prilly - Service de l'Urbanisme

  • CH - Prilly - Service de l'urbanisme et constructions
  • Collectivité
  • 1991-nos jours

Les tâches du Service de l'urbanisme ont été longtemps assumées par l'Administration générale, puis transférées en 1951 au Service technique nouvellement créé.
A partir du 1er janvier 1991, le Service technique (ou Service des Travaux) est divisé en deux services:

  1. Le Service des travaux se concentre dorénavant sur les routes, l’assainissement (collecteurs) et les espaces verts. Il est constitué d’un bureau administratif et d’une équipe des travaux/voirie. A sa tête est nommé M. Chollet (Jacques).
  2. Un Service de l'Urbanisme et des constructions est créé, qui reprend à sa charge la police des constructions, l'aménagement du territoire et la surveillance des constructions communales, fonctions jusqu’alors accomplies par le Service des travaux.
    Claude Pache prend pendant quelques mois la direction du Service de l’urbanisme et des constructions avant de prendre sa retraite au printemps 1991, après plus de 40 ans passé au Service des travaux.
    M. Hassler (Patrick) est alors engagé pour reprendre la tête de ce nouveau service; l'équipe est formée du chef de service, d'un adjoint technique et d'une secrétaire.
    Ce n'est qu'à partir de 2001 que le service commence à augmenter ses effectifs, avec l'engagement d'une nouvelle adjointe technique, Mme Piguet (Anne-Marie).
    En 2007, engagement d'une ingénieure-architecte, Mme Maze (Sandrine) et en 2010, M. Zahnd (Jean-Pierre) est remplacé suite à son départ à la retraite par M. Wenger (Yann).
    En 2011, engagement de Mme Glatt (Elise) géographe, qui travaille à la fois pour le Service de l'Urbanisme et le Service des Travaux.
    En 2012, démission de Mme Piguet, qui est aussitôt remplacée par Mme Bouamrirene Ould-Henia (Amina), architecte.

Prilly - Service des Domaines et Bâtiments

  • CH - Prilly - Service des Domaines, bâtiments et énergie
  • Collectivité
  • 1976-nos jours

La Commune de Prilly, dès sa création en 1803, a eu notamment la responsabilité de gérer les terrains, bâtiments et autres possessions communales. Au XIXème et XXème siècle la Commune a mené de nombreuses opérations d’achats, de ventes et d’échanges de terrains au gré des besoins communaux, en infrastructures notamment. C’est ainsi que la Commune a accru ses possessions pour accueillir des écoles, des bâtiments administratifs et des immeubles à loyers modérés.
Les tâches liées à cette activité de gestion des possessions communales sont nombreuses : achats, ventes, entretien et gestion des terrains ; entretien et exploitation des forêts et vignes ; entretien, gestion et rénovation des bâtiments locatifs, administratifs, scolaires et des lieux de cultes ; entretien et gestion des installations sportives, terrains de jeux et piscines. Ces différentes tâches sont aujourd’hui sous la responsabilité du Service des Domaines & Bâtiments, mais il n’en a pas toujours été ainsi. Ce service n’existe concrètement que depuis les années 1970, avant cela ces tâches étaient partagées entre l’Administration générale, le municipal en charges des Domaines et les différents concierges des bâtiments communaux.
Les premiers concierges dont il est fait mention dans les rapports d’activité de la Commune sont ceux du Collège-Centre, le plus grand bâtiment communal de l’époque, construit en 1908. Il s’agit notamment de M. Müller (Louis), ancien agent de police, et M. Rochat.
Le nombre des concierges évolue en fonction des constructions communales. En 1959, il y a 3 concierges pour les bâtiments scolaires et lieux de cultes et 1 pour les locaux administratifs. En 1969, il y a 8 concierges pour les bâtiments scolaires, 2 pour les lieux de culte et 1 pour les locaux administratifs.
Au début de 1970, lors du changement de législature, un employé administratif chargé de la section des bâtiments et domaines est engagé. Il s’agit de M. Hautier (Maurice) qui assume également le secrétariat de la Protection Civile. La section des bâtiments et domaines est à ce moment regroupée avec la section des œuvres sociales dans le dicastère des Domaines et Oeuvres sociales. Mais seuls les deux concierges de la colonie de vacances de Plan-Sépey sont administrativement rattachés à cette nouvelle section ; les concierges de bâtiments scolaires sont sous la responsabilité du municipal des Ecoles et les concierges de locaux administratifs sont sous la responsabilité du Greffe.
En 1972, les deux concierges de Plan-Sépey sont rattachés aux Ecoles. Dans le même temps M. Hautier (Maurice) s’en va et est remplacé par M. Bettens (Claude) ; lui-même remplacé en 1974 par M. Pointet (Jean-François). Ce dernier occupe la double fonction de secrétaire municipal adjoint et responsable de la section des bâtiments et domaines.
La séparation d’avec les Œuvres sociales intervient en 1976, avec la création du Service des Domaines et Bâtiments, qui compte alors deux employés administratifs ; Mme Pernet (Christiane), secrétaire nouvellement engagée et M. Pointet (Jean-François), chef de service. Le nouveau service a également sous sa responsabilité deux employés de la nouvelle Piscine de la Fleur-de-Lys, ainsi que l’animateur du Centre de loisirs.
En 1977, le Centre de loisirs se dote d’un concierge, aussi rattaché au Service des Domaines et Bâtiments. Les concierges des autres bâtiments communaux, non rattachés au service, sont alors au nombre de 15.
En 1980, le concierge et l’animateur du Centre de loisirs passent sous la responsabilité du Service de la Sécurité sociale.
En 1981, vu la surcharge de l’administration, la Municipalité décide de séparer les fonctions de secrétaire municipal adjoint et de chef du Service des Domaines et Bâtiments. M. Pointet doit choisir et opte finalement pour la fonction de chef de service. Il est secondé par Mme Rime (Marianne), secrétaire, qui remplace Mme Pernet (Christine). A deux, ils constituent le personnel administratif du service. Dans le même temps, tous les concierges sont regroupés et placés sous l’autorité du Service des Domaines et Bâtiments. L’effectif complet des concierges des bâtiments communaux et des gardiens de piscine est alors de 28.
En 1981 toujours, le service perd la gestion de l’exploitation de la Piscine qui passe sous la responsabilité de l’Administration générale, mais garde les gardiens de piscine.
En 1987, le service compte 3 employés administratifs, 22 concierges et 4 gardiens de piscines.
Mme Rime (Marianne) quitte son poste en 1989 et est remplacée par Mme Fiadeiro (Anne Isabelle).
L’animateur de Plan Sépey passe en 1990 des Ecoles aux Domaines et Bâtiments.
En 1992, M. Gilliard (Jean-Luc) est nommé suppléant au chef de service.
En 2000, le service compte encore 3 employés administratifs, mais aussi 24 concierges, 2 gardiens de piscines et 1 animateur à Plan-Sépey.
M. Pointet (Jean-François)décède en 2007. Une fusion avec le Service des Travaux, sous la direction de M. Coquerand (Philippe) est alors tentée. L’idée étant de créer un grand Service des Travaux et des Domaines. Peu concluante, cette expérience est abandonnée après peu de temps. M. Fernandez (Yvan), déjà en poste au service des Domaines et Bâtiments, est nommé chef du service des Domaines, Bâtiments et Gérances.
En 2008, les concierges des bâtiments scolaires et des lieux de cultes repassent sous la direction des Ecoles et des Cultes, mais restent hiérarchiquement rattachés au Service des Domaines.
Mme Eggler (Maria-Caridad) est engagée comme secrétaire en 2008. Un collaborateur spécialisé dans la gestion de l'énergie est engagé en 2009, M. Jequier (Colin).

Prilly - Bourse communale

  • CH - Prilly - Service des Finances
  • Collectivité
  • 1944-nos jours

Durant le 19ème siècle et jusqu’au début du 20ème siècle, la fonction de boursier communal, comme la plupart des autres fonctions administratives, était assumée par des titulaires en plus de leurs activités professionnelles courantes. Parmi ceux-ci nous pouvons citer M. Vuagniaux (Daniel) entre 1868 et env.1898), M. Rouffy en 1910, M. Barbey en 1913 et M. Magnin (Fernand) entre 1924 et 1944.
Comme les municipaux à l’époque, le boursier exerce cette fonction en plus d’une activité professionnelle. Ses heures de réception en témoignent : en 1934, par exemple, il reçoit les lundis et jeudis de 19 heures à 21 heures et les samedis de 14 heures à 16 heures.
En 1944, après 20 ans d'activité, M. Magnin (Fernand) démissionne. Il est remplacé la même année par M. Joss (Georges), qui devient le premier boursier communal nommé à titre permanent.
En 1948, le nouveau statut du personnel de la Commune de Prilly confirme la création d’un poste de boursier communal permanent.
Pendant longtemps, le boursier communal travaille seul et fait appel au personnel du Greffe pour l’appuyer dans sa tâche. Il consacre également une partie de son temps à l’Office du travail. Il faut attendre 1966 pour que la Bourse augmente son effectif : Mme Turrian (Rosette) est alors nommée cheffe du service comptable, dans le but de seconder le boursier ; une sténo-dactylographe est engagée en tant que collaboratrice régulière, en la personne de Mme Steiner (Josiane).
A cette même période, le boursier, en plus de ses activités normales, se voit confier petit à petit diverses responsabilités : il consacre une partie de son temps aux Œuvres sociales, devient délégué à la commission d'impôt et caissier du service dentaire scolaire.
Au cours de ses dernières années à la Commune, M. Joss consacre une part toujours plus grande de son activité au secteur social, tandis que la plupart des tâches de la bourse sont assurées par le service comptable (tenu par Mme Turrian). En 1979, après 35 ans de service, M. Joss prend sa retraite.
A son départ, la Municipalité clarifie les tâches de la Bourse et les recentre sur les activités comptables. Elle nomme une caissière en la personne de Mme Bonzon (Micheline), jusque là employée au service comptable, et le titre de boursière communale, au sens des dispositions légales, est donné à Mme Turrian (Rosette). Enfin, les activités de M. Joss dans le domaine social sont reprises par un nouveau fonctionnaire, rattaché au service des assurances sociales.
Peu de changements interviennent au cours des décennies suivantes : Mme Turrian (Rosette) part à la retraite en 1991. M. Cavin (Daniel) lui succéde. Actif jusqu’en 2007, il est alors remplacé par M. Divorne (Pierre-Michel).

Prilly - Service des Travaux

  • CH - Prilly - Service des Travaux
  • Collectivité
  • 1951-nos jours

Durant le XIXème siècle et jusqu’au premier tiers du XXe siècle, la plupart des activités liées aux travaux publics étaient assumées par la Municipalité elle-même ou par le Greffe. L’exécution des travaux était systématiquement confiée à des privés.

Le développement de Prilly et la multiplication des routes et chemins justifièrent, en 1934, l’emploi à titre permanent d’un pionnier (cantonnier) communal. Il s’agit du premier poste permanent lié aux travaux publics. Les premiers pionniers (ou cantonniers) se nomment M. Danthe (1936) et Félix Maurer (1944).

En 1951, la Commune crée un bureau technique dans le bâtiment administratif du Château et engage Claude Pache en tant que technicien communal. Ce dernier est responsable tant des aspects techniques des travaux d’entretien et de constructions que de la police des constructions et de l’urbanisme. Il est alors le seul employé administratif du bureau technique et est administrativement séparé du pionnier communal, mais cette organisation ne va pas durer.

Rapidement le bureau technique grandit et recrute un dessinateur et un(e) sténo-dactylographe. De même, une équipe se constitue autour du pionnier communal, désormais accompagné d’un piqueur et de trois ouvriers : la première « équipe des travaux ». C’est à ce moment là, notamment, que Roger Resin est engagé.

Au cours des années 50, un véritable Service des travaux est créé. Il regroupe, sous la direction de Claude Pache, d’une part, le bureau technique (aussi appelé service technique) avec un secrétariat et, d’autre part, l’équipe des travaux, comprenant le personnel ouvrier.

Dans les années 60, l’effectif croît rapidement et s’adapte au développement urbain de Prilly. La partie administrative (secrétariat et bureau technique) emploie entre 4 et 6 personnes, tandis que l’effectif de l’équipe des travaux varie entre 17 et 21 employés. La fonction de pionnier communal disparaît et le personnel se constitue désormais d’ouvriers et de jardiniers.

En 1972, Jean-Jacques Chollet, ingénieur, et Pierre-Alain Cerise sont engagés au bureau technique.

En 1983, l’équipe des travaux est divisée en trois sous-équipes. La première équipe, sous la direction de Jean-Pierre Diserens, se charge des routes. La deuxième, dirigée par Charles Gavin, s’occupe des parcs et promenades. La troisième, dirigée par Charles Gavin, est chargée de l’entretien des cimetières et piscines ainsi que de la coordination générale. En sus de ces tâches principales, les trois sous-équipes participent à l’organisation de diverses manifestations, au transport du mobilier scolaire, à l’entretien des forêts et aux réparations intérieures et extérieures des bâtiments communaux.

En 1987, Jean-Luc Gilliard est engagé comme collaborateur technique et en 1988 Jacques Chollet est nommé adjoint du chef du Service des travaux, Claude Pache.

Dès le 1er janvier 1991, le Service des travaux est divisé en deux nouveaux services. Le Service des travaux reste, mais se concentre dorénavant sur les routes, l’assainissement (collecteurs) et les espaces verts. Il est constitué d’un bureau administratif et d’une équipe des travaux. La nouveauté réside dans la création d’un Service de l'urbanisme et des constructions, qui reprend à sa charge la police des constructions, l'aménagement du territoire et la surveillance des constructions communales, fonctions jusqu’alors accomplies par le Service des travaux.

Le nouveau service des Travaux est dirigé par M. Jacques Chollet. Claude Pache, quant à lui, prend pendant quelques mois la direction du Service de l’urbanisme et des constructions avant de prendre sa retraite au printemps 1991, après plus de 40 ans passé au Service des travaux.

L’effectif reste grosso modo le même (21 employés en 1991), l’engagement de nouveaux employés compensant les transferts au Service de l’urbanisme et des constructions.

En 2007, Jacques Chollet quitte son poste et un nouveau chef de service est nommé en la personne de Philippe Coquerand. Ce dernier prend également la direction du Service des domaines, bâtiments et gérances, l’idée étant alors de créer un grand Service des travaux et des domaines. Peu concluante, cette expérience est abandonnée après peu de temps. M. Philippe Coquerand, engagé au départ comme chef de ce nouveau super-service, devient alors chef du seul Service des Travaux, tandis que le Service des Domaines, Bâtiments et Gérances regagne son autonomie.

Rotary Club Pully

  • CH - Pully
  • Collectivité
  • 1977 - nos jours

Musée de Pully

  • CH - Pully
  • Collectivité
  • 1946 - nos jours

Pully - Commune

  • CH - Pully
  • Collectivité
  • 1328 - nos jours

Paroisse de Pully

  • CH - Pully
  • Collectivité
  • 1610 - nos jours

Journal de Pully

  • CH - Pully
  • Collectivité
  • 1930 - 1992

Il fut remplacé par le journal "Le Régional" en 1995.

SIC - Société industrielle et commerciale de Prilly et environs

  • CH - SIC Prilly et environs
  • Collectivité
  • 06.09.1984-2015

La Société Industrielle et Commerciale de Prllly et Environs (SIC) fut fondée lors d'une assemblée constitutive le 6 septembre 1984 à Castelmont. Dans le cadre de ses statuts, elle déploie ses activités dans la défense et le développement de l'économie régionale dans un environnement en constante mutation.
Cette nouvelle société résulta de la fusion de deux associations préexistantes. La première, appelée Association des Commerçants de Prilly (ACP), avait été créée le 17 octobre 1937. Elle s'agrandit dès 1944 en intégrant de nouveaux membres artisans et se nomma dès lors ACAP. Quant à la seconde, appelée Société des Intérêts de Prilly (SIP), elle avait été fondée en 1979.

​Au fil des années, l'expérience avait démontré les limites de la coexistence des deux anciens groupements ayant des buts similaires, d'où la nécessité d'une entente en vue de la formation d'une seule société plus représentative de la complémentarité des branches d'activité. Cette réunion de toutes les synergies, qui répondait aussi aux vœux des Autorités communales, permit de coordonner les efforts fournis pour défendre avec conviction les intérêts communs des membres et consolider leur rôle d'acteur économique.
​Dès lors, les patrons des diverses PME de l'artisanat, du commerce, de l'industrie et des professions libérales devinrent des interlocuteurs reconnus dans les négociations sur les sujets qui touchent l'économie. De plus ils bénéficient aussi du service d'information de la Fédération Patronale Vaudoise, de ses publications, de son expérience et des nombreux autres services spécialisés de cette importante organisation faîtière vaudoise qui regroupe les « SIC » du canton.

Service intercommunal de protection civile Prilly - Jouxtens-Mézery

  • CH - Service intercommunal PC Prilly - Jouxtens-Mézery
  • Collectivité
  • 1981-1997

Service intercommunal de protection civile créé conjointement entre les communes de Prilly et Jouxtens-Mézery par le biais d'une convention provisoire (1981) puis définitive (1983), en vue de renforcer l'efficacité de la protection civile et d'assurer l'utilisation optimale de ses moyens.

Société coopérative de la Piscine de Prilly

  • CH - Société coopérative de la piscine de Prilly
  • Collectivité
  • 1966-1982

16 juin 1966: Assemblée constitutive de la Société coopérative de la piscine de Prilly. Paul Mermoud en devient le président. Cette société a pour but de construire et exploiter avec l'aide de la Commune de Prilly, une piscine avec locaux annexes.
La société compte 10 administrateurs: Mermoud (Paul), président; Nicollier (Jean-Pierre), vice président; Zollinger (Jean-Pierre), secrétaire; Dupont (Albert), caissier; Baier (William); Clavel (Agénor); Gely (Marcel); Monod (Henri); Perrin (Marcel); Rochat (Paul).
Les statuts de la Société coopérative sont approuvés par l'assemblée constitutive en date du 15 juin 1966.
La société ouvre une souscription, mais ne remporte que peu de succès. le capital social devait se monter à 500'000 francs. Il n'est toutefois au départ que de 111'500 francs; la moins-value doit être couverte par un prêt de la Commune, à hauteur de 400'000 francs, sans intérêt ni amortissement.
Il faut y ajouter une contribution de l'Etat de Vaud et du Sport-Toto de 500'000 francs, ainsi qu'un emprunt de 1'500'000 francs.
Le 13 juin 1970, la piscine de la Fleur-de-Lys est inaugurée.
Mais les difficultés financières se multiplient et si 3 motions proposent des modifications de régime pour assainir la situation, la Municipalité, en accord avec le Comité, propose finalement la reprise des actifs et des passifs de la Société coopérative par la Commune. C'est accepté en date du 22 novembre 1982, date de la dissolution de la Société coopérative.
Depuis lors, la piscine de la Fleur-de-Lys est en mains communales.

Société de jeunesse de Jouxtens-Mézery

  • CH - Société de Jeunesse de Jouxtens-Mézery
  • Collectivité
  • 1884 - (date inconnue)

Société fondée le 2 février 1884 à Jouxtens-Mézery par quelques jeunes gens de la localité.
Le 7 février 1884, nomination d'un comité:
E. Gaudard, président; J. Grin, vice-président; J. Blanchard, secrétaire; L. Bourgeois, boursier; E. Schopfer, huissier.

Société de secours des ouvriers

  • CH - Société de secours des ouvriers
  • Collectivité
  • 1779 - à nos jours

Société dont l'origine remonte à 1779, année où le potier Ingold et le cordonnier Laubscher créent un fonds de secours pour les ouvriers et compagnons allemands tous métiers confondus. Ce fonds alimenté par les patrons, les compagnons et les ouvriers devait éviter que les malades ne tombent à la charge des entreprises ou de l'hôpital.
En 1873, la compagnie s'appelle Société de secours mutuels en faveur des ouvriers malades résidant à Yverdon. En contrepartie d'une finance d'entrée de 5 francs et d'une cotisation mensuelle d'1 franc, les sociétaires malades reçoivent pendant 3 mois et demi un franc par jour et le remboursement des frais de médecin et de pharmacie.
La société devient Société de secours des Ouvriers au début du 20e siècle. Les derniers membres entrent en 1950, le développement des assurances maladie la rendant de moins en moins nécessaire. Elle est transformée en amicale et renonce en 1990 au versement de l'indemnité (Bonjour, décembre 2006)

TOP Editions Sàrl

  • CH - TOP Editions Sàrl
  • Collectivité
  • 1997-2009

Maison d'édition basée à Prilly, créée et dirigée par M. Ruckstuhl (Philippe).

Union instrumentale de Prilly

  • CH - Union instrumentale de Prilly
  • Collectivité
  • 1909-nos jours

1899: Quelques musiciens, unis par la même passion, se regroupent
1902: Ces musiciens choisissent une appellation pour leur groupe, ce sera l' « Echo de la Fleur-de-Lys »
1909: Cet ensemble donne naissance à l’Union Instrumentale de Prilly.

1910: Premier drapeau.
1937: Nouveau drapeau pour la première fois escorté, lors des défilés, par deux mascottes (fille et garçon).
1959: Célébration du cinquantenaire avec la participation du corps-de-musique de Landwehr de Genève. L’union Instrumentale est reconnue « Fanfare Municipale » par les autorités.
1961: Organisation du Giron des musiques de la Côte-est.
1962: Nouveau drapeau.
1963: Renouvellement des uniformes.
1964: Défilé à travers Lausanne à l’occasion d’Expo 64 .
1967: Organisation de la Fête cantonale des musiques vaudoises.
1973: Organisation du Giron des musiques de la Côte-est.
1976: Nouvel uniforme / Création d’’un groupe de majorettes, issu de la Gym féminine de Prilly, qui défile avec les musiciens.
1980: Organisation du 54 e Giron des musiques de la Côte-est.
1991: Remplacement des uniformes à l’occasion du 700 e de la Confédération.
1993: Organisation du 66 e Giron des Musiques de la Côte-est / Déplacement dans la région de Saint-Gall pour participer à l’Herbstfest organisée par la Musikgesellschaft de Niederwil.
1994: Inauguration du drapeau actuel.
1999: Déplacement dans la jolie ville allemande d’Esslingen pour y donner un concert en collaboration avec la Musikverein Wäldenbronn e.V
2002: Participation à la journée vaudoise Expo 02 à Yverdon.
2003: Organisation du 75 e Giron des Musiques de la Côte-est / Participation au concours cantonal à Gland.
2006: Participation à la Fête fédérale des musiques à Lucerne.
2009: Inauguration d'un nouvel uniforme lors de la célébration des 100 ans de la société.

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