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Personnes, familles, organisations

Renens - Commune

  • 1020 Renens, Vaud, Suisse
  • Collectivité
  • Mentionné dès le 9e siècle sous la forme villa Runingis

ASIGOS

  • CH - ASIGOS
  • Collectivité
  • 2002-2016

Sous l’empire de la Loi scolaire de 1984, en vigueur depuis 1986, les Communes de Bournens, Boussens,
Cheseaux-sur-Lausanne, Jouxtens-Mézery, Prilly, Romanel-sur-Lausanne et Sullens ont constitué une
entente intercommunale, gérée par les Municipaux des écoles desdites communes, afin de mettre en
commun les ressources nécessitées par la voie baccalauréat; les élèves concernés ont été scolarisés dans
l’établissement secondaire de Prilly, qui existait depuis 1974.
Cette structure a fonctionné jusqu’en 2002, date à laquelle les sept communes ont décidé de la remplacer
par une association intercommunale, plus démocratique parce que comportant, outre le Comité de
direction, toujours formé des Municipaux en charge du domaine scolaire, un Conseil intercommunal
composé de Conseillers communaux, élus suivant une proportion atténuée (en faveur des plus petites
communes) de la population des collectivités membres; elles se trouvaient en outre à la veille de gros
travaux d’extension des locaux d’enseignement, commandés par l’évolution démographique, et la nouvelle
structure était plus adéquate pour décider, cofinancer et suivre cette phase de construction, puis, à terme,
pour en acquérir la propriété.

Abbaye d'Yverdon

  • CH - Abbaye d'Yverdon
  • Collectivité
  • 1819 - à nos jours

Abbaye de Prilly

  • CH - Abbaye de Prilly
  • Collectivité
  • 1875 - aujourd'hui

1810: Fêtes à intervalles plus ou moins réguliers, sans mention d'une société organisée avec des statuts.
1875: Date officielle de la naissance de l'Abbaye de Prilly.
1896-1900: Cette société prend forme juridiquement.
1904: 1er drapeau
1937: Proposition de fusion entre l'Abbaye des Travailleurs et celle de l'Union.
1949: Aboutissement d'une étude sur la proposition de fusion.
12.11.1949: une assemblée générale qui réunit 87 membres des deux sociétés adopte les nouveaux statuts de la nouvelle société.
1980: inauguration d'une nouvelle bannière.
1975: l'Abbaye fête son centenaire.
2000: Festivités pour le 125ème anniversaire.

Amaudruz (Willy)

  • CH - Amaudruz (Willy)
  • Personne
  • 1928 - 2011

M. Amaudruz s'est beaucoup intéressé à l'histoire de Prilly et, dans ce cadre, a rédigé un ouvrage sur Prilly (A l'ombre d'un tilleul), en collaboration avec M. Schertenleib. Il a collectionné un grand nombre d'articles, d'archives et documents divers au sujet de l'histoire locale.

Association de la Broquine

  • CH - Association de la Broquine
  • Collectivité
  • 1975 - 2015

La bibliothèque enfantine La Broquine, située dès ses débuts dans le bâtiment de l’Ancienne Poste 4, est durant de nombreuses années gérée par une association fondée en 1975. Les différentes tâches liées au fonctionnement de la bibliothèque sont essentiellement assumées par des bénévoles, supervisés par le comité de l’association réparti en groupes de travail. Une première bibliothécaire à mi-temps est engagée en 1987. En 2015, l'association est dissolue et la Broquine est communalisée et intégrée à la Bibliothèque publique d’Yverdon, une action proposée par la commune, qui a été votée et approuvée en assemblée de l’association.

Association des commerçants de Prilly

  • CH - Association des commerçants de Prilly
  • Collectivité
  • 1937-1944

1937: naissance de l'Association des commerçants de Prilly (ACP)
1944: l'Association se transforme en ACAP, après avoir accueilli des artisans en son sein.
1979: disparition de l'ACAP et de la Société des intérêts de Prilly (SIP) au profit d'une nouvelle association, la Société Industrielle et Commerciale de Prilly et Environs (SIC)

Association des orgues

  • CH - Association des orgues
  • Collectivité

association constituée pour l'acquisition de nouvelles orgues au temple d'Yverdon

Association du Bâtiment de l'Etoile

  • CH - Association du Bâtiment de l'Etoile
  • Collectivité
  • 1901- à nos jours

L’Association du Bâtiment de l’Etoile naît de la volonté de trois entités yverdonnoises de se réunir sous un même toit. Initié en 1895, ce rapprochement entre l’Union Chrétienne des Jeunes Garçons (UCJG), l’Union Chrétienne des Jeunes Filles (UCJF) et la Croix-Bleue est acté le 11 octobre 1900 lors de la signature des statuts de la société de l’Etoile. Ces trois entités se regroupent tout d’abord sous le nom de Société Immobilière de l’Etoile pour ensuite devenir l’Association du bâtiment de l’Etoile en novembre 1970. Le comité de l’Etoile se compose de trois membres (président, secrétaire, caissier) qui doivent être issus des sociétés propriétaires.
Après une tentative d’achat avortée qui occupe les premières années d’existence de La Société Immobilière de l’Etoile, l’assemblée approuve en 1920 l’achat de l’immeuble de la rue du Four 21 qui sera détruit et où sera érigé le bâtiment actuel de l’Etoile. Celui-ci, construit sous la direction de l’architecte Oberhänsli, mettra moins de deux ans à sortir de terre et est inauguré le dimanche 18 juin 1922.
Les années qui suivirent vont progressivement voir le nombre de location des salles du bâtiment augmenter tout comme le nombre de membres des sociétés y résidant. C’est pourquoi, en 1932, dans un souci de garder ces locataires, l’Etoile entreprend la jonction entre deux salles via la destruction du mur les séparant et avec la construction d’une paroi mobile.
Durant les années de guerre, certaines salles du bâtiment sont réquisitionnées par l’armée impliquant un manque à gagner. De plus, les restrictions d’utilisation du gaz et la difficulté à trouver de quoi alimenter les thé-vente grève un peu les finances de l’Etoile.
Entre septembre 1950 et mai 1951, la section yverdonnoise de l’Union Chrétienne des Jeunes Filles est dissoute faute de membres suffisants, impliquant que les obligations inhérentes à ce copropriétaire historique et locataire ne sont plus remplies. Les conséquences seront toutefois minimes car la section locale de UCJF se reforme rapidement.
Dans les années 1970, de grands travaux de rajeunissement sont entrepris peu avant la célébration des 50 ans du bâtiment de l’Etoile (1972). Depuis cet anniversaire, l’Association a ponctuellement fait des travaux plus ou moins conséquents, dont une rénovation complète en 2005, afin d’entretenir et de rénover les salles misent à la location.

Auberge de la Fleur-de-Lys

  • CH - Auberge de la Fleur-de-Lys Prilly
  • Collectivité
  • 1974-aujourd'hui

1974: Ouverture de l'Auberge de la Fleur-de-Lys par M. et Mme Rochat (Paul et Yvonne).
xxxx: Reprise du restaurant familial par Rochat (Daniel et Mireille).
2009: Reprise de la cuisine par Rochat (Stéphane), fils de Daniel et Mireille.

Billard Club Ouest Lausannois BOL

  • CH - BOL
  • Collectivité
  • 1942-2012

Assemblée constitutive du Billard-Club Renens à l'Hôtel de la Gare, en date du 27.03.1942. Le club se réunit à Renens entre 1942 et 2012. Le procès-verbal du 16.01.2012 précise que le Billard-Club Renens va déménager à Ecublens et changer de nom, pour devenir le Billard de l'Ouest Lausannois BOL.

Bertschy (Claude)

  • CH - Bertschy (Claude)
  • Personne
  • non documenté

Billard Club Prilly

  • CH - Billard Club Prilly
  • Collectivité
  • 1981-2012

1981: fondation du club de billard à Prilly, suite à la fusion des clubs de Prélaz-Ouest Prilly et Lausanne-Billard-Club.
2012: fusion avec le club de Renens, sous le nom de Billard Ouest Lausannois (BOL) dont le siège est à Ecublens.

Blonay - Commune

  • CH - Blonay
  • Collectivité
  • 1184 - nos jours

Comm. VD, distr. de Vevey dès 1798, comprenant B. (villages de Tercier et Cojonnex devenus quartiers de B.) et plusieurs hameaux (dont Les Chevalleyres), s'étageant de 500 m env. à 1400 m env. (Pléiades). Elle tire son nom de la famille de B. 861 Blodennaco, 1108 Bloniaco, XIIIe s. Blonay, Blonai, Blunai. 1244 hab. en 1764 (avec Saint-Légier), 800 en 1798, 832 en 1850, 1048 en 1900, 1351 en 1950, 4695 en 2000. Pierre à cupules, nécropole et vestiges préhistoriques. B. faisait partie de la seigneurie du même nom qui regroupait, à la fin du XIIe s., la terre de B., celles de Saint-Légier-La Chiésaz, de Corsier et de Vevey, mais qui sera divisée à plusieurs reprises (Saint-Légier-La Chiésaz échangé en 1363, racheté à la fin du XVIe s., puis passant par mariage aux Joffrey). En 1750, à la suite de difficultés financières, la seigneurie de B. fut vendue à Emanuel Franz Rudolf von Graffenried. Les seigneurs de B. eurent jusqu'en 1798 le droit de basse, moyenne et haute justice (le gibet est visible sur un plan de 1671), les droits de dîme, péage, chasse et pêche. Sous le régime bernois (1536-1798), B. fit partie du bailliage de Vevey. La communauté (affranchie de la taille en 1478 seulement) était administrée au XVIIIe s. par deux conseils (des Douze et des Vingt-Quatre). A la fin du XVIIIe s., B. était la commune la plus rurale du bailliage de Vevey. Le 76% de sa population dépendait du secteur primaire (viticulture, céréaliculture, élevage). A l'aube du XXe s., l'agriculture restait encore l'occupation principale de la population. Les Bains-de-l'Alliaz exploitèrent au XIXe s. une source sulfureuse. Le développement de B. fut favorisé par le chemin de fer Vevey-B.-Chamby, inauguré en 1902, et par la crémaillère B.-Les Pléiades, en fonction dès 1911. L'activité de B. suivit l'évolution économique du district, dépendante de l'essor du tourisme régional d'avant la Première Guerre mondiale. A la fin du XXe s., B. conserve un secteur agricole et viticole, mais la majorité de la population est active dans les secteurs secondaire et tertiaire, occupée surtout hors de la commune. Plan de zones de 1970 remanié en 1976. B. mise sur l'accueil de petites entreprises du tertiaire, le tourisme familial (ski et ski de fond aux Pléiades, remise en fonction de la ligne B.-Chamby en 1998, abandonnée durant les années 1960).
Elisabeth Salvi, "Blonay", in Dictionnaire historique de la Suisse, , URL: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F2612.php^, version du 18/06/2007 .

Bobst SA

  • CH - Bobst SA
  • Collectivité
  • 1890-nos jours

CIGM - Centre intercommunal de glace de Malley

  • CH - CIGM
  • Collectivité
  • 1981-2016

En 1981, au vu de l’essor des sports de glace et conscientes d’un manque dans le paysage sportif vaudois, les Communes de Prilly, Renens et Lausanne ont décidé de s’unir afin de réaliser le Centre Intercommunal de Glace de Malley S.A. (CIGM).

Le CIGM a toujours tenu compte à la fois des souhaits des utilisateurs privés et de ceux des clubs de patinage et hockey-sur-glace et des écoles.

Ce projet d’envergure, devenu depuis un pôle incontournable des activités sur glace et organisation de manifestations en Suisse romande a été inauguré en 1984. Il comprenait en ce temps-là une patinoire couverte et deux patinoires extérieures exploitées en hiver, et huit courts de tennis exploités en été.

Evolution depuis 1984

Puis le site s’est modifié au fil des années pour rester en adéquation avec l’évolution des tendances. Il comporte à ce jour une patinoire à ciel ouvert et deux patinoires intérieures, transformables en salles omnisports ou de spectacles et pouvant recevoir de 1'000 à 10'000 personnes.
Le 14 décembre 2005, le Conseil d’administration a donné son accord pour la réalisation d’un nouveau bâtiment. En 2007, le CIGM s’est donc enrichi de quatre salles polyvalentes modulables, regroupées sous le nom Malley Event Center et pouvant accueillir jusqu’à 200 personnes par salle. Ce lieu d’exception a pour vocation d’accueillir séminaires, conférences, banquets, cocktails, tout ceci dans un environnement original.

Evolution depuis 2010
En 2010, sur demande du Conseil d'administration, un audit a été effectué pour évaluer quels travaux devraient être faits pour améliorer le site.
Ce rapport a permis de définir les coûts nécessaires aux travaux de reconstruction du site. Début 2014, les municipalités de Lausanne, Prilly et Renens ont demandé au CIGM de mener un concours d'architecture et le suivi d'un plan d'affectation cantonal. Ces projets ont été soumis aux Conseils communaux des trois communes.
En juin 2015, le jury du concours a sélectionné le lauréat du projet H20, présenté par le Bureau d'architecture Pont12.
Le CIGM a été chargé de réaliser la suite, soit la réalisation d'un pôle sportif d'importance cantonale, composé de piscines, patinoires, salles pour l'escrime et le tennis de table.

Pour que son mandat corresponde aux nouvelles activités qui lui ont été confiées, le CIGM a revu ses statuts et sa raison sociale en septembre 2016. Il est alors devenu le Centre Sportif de Malley SA (CSM SA).

Chanson de Prilly

  • CH - Chanson de Prilly
  • Collectivité
  • 1967-2017

1967: Nouvelle appellation pour le choeur mixte: "La Chanson de Prilly", nouvel essor.
1970: Création d'un petit choeur d'enfants, les Moineaux de la Chanson / 1ère soirée annuelle.
1986: la Chanson fait partie du giron choral de la Venoge.
1987: 1ère participation au Giron de la Venoge.
1989: 25ème anniversaire de la Chanson de Prilly
1990: dissolution de la sous-section des Moineaux, faute d'effectif
2014: 50ème anniversaire de la Chanson de Prilly
2017: dissolution de la Chanson de Prilly, faute d'effectif
2018: don des archives de la Chanson aux Archives communales de Prilly.

Choeur de dames de Prilly

  • CH - Choeur de dames de Prilly
  • Collectivité
  • 1937-1964

1937: création d'une section indépendante de l'Avenir, le choeur de dames, baptisé "La Coccinelle".
Ce choeur collabora à de nombreuses reprises avec le choeur d'hommes lors des soirées.
1964: dissolution.

Choeur mixte de Jouxtens-Mézery

  • CH - Choeur mixte de Jouxtens-Mézery
  • Collectivité
  • 1954 - (date inconnue)

Société formée en 1954

Chœur mixte de Prilly

  • CH - Choeur mixte de Prilly
  • Collectivité
  • 1963-1967

1963: Création d'un chœur mixte, suite à une suggestion du Chœur de dames de Prilly
1967: Nouvelle appellation pour le choeur mixte: "La Chanson de Prilly", nouvel essor.

Chorale L'Avenir

  • CH - Chorale L'Avenir
  • Collectivité
  • 1891-2001

1891: Création de la société de chant le 5 janvier, sous le nom de "société de chant l'Avenir de Prilly".
1893: Inauguration du 1er drapeau, offert par les épouses des chanteurs.
1909: Jules Corbaz et son épouse fondent et animent un groupe d'acteurs qui, pendant une trentaine d'années, assure la partie littéraire et dramatique des soirées annuelles.
1911: la société devient propriétaire de la "Bibliothèque populaire de Prilly". Gérée par une commission formée de chanteurs. Met à disposition de la population environ 3000 volumes. Ouverture 1-2 jours par semaine. Cesse son activité lors de l'ouverture de la bibliothèque communale à Castelmont.

Corps de musique

  • CH - Corps de musique
  • Collectivité
  • 1878 - 2005

Echo des Campagnes

  • CH - Echo des Campagnes
  • Collectivité
  • 1912-aujourd'hui

18.11.1912: création de la société chorale L'Echo des Campagnes

Association de Parents pour la Petite Enfance APPE

  • CH - Ecublens - APPE
  • Collectivité
  • 1988-actuel

Le 30 novembre 1988 a été créée à Ecublens l’Association de Parents pour la Petite Enfance A.P.P.E. Cette association a pris contact avec la Municipalité pour étudier l’exploitation d’une garderie d’enfants à Ecublens. Après plusieurs entretiens et études, la Municipalité a considéré qu’il serait préférable de charger une institution privée de créer et d’exploiter une garderie d’enfants, avec l’appui financier des pouvoirs publics, ceci dans l’attente de la création d’une garderie dans un bâtiment communal. L’A.P.P.E. s’est donc chargée de l’exploitation en échange d’une convention ainsi que de locaux adéquats.
La garderie-nurserie Domino a ainsi pu ouvrir ses portes le 15 avril 1991.
Jusqu'en juillet 2012, la nurserie garderie Domino était située au chemin des Esserts 12, 1024 Ecublens.
Elle accueillait 28 enfants par jour de la fin du congé maternité à l'entrée au cycle initial (10 en nurserie et 18 dans la garderie).
Depuis la rentrée 2012, la garderie nurserie a déménagé dans une nouvelle structure, plus grande et mieux adaptée à la demande croissante des parents, située à la Route du Bois 27 (face au centre commercial).
Rebaptisée Centre de Vie Enfantine Domino, la structure accueille dorénavant 90 enfants:
La nurserie accueille 15 bébés de 3 mois à 18 mois
Le groupe des trotteurs accueille 21 enfants de 18 mois à env. 2 1/2 ans
Le groupe des moyens accueille 30 enfants d'env. 2 1/2 ans à l'entrée à l'école enfantine
L'UAPE accueille 24 écoliers de 1ère et 2ème enfantines (Croset et Pontet)
La région offre de nombreuses possibilités de promenades dans la région ainsi qu'un grand choix de destinations grâce à l’arrêt du M1 à proximité : bord du lac, parcs, spectacles en ville de Lausanne, etc.

Ecublens - Administration générale

  • CH - Ecublens - Administration générale
  • Collectivité
  • 1799 à nos jours (?)

L'administration générale ou Greffe municipal a originellement pour tâche principale d'être le secrétariat de la Municipalité et ainsi, d'être au centre de l'organisation administrative communale.
Pendant des décennies, le Greffe municipal était le seul "service" de l'administration et regroupait l'ensemble des documents produits et reçus par la Commune.
Dès le 20ème siècle, de nouveaux services ont été créés au sein de l'administration, qui ont peu à peu repris des tâches du Greffe.

Ecublens - Autorités communales

  • CH - Ecublens - Autorités communales
  • Collectivité
  • 1799-nos jours

10 mai 1799: Constitution de la première municipalité. Celle-ci a probablement eu fonction d'autorité législative et exécutive pendant une quinzaine d'années: le Conseil général a vraisemblablement été constitué en 1816 (date du premier procès-verbal d'une assemblée du Conseil général).

Le 21 novembre 1909, un Conseil communal comportant 45 membre est élu.

Longtemps composée de 5 membres, la Municipalité est actuellement constituée de 7 élu/es.

Syndics d'Ecublens:

1848-1857: Musy (Louis)
1858-1859: Ducret (Henri)
1860-1861: Clerc (Louis)
1862-1865: Masson (Auguste)
1866: Clerc (Paul)
1867-1872: Ducret (Samuel)
1873-1882: Masson (Henri)
1883-1886: Musy (Louis)
1887-1893: Clerc (Victor)
1894-1896: Massson (Eugène)
1896-1911: Masson (Henri)
1912-1916: Bonzon (Adrien)
1916-1918: Masson (Adrien)
1918-1933: Ducret (Elie)
1934-1949: Ducret (François)
1950-1969: Jaquenoud (Adrien)
1970-1981: Teuscher (Pierre)
1982-1993: Masson (Jacques)
1994-1997: Bonzon (André)

Fahrner (Emily)

  • CH - Ecublens - Fahrner (Emily)
  • Personne
  • 19ème siècle

Fontolliet (Gilbert)

  • CH - Ecublens - Fontolliet (Gilbert)
  • Personne
  • à compléter

Jeanrichard (Olivier)

  • CH - Ecublens - Jeanrichard (Olivier)
  • Personne
  • à compléter

Marguerat (Pierre)

  • CH - Ecublens - Marguerat (Pierre)
  • Personne
  • à compléter

Ecublens - Police communale

  • CH - Ecublens - Police communale
  • Collectivité
  • 1842-2007

En 1842, trois messeillers sont engagés par la Municipalité. Ils sont chargés de percevoir les finances provenant des frais de tauperie et messeillerie des propriétaires forins, de la surveillance des cabarets, de faire "dissiper les attroupements dans les rues, lors qu'il y aura lieu de compromettre la tranquillité publique".

En 1859, on note la présence de «messeillers» ainsi que d’un gendarme. Les premiers avaient pour mission principalement la «garde des récoltes et des pâturages». Au début du 20ème siècle, des gendarmes chargés du maintien de l’ordre public étaient nommés par la commune. Le Conseil général refusa en 1902 d’envisager une collaboration avec les gendarmes de Renens. En 1861 un agent de police pour les cafés est engagé.

Dès 1923, un "agent de police permanent" est nommé. Ses fonctions sont variées : Agent de police (surveillance des établissements publics, dénonciation des contraventions aux lois et aux règlements de Police, surveillance des forêts, surveillance des personnes suspectes et des vagabonds, surveillance des mesures de précaution contre l’incendie, responsabilité de donner l’alarme en cas d’incendie, préparation des corbillards, conduite des cortèges mortuaires); Huissier (service de propreté, entretien et chauffage de la salle de Municipalité, convocation des membres de la Municipalité aux séances, remise de communications officielles et des décisions municipales, affichage des lois et arrêtés fédéraux et cantonaux, des décisions municipales et des actes d’Etat-civil, remise aux établissements publics des pièces à afficher, criée aux mises communales, convocation des membres du conseil communal et de la commission scolaire); Contrôle des habitants et bureaux des étrangers; Préposé à l’électricité; Service d’Eglise; Préposé aux assurances (dès 1951, il est également préposé à l’office communal de placement) et Inspecteur des viandes.

Le règlement communal de police de 1935 nous indique que l'agent de police est en charge de la signalisation routière, de la circulation et du stationnement. Par la suite, la police municipale suit également les projets d'aménagements routiers aux côtés du service des travaux.

En 1923, Fivaz (César) est engagé au poste d'agent de police permanent. Il est remplacé en novembre 1931 par Rieben (André) qui occupe la fonction jusqu'en 1959. Perret (Marc) lui succède. Au vu de l'augmentation rapide de la population, un second poste d'agent est créé en 1962. Il est occupé par Pointet (Armand). Rochat (Charles) est nommé commissaire de police en 1969 et en janvier 1988, il cède sa place à Morend (Daniel-André) qui dirige le service jusqu'en 1993. En 1994 Tréboux (Pascal) lui succède. En 2007, le service compte 16 employés ainsi que 6 patrouilleurs scolaires.

En 2008, La Police communale d’Ecublens est intégrée dans la POL (Police de l’Ouest Lausannois) qui regroupe les 8 communes du District de l’Ouest lausannois, soit Bussigny, Chavannes-près-Renens, Crissier, Ecublens, Prilly, Renens, St-Sulpice et Villars-Ste-Croix. La direction de la POL se situe à Renens dans un premier temps. Elle déménage à Prilly en 2013. Deux postes de police de base sont sont situés à Renens et à Ecublens (ouverts du lundi au vendredi). Des points d’appui, aux heures d’ouverture réduites se trouvent Bussigny, Chavannes-près-Renens, Crissier et St-Sulpice.

Le personnel du service de police communal change alors d'employeur et est transféré à l'association de communes pour la sécurité dans l'Ouest lausannois (Polouest). Le capitaine Tréboud (Pascal), ancien commissaire et chef du service de police occupe dès lors la fonction de répondant communal au sein de cette nouvelle organisation.

Ecublens - Service de la culture, de la jeunesse, des sports, de l'intégration et des églises

  • CH - Ecublens - Service culture
  • Collectivité
  • 2012 à nos jours

Le Service de la culture, de la jeunesse, des sports, de l'intégration et des églises est créé à Ecublens en 2012. Avant sa création coexistaient le Service des affaires culturelles, sportives et de loisirs et le Service des affaires sociales. Suite à une étude de fonctionnement réalisée par l'IDHEAP en 2010, la Municipalité a décidé de créer un nouveau service pour ce dicastère.

Ecublens - Service de l'urbanisme et des constructions

  • CH - Ecublens - Service de l'urbanisme et des constructions
  • Collectivité
  • 2005-nos jours

La gestion des affaires liées à l'aménagement du territoire et à la police des constructions a longtemps été l'apanage du Greffe Municipal.
Vers 1960-1961: création d'une commission d'urbanisme, chargée de suivre les questions liées aux constructions et à l'aménagement du territoire.
Jusqu'au début des années 2000, la Municipalité travaillait avec des bureaux extérieurs tandis que l'Administration générale assurait le secrétariat.
En 2005, lors du changement de secrétaire municipal (départ à la retraite de M. Jacques Bertoliatti, reprise du poste par son adjoint M. Philippe Poget), la police des constructions est reprise par M. Gilliéron, engagé au Service des Bâtiments).
En 2008, un collaborateur est engagé pour s'occuper de l'aménagement du territoire (M. Bonzon, remplacé peu après par M. Besson).
En 2012, le Service de l'urbanisme et des constructions est officiellement créé. Il comprend un chef de service (M. Gilliéron), un collaborateur spécialisé (M. Besson) et une secrétaire.

Ecublens - Service des Bâtiments

  • CH - Ecublens - Service des bâtiments
  • Collectivité
  • 1990-nos jours

Ce service a été créé en (date à vérifier). Chefs de service: M. Meuter (Ronald), de (?) à 2010. M. Canedo (Ramiro), de 2010 à 2012. M. Bieri (Claude-Alain) dès 2012.
Nomination de M. Menoud (Yolan) à la tête du service en 2017.

Ecublens - Service des Travaux

  • CH - Ecublens - Service des travaux
  • Collectivité

Depuis xxxx, le chef de service est M. Morano (Marcos). Avant lui, le service était dirigé par M. Rossier (Charly) qui succède à Wenger (Paul) le 1er mars 1990 à l'occasion de la fusion du service des travaux et du service des parcs et promenades.

Société de développement d'Ecublens

  • CH - Ecublens - Société de développement
  • Collectivité
  • 1919-

En date du 18.12.1919, fondation de la société de développement dont le but premier est de s'occuper de la réfection de la grande salle et de l'aide financière à apporter à la commune dans ce but.

Fondations Petitmaître - maisons d'accueil

  • CH - Fondation Petitmaître
  • Collectivité
  • 1957 - à nos jours

Erigée en fondation en 1957, la maison des orphelins de la Fondation Petitmaître accueille ses premiers pensionnaires en 1961. D'abord nommée maison des orphelins, puis, dès 1975 foyer Petitmaître, elle devient Fondation Petitmaître - maisons d'accueil en 2007.

Fonds intercommunal de soutien aux institutions culturelles de la région lausannoise

  • CH - Fonds intercommunal de soutien aux institutions de la région lausannoise
  • Collectivité
  • 1988-nos jours

1988: Dans le cadre de la reconnaissance du caractère régional des prestations fournies par certaines institutions culturelles lausannoises, les communes signataires de la convention de 1988 décident de contribuer à leur financement et d'en régler les modalités par une convention, créant ainsi le "Fonds intercommunal de soutien aux institutions culturelles de la région lausannoise".

Gaudard (Alain)

  • CH - Gaudard (Alain)
  • Personne
  • 1932-2003

Gymnastique des hommes

  • CH - Gymnastique des hommes
  • Collectivité
  • 1906 - 2017 (?)

Société fondée en 1906. Dès les débuts, elle compte deux sections: gymnastique des hommes et choeur. En 2005, la section gymnastique cesse ses activités, suivie en 2012 de la section choeur, dont les membres se réunissent par la suite encore sous forme d'amicale.

Itten (Gottfried)

  • CH - Itten (Gottfried)
  • Personne
  • 1897-1959

Marié à Mme, née Chapuis.
1959: décédé à Prilly

Jacot-Guillarmod (Jules)

  • CH - Jacot-Guillarmod (Jules) - viaf/248543875
  • Personne
  • 1868 - 1925

Jules Jacot-Guillarmod (24.12.1868-05.06.1925)
Médecin, alpiniste chevronné et explorateur.

1912: dirige l'hôpital psychiatrique situé au Château de Prilly.
1915-1920: déménagement à Vennes.
1920: rachète le Château de Prilly.

Alpiniste, très actif au sein du Club alpin suisse, il préside la section des Diablerets de 1915 à 1917.
1902: Participe à une expédition dans l'Himalaya en 1902.
Il observe les maux liés au mal de la montagne. Rapporte près d'un millier de photographies stéréoscopiques de ces régions très peu connues à l'époque.
1905: il repart pour l'Himalaya (Kangchenjunga).

Jouxtens-Mézery - Commune

  • CH - Jouxtens-Mézery - Administration communale
  • Collectivité
  • 1798-nos jours

Les autorités communales sont constituées de la Municipalité, composée du syndic et de 4 Municipaux. Le Conseil communal a remplacé le Conseil général dès le 1er janvier 1990.
L'administration communale de Jouxtens-Mézery est constituée d'un/e secrétaire municipal/e et, depuis xxxx, de secrétaires qui se répartissent l'ensemble des tâches de l'administration.
Liste des secrétaires municipaux:
1950-1956: Rapin (Ch.)
1956-1958: Bally (L.)
1959-1983: Debély (Jean-Louis)
1984-sept. 1985: Pauchon (Willy)
sept. 1985- mars 2007: Zoëll (Christine)
2007- mai 2017: Monod (Christian)
juillet 2017 - ... : Bergmann (Mme).

La Récréation

  • CH - La Récréation
  • Collectivité
  • 1853 - 2017

En 1853, Orbe, berceau de la société cantonale des chanteurs vaudois, organise la première Fête cantonale regroupant 26 sociétés, uniquement masculines. Des chanteurs yverdonnois y participent et fondent la même année un chœur d’hommes, « La Récréation », qui adopte ses statuts en 1854.
La société atteint son effectif record en 1921 à l’occasion du Concours cantonal de Lausanne : 106 chanteurs.
Dès 1877, les dames intègrent progressivement La Récréation. Elles collaborent à plusieurs concerts au début du 20e siècle. En 1930, une sous-section « dames » est fondée. Dès lors, La Récréation se présente dans les trois formations : hommes, dames ou mixte selon les circonstances jusqu’en 1967, année d’adoption de sa formation mixte. Plusieurs succès sont à à attribuer au Choeur mixte :Flûte de roseau, Jeu du Feuillu, Trois âges de l'homme, Cadran solaire, Nuit des Quatre Temps, La Rue des 13 Métiers.
En 1930, le choeur rejoint le Giron de la Menthue.
Depuis sa création, il organise de multiples manifestations d’envergure dont plusieurs Fêtes cantonales des chanteurs vaudois, des jubilés (50ème, 100ème, 125ème, 150ème et 160ème) ainsi qu’Opéra Pestalozzi pour n’en citer que quelques-unes. Elle reçoit également de nombreux prix lors de concours cantonaux, nationaux et parfois même internationaux (en France notamment). Sa renommée dépasse dès lors les frontières suisses.
La société fête son centenaire en 1954 et inaugure à cette occasion son cinquième drapeau.
A la fin du 20e siècle, le recrutement de nouveaux chanteurs devient difficile. Le nombre des membres ne cessant de diminuer, la société est dissoute à l’automne 2018, alors qu’elle ne compte plus que 19 membres.

Le Mont-sur-Lausanne - Commune

  • CH - Le Mont-sur-Lausanne - Administration communale
  • Collectivité

Commune du district de Lausanne, au nord de l'agglomération lausannoise, à la lisière des bois du Jorat, se composant du Petit-Mont, du Grand-Mont et des Planches. Première mention en 1237 (Monte super Lausannam). 514 habitants en 1764, 658 en 1798, 1000 en 1850, 1099 en 1900, 1383 en 1950, 2692 en 1970, 5182 en 2000. Au Moyen Age, Le Mont-sur-Lausanne, divisé en plusieurs petits fiefs, dépendait de l'évêque de Lausanne. Il fit partie du bailliage bernois de Lausanne de 1536 à 1798, puis du district de Lausanne. Au XVIIIe s., la commune était administrée par un grand gouverneur, un maréchal et trois petits gouverneurs (un par hameau). Au militaire, ses habitants marchaient sous la bannière de la Cité. La chapelle de Saint-Jean l'Evangéliste, filiale de la paroisse Saint-Paul à Lausanne, était située près du cimetière actuel. Après la Réforme, Le Mont-sur-Lausanne. devint paroisse (foraine en 1545, avec pasteur résident en 1811). Le temple actuel, en Coppoz, date de 1797, la cure de 1835. Dès 1906, le village fut relié à Lausanne par le tramway. La grande salle du Petit-Mont fut inaugurée en 1955, le nouveau centre administratif et scolaire en 1991. Depuis 1960, la commune qui vivait principalement d'agriculture, devint une commune résidentielle et industrielle à la suite de la création des quartiers de villas du Petit-Mont, des Planches et de la Perrause et des zones industrielles du Rionzi, de Budron et de la Clochatte. (François Béboux, "Mont-sur-Lausanne, Le", in Dictionnaire historique de la Suisse, version du 02/12/2008, URL: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F2409.php)

Lutry - Bourse communale

  • CH - Lutry
  • Collectivité
  • 1375 - à nos jours

Parmi les communes vaudoises, Lutry est l'une de celles qui possède les plus vieux registres de comptes. Avant elle, on trouve à Villeneuve des comptes déjà en 1283, et à Vevey en 1356, puis Lausanne en 1377, Yverdon en 1379, Nyon en 1386, etc.

Lutry - Commune

  • CH - Lutry
  • Collectivité
  • 1214 - nos jours

La Lyre yverdonnoise

  • CH - Lyre yverdonnoise
  • Collectivité
  • 1894 - 2007

La Lyre yverdonnoise s’identifie comme un chœur d’homme. Elle se constitue en 1894. Elle possède une devise (« Amitié et travail ») ; son drapeau, inauguré en 1896, figure Johann Heinrich Pestalozzi et la formule emblématique de la ville d’Yverdon-les-Bains : « Superna quaerite ».
Comptant 22 membres à sa fondation, la Lyre accueille un nombre croissant de chanteurs et en réunit une centaine à son 25e anniversaire en 1919. Des difficultés dans le recrutement marquent pourtant la fin de son existence, lorsque, entre 1999 et 2000, le nombre de chanteurs est jugé insuffisant pour assumer les activités du chœur. Pour pallier ce problème, une collaboration est mise en place avec le chœur d’hommes « La Vigneronne de Montagny-près-Yverdon » . Cette collaboration donne naissance quelques années plus tard à un nouveau chœur d’hommes nommé « Chor’hom » (2005).
La Lyre yverdonnoise poursuit une activité soutenue tout au long de son existence. Elle parvient à maintenir un certain nombre d’activités annuelles (concert annuel, culte du souvenir à la Toussaint, veillée de Noël, courses pour les membres) tout en s’investissant dans des projets ponctuels de grande envergure. La Lyre s’implique particulièrement dans les concours de l’Association cantonale des chanteurs vaudois et de la Société fédérale des chanteurs ainsi que dans le Giron choral de la plaine de l’Orbe dont elle organise certaines éditions.

Châtelard, Le - Bureau des travaux

  • CH - Montreux--01
  • Collectivité
  • 1896-1961

Le contrôle et la réglementation du bâti par la commune du Châtelard prend ses racines au XVIIIème siècle, au moment où on voit apparaître des documents relatifs à l'établissement de routes et de lignes de chemin de fer. La construction de ces voies de communication va créer des frictions avec les intérêts des particuliers qui possèdent des biens-fonds ou des constructions et qui devront être détruits ou expropriés au bénéfice de la communauté.

La commune de Montreux-Châtelard est confrontée relativement tôt à ce problème: elle anticipe même sur les législations cantonales en édictant un règlement sur la police des constructions dès 1892. Dépassée par l'augmentation exponentielle de l'urbanisation, la municipalité du Châtelard nomme dans les années 1890 l'architecte Louis Villard (père) au poste de surveillant des travaux. Il sera remplacé dès 1896 par un directeur des travaux, poste auquel se succèdent les ingénieurs William Cosandey (1896-1903), Georges-Frédéric Blanchod (1903-1907), William Cosandey (1907-1918) et Hubert Chappuis dès 1918.

En 1961, à la disparition de la Commune de Montreux-Châtelard, le bureau des travaux compte 6 employés. Ils ont la charge de la police des constructions, des commissions d'urbanisme et de salubrité, des collecteurs d'eaux usées ainsi que de l'éclairage public, des plans de quartier et plans d'extension, de gérance des domaines et bâtiments communaux. Les travaux de voirie et la réfection des routes relèvent également du bureau des travaux.

En 1962, les bureaux des travaux des communes de Montreux-Châtelard et de Montreux-Planches sont réunis suite à la fusion des communes. Le bureau des travaux de la commune de Montreux gérera alors les mêmes dossiers que ses prédécesseurs avant de se séparer dans les années suivantes pour donner naissance aux services des travaux, service de voirie, service des domaines et bâtiments et service de l'urbanisme.

Châtelard, Le - Commune

  • CH - Montreux--02
  • Collectivité
  • 13ème siècle - 1961

En 1962, les communes du Châtelard et des Planches ont fusionné pour donner naissance à la commune de Montreux.

Montreux - Villages de Chêne-Sâles-Crin

  • CH - Montreux--03
  • Collectivité
  • inconnu - ce jour

Il est impossible de dater de manière précise la naissance des villages de Chêne, Sâles et Crin. La première trace dans le fonds qui nous intéresse ici est une reconnaissance des prud’hommes de Sâles envers le seigneur du Châtelard qui délimite le territoire de Sâles en 1502.

Avant cette date , on trouve une mention de la Métralie douz Chanoz dans le règlement édicté par le seigneur du Châtelard en 1496 qui établit le fonctionnement d’un Conseil de 30 membres pour régir l’administration et la communauté du Châtelard . Comme certains autres villages, la Métralie en question est alors une fraction administrative du Châtelard qui sert de base à la représentation dans le Conseil des 30. En marge de ces activités politiques, les villages assemblés sous la présidence de gouverneurs s’occupent alors de la gestion de leurs biens (four et fontaines) et prennent des décisions qui concernent les intérêts de toute la communauté. Vu sa taille, la Communauté du Châtelard s’appuie sur les administrations villageoises et leur délègue certaines des attributions des communes précisées dans les lois bernoises de 1577 et 1616.

Le fait que, par délégation, les villages de Montreux assument des services publics (en particulier la distribution de l’eau) fait qu’ils seront reconnus comme fractions de Commune par la loi vaudoise du 2 juin 1815, statut que Sâles, Chêne et Crin ont conservé jusqu’à ce jour.

Les registres du fonds de Sâles, Chêne et Crin attestent de la tenue d’assemblées à partir du XVIIIè siècle. Si les registres sont tenus de manière séparées pour la métralie de Sâles (et Crin) et celle de Chêne (et Pallens), il n’est pas rare que les administrés de tous les villages siègent ensemble. À partir de 1807, on trouve des registres communs, mais ce n’est qu’en 1842 que l’assemblée décide qu’il n’y aura dorénavant plus qu’un seul gouverneur pour tous les villages.

Pour ce qui est des compétences propres aux administrations de Sâles, Chêne et Crin, celles-ci s’articulent avant tout autour de la sécurité (choix des gardes-champêtres) et de la gestion des eaux claires et sources. Ainsi une grande partie du fonds est liée à des questions relatives aux fontaines ou encore à la source du Maralley, qui est gérée en copropriété entre les villages de Chêne-Sâles-Crin et le village des Planches selon une décision baillivale de 1616. Dans la deuxième partie du XIXè siècle on voit d’ailleurs apparaître une commission des eaux composée de membres des villages de Sâles, Chêne et Crin ainsi que des Planches.
La gestion des eaux amène les administrés des villages à se prononcer sur l’entretien de leur(s) fontaine(s), des canalisations qui causent nombre de dommages aux bâtiments, routes ainsi qu’au pont, mais également sur la question de l’eau courante (1834 puis 1848), ou encore la gestion des abonnements à l’eau qui concerne autant des particuliers que des industriels. Ils font procéder à des analyses pour s’assurer de la salubrité et la qualité de leur source et se trouvent d’ailleurs mêlés à un conflit à ce sujet qui sera porté jusqu’au Conseil fédéral (affaire Ducret). La construction de la ligne de chemin de fer Montreux-Glion, et plus tard celle de l’autoroute du Simplon causeront d’autres soucis pour son exploitation. L’histoire de la source est encore marquée par d’autres problèmes, notamment un litige avec la société foncière de Bon-Port dans les années 1910-1920.

Parmi les autres attributions des villages, on voit apparaître la gestion de l’éclairage public en 1897, activité attestée jusqu’en 1926. Enfin, dans les années 1900, les constructions du chemin de fer et de la gare MOB à Montreux pousseront les villages de Chêne, Sâles et Crin à adresser leurs doléances concernant la fermeture d’un accès piétonnier à la gare au Conseil fédéral.

Enfin, « privilège » des fractions de communes, Chêne, Sâles et Crin peuvent prélever des impôts si cela s’avère nécessaire dans la gestion de leur service public. Ils doivent alors en faire la demande auprès du Conseil d’Etat : cette démarche est attestée par un arrêté d’imposition daté de 1928. On notera qu’alors, Sâles, Chêne et Crin sont les seuls villages de Montreux à figurer sur la liste…

Montreux - Village des Planches

  • CH - Montreux--04
  • Collectivité
  • inconnu - ce jour

L’administration du village des Planches, métralie sous l’Ancien Régime puis fraction de la Commune des Planches et enfin fraction de la Commune de Montreux, s’est semble-t-il constituée autour du four banal, bien administré en commun par les habitants du village. En effet, les documents les plus anciens du fonds émanent du Conseil des propriétaires du Four (procès-verbaux A1 à A4) ou concernent directement le four (E2 à E10, à l’exception de E3). Le fait qu’aient été conservés avant tout les documents ayant rapport au four confirme l’importance accordée au four, non seulement pour son côté indispensable dans la vie des habitants, mais certainement également parce que l’installation commune a « légitimé » la naissance de l’administration du village.

Outre la gestion de ce four, l’administration du village des Planches a eu la charge de la gestion de son eau, et ce, depuis le XVIIè siècle. En effet, une décision baillivale datée de 1616 atteste de la propriété en commun des administrations des Planches et de Chênes et Sâles sur les eaux provenant de la source du Maralley, en-dessus de l’Eglise paroissiale . Ce document confirme une pratique déjà existante, donc antérieure à la date de 1616. Par la suite, la gestion, la distribution, la vente ainsi que les travaux d’amélioration du captage des eaux occupent en grande partie les autorités villageoises, comme en attestent les 33 entrées HA de l’inventaire (3 cartons recoupant 270 ans d’exploitation de la source). Cette gestion occasionnera d’ailleurs quelques heurts avec les propriétaires adjacents des terrains où sourd l’eau ou avec certains abonnés au réseau d’eau . De même, la construction de l’autoroute du Simplon et du tunnel de Glion donnera lieu à des études techniques afin de se prémunir de toute baisse éventuelle du débit de la source du Maralley.

Enfin, si le village des Planches a conservé son statut de fraction de commune, il est intéressant de constater qu’il le doit avant tout à son autorité en matière de gestion des eaux. En effet, alors que les fractions de communes sont autorisées à prélever des impôts pour subvenir à leurs besoins, le village des Planches n’a plus sollicité d’arrêté d’imposition auprès du Conseil d’Etat depuis 1926, date à laquelle la plupart des fractions de la Commune des Planches disparurent suite à la reprise en main par cette dernière des services publics que les villages assumaient jusque là. Seuls Glion et Les Planches restèrent alors des fractions de commune .

A noter encore les documents classés sous U1, qui font référence dans les autres villages de la commune de Montreux. Le village des Planches a en effet demandé un avis de droit sur son statut de fraction de commune. Intéressants également, les documents Y1 qui concernent la convention qu’a passée le village des Planches avec la société électrique Vevey-Montreux concernant le tramway qui dessert le village.

Montreux - Village de Chailly

  • CH - Montreux--05
  • Collectivité
  • inconnu - à ce jour

Comme pour les autres villages de la commune de Montreux, il n’est pas possible de dater de manière précise la naissance de l’administration du village de Chailly. Néanmoins, on trouve une mention de la Métralie de Chaillex dans le règlement édicté par le seigneur du Châtelard en 1496 qui établit le fonctionnement d’un Conseil de 30 membres pour régir l’administration et la communauté du Châtelard . Comme certains autres villages, la Métralie en question est alors une fraction administrative du Châtelard qui sert de base à la représentation dans le Conseil des 30. En marge de ces activités politiques, les villages assemblés sous la présidence de gouverneurs s’occupent alors de la gestion de leurs biens (four et fontaines) et prennent des décisions qui concernent les intérêts de toute la communauté. Vu sa taille, la Communauté du Châtelard s’appuie sur les administrations villageoises et leur délègue certaines des attributions qui devraient lui revenir.

Le fait que, par délégation, les villages de Montreux assument des services publics (en particulier la distribution de l’eau) fait qu’ils seront reconnus comme fractions de Commune par la loi vaudoise du 2 juin 1815. Le statut de fraction sera abrogé à Chailly en 1939 par la dissolution de l’administration du village et la constitution de la société de développement de Chailly « dont chaque habitant serait invité à faire partie, Suisse ou étranger » . Cette citation marque clairement le changement entre la fraction de commune et la société de développement. En effet, l’administration du village de Chailly se pose fréquemment la question depuis le début du XXe : le fait que la fraction de commune rassemble les seuls propriétaires immobiliers de Chailly n’est pas conforme aux lois et constitutions. D’une part, une telle assemblée exclut les habitants qui ne sont pas propriétaires et instaure ainsi un cens, d’autre part, des étrangers propriétaires peuvent assister à ces assemblées et participer aux décisions alors même qu’ils n’ont pas le droit de vote auprès des autorités communales, cantonales et fédérales.

Cela étant, les registres attestent d’une activité continue de l’assemblée des propriétaires depuis 1650 jusqu’en 1939. 1650 est également la date du document le plus ancien conservé dans les archives du village (outre les comptes). Il s’agit de l’Extrait de la recognoissance du Village de Chailly es mains du Commissaire Dumaine (Place du four) . Durant ces nombreuses années, l’administration du village de Chailly a assumé des services publics qui ont trait à la sécurité (gardes-champêtres, guets puis pompiers) et à la gestion des eaux (entretien des fontaines, tuyaux de distribution, recherche de nouvelles sources ). Au tournant du XXè siècle, on voit apparaître parmi les attributions du village la question de l’éclairage public, mais aussi celle du rattachement téléphonique ou encore de la voirie (enlèvement des balayures).

Enfin, « privilège » des fractions de communes, Chailly peut prélever un impôt si cela s’avère nécessaire dans la gestion de ses services publics. Il faut alors en faire la demande auprès du Conseil d’Etat : cette démarche est attestée par une série d’arrêtés d’impositions délivrés par les autorités vaudoises . Il est intéressant de noter que, pour prélever ces taxes, l’assemblée procède, deux fois par année à un recensement de la population et du bétail. Absents dans les autres administrations villageoises à Montreux, ces chiffres permettent d’établir des statistiques démographiques.

Enfin, les archives de deux sociétés locales complètent le fonds. Il s’agit de la société d’assurance sur le bétail de Chailly , créée en 1869 et qui réunit les propriétaires de bétail des villages de Brent, Baugy, Tavel, Clarens, les deux Planchamp et Chailly ainsi que la société de laiterie (successivement Nouvelle laiterie de Chailly puis association immobilière de Chailly).

Montreux - Village de Chernex

  • CH - Montreux--06
  • Collectivité
  • inconnu - à ce jour

Le plus vieux document du fonds, daté de 1496, est une reconnaissance de titre classée sous E1, mais dont le contenu est encore à identifier. Pour le reste, les documents attestant de l’activité de la métralie de Chernex débutent aux environs de 1650.

Il est étonnant de constater le nombre de documents attestant de transactions entre particuliers, documents qu’il est également surprenant de rencontrer dans un fonds de village dépourvu d’instance juridique. L’explication la plus probable à l’existence de ces documents (OA et OB) serait qu’une des fonctions de la Cour du Château du Châtelard ait été exercée par un ressortissant de Chernex, voire par une famille de Chernex, qui, au fil des générations, est partie avec des doubles des actes. Mais cette assertion reste à vérifier.

Pour ce qui est des procès-verbaux des assemblées, les registres contenus dans le fonds débutent en 1720 et continuent jusqu’en 1941, avec une béance inexpliquée de 100 ans entre 1814 et 1915 : les registres ont disparu. En revanche, la date de 1941 a une explication puisque c’est à cette période que l’Etat de Vaud a pris acte de la décision de Chernex de ne plus prélever d’impôts. Ceci met un terme à l’existence de la fraction de commune de Chernex et a pour conséquence la fin des archives : les registres de procès-verbaux, les copies de lettres et les documents financiers s’interrompent au tournant de l’année 1942. Dès lors, l’administration du village fonctionne de manière différente et les pièces ne seront plus versées au même fonds d’archives.

La métralie de Chernex est reconnue par le règlement de la Communauté du Châtelard de 1792 comme étant une grande métralie. Toutefois, son assemblée siège parfois avec les ressortissants de Sonzier, comme cela semble être le cas particulièrement dans le registre A2. De même, Chernex et Sonzier se rassemblent pour ce qui concerne les questions d’école puisque les deux villages font partie de la même régence. D’ailleurs, les litiges avec les régents successifs prennent une place importante dans l’ensemble du fonds (voir section P). Et si les écoles sont un des domaines de compétences des fractions de communes, on rappellera ici que, par ailleurs, les villages géraient également la distribution des eaux et des fontaines et qu’ils avaient à leur charge les fonctions de sécurité, telle la prévention des incendies ou la nomination des gardes champêtres. À ce sujet également, les archives du village relatent un cas de litige avec la commune du Châtelard, lorsqu’en 1753, il s’oppose à la procédure habituelle de nomination des guets et s’expose à la colère du Châtelard devant ce « ridicule refus » (NA3).

Montreux - Village de Glion

  • CH - Montreux--07
  • Collectivité
  • inconnu - à ce jour

Comme dans nombre d’autres villages de la paroisse de Montreux, l’origine de l’organisation villageoise de Glion est incertaine. Le premier document présent dans le fonds remonte à 1693. Cette pièce, qui est la première attestant d’une organisation autonome à Glion est un règlement pour la fontaine que possèdent en commun les « possesseurs de terres et bâtiment rière le district de Glion » .

L’organisation d’un village autour d’une fontaine ou d’un four est fréquente dans la Paroisse de Montreux. Mais alors qu’au Châtelard, les villages ou « métralies » servent de base à l’organisation de toute la communauté, aux Planches, il n’y avait pas de représentation des villages dans les organes communs. Ainsi, les gens de Glion accèdent aux charges communales, mais le village n’envoie pas de délégués dans les organes communaux. A Glion, les habitants s’assemblent pour discuter de leur approvisionnement en eau. Et cette question va animer le village pendant plus de trois siècles : l’eau est apparemment trop rare sur le Scex et les besoins du village vont aller croissant avec l’arrivée de l’hôtellerie et des touristes.

Le fait que les villages de Montreux assument des services publics (et en particulier la distribution de l’eau) fait qu’ils seront assimilés à des fractions de Commune par la loi vaudoise du 2 juin 1815. Ce nouveau statut les autorise à prélever des impôts. A Glion, ce sera le cas à partir de 1874. Corollaire de ce nouveau statut, les comptes du village doivent dès lors être visés par la municipalité des Planches et par le préfet.

Si l’apport en eau du village s’améliore grâce à l’intervention généreuse d’Henri Nestlé en 1878, la question continue à agiter le village au XXème siècle. Et alors que, en 1927, la commune des Planches reprend à son compte l’éclairage et la gestion de l’eau et fait disparaître plusieurs de ses villages, la fraction de commune de Glion persiste, grâce à la distribution de l’eau.

Mais l’eau sera malheureusement également la cause de la dissolution de l’administration du village. En effet, en 1945, Glion vit un épisode de fièvre typhoïde qui fait 16 morts et rend malade plus de 100 personnes. La gestion « milicienne » des eaux par le village est clairement mise en cause par le collège d’expert chargé de faire la lumière sur cet épisode tragique. Epuisé par les dédommagements et les actions en justices qui suivent cet événement, le village vend son réseau d’eau à la Société des Eaux Vevey-Montreux en 1952, et la fraction sera finalement dissolue par le Conseil d’Etat en 1955. L’administration du village se réunit encore à quelques reprises pour liquider ses dernières affaires et met un terme définitif à ses activités le 16 novembre 1957.

Gaudin Émery (Jean-Pierre et Cécile)

  • CH - Montreux--082
  • Famille

Domiciliés en France, Cécile et Jean-Pierre Gaudin Émery s'intéressent à la famille d'hôteliers Émery, dont Jean-Pierre est le descendant. Dès les années 2000, Cécile publie plusieurs ouvrages sur les activités de la famille et leur influence sur le développement touristique.

Koenig (René)

  • CH - Montreux--084
  • Personne
  • 1923-2016

Literarischer Verein Montreux

  • CH - Montreux--10
  • Collectivité
  • 1972-2012

Successeur d'un premier Literarischer Verein Montreux fondé par F. Bolliger en 1924, le Literarischer Verein Montreux est fondé en 1972 par des germanophones. Le club a compté jusqu'à environ 170 membres. Les réunions avaient lieu une fois par mois. En 2007, le Literarischer Verein Montreux devient Kulturfreunde Riviera-Chablais. En 2013, suite au décès de son président, l'association est dissoute.

Association des Amis du Septembre Musical

  • CH - Montreux--101
  • Collectivité
  • inconnu - ce jour

Créée aux environs de 1965, l'Association des Amis du Septembre Musical a notamment pour objectifs d'encourager et de soutenir les organisateur du festival du Septembre Musical et de soutenir financièrement le concours Clara Haskil.
L'Association a, entre autres, été présidée par : M. René Koenig, M. Charles Édouard Lambelet, M. Stéphane Perrin, M. Olivier Rapin, Mme Jacqueline Moser.

Club accordéonistes Riviera Montreux

  • CH - Montreux--102
  • Collectivité
  • 1946 - 2015

Société fondée le 4 avril 1946 et dissoute le 11 octobre 2015 pour donner naissance à une nouvelle société Akordiono, fusion de quatre sociétés d'accordéon de la région.
Directrice: Helena Mayer

Festival de la Rose d'Or

  • CH - Montreux--103
  • Collectivité
  • 1961-

En 1961 est créé sous la houlette de la Ville de Montreux, de la Société suisse de radiodiffusion (SSR) et de l’Union européenne de radiodiffusion (UER) le festival de télévision la Rose d’Or. Emmené par trois hommes Marcel Bezençon, directeur général de la SSR de 1950 à 1972, président de la Commission des programmes de télévision de l’UER et cofondateur du réseau Eurovision en 1954 ; Edouard Haas, directeur de la télévision suisse à partir de 1955 et Raymond Jaussi, directeur de l’office du tourisme de Montreux, le festival de télévision aura lieu à Montreux chaque année entre 1961 et 1991, puis à un rythme moins soutenu.
Dès 2004, la manifestation est délocalisée à Lucerne, puis Berlin et enfin à Londres.

(Source: GRAY Roxane: Montreux et sa Rose d’Or : dans les coulisses d’un festival de télévision)

Famille Michel (Vuichoud, Vautier et Cochard)

  • CH - Montreux--105
  • Famille
  • 1400 - présent

Établie dès le XVème siècle au Châtelard, la famille Michel est surtout représentée dans les villages de Pertit et Vernex. Elle est principalement active dans le domaine viticole et est propriétaire de nombreuses vignes.

Familles Puenzieux - Borcard - Cochard

  • CH - Montreux--106
  • Famille
  • 1450 - présent

Établies au Châtelard depuis le XVème siècle au moins, les Puenzieux de Clarens, les Borcard de Pertit et les Cochard de Chernex et Tavel sont des familles influentes du Châtelard où elles ont exercé des fonctions publiques.

Fondation Hotelarchiv Schweiz

  • CH - Montreux--107
  • Collectivité
  • 2008 - présent

Fondation à but non lucratif créée en mars 2008 par Hôtellerie Suisse et des donateurs privés à l'occasion des 125 ans de la Société suisse des hôteliers. Inscrite au registre du commerce du Canton de Berne en tant que fondation à but non lucratif.
La fondation est dotée d'un bureau opérationnel de 2008 à 2019. Direction Evelyne Lüthi-Graf, adjointe Graziella Borrelli.
Dès 2019, reprise des fonds d'archives physiques et digitaux par deux institutions en parallèle: Les Archives de Montreux pour les fonds montreusiens et quelques fonds romands, le Schweizerisches Wirtschaftsarchiv pour la majorité des 60 fonds gérés par la fondation.

Armando Lombardo et Fils Société Anonyme (SA)

  • CH - Montreux--108
  • Collectivité
  • env. 1970 - 2008

Entreprise fondée par Armando Lombardo, ouvrier italier, dans les années 1970. L'entreprise a compté jusqu'à une quarantaine de collaborateurs et s'est établie dès 1982 dans l'Hôtel Moderne, proche de la Gare de Montreux.

Office du tourisme de Montreux (OTM)

  • CH - Montreux--11
  • Collectivité
  • 1946-1991

1921 Naissance de la Société de développement de Montreux (résultant de la fusion de diverses sociétés qui œuvraient jusque-là au développement de la station).
1946 La Société de développement devient l’Office du tourisme de Montreux
1991 L’office du tourisme de Montreux devient l’Office des Congrès et du Tourisme de Montreux (OCTM)
2000 Fusion avec l’ADIVE (association des intérêts de Vevey et environs) pour donner naissance à Montreux-Vevey Tourisme.

Zehnder (Dr ing. Frédéric, Raphaël Roland)

  • CH - Montreux--110
  • Personne
  • 1874-1952

Naissance le 10 octobre 1874
Originaire de Suhr et du Châtelard
Écoles primaire et secondaire à Olten (Soleure)
Ingénieur mécanicien, diplôme École polytechnique fédérale de Zurich
Docteur en sciences techniques, École d'ingénieurs de l'Université de Lausanne

Épouse en secondes noces Lucie Cachat (1902-1988)

Décès en août 1952

Halte-garderie La Bergerette

  • CH - Montreux--112
  • Collectivité
  • 1982-2012

La halte-garderie "La Bergerette" est un établissement qui accueille les jeunes enfants à Glion depuis 1982. Fondé par Madame Paule Borloz comme présidente, le jardin d'enfants a été reprit en 2012 par la Commune de Montreux et continue exercer sa fonction d'origine.

Jaccoud (Édouard)

  • CH - Montreux--113
  • Personne
  • 1907-1963

Originaire de Puidoux, Édouard Jaccoud est né le 25 septembre 1907. Après des écoles à Montreux, il travaille aux côtés de son père dans l'entreprise de plâtrerie-peinture familiale. Actif en politique, son parcours est marqué par une entrée au Conseil communal de Montreux-Châtelard en 1940, une élection à la Municipalité en 1945 où il prend la direction des travaux publics, domaine qu'il dirigera aussi après la fusion qui donna naissance à la Commune de Montreux. Il y oeuvre notamment pour la rénovation de la salle du Pavillon (du Montreux Palace?), la surélévation du collège, ou la construction du collège d'Etraz.
Député libéral au Grand Conseil dès 1951 (commission de gestion, commission des routes)

Membre du conseil d'administration de l'Hôpital de Montreux, de la Société du Casino de Montreux (en particulier, actif dans la construction de la piscine du Casino, de la terrasse et de la salle du Lido). Membre administrateur des abattoirs de Montreux, du service des eaux, de la compagnie du Gaz et du Coke, de l'aérodrome régional et de la Société coopérative d'habitation, service Intercommunal de ramassage et d'épuration et de ramassage des gadoues.

Président de la Fondation de la ville de Montreux pour l'équipement touristique, de la Fête des Narcisses 1954, de la Fête cantonale des musiques vaudoises mais aussi dans le club local et la fédération suisse de Rink Hockey. Chef de la brigade de scouts de Saleuscex.

Président du parti libéral de Montreux, comité du parti libéral vaudois.

En hommage à son dévouement pour la collectivité, la Municipalité de Montreux renomme une partie du quai en Quai-Edouard-Jaccoud quelques mois après sa disparition, en mai 1963.

Oehninger (Ernest)

  • CH - Montreux--115
  • Personne
  • 1904-1962

Ernest Oehninger est né à Montreux le 3 février 1904. Après des écoles à Montreux, il fait ses études au gymnase classique à Lausanne, puis à la faculté de droit de l'Université de Lausanne. Après des stages à l'étranger, il collabore dans l'entreprise Maison Oehninger SA, (commerce de vins et liqueurs) avant d'en reprendre à la direction à la mort de son père. En parallèle, il exerce les fonctions de juge informateur et de juge au Tribunal de District. Au niveau militaire, il atteint le grade de colonel.

Actif en politique, il préside pendant 10 ans le Parti libéral montreusien, jusqu'en 1956. Elu au Conseil communal du Châtelard, il présidera ce corps à deux reprises, ce qui lui vaut en particulier d'en présider la dernière séance, avant la fusion.

Membre de l'Office du tourisme de Montreux, avant d'en devenir président, il est actif en particulier dans le comité "arts et fêtes" et préside le comité d'organisation du Septembre musical ou de trois éditions de la Fête des Narcisses. Il est également vice-président de la société des Hôtels National et Cygne et du conseil d'administration du Journal de Montreux et de l'Imprimerie Corbaz.

Au niveau associatif local, il appartient à l'association "Vieux Coll's", aux "Vieux Zofingiens", à la Société des officiers de Montreux et environs et à la section de Montreux du Club alpin suisse et faisait partie du Rotary-Club Vevey-Montreux.

Ernest Oehninger décède le 29 octobre 1962.

Deléchat (René), Deléchat (Jean-Claude), Danthe

  • CH - Montreux--117
  • Collectivité
  • 1935-1985 (?)

Né à Bex en 1899, René Deléchat se forme chez Charles Zbinden, architecte à Lausanne, avant d'étudier à l'école des Beaux-Arts de Paris. S'établit comme architecte à Montreux en 1935, à la Villa des Bains puis à la rue de l'Église-Catholique.

Né en 1930 à Paris, son fils, Jean-Claude Deléchat devient associé en 1954. René Deléchat s'éltablit alors aux Diablerets alors que Jean-Claude conserve l'atelier montreusien. L'activité de l'atelier compte alors beaucoup de construction de chalets.

Au décès de René Deléchat, Jean-Claude Deléchat s'associe à Danthe.

Société de sauvetage de Montreux La Vigie

  • CH - Montreux--119
  • Collectivité
  • 1893-

Suite à l’accident de 1883 au large d’Ouchy, entre les bateaux à vapeur « Le Rhône » et « Le Cygne », le Genevois W. Huber fonde la Société de Sauvetage du Lac Léman (SSLL) en septembre 1885. Sur la Riviera, c'est le promoteur Ami Chessex qui voit l’utilité de ces sections et fonde, en 1887, la société de sauvetage de Territet, « La Dame du Lac ».

En 1893, sous l’impulsion de l’hôtelier Alexandre Emery, une nouvelle société voit le jour sur le territoire de la Commune du Châtelard, à Vernex : la société de sauvetage « La Vigie ». Le 6 août 1893, la section est admise au sein de la SSLL.
Sous la président de Jean de Muralt, la section récolte des fonds et achète son premier canot à huit rameurs en 1894.
En 1897, la section de Montreux reçoit l’assemblée générale de la SSLL et organise des courses et des compétitions.
En 1915, la société met à l’eau son nouveau canot.
En 1944, le bateau de la société est pris dans le gros temps. Les membres d’équipages s’en sortent, mais pas l’embarcation.
1946, inauguration de la nouvelle barque de la Vigie
En 1954, la société se dote d’un hangar sur l’actuel Quai de Vernex.
En 1966, la Vigie motorise son embarcation grâce à la donation d’un navigateur
1982, inauguration de la nouvelle vedette La Vigie 2

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