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Personnes, familles, organisations
Collectivité

Renens - Commune

  • 1020 Renens, Vaud, Suisse
  • Collectivité
  • Mentionné dès le 9e siècle sous la forme villa Runingis

ASIGOS

  • CH - ASIGOS
  • Collectivité
  • 2002-2016

Sous l’empire de la Loi scolaire de 1984, en vigueur depuis 1986, les Communes de Bournens, Boussens,
Cheseaux-sur-Lausanne, Jouxtens-Mézery, Prilly, Romanel-sur-Lausanne et Sullens ont constitué une
entente intercommunale, gérée par les Municipaux des écoles desdites communes, afin de mettre en
commun les ressources nécessitées par la voie baccalauréat; les élèves concernés ont été scolarisés dans
l’établissement secondaire de Prilly, qui existait depuis 1974.
Cette structure a fonctionné jusqu’en 2002, date à laquelle les sept communes ont décidé de la remplacer
par une association intercommunale, plus démocratique parce que comportant, outre le Comité de
direction, toujours formé des Municipaux en charge du domaine scolaire, un Conseil intercommunal
composé de Conseillers communaux, élus suivant une proportion atténuée (en faveur des plus petites
communes) de la population des collectivités membres; elles se trouvaient en outre à la veille de gros
travaux d’extension des locaux d’enseignement, commandés par l’évolution démographique, et la nouvelle
structure était plus adéquate pour décider, cofinancer et suivre cette phase de construction, puis, à terme,
pour en acquérir la propriété.

Abbaye d'Yverdon

  • CH - Abbaye d'Yverdon
  • Collectivité
  • 1819 - à nos jours

Abbaye de Prilly

  • CH - Abbaye de Prilly
  • Collectivité
  • 1875 - aujourd'hui

1810: Fêtes à intervalles plus ou moins réguliers, sans mention d'une société organisée avec des statuts.
1875: Date officielle de la naissance de l'Abbaye de Prilly.
1896-1900: Cette société prend forme juridiquement.
1904: 1er drapeau
1937: Proposition de fusion entre l'Abbaye des Travailleurs et celle de l'Union.
1949: Aboutissement d'une étude sur la proposition de fusion.
12.11.1949: une assemblée générale qui réunit 87 membres des deux sociétés adopte les nouveaux statuts de la nouvelle société.
1980: inauguration d'une nouvelle bannière.
1975: l'Abbaye fête son centenaire.
2000: Festivités pour le 125ème anniversaire.

Association de la Broquine

  • CH - Association de la Broquine
  • Collectivité
  • 1975 - 2015

La bibliothèque enfantine La Broquine, située dès ses débuts dans le bâtiment de l’Ancienne Poste 4, est durant de nombreuses années gérée par une association fondée en 1975. Les différentes tâches liées au fonctionnement de la bibliothèque sont essentiellement assumées par des bénévoles, supervisés par le comité de l’association réparti en groupes de travail. Une première bibliothécaire à mi-temps est engagée en 1987. En 2015, l'association est dissolue et la Broquine est communalisée et intégrée à la Bibliothèque publique d’Yverdon, une action proposée par la commune, qui a été votée et approuvée en assemblée de l’association.

Association des commerçants de Prilly

  • CH - Association des commerçants de Prilly
  • Collectivité
  • 1937-1944

1937: naissance de l'Association des commerçants de Prilly (ACP)
1944: l'Association se transforme en ACAP, après avoir accueilli des artisans en son sein.
1979: disparition de l'ACAP et de la Société des intérêts de Prilly (SIP) au profit d'une nouvelle association, la Société Industrielle et Commerciale de Prilly et Environs (SIC)

Association des orgues

  • CH - Association des orgues
  • Collectivité

association constituée pour l'acquisition de nouvelles orgues au temple d'Yverdon

Association du Bâtiment de l'Etoile

  • CH - Association du Bâtiment de l'Etoile
  • Collectivité
  • 1901- à nos jours

L’Association du Bâtiment de l’Etoile naît de la volonté de trois entités yverdonnoises de se réunir sous un même toit. Initié en 1895, ce rapprochement entre l’Union Chrétienne des Jeunes Garçons (UCJG), l’Union Chrétienne des Jeunes Filles (UCJF) et la Croix-Bleue est acté le 11 octobre 1900 lors de la signature des statuts de la société de l’Etoile. Ces trois entités se regroupent tout d’abord sous le nom de Société Immobilière de l’Etoile pour ensuite devenir l’Association du bâtiment de l’Etoile en novembre 1970. Le comité de l’Etoile se compose de trois membres (président, secrétaire, caissier) qui doivent être issus des sociétés propriétaires.
Après une tentative d’achat avortée qui occupe les premières années d’existence de La Société Immobilière de l’Etoile, l’assemblée approuve en 1920 l’achat de l’immeuble de la rue du Four 21 qui sera détruit et où sera érigé le bâtiment actuel de l’Etoile. Celui-ci, construit sous la direction de l’architecte Oberhänsli, mettra moins de deux ans à sortir de terre et est inauguré le dimanche 18 juin 1922.
Les années qui suivirent vont progressivement voir le nombre de location des salles du bâtiment augmenter tout comme le nombre de membres des sociétés y résidant. C’est pourquoi, en 1932, dans un souci de garder ces locataires, l’Etoile entreprend la jonction entre deux salles via la destruction du mur les séparant et avec la construction d’une paroi mobile.
Durant les années de guerre, certaines salles du bâtiment sont réquisitionnées par l’armée impliquant un manque à gagner. De plus, les restrictions d’utilisation du gaz et la difficulté à trouver de quoi alimenter les thé-vente grève un peu les finances de l’Etoile.
Entre septembre 1950 et mai 1951, la section yverdonnoise de l’Union Chrétienne des Jeunes Filles est dissoute faute de membres suffisants, impliquant que les obligations inhérentes à ce copropriétaire historique et locataire ne sont plus remplies. Les conséquences seront toutefois minimes car la section locale de UCJF se reforme rapidement.
Dans les années 1970, de grands travaux de rajeunissement sont entrepris peu avant la célébration des 50 ans du bâtiment de l’Etoile (1972). Depuis cet anniversaire, l’Association a ponctuellement fait des travaux plus ou moins conséquents, dont une rénovation complète en 2005, afin d’entretenir et de rénover les salles misent à la location.

Auberge de la Fleur-de-Lys

  • CH - Auberge de la Fleur-de-Lys Prilly
  • Collectivité
  • 1974-aujourd'hui

1974: Ouverture de l'Auberge de la Fleur-de-Lys par M. et Mme Rochat (Paul et Yvonne).
xxxx: Reprise du restaurant familial par Rochat (Daniel et Mireille).
2009: Reprise de la cuisine par Rochat (Stéphane), fils de Daniel et Mireille.

Billard Club Ouest Lausannois BOL

  • CH - BOL
  • Collectivité
  • 1942-2012

Assemblée constitutive du Billard-Club Renens à l'Hôtel de la Gare, en date du 27.03.1942. Le club se réunit à Renens entre 1942 et 2012. Le procès-verbal du 16.01.2012 précise que le Billard-Club Renens va déménager à Ecublens et changer de nom, pour devenir le Billard de l'Ouest Lausannois BOL.

Billard Club Prilly

  • CH - Billard Club Prilly
  • Collectivité
  • 1981-2012

1981: fondation du club de billard à Prilly, suite à la fusion des clubs de Prélaz-Ouest Prilly et Lausanne-Billard-Club.
2012: fusion avec le club de Renens, sous le nom de Billard Ouest Lausannois (BOL) dont le siège est à Ecublens.

Blonay - Commune

  • CH - Blonay
  • Collectivité
  • 1184 - nos jours

Comm. VD, distr. de Vevey dès 1798, comprenant B. (villages de Tercier et Cojonnex devenus quartiers de B.) et plusieurs hameaux (dont Les Chevalleyres), s'étageant de 500 m env. à 1400 m env. (Pléiades). Elle tire son nom de la famille de B. 861 Blodennaco, 1108 Bloniaco, XIIIe s. Blonay, Blonai, Blunai. 1244 hab. en 1764 (avec Saint-Légier), 800 en 1798, 832 en 1850, 1048 en 1900, 1351 en 1950, 4695 en 2000. Pierre à cupules, nécropole et vestiges préhistoriques. B. faisait partie de la seigneurie du même nom qui regroupait, à la fin du XIIe s., la terre de B., celles de Saint-Légier-La Chiésaz, de Corsier et de Vevey, mais qui sera divisée à plusieurs reprises (Saint-Légier-La Chiésaz échangé en 1363, racheté à la fin du XVIe s., puis passant par mariage aux Joffrey). En 1750, à la suite de difficultés financières, la seigneurie de B. fut vendue à Emanuel Franz Rudolf von Graffenried. Les seigneurs de B. eurent jusqu'en 1798 le droit de basse, moyenne et haute justice (le gibet est visible sur un plan de 1671), les droits de dîme, péage, chasse et pêche. Sous le régime bernois (1536-1798), B. fit partie du bailliage de Vevey. La communauté (affranchie de la taille en 1478 seulement) était administrée au XVIIIe s. par deux conseils (des Douze et des Vingt-Quatre). A la fin du XVIIIe s., B. était la commune la plus rurale du bailliage de Vevey. Le 76% de sa population dépendait du secteur primaire (viticulture, céréaliculture, élevage). A l'aube du XXe s., l'agriculture restait encore l'occupation principale de la population. Les Bains-de-l'Alliaz exploitèrent au XIXe s. une source sulfureuse. Le développement de B. fut favorisé par le chemin de fer Vevey-B.-Chamby, inauguré en 1902, et par la crémaillère B.-Les Pléiades, en fonction dès 1911. L'activité de B. suivit l'évolution économique du district, dépendante de l'essor du tourisme régional d'avant la Première Guerre mondiale. A la fin du XXe s., B. conserve un secteur agricole et viticole, mais la majorité de la population est active dans les secteurs secondaire et tertiaire, occupée surtout hors de la commune. Plan de zones de 1970 remanié en 1976. B. mise sur l'accueil de petites entreprises du tertiaire, le tourisme familial (ski et ski de fond aux Pléiades, remise en fonction de la ligne B.-Chamby en 1998, abandonnée durant les années 1960).
Elisabeth Salvi, "Blonay", in Dictionnaire historique de la Suisse, , URL: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F2612.php^, version du 18/06/2007 .

Bobst SA

  • CH - Bobst SA
  • Collectivité
  • 1890-nos jours

CIGM - Centre intercommunal de glace de Malley

  • CH - CIGM
  • Collectivité
  • 1981-2016

En 1981, au vu de l’essor des sports de glace et conscientes d’un manque dans le paysage sportif vaudois, les Communes de Prilly, Renens et Lausanne ont décidé de s’unir afin de réaliser le Centre Intercommunal de Glace de Malley S.A. (CIGM).

Le CIGM a toujours tenu compte à la fois des souhaits des utilisateurs privés et de ceux des clubs de patinage et hockey-sur-glace et des écoles.

Ce projet d’envergure, devenu depuis un pôle incontournable des activités sur glace et organisation de manifestations en Suisse romande a été inauguré en 1984. Il comprenait en ce temps-là une patinoire couverte et deux patinoires extérieures exploitées en hiver, et huit courts de tennis exploités en été.

Evolution depuis 1984

Puis le site s’est modifié au fil des années pour rester en adéquation avec l’évolution des tendances. Il comporte à ce jour une patinoire à ciel ouvert et deux patinoires intérieures, transformables en salles omnisports ou de spectacles et pouvant recevoir de 1'000 à 10'000 personnes.
Le 14 décembre 2005, le Conseil d’administration a donné son accord pour la réalisation d’un nouveau bâtiment. En 2007, le CIGM s’est donc enrichi de quatre salles polyvalentes modulables, regroupées sous le nom Malley Event Center et pouvant accueillir jusqu’à 200 personnes par salle. Ce lieu d’exception a pour vocation d’accueillir séminaires, conférences, banquets, cocktails, tout ceci dans un environnement original.

Evolution depuis 2010
En 2010, sur demande du Conseil d'administration, un audit a été effectué pour évaluer quels travaux devraient être faits pour améliorer le site.
Ce rapport a permis de définir les coûts nécessaires aux travaux de reconstruction du site. Début 2014, les municipalités de Lausanne, Prilly et Renens ont demandé au CIGM de mener un concours d'architecture et le suivi d'un plan d'affectation cantonal. Ces projets ont été soumis aux Conseils communaux des trois communes.
En juin 2015, le jury du concours a sélectionné le lauréat du projet H20, présenté par le Bureau d'architecture Pont12.
Le CIGM a été chargé de réaliser la suite, soit la réalisation d'un pôle sportif d'importance cantonale, composé de piscines, patinoires, salles pour l'escrime et le tennis de table.

Pour que son mandat corresponde aux nouvelles activités qui lui ont été confiées, le CIGM a revu ses statuts et sa raison sociale en septembre 2016. Il est alors devenu le Centre Sportif de Malley SA (CSM SA).

Chanson de Prilly

  • CH - Chanson de Prilly
  • Collectivité
  • 1967-2017

1967: Nouvelle appellation pour le choeur mixte: "La Chanson de Prilly", nouvel essor.
1970: Création d'un petit choeur d'enfants, les Moineaux de la Chanson / 1ère soirée annuelle.
1986: la Chanson fait partie du giron choral de la Venoge.
1987: 1ère participation au Giron de la Venoge.
1989: 25ème anniversaire de la Chanson de Prilly
1990: dissolution de la sous-section des Moineaux, faute d'effectif
2014: 50ème anniversaire de la Chanson de Prilly
2017: dissolution de la Chanson de Prilly, faute d'effectif
2018: don des archives de la Chanson aux Archives communales de Prilly.

Choeur de dames de Prilly

  • CH - Choeur de dames de Prilly
  • Collectivité
  • 1937-1964

1937: création d'une section indépendante de l'Avenir, le choeur de dames, baptisé "La Coccinelle".
Ce choeur collabora à de nombreuses reprises avec le choeur d'hommes lors des soirées.
1964: dissolution.

Choeur mixte de Jouxtens-Mézery

  • CH - Choeur mixte de Jouxtens-Mézery
  • Collectivité
  • 1954 - (date inconnue)

Société formée en 1954

Chœur mixte de Prilly

  • CH - Choeur mixte de Prilly
  • Collectivité
  • 1963-1967

1963: Création d'un chœur mixte, suite à une suggestion du Chœur de dames de Prilly
1967: Nouvelle appellation pour le choeur mixte: "La Chanson de Prilly", nouvel essor.

Chorale L'Avenir

  • CH - Chorale L'Avenir
  • Collectivité
  • 1891-2001

1891: Création de la société de chant le 5 janvier, sous le nom de "société de chant l'Avenir de Prilly".
1893: Inauguration du 1er drapeau, offert par les épouses des chanteurs.
1909: Jules Corbaz et son épouse fondent et animent un groupe d'acteurs qui, pendant une trentaine d'années, assure la partie littéraire et dramatique des soirées annuelles.
1911: la société devient propriétaire de la "Bibliothèque populaire de Prilly". Gérée par une commission formée de chanteurs. Met à disposition de la population environ 3000 volumes. Ouverture 1-2 jours par semaine. Cesse son activité lors de l'ouverture de la bibliothèque communale à Castelmont.

Corps de musique

  • CH - Corps de musique
  • Collectivité
  • 1878 - 2005

Echo des Campagnes

  • CH - Echo des Campagnes
  • Collectivité
  • 1912-aujourd'hui

18.11.1912: création de la société chorale L'Echo des Campagnes

Association de Parents pour la Petite Enfance APPE

  • CH - Ecublens - APPE
  • Collectivité
  • 1988-actuel

Le 30 novembre 1988 a été créée à Ecublens l’Association de Parents pour la Petite Enfance A.P.P.E. Cette association a pris contact avec la Municipalité pour étudier l’exploitation d’une garderie d’enfants à Ecublens. Après plusieurs entretiens et études, la Municipalité a considéré qu’il serait préférable de charger une institution privée de créer et d’exploiter une garderie d’enfants, avec l’appui financier des pouvoirs publics, ceci dans l’attente de la création d’une garderie dans un bâtiment communal. L’A.P.P.E. s’est donc chargée de l’exploitation en échange d’une convention ainsi que de locaux adéquats.
La garderie-nurserie Domino a ainsi pu ouvrir ses portes le 15 avril 1991.
Jusqu'en juillet 2012, la nurserie garderie Domino était située au chemin des Esserts 12, 1024 Ecublens.
Elle accueillait 28 enfants par jour de la fin du congé maternité à l'entrée au cycle initial (10 en nurserie et 18 dans la garderie).
Depuis la rentrée 2012, la garderie nurserie a déménagé dans une nouvelle structure, plus grande et mieux adaptée à la demande croissante des parents, située à la Route du Bois 27 (face au centre commercial).
Rebaptisée Centre de Vie Enfantine Domino, la structure accueille dorénavant 90 enfants:
La nurserie accueille 15 bébés de 3 mois à 18 mois
Le groupe des trotteurs accueille 21 enfants de 18 mois à env. 2 1/2 ans
Le groupe des moyens accueille 30 enfants d'env. 2 1/2 ans à l'entrée à l'école enfantine
L'UAPE accueille 24 écoliers de 1ère et 2ème enfantines (Croset et Pontet)
La région offre de nombreuses possibilités de promenades dans la région ainsi qu'un grand choix de destinations grâce à l’arrêt du M1 à proximité : bord du lac, parcs, spectacles en ville de Lausanne, etc.

Ecublens - Administration générale

  • CH - Ecublens - Administration générale
  • Collectivité
  • 1799 à nos jours (?)

L'administration générale ou Greffe municipal a originellement pour tâche principale d'être le secrétariat de la Municipalité et ainsi, d'être au centre de l'organisation administrative communale.
Pendant des décennies, le Greffe municipal était le seul "service" de l'administration et regroupait l'ensemble des documents produits et reçus par la Commune.
Dès le 20ème siècle, de nouveaux services ont été créés au sein de l'administration, qui ont peu à peu repris des tâches du Greffe.

Ecublens - Autorités communales

  • CH - Ecublens - Autorités communales
  • Collectivité
  • 1799-nos jours

10 mai 1799: Constitution de la première municipalité. Celle-ci a probablement eu fonction d'autorité législative et exécutive pendant une quinzaine d'années: le Conseil général a vraisemblablement été constitué en 1816 (date du premier procès-verbal d'une assemblée du Conseil général).

Le 21 novembre 1909, un Conseil communal comportant 45 membre est élu.

Longtemps composée de 5 membres, la Municipalité est actuellement constituée de 7 élu/es.

Syndics d'Ecublens:

1848-1857: Musy (Louis)
1858-1859: Ducret (Henri)
1860-1861: Clerc (Louis)
1862-1865: Masson (Auguste)
1866: Clerc (Paul)
1867-1872: Ducret (Samuel)
1873-1882: Masson (Henri)
1883-1886: Musy (Louis)
1887-1893: Clerc (Victor)
1894-1896: Massson (Eugène)
1896-1911: Masson (Henri)
1912-1916: Bonzon (Adrien)
1916-1918: Masson (Adrien)
1918-1933: Ducret (Elie)
1934-1949: Ducret (François)
1950-1969: Jaquenoud (Adrien)
1970-1981: Teuscher (Pierre)
1982-1993: Masson (Jacques)
1994-1997: Bonzon (André)

Ecublens - Police communale

  • CH - Ecublens - Police communale
  • Collectivité
  • 1842-2007

En 1842, trois messeillers sont engagés par la Municipalité. Ils sont chargés de percevoir les finances provenant des frais de tauperie et messeillerie des propriétaires forins, de la surveillance des cabarets, de faire "dissiper les attroupements dans les rues, lors qu'il y aura lieu de compromettre la tranquillité publique".

En 1859, on note la présence de «messeillers» ainsi que d’un gendarme. Les premiers avaient pour mission principalement la «garde des récoltes et des pâturages». Au début du 20ème siècle, des gendarmes chargés du maintien de l’ordre public étaient nommés par la commune. Le Conseil général refusa en 1902 d’envisager une collaboration avec les gendarmes de Renens. En 1861 un agent de police pour les cafés est engagé.

Dès 1923, un "agent de police permanent" est nommé. Ses fonctions sont variées : Agent de police (surveillance des établissements publics, dénonciation des contraventions aux lois et aux règlements de Police, surveillance des forêts, surveillance des personnes suspectes et des vagabonds, surveillance des mesures de précaution contre l’incendie, responsabilité de donner l’alarme en cas d’incendie, préparation des corbillards, conduite des cortèges mortuaires); Huissier (service de propreté, entretien et chauffage de la salle de Municipalité, convocation des membres de la Municipalité aux séances, remise de communications officielles et des décisions municipales, affichage des lois et arrêtés fédéraux et cantonaux, des décisions municipales et des actes d’Etat-civil, remise aux établissements publics des pièces à afficher, criée aux mises communales, convocation des membres du conseil communal et de la commission scolaire); Contrôle des habitants et bureaux des étrangers; Préposé à l’électricité; Service d’Eglise; Préposé aux assurances (dès 1951, il est également préposé à l’office communal de placement) et Inspecteur des viandes.

Le règlement communal de police de 1935 nous indique que l'agent de police est en charge de la signalisation routière, de la circulation et du stationnement. Par la suite, la police municipale suit également les projets d'aménagements routiers aux côtés du service des travaux.

En 1923, Fivaz (César) est engagé au poste d'agent de police permanent. Il est remplacé en novembre 1931 par Rieben (André) qui occupe la fonction jusqu'en 1959. Perret (Marc) lui succède. Au vu de l'augmentation rapide de la population, un second poste d'agent est créé en 1962. Il est occupé par Pointet (Armand). Rochat (Charles) est nommé commissaire de police en 1969 et en janvier 1988, il cède sa place à Morend (Daniel-André) qui dirige le service jusqu'en 1993. En 1994 Tréboux (Pascal) lui succède. En 2007, le service compte 16 employés ainsi que 6 patrouilleurs scolaires.

En 2008, La Police communale d’Ecublens est intégrée dans la POL (Police de l’Ouest Lausannois) qui regroupe les 8 communes du District de l’Ouest lausannois, soit Bussigny, Chavannes-près-Renens, Crissier, Ecublens, Prilly, Renens, St-Sulpice et Villars-Ste-Croix. La direction de la POL se situe à Renens dans un premier temps. Elle déménage à Prilly en 2013. Deux postes de police de base sont sont situés à Renens et à Ecublens (ouverts du lundi au vendredi). Des points d’appui, aux heures d’ouverture réduites se trouvent Bussigny, Chavannes-près-Renens, Crissier et St-Sulpice.

Le personnel du service de police communal change alors d'employeur et est transféré à l'association de communes pour la sécurité dans l'Ouest lausannois (Polouest). Le capitaine Tréboud (Pascal), ancien commissaire et chef du service de police occupe dès lors la fonction de répondant communal au sein de cette nouvelle organisation.

Ecublens - Service de la culture, de la jeunesse, des sports, de l'intégration et des églises

  • CH - Ecublens - Service culture
  • Collectivité
  • 2012 à nos jours

Le Service de la culture, de la jeunesse, des sports, de l'intégration et des églises est créé à Ecublens en 2012. Avant sa création coexistaient le Service des affaires culturelles, sportives et de loisirs et le Service des affaires sociales. Suite à une étude de fonctionnement réalisée par l'IDHEAP en 2010, la Municipalité a décidé de créer un nouveau service pour ce dicastère.

Ecublens - Service de l'urbanisme et des constructions

  • CH - Ecublens - Service de l'urbanisme et des constructions
  • Collectivité
  • 2005-nos jours

La gestion des affaires liées à l'aménagement du territoire et à la police des constructions a longtemps été l'apanage du Greffe Municipal.
Vers 1960-1961: création d'une commission d'urbanisme, chargée de suivre les questions liées aux constructions et à l'aménagement du territoire.
Jusqu'au début des années 2000, la Municipalité travaillait avec des bureaux extérieurs tandis que l'Administration générale assurait le secrétariat.
En 2005, lors du changement de secrétaire municipal (départ à la retraite de M. Jacques Bertoliatti, reprise du poste par son adjoint M. Philippe Poget), la police des constructions est reprise par M. Gilliéron, engagé au Service des Bâtiments).
En 2008, un collaborateur est engagé pour s'occuper de l'aménagement du territoire (M. Bonzon, remplacé peu après par M. Besson).
En 2012, le Service de l'urbanisme et des constructions est officiellement créé. Il comprend un chef de service (M. Gilliéron), un collaborateur spécialisé (M. Besson) et une secrétaire.

Ecublens - Service des Bâtiments

  • CH - Ecublens - Service des bâtiments
  • Collectivité
  • 1990-nos jours

Ce service a été créé en (date à vérifier). Chefs de service: M. Meuter (Ronald), de (?) à 2010. M. Canedo (Ramiro), de 2010 à 2012. M. Bieri (Claude-Alain) dès 2012.
Nomination de M. Menoud (Yolan) à la tête du service en 2017.

Ecublens - Service des Travaux

  • CH - Ecublens - Service des travaux
  • Collectivité

Depuis xxxx, le chef de service est M. Morano (Marcos). Avant lui, le service était dirigé par M. Rossier (Charly) qui succède à Wenger (Paul) le 1er mars 1990 à l'occasion de la fusion du service des travaux et du service des parcs et promenades.

Société de développement d'Ecublens

  • CH - Ecublens - Société de développement
  • Collectivité
  • 1919-

En date du 18.12.1919, fondation de la société de développement dont le but premier est de s'occuper de la réfection de la grande salle et de l'aide financière à apporter à la commune dans ce but.

Fondations Petitmaître - maisons d'accueil

  • CH - Fondation Petitmaître
  • Collectivité
  • 1957 - à nos jours

Erigée en fondation en 1957, la maison des orphelins de la Fondation Petitmaître accueille ses premiers pensionnaires en 1961. D'abord nommée maison des orphelins, puis, dès 1975 foyer Petitmaître, elle devient Fondation Petitmaître - maisons d'accueil en 2007.

Fonds intercommunal de soutien aux institutions culturelles de la région lausannoise

  • CH - Fonds intercommunal de soutien aux institutions de la région lausannoise
  • Collectivité
  • 1988-nos jours

1988: Dans le cadre de la reconnaissance du caractère régional des prestations fournies par certaines institutions culturelles lausannoises, les communes signataires de la convention de 1988 décident de contribuer à leur financement et d'en régler les modalités par une convention, créant ainsi le "Fonds intercommunal de soutien aux institutions culturelles de la région lausannoise".

Gymnastique des hommes

  • CH - Gymnastique des hommes
  • Collectivité
  • 1906 - 2017 (?)

Société fondée en 1906. Dès les débuts, elle compte deux sections: gymnastique des hommes et choeur. En 2005, la section gymnastique cesse ses activités, suivie en 2012 de la section choeur, dont les membres se réunissent par la suite encore sous forme d'amicale.

Jouxtens-Mézery - Commune

  • CH - Jouxtens-Mézery - Administration communale
  • Collectivité
  • 1798-nos jours

Les autorités communales sont constituées de la Municipalité, composée du syndic et de 4 Municipaux. Le Conseil communal a remplacé le Conseil général dès le 1er janvier 1990.
L'administration communale de Jouxtens-Mézery est constituée d'un/e secrétaire municipal/e et, depuis xxxx, de secrétaires qui se répartissent l'ensemble des tâches de l'administration.
Liste des secrétaires municipaux:
1950-1956: Rapin (Ch.)
1956-1958: Bally (L.)
1959-1983: Debély (Jean-Louis)
1984-sept. 1985: Pauchon (Willy)
sept. 1985- mars 2007: Zoëll (Christine)
2007- mai 2017: Monod (Christian)
juillet 2017 - ... : Bergmann (Mme).

La Récréation

  • CH - La Récréation
  • Collectivité
  • 1853 - 2017

En 1853, Orbe, berceau de la société cantonale des chanteurs vaudois, organise la première Fête cantonale regroupant 26 sociétés, uniquement masculines. Des chanteurs yverdonnois y participent et fondent la même année un chœur d’hommes, « La Récréation », qui adopte ses statuts en 1854.
La société atteint son effectif record en 1921 à l’occasion du Concours cantonal de Lausanne : 106 chanteurs.
Dès 1877, les dames intègrent progressivement La Récréation. Elles collaborent à plusieurs concerts au début du 20e siècle. En 1930, une sous-section « dames » est fondée. Dès lors, La Récréation se présente dans les trois formations : hommes, dames ou mixte selon les circonstances jusqu’en 1967, année d’adoption de sa formation mixte. Plusieurs succès sont à à attribuer au Choeur mixte :Flûte de roseau, Jeu du Feuillu, Trois âges de l'homme, Cadran solaire, Nuit des Quatre Temps, La Rue des 13 Métiers.
En 1930, le choeur rejoint le Giron de la Menthue.
Depuis sa création, il organise de multiples manifestations d’envergure dont plusieurs Fêtes cantonales des chanteurs vaudois, des jubilés (50ème, 100ème, 125ème, 150ème et 160ème) ainsi qu’Opéra Pestalozzi pour n’en citer que quelques-unes. Elle reçoit également de nombreux prix lors de concours cantonaux, nationaux et parfois même internationaux (en France notamment). Sa renommée dépasse dès lors les frontières suisses.
La société fête son centenaire en 1954 et inaugure à cette occasion son cinquième drapeau.
A la fin du 20e siècle, le recrutement de nouveaux chanteurs devient difficile. Le nombre des membres ne cessant de diminuer, la société est dissoute à l’automne 2018, alors qu’elle ne compte plus que 19 membres.

Le Mont-sur-Lausanne - Commune

  • CH - Le Mont-sur-Lausanne - Administration communale
  • Collectivité

Commune du district de Lausanne, au nord de l'agglomération lausannoise, à la lisière des bois du Jorat, se composant du Petit-Mont, du Grand-Mont et des Planches. Première mention en 1237 (Monte super Lausannam). 514 habitants en 1764, 658 en 1798, 1000 en 1850, 1099 en 1900, 1383 en 1950, 2692 en 1970, 5182 en 2000. Au Moyen Age, Le Mont-sur-Lausanne, divisé en plusieurs petits fiefs, dépendait de l'évêque de Lausanne. Il fit partie du bailliage bernois de Lausanne de 1536 à 1798, puis du district de Lausanne. Au XVIIIe s., la commune était administrée par un grand gouverneur, un maréchal et trois petits gouverneurs (un par hameau). Au militaire, ses habitants marchaient sous la bannière de la Cité. La chapelle de Saint-Jean l'Evangéliste, filiale de la paroisse Saint-Paul à Lausanne, était située près du cimetière actuel. Après la Réforme, Le Mont-sur-Lausanne. devint paroisse (foraine en 1545, avec pasteur résident en 1811). Le temple actuel, en Coppoz, date de 1797, la cure de 1835. Dès 1906, le village fut relié à Lausanne par le tramway. La grande salle du Petit-Mont fut inaugurée en 1955, le nouveau centre administratif et scolaire en 1991. Depuis 1960, la commune qui vivait principalement d'agriculture, devint une commune résidentielle et industrielle à la suite de la création des quartiers de villas du Petit-Mont, des Planches et de la Perrause et des zones industrielles du Rionzi, de Budron et de la Clochatte. (François Béboux, "Mont-sur-Lausanne, Le", in Dictionnaire historique de la Suisse, version du 02/12/2008, URL: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F2409.php)

Lutry - Bourse communale

  • CH - Lutry
  • Collectivité
  • 1375 - à nos jours

Parmi les communes vaudoises, Lutry est l'une de celles qui possède les plus vieux registres de comptes. Avant elle, on trouve à Villeneuve des comptes déjà en 1283, et à Vevey en 1356, puis Lausanne en 1377, Yverdon en 1379, Nyon en 1386, etc.

Lutry - Commune

  • CH - Lutry
  • Collectivité
  • 1214 - nos jours

La Lyre yverdonnoise

  • CH - Lyre yverdonnoise
  • Collectivité
  • 1894 - 2007

La Lyre yverdonnoise s’identifie comme un chœur d’homme. Elle se constitue en 1894. Elle possède une devise (« Amitié et travail ») ; son drapeau, inauguré en 1896, figure Johann Heinrich Pestalozzi et la formule emblématique de la ville d’Yverdon-les-Bains : « Superna quaerite ».
Comptant 22 membres à sa fondation, la Lyre accueille un nombre croissant de chanteurs et en réunit une centaine à son 25e anniversaire en 1919. Des difficultés dans le recrutement marquent pourtant la fin de son existence, lorsque, entre 1999 et 2000, le nombre de chanteurs est jugé insuffisant pour assumer les activités du chœur. Pour pallier ce problème, une collaboration est mise en place avec le chœur d’hommes « La Vigneronne de Montagny-près-Yverdon » . Cette collaboration donne naissance quelques années plus tard à un nouveau chœur d’hommes nommé « Chor’hom » (2005).
La Lyre yverdonnoise poursuit une activité soutenue tout au long de son existence. Elle parvient à maintenir un certain nombre d’activités annuelles (concert annuel, culte du souvenir à la Toussaint, veillée de Noël, courses pour les membres) tout en s’investissant dans des projets ponctuels de grande envergure. La Lyre s’implique particulièrement dans les concours de l’Association cantonale des chanteurs vaudois et de la Société fédérale des chanteurs ainsi que dans le Giron choral de la plaine de l’Orbe dont elle organise certaines éditions.

Châtelard, Le - Bureau des travaux

  • CH - Montreux--01
  • Collectivité
  • 1896-1961

Le contrôle et la réglementation du bâti par la commune du Châtelard prend ses racines au XVIIIème siècle, au moment où on voit apparaître des documents relatifs à l'établissement de routes et de lignes de chemin de fer. La construction de ces voies de communication va créer des frictions avec les intérêts des particuliers qui possèdent des biens-fonds ou des constructions et qui devront être détruits ou expropriés au bénéfice de la communauté.

La commune de Montreux-Châtelard est confrontée relativement tôt à ce problème: elle anticipe même sur les législations cantonales en édictant un règlement sur la police des constructions dès 1892. Dépassée par l'augmentation exponentielle de l'urbanisation, la municipalité du Châtelard nomme dans les années 1890 l'architecte Louis Villard (père) au poste de surveillant des travaux. Il sera remplacé dès 1896 par un directeur des travaux, poste auquel se succèdent les ingénieurs William Cosandey (1896-1903), Georges-Frédéric Blanchod (1903-1907), William Cosandey (1907-1918) et Hubert Chappuis dès 1918.

En 1961, à la disparition de la Commune de Montreux-Châtelard, le bureau des travaux compte 6 employés. Ils ont la charge de la police des constructions, des commissions d'urbanisme et de salubrité, des collecteurs d'eaux usées ainsi que de l'éclairage public, des plans de quartier et plans d'extension, de gérance des domaines et bâtiments communaux. Les travaux de voirie et la réfection des routes relèvent également du bureau des travaux.

En 1962, les bureaux des travaux des communes de Montreux-Châtelard et de Montreux-Planches sont réunis suite à la fusion des communes. Le bureau des travaux de la commune de Montreux gérera alors les mêmes dossiers que ses prédécesseurs avant de se séparer dans les années suivantes pour donner naissance aux services des travaux, service de voirie, service des domaines et bâtiments et service de l'urbanisme.

Châtelard, Le - Commune

  • CH - Montreux--02
  • Collectivité
  • 13ème siècle - 1961

En 1962, les communes du Châtelard et des Planches ont fusionné pour donner naissance à la commune de Montreux.

Montreux - Villages de Chêne-Sâles-Crin

  • CH - Montreux--03
  • Collectivité
  • inconnu - ce jour

Il est impossible de dater de manière précise la naissance des villages de Chêne, Sâles et Crin. La première trace dans le fonds qui nous intéresse ici est une reconnaissance des prud’hommes de Sâles envers le seigneur du Châtelard qui délimite le territoire de Sâles en 1502.

Avant cette date , on trouve une mention de la Métralie douz Chanoz dans le règlement édicté par le seigneur du Châtelard en 1496 qui établit le fonctionnement d’un Conseil de 30 membres pour régir l’administration et la communauté du Châtelard . Comme certains autres villages, la Métralie en question est alors une fraction administrative du Châtelard qui sert de base à la représentation dans le Conseil des 30. En marge de ces activités politiques, les villages assemblés sous la présidence de gouverneurs s’occupent alors de la gestion de leurs biens (four et fontaines) et prennent des décisions qui concernent les intérêts de toute la communauté. Vu sa taille, la Communauté du Châtelard s’appuie sur les administrations villageoises et leur délègue certaines des attributions des communes précisées dans les lois bernoises de 1577 et 1616.

Le fait que, par délégation, les villages de Montreux assument des services publics (en particulier la distribution de l’eau) fait qu’ils seront reconnus comme fractions de Commune par la loi vaudoise du 2 juin 1815, statut que Sâles, Chêne et Crin ont conservé jusqu’à ce jour.

Les registres du fonds de Sâles, Chêne et Crin attestent de la tenue d’assemblées à partir du XVIIIè siècle. Si les registres sont tenus de manière séparées pour la métralie de Sâles (et Crin) et celle de Chêne (et Pallens), il n’est pas rare que les administrés de tous les villages siègent ensemble. À partir de 1807, on trouve des registres communs, mais ce n’est qu’en 1842 que l’assemblée décide qu’il n’y aura dorénavant plus qu’un seul gouverneur pour tous les villages.

Pour ce qui est des compétences propres aux administrations de Sâles, Chêne et Crin, celles-ci s’articulent avant tout autour de la sécurité (choix des gardes-champêtres) et de la gestion des eaux claires et sources. Ainsi une grande partie du fonds est liée à des questions relatives aux fontaines ou encore à la source du Maralley, qui est gérée en copropriété entre les villages de Chêne-Sâles-Crin et le village des Planches selon une décision baillivale de 1616. Dans la deuxième partie du XIXè siècle on voit d’ailleurs apparaître une commission des eaux composée de membres des villages de Sâles, Chêne et Crin ainsi que des Planches.
La gestion des eaux amène les administrés des villages à se prononcer sur l’entretien de leur(s) fontaine(s), des canalisations qui causent nombre de dommages aux bâtiments, routes ainsi qu’au pont, mais également sur la question de l’eau courante (1834 puis 1848), ou encore la gestion des abonnements à l’eau qui concerne autant des particuliers que des industriels. Ils font procéder à des analyses pour s’assurer de la salubrité et la qualité de leur source et se trouvent d’ailleurs mêlés à un conflit à ce sujet qui sera porté jusqu’au Conseil fédéral (affaire Ducret). La construction de la ligne de chemin de fer Montreux-Glion, et plus tard celle de l’autoroute du Simplon causeront d’autres soucis pour son exploitation. L’histoire de la source est encore marquée par d’autres problèmes, notamment un litige avec la société foncière de Bon-Port dans les années 1910-1920.

Parmi les autres attributions des villages, on voit apparaître la gestion de l’éclairage public en 1897, activité attestée jusqu’en 1926. Enfin, dans les années 1900, les constructions du chemin de fer et de la gare MOB à Montreux pousseront les villages de Chêne, Sâles et Crin à adresser leurs doléances concernant la fermeture d’un accès piétonnier à la gare au Conseil fédéral.

Enfin, « privilège » des fractions de communes, Chêne, Sâles et Crin peuvent prélever des impôts si cela s’avère nécessaire dans la gestion de leur service public. Ils doivent alors en faire la demande auprès du Conseil d’Etat : cette démarche est attestée par un arrêté d’imposition daté de 1928. On notera qu’alors, Sâles, Chêne et Crin sont les seuls villages de Montreux à figurer sur la liste…

Montreux - Village des Planches

  • CH - Montreux--04
  • Collectivité
  • inconnu - ce jour

L’administration du village des Planches, métralie sous l’Ancien Régime puis fraction de la Commune des Planches et enfin fraction de la Commune de Montreux, s’est semble-t-il constituée autour du four banal, bien administré en commun par les habitants du village. En effet, les documents les plus anciens du fonds émanent du Conseil des propriétaires du Four (procès-verbaux A1 à A4) ou concernent directement le four (E2 à E10, à l’exception de E3). Le fait qu’aient été conservés avant tout les documents ayant rapport au four confirme l’importance accordée au four, non seulement pour son côté indispensable dans la vie des habitants, mais certainement également parce que l’installation commune a « légitimé » la naissance de l’administration du village.

Outre la gestion de ce four, l’administration du village des Planches a eu la charge de la gestion de son eau, et ce, depuis le XVIIè siècle. En effet, une décision baillivale datée de 1616 atteste de la propriété en commun des administrations des Planches et de Chênes et Sâles sur les eaux provenant de la source du Maralley, en-dessus de l’Eglise paroissiale . Ce document confirme une pratique déjà existante, donc antérieure à la date de 1616. Par la suite, la gestion, la distribution, la vente ainsi que les travaux d’amélioration du captage des eaux occupent en grande partie les autorités villageoises, comme en attestent les 33 entrées HA de l’inventaire (3 cartons recoupant 270 ans d’exploitation de la source). Cette gestion occasionnera d’ailleurs quelques heurts avec les propriétaires adjacents des terrains où sourd l’eau ou avec certains abonnés au réseau d’eau . De même, la construction de l’autoroute du Simplon et du tunnel de Glion donnera lieu à des études techniques afin de se prémunir de toute baisse éventuelle du débit de la source du Maralley.

Enfin, si le village des Planches a conservé son statut de fraction de commune, il est intéressant de constater qu’il le doit avant tout à son autorité en matière de gestion des eaux. En effet, alors que les fractions de communes sont autorisées à prélever des impôts pour subvenir à leurs besoins, le village des Planches n’a plus sollicité d’arrêté d’imposition auprès du Conseil d’Etat depuis 1926, date à laquelle la plupart des fractions de la Commune des Planches disparurent suite à la reprise en main par cette dernière des services publics que les villages assumaient jusque là. Seuls Glion et Les Planches restèrent alors des fractions de commune .

A noter encore les documents classés sous U1, qui font référence dans les autres villages de la commune de Montreux. Le village des Planches a en effet demandé un avis de droit sur son statut de fraction de commune. Intéressants également, les documents Y1 qui concernent la convention qu’a passée le village des Planches avec la société électrique Vevey-Montreux concernant le tramway qui dessert le village.

Montreux - Village de Chailly

  • CH - Montreux--05
  • Collectivité
  • inconnu - à ce jour

Comme pour les autres villages de la commune de Montreux, il n’est pas possible de dater de manière précise la naissance de l’administration du village de Chailly. Néanmoins, on trouve une mention de la Métralie de Chaillex dans le règlement édicté par le seigneur du Châtelard en 1496 qui établit le fonctionnement d’un Conseil de 30 membres pour régir l’administration et la communauté du Châtelard . Comme certains autres villages, la Métralie en question est alors une fraction administrative du Châtelard qui sert de base à la représentation dans le Conseil des 30. En marge de ces activités politiques, les villages assemblés sous la présidence de gouverneurs s’occupent alors de la gestion de leurs biens (four et fontaines) et prennent des décisions qui concernent les intérêts de toute la communauté. Vu sa taille, la Communauté du Châtelard s’appuie sur les administrations villageoises et leur délègue certaines des attributions qui devraient lui revenir.

Le fait que, par délégation, les villages de Montreux assument des services publics (en particulier la distribution de l’eau) fait qu’ils seront reconnus comme fractions de Commune par la loi vaudoise du 2 juin 1815. Le statut de fraction sera abrogé à Chailly en 1939 par la dissolution de l’administration du village et la constitution de la société de développement de Chailly « dont chaque habitant serait invité à faire partie, Suisse ou étranger » . Cette citation marque clairement le changement entre la fraction de commune et la société de développement. En effet, l’administration du village de Chailly se pose fréquemment la question depuis le début du XXe : le fait que la fraction de commune rassemble les seuls propriétaires immobiliers de Chailly n’est pas conforme aux lois et constitutions. D’une part, une telle assemblée exclut les habitants qui ne sont pas propriétaires et instaure ainsi un cens, d’autre part, des étrangers propriétaires peuvent assister à ces assemblées et participer aux décisions alors même qu’ils n’ont pas le droit de vote auprès des autorités communales, cantonales et fédérales.

Cela étant, les registres attestent d’une activité continue de l’assemblée des propriétaires depuis 1650 jusqu’en 1939. 1650 est également la date du document le plus ancien conservé dans les archives du village (outre les comptes). Il s’agit de l’Extrait de la recognoissance du Village de Chailly es mains du Commissaire Dumaine (Place du four) . Durant ces nombreuses années, l’administration du village de Chailly a assumé des services publics qui ont trait à la sécurité (gardes-champêtres, guets puis pompiers) et à la gestion des eaux (entretien des fontaines, tuyaux de distribution, recherche de nouvelles sources ). Au tournant du XXè siècle, on voit apparaître parmi les attributions du village la question de l’éclairage public, mais aussi celle du rattachement téléphonique ou encore de la voirie (enlèvement des balayures).

Enfin, « privilège » des fractions de communes, Chailly peut prélever un impôt si cela s’avère nécessaire dans la gestion de ses services publics. Il faut alors en faire la demande auprès du Conseil d’Etat : cette démarche est attestée par une série d’arrêtés d’impositions délivrés par les autorités vaudoises . Il est intéressant de noter que, pour prélever ces taxes, l’assemblée procède, deux fois par année à un recensement de la population et du bétail. Absents dans les autres administrations villageoises à Montreux, ces chiffres permettent d’établir des statistiques démographiques.

Enfin, les archives de deux sociétés locales complètent le fonds. Il s’agit de la société d’assurance sur le bétail de Chailly , créée en 1869 et qui réunit les propriétaires de bétail des villages de Brent, Baugy, Tavel, Clarens, les deux Planchamp et Chailly ainsi que la société de laiterie (successivement Nouvelle laiterie de Chailly puis association immobilière de Chailly).

Montreux - Village de Chernex

  • CH - Montreux--06
  • Collectivité
  • inconnu - à ce jour

Le plus vieux document du fonds, daté de 1496, est une reconnaissance de titre classée sous E1, mais dont le contenu est encore à identifier. Pour le reste, les documents attestant de l’activité de la métralie de Chernex débutent aux environs de 1650.

Il est étonnant de constater le nombre de documents attestant de transactions entre particuliers, documents qu’il est également surprenant de rencontrer dans un fonds de village dépourvu d’instance juridique. L’explication la plus probable à l’existence de ces documents (OA et OB) serait qu’une des fonctions de la Cour du Château du Châtelard ait été exercée par un ressortissant de Chernex, voire par une famille de Chernex, qui, au fil des générations, est partie avec des doubles des actes. Mais cette assertion reste à vérifier.

Pour ce qui est des procès-verbaux des assemblées, les registres contenus dans le fonds débutent en 1720 et continuent jusqu’en 1941, avec une béance inexpliquée de 100 ans entre 1814 et 1915 : les registres ont disparu. En revanche, la date de 1941 a une explication puisque c’est à cette période que l’Etat de Vaud a pris acte de la décision de Chernex de ne plus prélever d’impôts. Ceci met un terme à l’existence de la fraction de commune de Chernex et a pour conséquence la fin des archives : les registres de procès-verbaux, les copies de lettres et les documents financiers s’interrompent au tournant de l’année 1942. Dès lors, l’administration du village fonctionne de manière différente et les pièces ne seront plus versées au même fonds d’archives.

La métralie de Chernex est reconnue par le règlement de la Communauté du Châtelard de 1792 comme étant une grande métralie. Toutefois, son assemblée siège parfois avec les ressortissants de Sonzier, comme cela semble être le cas particulièrement dans le registre A2. De même, Chernex et Sonzier se rassemblent pour ce qui concerne les questions d’école puisque les deux villages font partie de la même régence. D’ailleurs, les litiges avec les régents successifs prennent une place importante dans l’ensemble du fonds (voir section P). Et si les écoles sont un des domaines de compétences des fractions de communes, on rappellera ici que, par ailleurs, les villages géraient également la distribution des eaux et des fontaines et qu’ils avaient à leur charge les fonctions de sécurité, telle la prévention des incendies ou la nomination des gardes champêtres. À ce sujet également, les archives du village relatent un cas de litige avec la commune du Châtelard, lorsqu’en 1753, il s’oppose à la procédure habituelle de nomination des guets et s’expose à la colère du Châtelard devant ce « ridicule refus » (NA3).

Montreux - Village de Glion

  • CH - Montreux--07
  • Collectivité
  • inconnu - à ce jour

Comme dans nombre d’autres villages de la paroisse de Montreux, l’origine de l’organisation villageoise de Glion est incertaine. Le premier document présent dans le fonds remonte à 1693. Cette pièce, qui est la première attestant d’une organisation autonome à Glion est un règlement pour la fontaine que possèdent en commun les « possesseurs de terres et bâtiment rière le district de Glion » .

L’organisation d’un village autour d’une fontaine ou d’un four est fréquente dans la Paroisse de Montreux. Mais alors qu’au Châtelard, les villages ou « métralies » servent de base à l’organisation de toute la communauté, aux Planches, il n’y avait pas de représentation des villages dans les organes communs. Ainsi, les gens de Glion accèdent aux charges communales, mais le village n’envoie pas de délégués dans les organes communaux. A Glion, les habitants s’assemblent pour discuter de leur approvisionnement en eau. Et cette question va animer le village pendant plus de trois siècles : l’eau est apparemment trop rare sur le Scex et les besoins du village vont aller croissant avec l’arrivée de l’hôtellerie et des touristes.

Le fait que les villages de Montreux assument des services publics (et en particulier la distribution de l’eau) fait qu’ils seront assimilés à des fractions de Commune par la loi vaudoise du 2 juin 1815. Ce nouveau statut les autorise à prélever des impôts. A Glion, ce sera le cas à partir de 1874. Corollaire de ce nouveau statut, les comptes du village doivent dès lors être visés par la municipalité des Planches et par le préfet.

Si l’apport en eau du village s’améliore grâce à l’intervention généreuse d’Henri Nestlé en 1878, la question continue à agiter le village au XXème siècle. Et alors que, en 1927, la commune des Planches reprend à son compte l’éclairage et la gestion de l’eau et fait disparaître plusieurs de ses villages, la fraction de commune de Glion persiste, grâce à la distribution de l’eau.

Mais l’eau sera malheureusement également la cause de la dissolution de l’administration du village. En effet, en 1945, Glion vit un épisode de fièvre typhoïde qui fait 16 morts et rend malade plus de 100 personnes. La gestion « milicienne » des eaux par le village est clairement mise en cause par le collège d’expert chargé de faire la lumière sur cet épisode tragique. Epuisé par les dédommagements et les actions en justices qui suivent cet événement, le village vend son réseau d’eau à la Société des Eaux Vevey-Montreux en 1952, et la fraction sera finalement dissolue par le Conseil d’Etat en 1955. L’administration du village se réunit encore à quelques reprises pour liquider ses dernières affaires et met un terme définitif à ses activités le 16 novembre 1957.

Literarischer Verein Montreux

  • CH - Montreux--10
  • Collectivité
  • 1972-2012

Successeur d'un premier Literarischer Verein Montreux fondé par F. Bolliger en 1924, le Literarischer Verein Montreux est fondé en 1972 par des germanophones. Le club a compté jusqu'à environ 170 membres. Les réunions avaient lieu une fois par mois. En 2007, le Literarischer Verein Montreux devient Kulturfreunde Riviera-Chablais. En 2013, suite au décès de son président, l'association est dissoute.

Association des Amis du Septembre Musical

  • CH - Montreux--101
  • Collectivité
  • inconnu - ce jour

Créée aux environs de 1965, l'Association des Amis du Septembre Musical a notamment pour objectifs d'encourager et de soutenir les organisateur du festival du Septembre Musical et de soutenir financièrement le concours Clara Haskil.
L'Association a, entre autres, été présidée par : M. René Koenig, M. Charles Édouard Lambelet, M. Stéphane Perrin, M. Olivier Rapin, Mme Jacqueline Moser.

Club accordéonistes Riviera Montreux

  • CH - Montreux--102
  • Collectivité
  • 1946 - 2015

Société fondée le 4 avril 1946 et dissoute le 11 octobre 2015 pour donner naissance à une nouvelle société Akordiono, fusion de quatre sociétés d'accordéon de la région.
Directrice: Helena Mayer

Festival de la Rose d'Or

  • CH - Montreux--103
  • Collectivité
  • 1961-

En 1961 est créé sous la houlette de la Ville de Montreux, de la Société suisse de radiodiffusion (SSR) et de l’Union européenne de radiodiffusion (UER) le festival de télévision la Rose d’Or. Emmené par trois hommes Marcel Bezençon, directeur général de la SSR de 1950 à 1972, président de la Commission des programmes de télévision de l’UER et cofondateur du réseau Eurovision en 1954 ; Edouard Haas, directeur de la télévision suisse à partir de 1955 et Raymond Jaussi, directeur de l’office du tourisme de Montreux, le festival de télévision aura lieu à Montreux chaque année entre 1961 et 1991, puis à un rythme moins soutenu.
Dès 2004, la manifestation est délocalisée à Lucerne, puis Berlin et enfin à Londres.

(Source: GRAY Roxane: Montreux et sa Rose d’Or : dans les coulisses d’un festival de télévision)

Fondation Hotelarchiv Schweiz

  • CH - Montreux--107
  • Collectivité
  • 2008 - présent

Fondation à but non lucratif créée en mars 2008 par Hôtellerie Suisse et des donateurs privés à l'occasion des 125 ans de la Société suisse des hôteliers. Inscrite au registre du commerce du Canton de Berne en tant que fondation à but non lucratif.
La fondation est dotée d'un bureau opérationnel de 2008 à 2019. Direction Evelyne Lüthi-Graf, adjointe Graziella Borrelli.
Dès 2019, reprise des fonds d'archives physiques et digitaux par deux institutions en parallèle: Les Archives de Montreux pour les fonds montreusiens et quelques fonds romands, le Schweizerisches Wirtschaftsarchiv pour la majorité des 60 fonds gérés par la fondation.

Armando Lombardo et Fils Société Anonyme (SA)

  • CH - Montreux--108
  • Collectivité
  • env. 1970 - 2008

Entreprise fondée par Armando Lombardo, ouvrier italier, dans les années 1970. L'entreprise a compté jusqu'à une quarantaine de collaborateurs et s'est établie dès 1982 dans l'Hôtel Moderne, proche de la Gare de Montreux.

Office du tourisme de Montreux (OTM)

  • CH - Montreux--11
  • Collectivité
  • 1946-1991

1921 Naissance de la Société de développement de Montreux (résultant de la fusion de diverses sociétés qui œuvraient jusque-là au développement de la station).
1946 La Société de développement devient l’Office du tourisme de Montreux
1991 L’office du tourisme de Montreux devient l’Office des Congrès et du Tourisme de Montreux (OCTM)
2000 Fusion avec l’ADIVE (association des intérêts de Vevey et environs) pour donner naissance à Montreux-Vevey Tourisme.

Halte-garderie La Bergerette

  • CH - Montreux--112
  • Collectivité
  • 1982-2012

La halte-garderie "La Bergerette" est un établissement qui accueille les jeunes enfants à Glion depuis 1982. Fondé par Madame Paule Borloz comme présidente, le jardin d'enfants a été reprit en 2012 par la Commune de Montreux et continue exercer sa fonction d'origine.

Deléchat (René), Deléchat (Jean-Claude), Danthe

  • CH - Montreux--117
  • Collectivité
  • 1935-1985 (?)

Né à Bex en 1899, René Deléchat se forme chez Charles Zbinden, architecte à Lausanne, avant d'étudier à l'école des Beaux-Arts de Paris. S'établit comme architecte à Montreux en 1935, à la Villa des Bains puis à la rue de l'Église-Catholique.

Né en 1930 à Paris, son fils, Jean-Claude Deléchat devient associé en 1954. René Deléchat s'éltablit alors aux Diablerets alors que Jean-Claude conserve l'atelier montreusien. L'activité de l'atelier compte alors beaucoup de construction de chalets.

Au décès de René Deléchat, Jean-Claude Deléchat s'associe à Danthe.

Société de sauvetage de Montreux La Vigie

  • CH - Montreux--119
  • Collectivité
  • 1893-

Suite à l’accident de 1883 au large d’Ouchy, entre les bateaux à vapeur « Le Rhône » et « Le Cygne », le Genevois W. Huber fonde la Société de Sauvetage du Lac Léman (SSLL) en septembre 1885. Sur la Riviera, c'est le promoteur Ami Chessex qui voit l’utilité de ces sections et fonde, en 1887, la société de sauvetage de Territet, « La Dame du Lac ».

En 1893, sous l’impulsion de l’hôtelier Alexandre Emery, une nouvelle société voit le jour sur le territoire de la Commune du Châtelard, à Vernex : la société de sauvetage « La Vigie ». Le 6 août 1893, la section est admise au sein de la SSLL.
Sous la président de Jean de Muralt, la section récolte des fonds et achète son premier canot à huit rameurs en 1894.
En 1897, la section de Montreux reçoit l’assemblée générale de la SSLL et organise des courses et des compétitions.
En 1915, la société met à l’eau son nouveau canot.
En 1944, le bateau de la société est pris dans le gros temps. Les membres d’équipages s’en sortent, mais pas l’embarcation.
1946, inauguration de la nouvelle barque de la Vigie
En 1954, la société se dote d’un hangar sur l’actuel Quai de Vernex.
En 1966, la Vigie motorise son embarcation grâce à la donation d’un navigateur
1982, inauguration de la nouvelle vedette La Vigie 2

Société de sauvetage de Clarens Mon Devoir

  • CH - Montreux--120
  • Collectivité
  • 1904 -

La section de sauvetage de Clarens est fondée officiellement en 1904, partant du constat qu'il convient de structurer et de donner davantage de moyens et d'organisation à l'action de sauveteurs volontaires et jusqu'ici isolés. Réunis en 1904, quelques citoyens décident de lancer un appel à la population et aux autorités pour récolter les fonds nécessaires à la construction d'un canot de sauvetage.
La barque Mon Devoir est mise en service au printemps 1905, au droit de Verte Rive.
Le 9 juillet 1922, Mon Devoir organise sa première grande Fête des sauveteurs lémaniques.
En novembre 1926, Mon Devoir I coule sur son point d'amarrage. En mars 1927, c'est l'inauguration de la nouvelle barque, également nommée Mon Devoir.
En 1930, le hangar à bateau est déplacé de Verte Rive au Pierrier, proche de l'embouchure de la Baye de Clarens.
Dans les années 1950, la section motorise son embarcation.
En 1964, la section rachète la vedette de la police du Lac de la Ville de Lausanne, qui sera remplacée en 1984.

Société des Intérêts des Avants (SIA)

  • CH - Montreux--121
  • Collectivité
  • 1915 -

La Société des Intérêts des Avants a été fondée le 31.10.1915.
Sa création s'est faite suite à une période très faste du développement urbain et touristique initié et encouragé par la famille Dufour. Les frères Dufour, Adrien-Louis et Ami ont développé entre les années 1890 et 1915 la station des Avants en y construisant notamment le Grand Hôtel des Avants, la gare pour le passage du Montreux-Oberland bernois (MOB), le funiculaire, la galerie marchande et développé toute l'activité sportive et récréative faisant des Avants, une station touristique de grande renommée jusqu'à la Première Guerre mondiale. La Société des Intérêts des Avants (SIA), à savoir la réunification des commerçants et hôteliers du village, va servir les intérêts du village afin de continuer à faire connaître et développer son économie par l'attrait touristique malgré les difficultés engendrées par les deux guerres mondiales. Les premiers statuts de la Société des Intérêts des Avants sont établis le 13.12.1919 sous la présidence de Monsieur Nicodet.
Dès ses débuts, la Société des Intérêts des Avants (SIA) a pour but d'animer le village et ses environs en organisant différentes manifestations et activités, de favoriser les relations avec les autorités communales et les organismes privés et publics et de faire connaître la région d'un point de vue touristique en collaborant étroitement avec les offices du tourisme. Entre les années 1930 et 1990, la SIA s’est investie dans la grande période de ski, saut à ski, courses de luge et bob, tennis, la cueillette des narcisses, les fêtes de Bénichons, les concours de pétanque, de caisses à savon.
Plus récemment, la société organise de manifestations visant à la préservation des narcisses (fleur emblématique des Avants) et soutient des événements tels que le Bukolik Freeride et le Cross du Cubly.

Chevalley (famille)

  • CH - Montreux--122
  • Collectivité
  • XVème siècle -

Montreux International Business Club (MIB)

  • CH - Montreux--124
  • Collectivité
  • 1985-2022

Notre club a été créé par PROMOVE en 1985.
Réseau pour femmes et hommes d'affaires de la Riviera, créé par PROMOVE en 1985 et ayant pour activités des conférences, rencontres et soirées de gala.
Ont notamment présidé le club:
Michel Gessner
Michel Graber
Wim van Heist
Jochen Conrad
Dieter Wullschlager
Hector Smith
Gordon Douglas
Yael Bruigom

Société de la Chapelle évangélique réformée de Caux

  • CH - Montreux--125
  • Collectivité
  • 1944-

Société créée le 25 septembre 1944 sous l'appellation « Société de la chapelle nationale évangélique réformée de Caux ». Selon les statuts du 26 juillet 1979, ses buts sont d'une part de contribuer à la proclamation de l'Évangile à Caux et d'autre part de veiller à l'intégrité et à l'entretien de la chapelle de Caux.

L’afflux de touristes anglais relatif notamment à la création de la station de Caux et au rayonnement de son Palace à la fin du XIXème siècle incite la « Société pour la propagation de l’Évangile en pays étrangers » à construire un édifice religieux pour satisfaire ses fidèles en déplacement. Construite en 1905 sur un terrain mis à disposition par la « Société immobilière de Caux » et inaugurée en 1906, la Chapelle anglicane de Caux se nomme « Saint Michael and all Angels ». Encore très prisé jusqu’en 1914, l’édifice fut inemployé durant la Première Guerre mondiale, puis progressivement abandonné du fait du manque de fréquentation. Pour pallier au manque d'entretien, plusieurs meubles ou objets liturgiques précieux ont par ailleurs été confiés à la chapelle des Avants pour être finalement restitués en 1980. En 1944, en effet, le lieu de culte change de propriétaire et de statut. La « Société pour la propagation de l’Évangile en pays étrangers » cède la Chapelle à la Paroisse de Montreux de l’Église nationale. Afin que le lieu serve aux cultes et services religieux de l’Église nationale évangélique, le conseil de Paroisse suggère de créer une association. C'est ainsi que sera fondée la « Société de la chapelle nationale évangélique réformée de Caux » en septembre 1944, qui entreprend directement des travaux de restauration de l'édifice pour un coût de 27000 francs. Le 23 juin 1946, la Chapelle devient une annexe de son nouveau propriétaire qui a par ailleurs bénéficié du soutien financier de donateurs comme le Réarmement moral.

Ensemble musical Holzacker Clarens-Montreux

  • CH - Montreux--126
  • Collectivité
  • 1970-2019

Créé en 1970 par 9 musiciens de la Fanfare L’Avenir de Clarens à l’occasion du 60e anniversaire de cette société, l’Ensemble musical Holzhacker, qui prend son nom du titre de son premier morceau, devient rapidement un groupe autonome à l’activité débordante.

En 40 ans, ses musiciens ont eu le privilège de participer à de nombreux concerts, bals, rendez-vous folkloriques et Fêtes fédérales de musiques campagnardes ainsi que des voyage à l'étranger.

Son répertoire s’inspire en particulier de la musique d’Egerland, de Suisse orientale et de Tchéquie. Le premier CD 15 titres est sorti en septembre 2000, alors qu’un deuxième, puis un troisième, ont vu le jour en Tchéquie en 2006 puis en 2012.

L'ensemble a été dissout en 2019.

Association Suisse des Maîtres Coiffeurs

  • CH - Montreux--127
  • Collectivité
  • 1888-

Fêtant ses 100 ans en 1988, l'Association suisse des maîtres coiffeurs a vraisemblablement été fondée en 1888.
Nouvelle appellation en 1999: Association suisse de la coiffure, puis CoiffureSuisse.

Club Alpin Suisse (CAS), section Montreux

  • CH - Montreux--13
  • Collectivité
  • 1906 - ...

La section de Montreux du Club Alpin Suisse a été fondée en 1907 par des membres montreusiens de la section de Jaman du Club Alpin Suisse en raison du nombre croissant de ceux-ci et surtout de leur difficulté commune à suivre des réunions dans des locaux situés à l'extérieur de leur localité. La section, à l'origine exclusivement masculine, sera rejointe en 1980 par son pendant féminin, le Club Suisse des Femmes Alpiniste (CSFA), section Montreux.

Ski-club du Vallon de Villard

  • CH - Montreux--130
  • Collectivité
  • 1952-2023

En février 1952 un groupe d'amis du Vallon de Villard fonde le premier club sportif et humoristique nommé "Les Amis du Vallon". Une année plus tard, en mars 1953 ce dernier change de nom et devient "Le Ski-Club du Vallon". Le club à vocation sportive organise au fil des années notamment des concours internes de ski alpin. Il se diversifie aussi en proposant des manifestations telles que la première course internationale de Rollerski entre Chailly et les Avants le 29.09.1974, course rééditée en 1975 entre Montreux et Blonay et en1976 entre Chailly et le Vallon de Villard. Il propose aussi des concours de luges à foin, "La Nuit du Vallon" une course de ski de fond sur piste éclairée en 1981 mais aussi 20 éditions du "Cross du Cubly" ainsi que des participations à des manifestations telles que la "Bénichon des Avants", des kermesses etc. Club très actif pendant de nombreuses années, il signe sa dissolution en 2023.

Société Coopérative d'habitation de Montreux (SCHaM)

  • CH - Montreux--15
  • Collectivité
  • 1930-2007

La crise économique engendrée par le crash de Wall Street en 1929 laisse des milliers de chômeurs. La Suisse est également touchée. Les hôteliers et les commerçants n’arrivent plus à faire tourner leurs établissements. La pauvreté atteint la majorité de la population. Des collectes se font alors et à Montreux, les communes du Châtelard et des Planches organisent des distributions de soupes populaires pour les nécessiteux.
C’est en 1931 que les premiers écrits de la Société Coopérative d’Habitation de Montreux apparaissent. Avec l’augmentation constante des loyers et le salaire inexistant d’une bonne partie des habitants, il devient important d’établir un plan d’amélioration des conditions de logement à Montreux. Une assemblée préliminaire est organisée afin de discuter de ce problème. Lors de cette assemblée on en arrive à la conclusion suivante : le moyen le plus efficace est de construire de nouveaux immeubles dont les coûts de construction et d’exploitation soient réduits au strict minimum.
Cette solution est retenue et une assemblée générale de la Société est organisée le 19 février 1932
Dès lors, des démarches sont entreprises pour trouver le terrain, assurer le financement et élaborer des plans. Les premiers immeubles à voir le jour se trouvent au Brayères à Clarens. Les autorités accordent un appui hypothécaire de FR. 135’000 pour une durée de 10 ans.
Cependant en 1933 un référendum contre la décision du Conseil communal est lancé. Il faut alors se défendre auprès du corps électoral, mais le verdict populaire est favorable à la SCHaM. Les rivaux ne cherchent alors de lancer des oppositions à la construction. Le jeu de la concurrence marche pourtant pour la SCHaM. Les constructeurs débutent les travaux alors que la 3ème enquête publique n’est pas encore ouverte. L’utilisation des machines est totalement interdite, grue prohibée également été le béton est mélangé sur place, les ouvriers travaillent alors avec la pioche et la pelle.
Les logements sont disponibles en mai 1934, 30 appartements loués à la fin de la même année.

Par la suite, la guerre de 1939-1945 ainsi que la crise économique de 1930 à 1037met un frein aux activités de la SCHaM. Après cette longue période, un nouvel essor est donné dans le but de relance économique. Un premier groupe de maisons familiales voit le jour à Belmont, suivi 2ans plus tard d’un deuxième groupe. Au total 22 immeubles sont construits.

En 1949 les immeubles les Amandiers apparaissent aux Planches. Pour bénéficier des dernières subventions, la société met en chantier un nouvel immeuble sur un terrain vendu par la commune qui se veut bienveillante à leur égard. 31 appartements sont alors construits.

En 1953 le canton de Vaud édicte une loi prévoyant des mesures destinées à compenser la suppression du subventionnement dans le domaine du logement, occasion que la société saisi afin de mettre en chantier deux immeubles. Les immeubles Les Trois-Tilleuls comptant 16 appartements prennent leurs quartiers à la rue de l’Ancien-Stand.

Viennent ensuite en 1955 les immeubles Les Lauriers. Il y a 1 studio et 20 appartements.

Entre 1959 et 1960 Une nouvelle loi cantonale sur le logement est adoptée le 27 mai 1957. L’Etat de Vaud met une nouvelle tranche de 20 millions de francs en faveur des constructeurs. La commune de Montreux-Planches offrant à La SCHaM un terrain à Territet, celle-ci saisi l’occasion est créé 20 appartements appelés les Genêts.

La Société Coopérative Immobilière et Montreux (SOCIM) et la SCHaM construisent conjointement deux immeubles de 30 appartements chacun aux Ormes, derrières les bâtiments des Bouleaux à Clarens. Ceux-ci sont construits entre 1974 et 1975.

Enfin, dès 1963, les premières études débutent pour l’utilisation des terrains situés aux Taux. En raison de la configuration peu avantageuse des terrains avec des moyens d’accès difficiles, les études se prolongent jusqu’en 1968. La construction peut alors commencer. Cet immeuble, réalisé selon les dispositions de la loi fédérales, touche des subsides de la Confédération, de l’Etat de Vaud et de la Commune de Montreux (Montreux-Châtelard et Montreux-Planches ayant fusionnés en 1962). En raison des mesures prises en matière d’économies financières, la Confédération supprime sa subvention. 30 appartements sont finalement construits entre 1968 et 1969 aux Arolles.

Enfin, entre 1988 et 1989 la commune de Montreux met à disposition des terrains à Clarens pour la SCHaM. L’immeuble des Tamayas, entre la rue des Verges et la rue Marc-Dufour, est le dernier immeuble sous le contrôle des services cantonaux et communaux. Il compte en tout 42 appartements et 2 studios.

Au total 219 appartements ont pu être construits entre 1932 et 1989.
A l’occasion de son 50ème anniversaire, en 1983, la société a fait part de sa motivation à poursuivre son œuvre débutée en 1932.

Depuis 1989 la SCHaM n’a pas créé de nouveaux appartements mais s’est engagé à rénover et à rénover les immeubles de l’époque. Ainsi des ascenseurs ainsi que les tuyauteries, chauffage, sanitaires, salle de bains et cuisines ont été remplacés. Ces rénovations ont eu lieu sur 5 immeubles entre 1995 et 2011.

SOUCRCES : Journal édité à l’occasion du 50ème anniversaire de la Société Coopérative d’Habitation de Montreux (SHCaM), octobre 1983
Journal édité à l’occasion du 75ème anniversaire de la Société Coopérative d’Habitation de Montreux (SCHaM), juin 2007

Amicale fribourgeoise des Avants et environs

  • CH - Montreux--16
  • Collectivité
  • 1945 - 2013

Amicale fondée en 1945.
Présidents: Fernand Philipona (1945 - 1961), Gilbert Pilloud (1961 - 1987), Xavier Sansonnens (1987 - 2001), Armand Vuichard (2001 - 2013)
En août 1960, l'Amicale organise la première Bénichon aux Avants.

Kramer Société anonyme (SA)

  • CH - Montreux--21
  • Collectivité
  • 1907 -

L'entreprise a eu plusieurs noms, entre autres:
Maison Kramer
Kramer frères
Kramer frères Société anonyme (SA)
Kramer Société anonyme (SA)
Kramer-Krieg Société anonyme (SA), dès 1996, date de la fusion avec l'entreprise Krieg établie à Lausanne depuis 1867.

L’histoire de Kramer débute en 1907 à Montreux, avec la fondation d’une papeterie-bazar, complétée en 1943 par un magasin à Vevey. La société développe ensuite ses services aux professionnels, en acquérant une manufacture de papier et une société de distribution à Lausanne.

Yves Kramer était le président de la société jusqu'en 2017, date de la reprise par la société Amiguet-Martin Duplirex.

Nouvel Orchestre de Montreux

  • CH - Montreux--25
  • Collectivité
  • 1987-2001

" Nouvel Orchestre de Montreux (1987-2001)
(Ensemble Orchestral de la Riviera)

Choisir de s'appeler le Nouvel Orchestre de Montreux (NOM), c'est accepter le lourd héritage du prestigieux Orchestre du Kursaal, disparu depuis 1914. Lorsqu'il fonde cet orchestre de chambre en 1987, le chef hongrois Andras Farkas ne redoute pourtant pas la comparaison avec Ernest Ansermet: en plus de combler un vide auprès du public de la Riviera vaudoise, son orchestre de chambre est surtout le bienvenu pour les jeunes musiciens professionnels romands. C'est à la suite d'une demande du festival d'Honfleur qu'Andras Farkas décide de réunir un orchestre formé de musiciens libres de tout contrat. Constatant alors la difficulté pour ceux-ci de trouver un orchestre et encouragé par le succès des concerts d'Honfleur, il choisit de continuer l'aventure. Le premier concert a lieu le mardi 24 février 1988 dans la salle du Pavillon de Montreux. Le Rondo hongrois de Kodaly, le Concerto en ré de Haydn et la Symphonie en do de Mozart sont interprétés avec, notamment, Philippe Schiltknecht au violon solo.

De 1987 à 1994, l'orchestre dirigé par Andras Farkas se produit à Montreux et en Suisse romande, interprétant autant de la musique baroque que contemporaine. Il donne des concerts d'abonnement depuis 1988, au Pavillon de Montreux. Pourtant, s'il bénéficie du soutien de la municipalité de Montreux, d'un conseil de fondation et du public montreusien, le NOM rencontre des difficultés financières. En outre, le départ d'Andras Farkas en 1994 laisse l'orchestre sans chef attitré. Ce sont alors Mathias Aeschbach, Tibor Varga et Hervé Klopfenstein qui se succèdent à la tête de l'orchestre.

Rebaptisé Ensemble Orchestral de la Riviera (EOR) en 1994, l'institution se renouvelle en quasi totalité, du Conseil de fondation aux musiciens de l'orchestre. L'ensemble, qui n'a toujours pas de chef titulaire, décide de ne jouer qu'avec des chefs invités. Désireux de toucher toute une région et non plus seulement la ville de Montreux, l'Ensemble Orchestral de la Riviera cherche également à investir l'auditorium Stravinski. Pourtant louable, la volonté de régionaliser l'institution va au contraire la desservir: plus vraiment implanté à Montreux, ni véritablement impliqué dans les autres communes, l'orchestre perd son identité et, conséquemment, son financement. Après plusieurs tentatives pour relancer l'institution, la fondation de l'Ensemble Orchestral de la Riviera se voit mise en liquidation en 2001.

SOURCES: sites et références mentionnés; "Nouvel Orchestre à Montreux", 24 Heures 1988/02/21; "Du Nouvel Orchestre à l'Ensemble orchestral: nouveau concept, nouveau conseil de fondation pour une phalange montreusienne visant la Riviera", 24 Heures, 1994/10/01; Tétaz, Myriam, "L'Ensemble orchestral de la Riviera se présente au public montreusien", 24 Heures, 1994/12/05; Isler, Joëlle, "Faute de sous, l'Ensemble orchestral de la Riviera risque bien de passer à la trappe", 24 Heures, 1996/01/31; Favez, Jacqueline, "Le public notera l'Ensemble orchestral de la Riviera", 24 Heures, 1997/04/10.
[BCUL/MU/nmo/2013/08/20] "

Tiré de : Bibliothèque cantonale et universitaire de Lausanne, Documentation vaudoise [en ligne], 20 août 2013, http://dbserv1-bcu.unil.ch/persovd/composvd.php?Code=N&Num=7184 (consulté le 22 janvier 2014)

Société de l'Ancien Four de Clarens

  • CH - Montreux--26
  • Collectivité
  • 1738 -

Société créée au Moyen-Age lors de la construction du Four de Clarens. Elle défendait les intérêts des six familles bourgeoises de Clarens à l'origine de la construction : Rambert, Mayor, Cochard, Chessex, Mury et Puenzieux.
Source : CHANEY, Andrée, GONTHIER, Albert. L'histoire d'un village... Clarens. Association des intérêts de Clarens, 2001

Société anonyme de l'imprimerie Corbaz

  • CH - Montreux--27
  • Collectivité
  • 1899 - 2002

Charles [Corbaz (1873-1932), issu d'une famille d'imprimeur originaire du Mont-sur-Lausanne], fonde en 1899 l'imprimerie qui éditera le Messager de Montreux et le Journal suisse d'horlogerie. Georges (1901-1978) modernise l'entreprise, crée le Journal de Montreux. Jean-Paul (naissance 1934), reprend la direction générale en 1966. Il réalise en 1972 la fusion de son journal avec La Feuille d'Avis d'Aigle et le Courrier de Leysin pour fonder L'Est vaudois, aujourd'hui La Presse-Riviera-Chablais, après absorption de Riviera: Vevey-Montreux en 1993. Il vend le groupe à Edipresse en 2002.
Source : BERLINGER KONQUI, Marianne. Corbaz. Dictionnaire Historique Suisse. 2003. pp. 570-571

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